L’ I N É G A L I T É E S T D ’ A B O R D U N E D I F F É R E N C E
Comme, par ailleurs, il uniformise les normes et systèmes de valeurs (pour cause d’unidimensionnalité) et généralise le classement (mollesse morale du chiffre), il tend ainsi à transformer toutes les différences en inégalités. D’où chacun devient le tatillon cerbère de toute différence au lieu de voir dans cette différence une barre d’appui vers l’égalité. D’où chacune devient totalement indifférente aux inégalités. La différenciation
toute différence au lieu de voir dans cette différence une barre d’appui vers l’égalité. D’où chacune devient totalement indifférente aux inégalités. La différenciation interdit le libre développement à la différence. L’inégalité empêche donc chacune ou chacun d’être soi même Incroyable que nous ayons pu avaler une telle couleuvre ?
Preuves ?
1.- L’inégalité crée la Société par le système de récompenses. Sans lui impossible de structurer la Société ? L’inégalité se développe lorsque la norme à laquelle sont soumis les individus, et selon laquelle sont prises les décisions qui les concernent, est fixée non par l’ensemble ou la majorité de ces individus, compte tenu de leurs intérêts et sous leur contrôle, mais par une minorité et dans son intérêt. Et la prétendue égalité des chances s’affine à se comparer à l’inégalité des statuts.
«-L’inégalité des statuts concerne la façon dont le pouvoir, les privilèges et le prestige se répartissent dans une Société, tandis que l’égalité des chances se rapporte au processusd’attribution de ces statuts sociaux, c’est à dire aux critères selon lesquels les gens sont choisis pour remplir différents rôles. » (Eckland 1972).
Les critères semblent s’élargir à toutes et tous, côté décor, mais une fois entrés à l’intérieur, ils se rétrécissent au galop du respect de toute la hiérarchie méticuleuse des statuts. L’égalité des chances ne peut fonctionner dès le départ à cause des personnes qui sont en place. A celui qui est le plus défavorisé et qui a besoin du plus de soutien il ne sera rien accordé. Par contre à celui qui possède de nombreux avantages il sera donné toujours plus. Ce cumul (bien pire qu’en politique) va aboutir à ne «-récompenser » que qui n’en a nul besoin et « handicaper » toujours plus qui est, déjà, le plus lourdement chargé. Selon toujours la sociologie fonctionnelle, le système des récompenses (pire qu’à l’école !) est donc GARANT des stratifications sociales qu’il a créé : elles déterminent (ces récompenses) le revenu, le prestige te le pouvoir. Nous ne sommes donc pas prêts de sortir de ces idées platement scolaires : est-ce parce que le diplôme scolaire demeure, pour la vie, le seul critère accessible de la reconnaissance des compétences ?
Sans l’inégalité des statuts individuels, les diverses positions sociales ne pourraient être remplies de façon satisfaisante. Garrottage du carottage.
Tautologie absurde. L’importance fonctionnelle d’une position qui justifie que telle récompense sociale lui soit associée, résulte en fait du système des valeurs lui même constitué par l’ensemble des récompenses sociales.
Logique misérablement circulaire. Quelle déchéance que de ne pouvoir extraire le meilleur de soi que pour une carotte, tel un âne. Jamais de solidarité, de défi, d’ambition collective, d’empathie ou d’amour social !.
Quelle chute que de ne pouvoir montrer le meilleur de soi-même que pour la valeur la plus base de la montagne des valeurs : le vil argent ! Comment
se surpasser en se rabaissant sans cesse ? Laissons les donc tourner en rond et poursuivons.
2.- La race « excuse » l’inégalité. Détour par la déclaration de l’UNESCO sur les races. «-L’égalité des chances et l’égalité devant la loi ne dépendent pas, en tant que principe moral, de l’idée que tous les hommes posséderaient les mêmes dons » (1952). D’où le pivotement « les hommes ne possèdent pas les mêmes dons », pivotement amplifié lorsque de soi disant « égalitaristes » essaient de minimiser ou de nier la diversité génétique, pourtant observable. Oubliant d’affronter que l’égalité peut être accordée ou retirée aux membres d’une Société ou aux citoyens d’un État INDÉPENDAMMENT de leurs similitudes ou de leur différences. L’inégalité n’est pas non plus un donné biologique mais UN ORDRE SOCIALEMENT IMPOSE – ce détour nous conduit a désormais le
savoir. Il reste donc dommage que de soi disant « égalitaristes » aient fui devant la diversité qui oblige à une pensée colossale afin de pouvoir intégrer toutes les diversités possibles dans l’égalité. Tandis que l’inégalité se rétrécit si minusculement à imposer un ordre inégalitaire et à balancer, ensuite, quelques phrases qui touchent au plus affectif, au plus intime,
en espérant que personne n’aurait contourné ce petit tas d’ordures. Nous allons voir la fabuleuse récolte de celles et ceux qui l’ont contourné. Cet ordre ne contient, en aucun cas, la moindre racine naturelle. Le renversement va sembler même comique comme nous allons le voir.
3.- L’intelligence « sanctifie » l’inégalité. L’intelligence d’une personne est déterminée par ses gènes. Ceci ne signifiant nullement que celle ou celui
qui possède certains gènes aura nécessairement un certain degré ou un certain type d’intelligence parce que la même constellation génétique aurait pu aboutir, DANS DES CIRCONSTANCES DIFFÉRENTES,
à un niveau d’intelligence (non assimilable au réductionnisme supérieure ou inférieure) différent. Les gènes déterminent l’intelligence (ou la stature, le poids) d’une personne uniquement dans le contexte particulier où cette personne grandit et vit. Le développement réel est conditionné par
l’interaction des gènes et du milieu. D’où chaque individu est unique. Il n’existe pas 2 personnes qui possèdent les mêmes gènes et vivent exactement
dans le même environnement (mêmes les jumeaux vrais ou monozygotes).
D’où pas de COMPARAISON possible. qui puisse entériner le réductionnisme d’infériorité ou supériorité possible, car par rapport à quoi ?
Impossible de vérifier les effets d’une constellation génétique dans tous les milieux. Or vous devez placer un individu dans tous les milieux avant de pouvoir décréter ou excréter sa supériorité ou infériorité. Vos enquêtes sociologiques (excusez génétiques !), puisqu’elles ne sont que mensonges dès la méthode, risquent donc de durer éternellement. Juste renversement n’est-ce pas. Aucun scientifique honnête ne se devrait ainsi de considérer le Q.I. comme une mesure universelle de la « valeur » des êtres humains
(bien qu’une forte majorité du public ait ÉTÉ induit à le croire). Sinon démontrez que le fait que le Mont Blanc ne mesure que 4 807 mètres l’a rendu inférieur à l’Everest. Il existe plusieurs autres formes d’intelligences autres que scolaires et faute d’allier le quotient émotionnel (Q.E.), le sens spatial, manuel, moral... etc. vous n’aurez qu’une image qu’amoindrie de la personne. Celui qui possède un Q.I. élevé peut être, en effet, asocial, méchant ou malhonnête, tandis qu’un Q.I moindre peut aller de pair avec grande capacité de travail, gentillesse ou altruisme. D’autant plus que les talents et les génies de toute sortes surgissent partout dans l’édifice social.
Il semblerait même de plus en plus vers la base. Cause du nombre. Tandis que taudis. Une énorme partie de l’humanité des bidonvilles, exclus des
pays riches et déshérités des pays pauvres, est actuellement privée des conditions, non pas optimales mais élémentaires, de développement physique et intellectuel Il serait donc hypocrite de prétendre que leur dénuement est la conséquence de leur infériorité génétique. Tous les imposteurs de l’Inégalité, placés dans exactement les mêmes conditions intellectuelles et psychologiques, matérielles et morales, ne feraient évidemment pas mieux.
Sans doute pire. Leur dénuement n’a surgi que de la Société inégalitaire, un point c’est tout. Ce qui éclate lorsque l’on annonce : chaque individu possède 2 parents, 4 grands-parents, 8 arrière-grands-parents, 16 arrières-arrières, et ainsi de suite. Si l’on poursuit ce calcul jusqu’à la 33 ème génération le nombre des ancêtres dépasse la population mondiale. Ceci à multiplier par exactement tous les êtres vivants aujourd’hui. Si nous appartenions tous à des filières étanches et séparées le chiffre atteint serait pire qu’astronomique.
Conclusion : tous nos ancêtres étaient plus ou moins proches parents, pas de filiations étanches et séparées. Si nous voulons établir le tableau généalogique de l’humanité entière, celui-ci formerait un réseau complexe où chaque individu aurait des liens multiples avec tous les autres. L’humanité
comme population mendéléenne complexe, une communauté de reproduction dont tous les membres restent reliés par le couple et la parenté.
Toute population mendéléenne possède un pool génétique commun. Les gènes de chaque individu dérive de ce pool et y retournent, à moins qu’il
meure sans avoir eu d’enfant. Le pool génétique commun implique que chacun(e) est une VARIATION du thème humain. Les différences entre humains doivent donc être considérées comme de simples différences, et non pas comme des déficiences (c’est à dire des infériorités). Au contraire c’est une chance immense pour l’égalité et non un malheur sauf pour
l’illégale inégalité, évidemment. À titre d’exemple votre « carte d’identité sanguine » peut être très proche de celle d’un papou ou d’un lapon et
n’avoir rien à voir avec celle de votre voisin.
Nous atteignons là le point d’appui qui soulève et renverse les montagnes.
Il se nomme tout simplement tirer la civilisation par le haut.
Et le levier s’appelle la logique.
Nous avons choisi 3 angles d’accès au réel (nous allons en examiner d’autres plus tard) ; comment se structure et se reproduit la Société, l’ordre par la race ou par l’intelligence. Des 3 jaillit que c’est le meilleur (comparatif de supériorité de bon, d’empli de bonté), l’élite, la quinte essence, le dessus, le sommet... etc. qui par ses vertus tire toute la civilisation à elle. Cherche à l’amener à son niveau. Perfectionne, améliore, fait évoluer la globalité de la civilisation par son seul exemple. Cette attitude doit donc trôner dans tous les domaines de la vie.
Comme souvent le rapport à l’argent sert de parfait révélateur, scrutons si cette attitude élévatrice se poursuit. «-(...) des conquêtes qu’il s’agit d’universaliser, d’étendre à tout l’univers, de mondialiser au lieu de prendre prétexte de la « mondialisation », de la concurrence de pays moins avancés,
économiquement et socialement, pour les remettre en question-» (Pierre Bourdieu – Contre-feux, p. 66). Et quelles sont ces conquêtes si ce ne sont les droits sociaux, les droits dits acquis, qui se devraient de continuer à être tirés par le haut ? Argumentaire : puisqu’il y a des pays sous payés TOUT doit être sous payé. Tirer vers le haut devrait être puisqu’il y a des pays mieux payés tous les pays doivent tendre à être mieux payés. Nous avons bien tout doit être tiré vers le bas (sauf les exagérés hauts salaires !).Quelle inconstance
de méthode ! Quels décalages entre discours et pratiques ! «-(...) les hauts fonctionnaires et les politiciens qui sacrifient le pouvoir aux marchés au nom de l’efficacité économique qui exige la levée des barrières administratives ou politiques capables de gêner les détenteurs de capitaux dans la recherche purement individuelle de la maximisation du profit individuel institué en modèle de rationalité (...) qui prêche la subordination des États nationaux aux exigences de la liberté économique pour les seuls maîtres de l’économie » (ibid. p. 115). Soit suppression de toutes les réglementations sur les marchés, à commencer par celui du travail, privatisation généralisée des services publics, réduction des dépenses publiques sociales et augmentation effrénée des subventions au privé. Bref exactement le programme de la Mafia américaine en 1930 !
Les masques sont tombés : les imposteurs qui s’autoproclament élites se dévoilent, peut être, comme la lie de l’humanité. En tout, et pour tous, ils
n’ont jamais cessé de tirer la civilisation vers le bas :
ils osent que tout est de la faute des trop bas salaires parce que les plus nombreux mais n’hésitent pas à s’octroyer un revenu mensuel de 200.000 fois le SMIC – ce qui représente en effet beaucoup de trop bas salaires.
Le cumul de tous les trop hauts revenus dépassent ainsi l’assiette de tous les trop bas salaires. Ainsi les revenus exagérément élevés coûtent plus chers à la Société que les honteusement bas salaires. Rien n’est de la faute des bas salaires tout est de la faute des hauts revenus. Mais, crochètent-ils, c’est la richesse collective créée qui « autorisent » les exagérément trop hauts salaires. Faux c’est la productivité générale de toute la Société : et s’il n’y a pas de plus-values du Travail la taxe à la valeur ajoutée est donc illégale. Les exagérément trop hauts salaires coûtent donc beaucoup à la collectivité : un ordre de grandeur est offert par le rapport plus riche-plus pauvre. Les 342 milliardaires les plus riches du monde ont à eux seuls la même chose que la moitié la plus pauvre. Soit 342- = 3,2 milliards. Il n’y a donc aucune traction vers le haut : plus il y a de riches moins il y a de pauvres. Tout au contraire, nous observons que moins il y a de riches plus il y a de pauvres : c’est que ce nombre toujours diminuant prend de plus en plus pour eux seuls. Tout pour moi, rien pour les autres, prêchent-ils. Et nous les voyons nus: des êtres monstrueusement égoïstes qui coûtent infiniment cher à la Société. Ils salissent toutes les valeurs de la démocratie qui restent soclées sur la valeur du nombre. Comme les 342 milliardaires se disent démocrates ils forment donc la majorité et 3,2 milliards la minorité. Ce non sens scientifique se vit pourtant tous les jours. «-Il faut mettre en question radicalement la vision économique qui INDIVIDUALISE tout » (Bourdieu p. 46). Ainsi le vedettariat hystérique qui fait que 9 millions se sacrifient hystériquement pour un seul « gagnant » devient l’illustration de la pensée la plus antidémocratique, antisociale qui soit. Je préfère les 9 millions de perdants au seul gagnant qui ne peut de toute façon pas se prétendre le meilleur, comparatif de supériorité de bon. Le meilleur: celui le plus empli de bonté qui ne peut donc supporter une hécatombe de perdants pour un minuscule gagnant. En économie de même il existe une mathématique à somme nulle où il n’y a nul perdant. Nous pouvons être tous gagnants.
La légalité de l’égalité l’autorise
Les récompenses, tout comme le rachat des indulgences, démontrent que qui s’attribue le droit de les distribuer n’a pas, dans ce cadre, la moindre assise morale pour pouvoir le faire. Nous avons donc observé une avalanche de cumuls illégitimes par/pour ceux-là mêmes qui font semblant de dénoncer les cumuls politiques. L’avantage de la démesure c’est qu’une fois qu’elle est bien placée en perspective elle démasque tous les imposteurs qui se prétendent les plus intelligents, les plus compétents et verrouillent tout le système, se prennent tout l’argent (alors que cette « compensation » serait plus utile à qui n’a pas les avantages du savoir et de la compétence) et créent donc un monde presque invivable (alors que leur lucidité devrait leur faire servir à quel point leur exemple pourrait rapidement conduire à l’auto-restriction généralisée, une des méthodes pour supprimer toutes formes de misères), mais, en plus, se saisissent de tous les médias et pratiquent les censures en très grand afin que nul ne puisse parler de leur étrange pouvoir qui a besoin de toutes les prothèses pour exister (ce qui est anti-fairplay, le plus doué se voyant attribué des « handicaps » pour rééquilibrer les courses) se monopolisent toutes les infos (la rétention d’informations reste preuve d’absence de déontologie– donc d’ontologie) etc. Ce cumul hallucinant démontre que ces mentalités du «-tout pour moi, rien pour les autres » sont bien les causes de tous les malheurs du monde et que, tant que nous n’aurons pas contourné cette mentalité destructrice et antisociale (la plus proche d’une
«pensée gangster » si c’est heuristique !), tout persistera. L’individu mis à nu se dévoile comme hideusement égoïste, d’orbe de préoccupation
mentale très restreinte, d’asocialité très poussée, inapte à la vraie discussion, rigide au point d’être incapable de se remettre en cause, très fragile
puisque nécessitant toutes les prothèses sociales pour s’autoproclamer toute chose – bref un poids mort pour la collectivité. Rien qui ne mérite
un tel système de récompenses, en fait.
Ce n’est ni la probité intellectuelle ni l’esprit scientifique qui ont poussé ces imposteurs absolus à mentir « les supériorités raciales » (pour les différences raciales) et les «inégalités d’intelligences » (pour les injustices d’environnements, injustices enflées du cumul illégitime des «récompenses» ) puisque s’est dévoilé à quel point ces absurdités restent anti-scientifiques. Pour la race mêlée d’intelligence l’impossibilité d’assise de comparaison ne permet pas de comparer par rapport à quoi. L’humanité, comme pool génétique commun rend, à la fois, chacun(e) unique mais rattaché(e) au pool à chaque conception La notion de « race » se révèle alors trop floue pour qu’il soit possible de tracer de nettes frontières, les dégradés s’accumulent tellement que le même muscle puissant maintient
unité parmi la diversité. Le fait, aussi, que la vision égocentrique qui multiplie géométriquement nos ancêtres vers la 33 ème génération, s’inverse
légèrement en très peu d’ancêtres beaucoup de descendants – d’où nous sommes tous, peu ou prou, issus des mêmes aïeux, disqualifie toutes
formes de racismes, et d’où qu’elles surgissent, comme une insurrection bornée et butée, un refus frénétique du réel. Le réductionnisme qui sévit
dans supériorité et infériorité se révèle juste comme une effraction qui veut, sournoisement, glisser de la valeur en mathématique. La preuve en est quand s’écroule le Q.I. comme mesurant la « valeur » d’untel : les erreurs monstrueuses qui s’accumulent à penser que le Q.I. n’est mesure valable que pour les machines. Chez les humains, il faut l’allier avec toutes les autres formes d’intelligence, sans oublier le Q.E. ou l’altruisme, pour se construire un début d’image réaliste de la personne. Le fiasco complet de l’Inégalité en tant que paradigme conducteur le révèle sans valeur heuristique. Il se dévoile même comme concept antiscientifique qui fit régner son imposture en introduisant une valence positive ou négative dans les chiffres inanimés, parvenant ainsi à faire gober que les différences sont toutes d’inégalités. Alors que, scientifiquement, les différences proviennent de ce chacun(e) est une variation du pool génétique
commun, que lui (elle) seule pouvait parvenir à cette variation, et qu’il y a, dans la foule, simple juxtaposition des variations et non pas guerrier
assaut du seul gagnant, qui doit détruire tous les autres pour ne pas savoir être juste elle (lui) même. Les imposteurs de l’Inégalité ont toujours su
que l’Inégalité est totalement antiscientifique c’est pour cela qu’ils ont racketté tant de cumuls d’avantages, non ? Si donc l’Inégalité veut se prouver, que l’être d’intelligence ou de race (ou toute autre) supérieure,
refuse tous avantages illégitimes et, par la seule supériorité de son intelligence (race ou autre) remonte tous les handicaps.
Bref, l’Inégalité implique qu’il faille se mettre tout en bas de la Société et soulever vers le haut. Soulever toute la Société à bout de bras. Tirer vers le haut s’est révélé une imposture puisque ses apologues ne faisaient en fait
que tirer, immoralement, la civilisation vers le bas. Qui a peur de l’Égalité ?
Nous connaissons désormais leurs hideux visages. Y a-t-il meilleure solution dans la légalité de l’Égalité ?
(à suivre)
vous pouvez télécharger tout le livre sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org , surtout dans l'onglet onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality) – Une approche du droit aux yeux droits,
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Remue- ménage", onglet 2 "La star des stars" et, aussi, "Présent !", onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 4 "Assentiments aux sentiments" – Premiers pas vers une paix mondiale, onglet 3 onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ".
Résistance au changement Implique changement de la résistance