Le capitalisme est une "croyance" : seuls les gogos "croient" encore en cette utopie

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Le pauvre se montre cloué, comme un papillon, sur son compte bancaire: le nombre de prélèvements à dates fixes excèdent les possibilités de faire "tourner" sa monnaie. Sauf par de discrets moyens d'endettement à hautes vertus pédagogiques : c'est "avec votre corps" que vous pigez les circuits économiques en fonctionnement. Le riche, du seul fait de la topologie de l'Economie (là où ça perd ça perd au moins 2 fois et là où ça gagne c'est 2 fois et même plus), se voit libéré des "charges fixes" que seuls les pauvres, vrais "créditeurs" du système, supportent massivement. Et le "système de rotations" (dont l'explication fut, malheureusement, à peine esquissée par Marx) "favorise" le trop riche, qui, possède, cependant, toute liberté, de le courber vers un maximum de répartition. Le fait qu'il ne le fasse que rarement (vos "handicaps" comme dans les courses hippiques, très cher) le déshonore définitivement: c'est tout le contraire d'un bon citoyen, c'est, plutôt, un être peu recommandable, infréquentable. Ses "rotations" positives se font au détriment des "rotations" négatives: quelques exercices de topologie peuvent rectifier ces dissymétries…L'abondance des solutions rayonne (n'en donner que très peu – juste pour entrouvrir ce que les cœurs pourront poursuivre – pour ne pas permettre ce "ne changer que les mots" (qu'ils nomment "récupérations" mais qui représentent juste des copies de ces idées "vives" dès que contextualisées!) : le salaire de fin de mois se gonflerait des gains de rotations (qui, actuellement, se voient détournés par son "débiteur", son patron quelque il  soit!) comme participation à une topologie économisatrice (puisqu'elle nous "économise" les dangers d'une Economie purement sommatrice!) . Encore, la clarification du "coefficient multiplicateur" des banques à mieux répartir entre ses clients : s'il était véridique que les dépôts fassent les crédits, obligation absolue de payer  des gains, les comptes courants positifs (sources des "prêts" dont les banques détourneraient les intérêts collectifs à leur seul profit !). En cas de refus entêté et clairement injustifiable, des banques, nous aurions la preuve juridique que "les prêts soient bien scripturaux"…La corne d'abondance s'entrevoit mais ne se dit pas trop…

      Ayant observé les clignotements lumineux de ces binarismes grossiers, le capitaliste cinglé (il se croit malin mais il ne sème, vu globalement, que le chaos – faut stopper ce fauteur de troubles!) va même en rajouter à ses "rotations" positives. Ainsi, les hypermarchés ne sont pas des commerces véritables mais, plutôt, des circuits bancaires jamais précisément décrits: avec leurs navrantes mendicités de ne payer qu'à 60 jours (avant cela durait 90), ils vivent sur le dos de leurs fournisseurs (nettement plus "petits", la métaphore en rajoute du sens, non ?). Pendant ce temps, ce circuit financier (improprement nommé grande distribution) fait "tourner" l'argent non payé au "fournisseur", et qui "ne lui appartient donc pas" (carambouille, bascule) et, grâce aux intérêts produits, peut "payer" ce fournisseur "avec une partie de l'argent de celui-ci". La géométrie vous dessine, clairement, les axes des tromperies : le fournisseur "se règle lui-même à lui-même", le pauvre, par son compte bancaire immobilisé, ne peut participer autrement que comme victime au système des rotations. A chaque tour, cela représente peu mais la masse globalisée devient énorme: or, à aucun moment elle "n'appartient" aux profiteurs (le seul sens réaliste de ce mot demeure "exploiteur", usurpateur, pique-assiette..), ils en "profitent" mais n'ont jamais créé le "circuit" . Qui ne leur appartient donc pas. Rien n'est loyal dans ce système et les dirigeants restent, définitivement, compromis. Puisqu'ils participent de l'escroquerie sur l'escroquerie, sur l'escroquerie…

        Les circuits s'avèrent, topologiquement, inter-connectés: prélèvements et intérêts se côtoient. Utiliser, si cruellement en plus, la dissymétrie topologique pour écraser moralement, humilier affectivement, les réels "créditeurs" de ce système dont vous "profitez" à plein (objectivement, tout le monde – sauf la minorité riche – a "intérêt" à quitter ce système: ça ne peut être que mieux!) – vous arrache votre masque et laisse à nu la toute hideur de votre inhumanité. Le capitalisme n'est relayé que par "la lie de l'Humanité" !!!

        De saisir, entièrement, tous ces mécanismes (somme toute sommaires!) qui ont fait du capitalisme le règne généralisé des mesquineries, ne peut que, du même mouvement, nous sortir de l'incommunicabilité et nous conduire vers l'inébranlable certitude que "tout" ne peut être que mieux que cet affligeant "ça"…en regardant "plus bas que terre".

 

Conclusion d'étape: Einstein clarifiait, qu'en général, ce qui est vrai reste simple. Plus facile à exposer. De nombreuses solutions semblent à notre portée, dans la simplicité confondante de tendre la main et de saisir du tangible. De se retourner dans nos vies et, en quelques actes aisés, les changer radicalement ces vies. Ainsi, soit le capitalisme représente un tel bon système que de ne pas le propager devient criminel: généralisation des systèmes de rotations avec rémunérations des comptes positifs, partages des intérêts avec ces "dépôts qui font les crédits", bouclier fiscal pour les pauvres et le carnet des impôts indirects où les + 50 % de versés se voient restitués etc. Bref, symétrisations des avantages illégitimes des trop riches. Revenus d'existence (puisque le travail est un "droit républicain" illégalement traité par le chômage), créations d'activités "sans encore de noms formulés", fermeture des Bourses par imputation de gangstérisme pour toute spéculation et création d'organismes d'investissements sans spéculations. Bref, fin de l'irresponsabilité destructrice de la puérilité capitaliste. Plus de privatisation des bénéfices et de socialisation des pertes (leur sinistre escroquerie s'effondre!), ringardisation de tous leurs concepts farfelus. L'économie, cette non-science refusant "la falsifiabilité" de Karl Popper, ramenée "à la Raison": comme au 18 ème siècle, elle n'est plus qu'un "sous système" de "l'économie de la Nature". L'économie humaine doit, vertement, n'obéir qu'aux seules lois de la Nature, de sa préservation, de ses équilibres et de sa connaissance intime. Pour résumer grandement. Ces quelques lignes deviennent la preuve intellectuelle, que tout capitalisme est, définitivement, aboli. Faute de bases intellectuelles solides. De sens des responsabilités sérieux; Et d'ancrages dans le réel. C'est bien fini: passons à autre chose!

 

 

V -  L'esprit pratique ça se pratique !!! La liste des solutions à notre portée

 

( à suivre)

 

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org,   onglet 4  " L'anti-communication comment ça fonctionne ?"

 

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C
voir mon blog(fermaton.over-blog.com)
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I
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