Je préfère naviguer dans mon cœur
Je préfère naviguer dans ma tête. Comment le sais-je ? Très exactement, comme dans les meilleures histoires, par du prétendu surnaturel. Une histoire quasi fictive sur les protagonistes pas sur les faits. Imaginons que je mette un de nos articles en ligne sur un motor blog (lequel ? une autre fois !)….le titre « connaissez- vous le mouvement NO à NOël ? » Magie : nous retrouvons « connaissez- vous le mouvement no à NOël ? ». L’écriture s’est modifiée toute seule. A l’intérieur était signalé que le texte appartenait à tous. Ce genre de scène faut pléthores. Souvent que vous avez aperçu de ces esprits qui se croient fins, on le modifie, donc contre le proférateur (son texte) ; de telles possibilités à tous les coins de rue. A ce moment qu’a-t-on dans le cœur ? Pas grand-chose de très reluisant, ni bandant, ni enthousiasmant. Ni très beau à regarder. Evidemment on peut ricaner mais uniquement entre des yeux qui aiment ce genre d’effondrement. … Je préfère tellement naviguer dans mon cœur.
Cette saynète, que nous pouvons retrouver en plein d’éléments de la vie quotidienne, m’inspire le fort élan de - je préfère naviguer dans mon cœur Que peuvent-ils ressentir de minces satisfactions, du big orgueil, de vies étriquées car jouées, des jouissances plutôt perverties, mais rien de jamais transcendant, des broutilles, diminuables, qu’ils ne supportent que de le voir dans le regard des autres. Ca « réussir » ? Non merci, Je préfère encore naviguer dans mon cœur. Tout qui m’y surprend. C’est immense de la sorte il s’y passe toujours quelque chose d’appétissant…Leurs success stories me semblent, à côté, de minables et sordides échecs, trop bardés d’esbroufes. « Un rêve américain », où cela? – coruscants cauchemars pour tous, sauf pour 1 % de sa population qui n’a nul « rêve » sinon la prédation illégitime et parasitaire de la majorité de leurs concitoyens. Ca un rêve c’est repoussant de saleté. Comment peuvent-ils supporter de vivre dans leur propre cœur et cerveau ? Je préfère naviguer dans mon cœur.
Au fond, le « con » c’est juste celui/celle qui refuse de « profiter » des autres (pas de mac attitude !) et d’user de leurs possibles talents pour voler et tromper autrui. Dans ce cadre, cela devient label de qualité et de fiabilité que d’être dit con ? Pas sûr que salaud fasse si confiance !!!
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Pour la tête il en va de même : combien de gestes, dans les sublimes journées de ces oôôô personnages, ne sont dédiés qu’à nuire aux autres, à déloyalement les maltraiter, diffamer et autres…Devant qui de valable peuvent-ils étaler de telles sordidités ? Mes activités m’ont conduit à voir ces trop riches de trop près (par exemple, leur ahurissante radinerie représente un scoop jamais utilisé pourquoi ? « le public a le droit de savoir », non ?) . C’est que du vécu. De la sorte que, vu ce que je ressens pour ces soi-disant dirigeants, cette répulsion sans surprise (faire toujours pire n’est plus une surprise !), il devient facile d’extrapoler sur ce que sont leurs récoltes. Je préfère naviguer dans ma tête.. Je ramasse, sans doute, de déloyales blessures (même imméritées si vous voulez !) mais ce que je vis à côté, cette merveille quasi permanente,, non que voulez- vous, rien ne peut inciter à devenir comme ces « success stories » (pour moi les pires des échecs – le prix à payer vous ne vivez que la vie des autres en vous pas la vôtre du tout » !)’. Non, carrément, Je préfère encore naviguer dans ma tête….
Je préfère encore naviguer dans mon cœur. Je préfère encore naviguer dans ma tête….Tous les jours, de tels actes intérieurs signent la défaite absolue des maîtres de ce monde. Leurs médias sont vides de vies réelles – juste des hublots qui étalent crûment « leurs » maladies et dysfonctionnements. La vraie vie se passe ailleurs. Elle est merveille de merveilles, même si tellement plus discrète que les vacarmes obscènes des voyous au pouvoir. Je préfère encore naviguer dans ma tête… Tous les pantins économiques ou politiques qui « sont » décidés et qui, avant même d’avoir terminé leurs phrases, se sont déjà reniés – non merci. Je préfère encore naviguer dans mon cœur…
Lorsque suffisamment d’êtres diront ce genre de phrases leur monde vacillera sobrement. Pourquoi, c’est une autre histoire…
Alors laisse s’épancher le meilleur de vous- même. Vous verrez la force colossale qu’offre de se dire « Je préfère encore naviguer dans ma tête/ dans mon cœur »…
(à suivre)
vous pouvez trouver une suite sur le site internet freethewords.org
connaissez- vous le mouvement NO à NOël ?