L’écolovie ?
Tellement mieux approprié qu’écologie…que l’oikos soit la maison sans la vie mais on ne sait rien en faire de la maison mais on…maison et puis c’est trop discret, trop minuscule, trop tourné vers l’intérieur propriétaire maison…pourquoi pas plus village, ville, conurbation, monde, ville- monde, Terre ?
Et tout ce dépliement d’un déploiement qui n’a pas lieu pour achopper sur un discours (- logie) de discours de discours de discours de discours de discours : écologie…Ecolovie doit s’imposer telle le réalisme le plus enveloppant lorsque la notion de « profit » se recroqueville tel un piteux enfantillage qui refuse de se voir en face : oui, ma pov’ dame c’est un coût comme un autre…personne ne gagne, pas de magie, pas de naissance extraterrestre d’argent qui ne « viendrait » pas du circuit économique collectif…non non « votre » profit « prend » aux autres…c’est un rapr pas un gain…l’inversion de l’angle pour eux c’est que c’est un fardeau de « coût » et pas une manne…ce pourquoi toutes les études indépendantes admettent que le Public coûte moins cher que le Privé …pas de ces razzias gigantesques de revenus extravagants…qui dotent le Privé d’énormes et inutiles surcoûts…et avec les illégales spéculations qui s’y ajoutent !!!
Ecolovie tient la route…pas profit !!!
Nous ne sommes pas du tout au chevet de la Terre…c’est la Terre qui tente d’aider les forcenés malades que nous sommes…oui ceux qui renient et dénient tout réalisme : la Terre « contient » et conduit plus de vie que chacun d’entre nous…elle peut très bien vivre sans nous – et nous pas sans elle …détruire son propre berceau mêmes les barbares n’y avaient pas pensé…flotter hors de tout réel, aucune civilisation n’a pu y survivre…alors ?
Ecolovie…la hiérarchie du réel c’est donc la Terre – si évidemment – elle EN PREMIER et nous après…si nous voulons rester vivants il nous faut rompre et interrompre notre style de mort !!! Et plus vite encore…
Ainsi, chaque fois que les médias dominants (la centralisation de toutes les folies maniaques !) parlent de la vie, de la Terre, de l’écolovie, de notre survie…ce ne sont que propos de malades… Au chevet de la Terre ? Afin de ne surtout pas se comporter en médecin responsable, mais en si négligents assassins infantilisés…irresponsabilités hurlantes : avec des pitres comme nous à son chevet, la Terre n’a aucune chance…
Et nous encore moins !!! Plus aucune chance !!!
Tant que nous ne plaçons pas l’Ecolovie au sommet dfe l’urgence collective
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu