Le management, une dangereuse utopie ?
Punir l’individualisme** en arguant que tous les problèmes ne viennent que de l’individu. Jamais des organisations. Tout individu ne vit qu’en circuit fermé. Tout le monde est dans une bulle et c’est con s’il y a bulles. Il n’y a plus aucun contexte, la société n’existe pas, aucune pression sociale ne joue plus. Chaque matin, chaque individu ne surgit que de ses seules lubies. Extra terrestres bien sûr…
**(que le capitalisme prétend soutenir – mais trouvez-nous une seule de ses affirmations qui ne soit pas pire qu’un mensonge, une réelle trahison de ses principes !).
« Inutile de penser et de parler politique alors, inutile de se soucier du collectif, inutile d’ausculter l’organisation, les regards se focalisent sur les individus eux- mêmes, sommés par leurs évaluateurs et mangeurs de s’adapter au lieu de chercher à transformer leurs conditions de travail (p. 77 - Etienne Rodin – L'horreur managériale –Gérer, instrumentaliser, détruire, 4éme trimestre 2011)."
C’est l’eugénisme behavioriste, chassé des universités, qui revient là en douce (le capitalisme n'a que de mauvaises fréquentations !) – faut dire que le très malhonnête « individualisme méthodologique » a semé aussi ses poisons délinquants…les individus qui chassent toute réflexion comme toute conversation – qui (pour un si stupide j’aime pas qu’on me prenne la tête et gnangagnan et areuh bébé toujours !) se voient vraiment livré-e-s aux pires esprits qui soient…alors que les esprits amis sont bien là !!!
« Les avantages politiques de ce genre de tactique sont indéniables : détourner l’attention a toujours été un excellent moyen de protéger un pouvoir ou un mode d’organisation (p. 77 - ibidem ). » A part que si les conformistes ne se laissaient pas, ainsi si étourdiment, détourner leur attention, cela n’arriverait pas. Ne méritent-ils pas, ces personnages bouffis de suffisances, de mauvaises fois et de si mauvaises volontés, des salves répétées de reproches ? Il n’y aurait que les publicités pour flatter de tels gogos ? Bizarre qu’AUCUNE pub ne cible des personnes telles que nous, non ? Oui il suffirait que vous vous posiez UNE question réaliste – pour sortir, enfin, de leurs filets !!!
L’autonomie de soi (genre se prendre en charge – ce que ne font ni les boursiers ni les banques que l’argent des contribuables doit sans cesse « sauver », non ? "sûr, "qu'ils ne se débrouillent pas entre eux" comme le clame leur plus grand penseur actuel) …Or marketing (qui ne saura jamais lire) ou MAN-agement ne sont que poudres aux yeux, écrans de fumées devant ces pouvoirs qui méritent de recevoir tous les torrents de DOLEANCES…leurs responsabilités sont bien qu’ils soient responsables…oui juste pour voler l’argent public, pensent-ils. Jamais pour rien assumer…mais faut pas laisser traîner le mot responsable (ici, pour management comme ordre implacable et déshumanisé déguisés de guimauves)…évacuer la science, l’histoire, l’objectivité, les environnements sociétaux qui nous cernent de partout, les idéologies (dont les pires, les leurs !), les circuits de diffamation, la propagande, la peste désinformatrice, oui les situations difficiles dues à des harcèlements bien externes à la personne, un existant très lourd, etc – bref, TOUTE LA REALITE n'existe plus…ni dans le management ni dans «l'individualisme méthodologique »…
Le management, une très dangereuse utopie ? Un poison très antisocial ?
Il ne fait émerger que le plus sordide : un cauchemar fait par des machines, oui d'assemblages d'engrenages parfaitement huilés où le "facteur humain", trop riche d'aléas et d'imprévisibles serait évacué au profit de seuls mécanismes toujours plus morts ( voyez la page. 83 d'Etienne Rodin – L'horreur managériale). Oui les machines se laissent insulter, humilier, réprimander tout en continuant, imperturbables, à produire tout aussi bien. Et se tiennent à carreau lorsque est volé, sous leurs yeux, le produit de leur travail…carrément. Tant le Smic pue toujours l'arbitraire royal – son illégale désindexation de la croissance, à quoi de rationnel*** cela répond il … et que le non partage des plus values collectives bat son plein même sous les socialistes à quoi de rationnel*** cela répond il !!!
*** Afin de vous débarrasser, une fois pour toutes, de la pensée bestiale, songez, à loisir, aux blogs "L'irresponsabilité est au sommet", " ou bien "Tant que le capitalisme sera – impossibilité d'être soi", "En tout le meilleur passe à la trappe", "Le management, l'envahissante bureaucratie de l'antibureaucratie" et encore, du 3 Juin 2012, "Afin de masquer que vous n'avez plus le choix on vous ôte tout esprit critique". Mais, surtout, le blog du 31 décembre 2011 titré « MANagement, alibis pour tête à claques ».
« Une idéologie qui renvoie toujours au sujet lui- même sans jamais remettre en cause les contraintes objectives qui l’environnent. Ce sujet est sommé de trouver en lui toutes ses raisons et toutes ses solutions.(p. 90 – ibid.)." Ce genre de critique a- critique qui n’interroge jamais ses propres fondements, le contexte où elle se permet d’apparaître…Plus irréaliste ?
Le capitalisme 2012 management, marketing, publicité, propagande et médias mercenaires (vendus au plus offrant – et sans garantie de probité d'information !) est bien devenu le comble de la perversion, de la diffusion de tous les virus antisociaux, de l'antihumanisme le plus enragé, des pulsions bestiales de destruction, de l'irrespect voyou de tout, de l'esprit le plus gangstériser de tous les temps…etc…bref, d'une maladie extrêmement dangereuse pour notre futur…en tout il faut le traiter comme tel…
Et ne plus ménager qui veut nous cacher que le management est
bien une très dangereuse utopie !!!
…vous pouvez, aussi, vous aider à vous désengluer de la fumisterie capitaliste à travers, les nombreux blogs, dont "Le soi le soin le besoin" du 4 juin 2011, "Cadrer cadriller quadriller" du 5 juin 2011, "Comment le repos repose vos questions ?" du 7 juin 2011, "Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?" du 9 juin 2011; "Des sauts périlleux à l'intérieur de vous-mêmes ?" du 11 juin 2011, "Hans Diefenbacher, ce sont qui marginalisent qui sont le vrais marginaux" du 22 juin 2011, "On aime pas ceux qui pensent ?" du 23 juin 2011
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu