L'Economie réenchâssée dans l'humble économie de la Nature

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Changement de paradigme. L'Economie réenchâssée dans l'humble économie de la Nature, nous retrouvons, enfin, la vraie hiérarchisation du réel : la Terre peut se passer de nous en se grattant de catastrophes, nous ne pouvons nous passer d'elle , elle est le nid inévitable de la vie et la matière toujours première (la matière, elle, est "meilleure" que nous, elle remporte et remportera toujours le top 10, nous ne pourrons la supplanter dans ce classement : pour le bonheur de tous, admettons-le !).Toute activité qui porte atteinte à la continuation de la vie et de la planète se doit d'être bannie pour "antiéconomisme irrécupérable" – économiser veut dire épargner, protéger thérapeutiquement , soigner, sauver la vie, pas du tout ce que les délires capitalistes (quelle insurpassable vulgarité que ce "profiter de la vie" que seul un cerveau de maquereau peut émettre, n'est-ce pas) vous leurraient. L'argent ne respectant pas le futur il est placé sous haute surveillance, méfiance maximum pour le plus dangereux des énergumènes. Tout l'inverse d'actuellement où le laxisme à son égard reste inexcusable, une lourde faute politique qui oblige à les "démissionner". Ne contient-il pas ce "noyau dur de délinquance" qui corrompt bon nombre d'esprits se croyant "d'élites"? Par multiplication des contre pouvoirs ou "réalisations" (pratiquement et dans la conscience) de l'entière décentralisation – nous parvenons à annihiler tous les vieux poisons. Puisque les pollutions ne peuvent être "résolues" que si chacun-e en a l'intime "résolution". Sa "détermination" détermine le futur collectif : en effet, un-e seul-e peut annuler les efforts communs en perpétuant l'esprit de pollution.

 

La culture a/aura voix prédominante sur l'argent – celui-ci étant reconnu comme très négatif, définitivement inapte à l'intérêt GENERAL, non respectueux du futur et donc pleinement suicidaire, contenant bien la dérive gangstérisée qui inverse les valeurs, l'argent s'est montré trop antisocial pour être considéré comme un fédérateur de civilisation : toutes ses censures et calomnies se révélant donc comme crimes contre l'Humanité. Vous frémissez de partout : tout reprend sens !!! tout reprend sens !!! Le fait que nous retrouvions les mêmes cheminements que dans la partie II (l'Economie ne dirige plus rien) prouve, abondamment, l'existence d'une puissante matrice, donc de la présence sous-jacente d'un socle empirico-rationnel fondateur. Vous vous sentiez perdu dans un monde insensé mais cette perversion était entièrement due aux délires du capitalisme qui s'ergotait "irréfutable". Délires tellement envahissants qu'ils avaient pu pourrir les racines du raisonnement, déboussoler la Raison, perturber toute justesse de la justice etc. Un exemple, "l'environnement" – proférer environnement signe que vous êtes carrément sur la voie de la folie. Il n'y a nul environnement puisque nous sommes constitués de la même vie que tous les règnes végétaux ou animaux,. Nous ne sommes pas sur une île SEPAREE de la Nature, à l'écart. Rien qui ne nous environne. Aussi bien, la Nature n'est pas un décor éloigné, la Nature c'est nous, elle nous est autant intérieure qu'extérieure, elle ne peut donc se voir propulsée dans un entourage clos, nous demeurons entièrement liés à elle. Vous voyez bien que dire "environnement" (en faire même un ministère) c'est bifurquer vers la folie. L'environnement n'existe pas, nous ne pouvons ECARTER les conséquences de nos actes en les fourguant à un "alien" imperméable. La Nature c'est aussi nous. L'environnement n'existe pas, il pêche aussi par son flou intégral : où ça l'environnement ? environ par là, quelque part aux environs, que du non précis etc…etc  Pouvez- vous vraiment avoir confiance dans des gens qui déraisonnent tant que ça ? Et s'ils délirent ici que ne délirent-ils partout ailleurs ? Véridique vérifié : voir les délires furieux, profits etc. Leur politique, d'ailleurs et d'ici, accumule erreurs sur erreurs : en Espagne "pour lutter contre la récession" "faire un plan de relance" ils voudraient supprimer l'impôt sur le revenu. Vous les voyez bien "séparés", isolés de la Société, sans plus la moindre compréhension de son fonctionnement GLOBAL, vous les voyez comme enfermés dans un minuscule local perdu dans la vastitude (ils ne vivent pas la même vie que nous, ils ne sont pas du même monde) accumuler les preuves de leurs incompétences et de leurs irresponsabilités, de leurs manques radicaux de sérieux sur toutes choses.

 

En récession, supprimer des ressources fiscales est suicider la Société. Puisque soit il y a crise et, sans manœuvre budgétaire, vous ne pouvez qu'amplifier la crise, soit il n'y a crise que "déguisée" (il n'y aucune crise et le PIB mondial double tous les 15 ans, mais de se mettre en posture de crise vous rend, soi-disant, impuissants à la surmonter, donc inapte à répondre – pendant ce temps, en parallèle "cachée", en 25 ans, 15 % des avoirs publics ont été "donnés" (sic) au Privé). La (non) crise serait juste pour détourner l'attention et produire des non-débats. Toutes ces ignobles manipulations seraient pour que les riches continuent à dévaliser la Société. Dans les 2 cas il semble inutile de prolonger leurs explosives nocivités : les politiciens aux "cerveaux privatisés" sont soit des escrocs soit des délirants  - dans les 2 cas nous devons protéger la Société de leurs in/exactions. Ce qui rend le monde invivable ce sont les illégales inégalités et donc l'absence totale de répartition et surtout pas le très juste impôt sur le revenu : quand  arrête-t-on les délires ? Leurs insistantes "erreurs politiques" les dévoilent exactement comme les plus extrêmes ennemis de la Société. Protégeons-là par la mise en place d'un cordon sanitaire : le capitalisme est devenu un inexcusable fanatisme. Après le réenchâssement de l'économie humaine dans l'économie de la Nature, la seconde rupture radicale doit être de réapprendre à vivre en Société.

 

Le capitalisme a instillé le nihilisme, cette négation de l'Humanité, de toute "valeur" humaine, dévalorisant tout, perdant contact avec tout, nous rendant inaptes à l'écoute et à l'empathie (drôle de "richesse"!) -à nous de (re)devenir sérieusement humain. Le retour au réel pétille réellement joyeux. Vous accédez au "global" à la pensée globale et à la perception instantanée. Pour commencer. La biodiversité sociale se voit inscrite au fronton de la nouvelle civilisation : la diversité comme la faveur (et le futur ouvert) de la civilisation. Les différences ne sont pas des inégalités, mais des chances exponentielles, vous êtes multipliés de tous les autres. Ni supérieur ni inférieur. La vie continue grâce à la biodiversité. Chaque animal, chaque plante y a son rôle. Dans la Société, l'effondrement moral ne se capte qu'en haut, dans ces élites autoproclamées qui se révèlent comme la lie de l'Humanité. Les ex-antidirigeants dont nous ne subissons plus la nuisance ("les promesses n'appartiennent qu'à ceux qui les écoutent", reste le pire hurlement anti-politique qui soit puisque le corollaire luit comme "dès qu'un politique parle ne surtout pas écouter puisque nous serions piégés par ses non-promesses" – donc cette cynique phrase paraphe la fin de la politique – pas moins! Vous voyez exactement qui sont les réels destructeurs du social? ). L'esprit bourgeois si sale, son cœur encore plus, crachait "personne n'est irremplaçable" reniant, ainsi, la réalité, comme les sournois contestataires du réel qu'ils persistent à être. La science nous apprend, tout au contraire, que chacun-e est irremplaçable : il aura fallu 15 milliards d'années lumière pour que vous apparaissiez et, après vous, plus jamais le mélange unique que vous êtes ne reviendra. Vous êtes unique, le trésor de tout l'univers, le joyau ascendant de la vie. Personne ne pourra vous remplacer. On dirait bien que le régressif esprit bourgeois a tort sur tout. Il a tout faux, tout faux pas.

 

Pourquoi lui accorder encore une seconde d'attention: son destin est d'être effacé. Les pieds nus sur l'herbe, vous sentez enfin votre authenticité. Le seul cadeau que vous puissiez offrir à l'Humanité c'est d'être vous-mêmes, de penser par vous-mêmes. Bref, de faire le très contraire de ce que la si nuisible beurk pub vous incitait à entrer en décadence. Bye les cochonneries !

 

            Le nouveau paradigme (cf II- 9 et III- 2) irradie comme de REDUIRE les activités humaines au maximum, de les limiter aux normes restreintes de l'économie des besoins. C'est l'avenir de la planète qui décide. L'argent fait l'objet des méfiances les plus vigilantes (il se déguise en sérieux mais reste bien l'objet social le plus frivole et irresponsable qui soit). Le travail, à fort potentiel polluant, n'est plus structurateur de la civilisation vu qu'il faut le réduire, le diminuer au maximum, la paix sociale advient par le revenu d'existence et l'économie des besoins, le maximum de la vie sociale se voit donc structuré par l'apprentissage personnel et collectif de la préservation de la vie et de la Nature, les buts collectifs changent du tout au tout…etc etc. Mais surtout surtout la sagesse collective sait qu'il faut réduire les activités humaines au maximum (la "croissance" perçue comme toxique délire) – les diversions inversions stoppées net !!!

 

( à suivre)

 

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org,   onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou, encore,  onglet 3  "Légalité de l'égalité".

 

Publié dans méthodes de pensée

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M
Bonjour, votre article est excellent. <br /> Je ne suis (heureusement) pas d'accord sur tout. j'ai longtemps pensé comme vous que l’impôt sur le revenu était le seul qui avait droit de cité. Mais cela se faisait dans ce paradigme inversé. L'impôt est cependant, quel que soit sont motif, un tribu sur la rétribution, ce qui, vous en conviendrez peut-être, est un non-sens économique, politique, philosophique, etc.<br /> J'ai quelque chose de radical, de très ancien et oublié par la plupart. Cela commence par une réappropriation d'éléments de langage et la description dialectique d'un système &quot;économique&quot; naturel existant juste à nos pieds:<br /> http://forum.langage.free.fr/viewtopic.php?f=36&amp;t=31
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I
bonjour<br /> merci pour le Forum du langage nous allons nous inscrire<br /> donc a+++++++++++++