La bolsa familia ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Bourses aux familles qui ne représentent que  0,4 % du Pib, à mi 2011, après avoir fait sortir 20 millions de personnes de la misère, sur 46 millions de concernées. Soit bien 40 millions en 10 ans. La rapidité de la prouesse n'a, effectivement, jamais été signalée ou soulignée nulle part en Occident – où ont-ils donc la tête ces hyper réalistes qui ne savent être que trop riches ? Ce qui appauvrit, immédoatement, tout, tout autour d'eux, oui la pauvre planète, oui la vie appauvrie, oui les espèces animales qui disparaissent en le tiers d'une existence, et oui l'Humanité tout dépouillée…plus aucune image collective ne peut légender de tels enfermés dans la prison de leur égoïsme solitaire…qui ne laissera plus que ruines derrière lui…

 

Il y a quelques années, être riche c'était semer partout la prospérité autour de soi. En 2012, serait-ce différent au point que sera riche qui aura tout détruit, terre brûlée et le déluge qui suit chacun de ses pas ?

 

Autant PROSPERITE c'est bénéfique – partageable par toutes et tous. Abondée d'abondances. Autant la richesse "compétitive" est devenue un désastreux désert qui assèche plus son propriétaire perdant sur toute la ligne – que tous les expropriés, très expos priées !!!

 

La bolsa familia ? Ces transferts monétaires y restent conditionnels. Contrairement aux massifs transferts à la Bourse – toujours les 700 milliards de dollars distribués en bonus par Wall Street au lieu d'être affectés (comme prévu) à la réorganisation des banques. Toujours les impôts communs déversés dans la spéculation – et, ensuite, le déshonneur extrême d'oser "coût" du travail, austérité (pour qui ?), rançonnements de la pauvreté pillée de partout, etc…

 

Tandis que la réforme d'Obama envers les pauvres n'est toujours pas appliquée…

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

            tous ces blogs sont bien reliés à une pensée globale

 

trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L'Economie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

BONUS *******Faisons- nous exprès « d’ignorer » - incultes du cœur ?

Au Brésil, l'insupportable succès de "Bolsa Familia"

15 avril 2008 Par Lamia Oualalou

Près de quatre ans après son lancement au Brésil, la « Bolsa Familia », la « bourse famille » fait l’unanimité dans le monde entier comme mécanisme pour sortir une les misérables de la faim et de l’exclusion. Près de onze millions de foyers (environ 60 millions de Brésiliens) reçoivent tous les mois une somme modique (environ 30 euros par foyer), ce qui leur permet de répondre aux besoins de base. En échange, les familles s’engagent à vacciner leurs enfants et à les envoyer régulièrement à l’école.  

Comme il fallait s’y attendre, Bolsa Familia est une des principale sources de popularité du gouvernement Lula chez les plus pauvres. L’allocation est régulièrement dénoncée par la grande presse, majoritairement alliée à l’opposition, et qui s’étonne que cinq ans et demi après son arrivée au pouvoir, l’ex-métallo soit toujours aussi populaire qu’au premier jour. Ce n’est pas le Parti des Travailleurs de Lula qui s’en plaint, mais la Banque Mondiale, qu’on ne peut soupçonner d’être trop à gauche.  

Dans une récente étude, des chercheurs de l’institution s’étonnent que la presse s’intéresse plus aux ratés administratifs voir aux détournement marginaux de Bolsa Familia qu’à son impact positif sur les exclus. L’étude s’est penché sur six journaux, dont trois quotidiens nationaux à partir de 2001. L’objectif est de comparer l’appréciation par les journaux des programmes de transferts de revenus sous le gouvernement de Fernando Henrique Cardoso (conservateur) à celle de « Bolsa Familia » de Lula.  

L’étude constate que les journaux sont beaucoup plus indulgents à l’égard de Fernando Henrique qu’à l’égard de Lula, dont le programme est pourtant beaucoup plus ambitieux. Ils soulignent que les articles dédiés à la fraude aux allocations représentaient 10% de ce qui était écrit sous le premier, contre 50% sous le second. De fait, le succès de « Bolsa Familia », qui comme tout programme de distribution de revenus a ses limites, provoque une colère incompréhensible dans la classe dirigeante.  

Récemment, certains députés de droite se sont étonnés que certains foyers utilisent l’allocation non seulement pour manger, mais aussi pour s’équiper en électroménager, en particulier réfrigérateur. Ce qui devait être salué comme un progrès est dénoncé comme un scandale.  

Certains vont plus loin, en se demandant si les bénéficiaires de Bolsa Familia pouvaient avoit le même droit de vote que les autres... La nostalgie du vote censitaire est toujours forte dans certaines couches de la population.

Ajoutée par afpfr le 26 sept. 2010

Le président brésilien sortant Luiz Inacio Lula da Silva va quitter ses fonctions avec une popularité en hausse, notamment grâce aux effets de son programme "Faim zéro". Cette politique a permis de faire passer des millions de familles au-dessus du seuil de pauvreté. L'une des mesures-clé de ce plan est la "Bolsa Familia" (Bourse famille), une allocation de 55 dollars mensuels attribuée aux familles les plus pauvres à la condition que leurs enfants aillent à l'école et soient vaccinés. Une idée reprise ailleurs dans le monde, mais que certains des opposants à Lula dénoncent comme facteur de dépendance pour les plus défavorisés. Durée:02:00

 

 

O Bolsa Família, segundo Lula, em 2009 e em 20001:28 O Bolsa Família, segundo Lula, em 2009 e em 2000de marly291070 233 185 vues

 

 

 

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L
<br /> bonjour<br /> <br /> <br /> quelles diversités d'approches - avec vous on s'agrandit sans cesse - là vous avez adroitement montré qu'en France il y eu très grande censure par le silence de cette impeccable expérience -<br /> Marre de ces parisiens vampires (tout pour eux rien pour le vrai monde!)...avec plusieurs comme vous on n'aura plus besoin d'eux (si on la jamais eu !)...<br />
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I
<br /> <br /> l'Occident est EN RETARD partout...<br /> <br /> <br /> <br />