Je ne rentre dans aucune case
Pourquoi il vous en manque une ? Pour que vous insistiez à ce point compulsif de me contraindre à entrer dans une case ?
Etre inclassable devient comme lasser les cases âniers ! ou bien pérégriner dans toute la liberté et pourquoi se limiter à une case ?
Je ne rentre dans aucune case – preuve étincelante de l'abolition de l'esclavage pour moi que de quitter la case de l'oncle Tom !!! Vous voulez encore vous encastrer dans vos cases mates ? Dans ces conditions, vous demeurez esclaves complets et, de ce simple fait, perdez tout droit à mettre les autres en cases…
Pourquoi voulez-vous tout caser dans vos casernes de cases ?
C'est sans issue raisonnable…"trop" piégés et pris en flagrants délits – que vous vous montrez. Foutre les autres "en cases" c'est par pur esprit cancre de contradiction. Or cet esprit de contrer tout, sans rien regarder, avoue sa position d'infériorité et de dépendance, dans la hiérarchie du réel, par rapport à qui il voudrait mettre en case. Lui c'est bien un cas, un cas de détraqué, et vous ne rentrez toujours pas dans aucune de "ses" cases…
Lui est un cas, un cas qui tourne, excentriquement, souvent casaque ; un cas qui cascade les catastrophes…et vous voudriez que la société se fonde sur de pareils hallucinés ? Vous n'êtes pas sérieux ?
Le futur ne parle qu'à qui garde un espace disponible en lui, conserve suffisamment d'espace vacant, afin de l'accueillir tout entier...
Et pas le foutre dans une case afin de le rende inerte !!!
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos" et "Remue- ménage", onglet 2 "Présent !", onglet 4 "Nul n'est nul" ou, encore, "Je ne parle plus à qui a raison".