La sécurité financière selon le modèle de la sécurité sanitaire? (2)
Nous avons vu le 9 août 2012 que la sécurité financière a son modèle de corégulation et de responsabilisation dans celui de la sécurité sanitaire. Avec le Paquet hygiène, la méthode d'HACCP. Le privé ayant obligation de résultat puisqu'il reste responsable de tous les produits qu'il met sur…le marché. Ce basculement de vision s'est fait connaître à chacun-e de nous par la "traçabilté" – suivre un produit de la fourche à la fourchette ou de l'étable à la table – et sanctionner les sources frauduleuses. Voici qui allie la précision des mots à l'efficacité de la méthode.
Et la trop arrogante finance internationale, placée en position d'infaillibilité colossale et d'omniscience organique ne serait pas capable d'accéder à un tel système ?. Qu'ils appellent de leurs vœux. Seuls les Etats auraient obligations de résultats ?. Et pas eux ? Les pays se devant de rembourser toutes leurs inexcusables fautes professionnelles. Les déficits n'étant pas causés par les trop riches qui en profitent en plus jusqu'au bout ? Non mais où se croient-ils ?
Non non toute cette configuration ne va pas du tout. L'insoutenable légèreté des politiques incapables d'initier un système de sécurité sanitaire pour la finance, ne nous convient plus du tout. Les médias incitant à ces débauches illégales, où ces personnages prétendus supérieurs ne vivent que sur l'argent des autres, restent incapables de s'auto- contrôler, d'assumer jamais leurs responsabilités, ne sont toujours pas passibles de sévères sanctions, et demeurent des fardeaux superflus pour la collectivité. – implique bien que nous devions porter plaintes et plaintes contre ces médias. Oui ou non ?
Et sa solution. Puisque le remboursement de tout couvre bien les prétendus déficits (causés par les trop riches et leur bénéficiant par trop). Tout serait assaini !!!
AUCUN argument ne demeure dans l'immense escroquerie à la finance. Et la colère mondiale est totale à son égard.
Prenez le livre de Laure Bonnaud et Jérôme Coppalle – Qui contrôle ce que nous mangeons ? – août 2011 – démontre la "perspective par le bas, qui consiste à examiner comment les acteurs de terrain produisent la sécurité sanitaire, ainsi que les ressources et les contraintes qui sont les leurs" (p. 7 – op. cit.). ce qui entraîne l'étude vers des situations ordinaires et multi-locales de production de la sécurité sanitaire plutôt qu'à l'examen exorbitant de crises plus globales. Il en ressort à quel point la notion de régulation de la sécurité sanitaire fait unanimité à chaque lieu de l'analyse. Ce qui est si vrai pour l'aliment ne le serait plus pour la finance ? Allons donc !
Voyons donc dans le moindre détail…
Le pire reste le retour commercial du client qui fait ses propres analyses et détecte l'anomalie par rapport aux normes sanitaires, avancent les professionnels de l'alimentaire. Et il n'en irait pas de même pour la finance ? Plus même, ces professionnels veulent le maintien des contrôles de l'état afin que la filière entière ne soit pas discréditée si des concurrents peu scrupuleux ne respectent pas les normes sanitaires Et il n'en irait pas de même or la finance ? Nous n'en croyons pas un seul mot !!!
Ce qui touche au plus profond de la "santé" de l'économie mondiale ne serait pas à même d'être soumis à une sécurité sanitaire. Vraiment impossible de vous prendre au sérieux. Nous sommes plus u'en colère, oui plus que consternés – contre tous ceux/ celles qui ont permis le laxisme si anarchiste de la finance mondiale !!! Ce scandale ne s'éteindra qu'avec la fermeture définitive de la Bourse !!!
Le modèle qui AURAIT DÛ être mis en place existe déjà. Prenez le Paquet hygiène de l'Europe qui implique la corégulation et donc la responsabilisation complète du privé – n'est-ce pas les vœux affichés ce la finance internationale. Sauf que si des modalités pratiques sont accessibles, c'est bien cela. Qui peut encore supporter l'esprit de ces gangsters au sommet ? Prison ou mise sous tutelle, c'est le choix final ? – ils ne jouent jamais les règles du jeu. Plus que marre de ces hors des lois. Vrai fardeau collectif !!! La méthode de corégulation de l'HACCP est tout à fait traduisible et reproductible dans le domaine financier. La règle est tellement simple que ce devrait faire rougir toutes les prétendues élites qu'elle ne soit pas déjà appliquée. A plein !!! Le privé ayant obligation de résultat puisqu'il reste responsable de tous les produits qu'il met sur…le marché.
Vouloir trop gagner de l'argent devient signe flagrant de maladie. Oui c'est contre vous que cette pulsion irrationnelle se retourne toute. Puisque la sécurité sanitaire, étendue à la finance, exige que CE NE SOIT PAS N'IMPORTE COMMENT que l'on gagne de l'argent !!! Assez des anarchistes nihilistes de la Bourse !!!
Que toute la honte recouvre, entièrement, la finance !!! Et la mette, enfin, à bas !!! Prenez cette réflexion de professionnels de l'alimentaire "Ce n'est pas parce que nous payons des tierces parties pour leur expertises que nous allons leur dire "ce n'est pas parce qu'on vous paye qu'il n'y aurait pas de non conformité aux normes sanitaires. Au contraire, pour la crédibilité de la filière vous ne devez rien en cacher au cas où il y en aurait"…
Oui le jour où nous entendrons un financier corrupteur tenir un tel discours – l'économie sera vraiment ASSAINIE !!!
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu