Le riche triche

Est-ce ontologique ? Cela semble s'être tant mêlé à son fonctionnement intime que l'on dirait bien une fonction naturelle. Le riche triche, c'est écrit dedans, par dénis, par omissions, par fuites, par externalisations ou par endogénéités. Ce qui veut dire ?

Ce que nous allons visiter, pour sûr. 

Commençons par - Les "actes manqués" des uns sont "réussis" pour d'autres

Les pantomimes d'Italie où les hurlements inadaptés des trop riches sont en train de les ridiculiser définitivement. L'impôt de SOLIDARITE sera privé d'eux, tout ce qui fait pays, unité, peuple, parage se passera, désormais, d'eux. Les seuls qui n'aient aucun "alibi", aucune nécessité vitale, aucun justificatif valable, rien du tout  de fort, en fait, – pour refuser, ainsi (si infantilement), de payer leur dû si "équitable" !!! L'étape suivante (ils ont "divorcé", là, de la société !) sera que le jugement va leur devenir très défavorable (après le ridicule les mal aimés !!!) et ils voudront "acheter à n'importe quel prix" (10 000 fouis le taux de leur maigre participation à l'impôt de solidarité, en fait!!!)  le retour salutaire dans la communauté. Mais trop tard, leurs "actes manqués" sont "réussis" pour d'autres. Nul n'aurait pu réussir plus grand chef d'œuvre que les trop riches qui (sans aucun besoin) ont divorcé de la solidarité sociale !!!

Merci à eux ? Même en les payant une fortune nous n'aurions mieux réussi ce "coup de maître social" !!!

Plus "qu'ignorants" de la science des foules, ils refusent d'admettre que différents cycles se succèdent, ils ont raté celui du retour salutaire dans la communauté. Et le suivant (impliqué dans celui –ci – structures aux choix multiples et non réponses, oui ou non…) c'est…

Eh bien ! nombres de commentateurs actuels se rejoignent sur le constat étonné que la grande majorité des individus n'a pas même idée de l'étendue de la richesse. C'est de les avoir empêché de connaître les immenses chevauchées sensuelles de l'imagination qui vous font galoper, en même temps, tous les mouvements physiques contenus dans telle pensée ou dans tel fait extérieur. Notre corps a tout en lui pour nous aider à "connaître". Et, à ce sujet, il paraît que la lecture des journaux nous empêche de connaître la réalité !!!

L'imagination de la majorité est morte, ils ne peuvent faire monter des images en eux, les animer de tout leur corps, les voir sous tous leurs aspects. Et donc parvenir à "savoir" ce que sont les trop riches. Les 35 plus riches d'entre eux ont la même chose que 3,5 milliards  (la moitié la plus pauvre de l'Humanité). Ce chiffre ahurissant ne se concrétise que par comparaisons : 35 c'est exclure barbarement  3 499 999 965 du partage des richesses. Lorsqu'un mange un steak l'autre en mange 3 499 999 965. n'est- ce pas trop pou une seule personne. Si 10 ont du mal à trouver une voiture l'autre en conduit 349 999 965. est- ce durablement réalisable, foncièrement vivable. Et le tout dans un tel délire qui éloigne tout le monde de l'Humanité…tout le monde est déshonoré d'accepter que 35 seulement "aient la même chose" que l'immensité de 3,5 milliards. Evidemment ces 35 SONT la démocratie et 3,5 milliards l'anti- démocratie…

D'où inversion de tout, les diaboles remplacent les symboles, le riche triche trop et détruit par ses inversions (il "a" tout et "est" tout – cumul anthropohage) toute civilisation possible. Perdre "le sens des mesures" c'est perdre la mesure du sens. Peser, mesurer, penser sont les 3 faces du Logos – sans l'un la raison ne peut s'exercer… Un Talleyrand avançait que "les extrêmes sont extrêmement insignifiants". L'extrémisme des riches, leurs émeutes financières permanentes dans la civilisation a répandu leur "insignifiance" sur tout. LE problème mondial ce sont eux : ils coûtent bien trop cher à la société, s'y conduisent en complets parasites,  les déficits c'est eux, les coûts sociaux encore eux, les dettes toujours eux – leur empreinte économique est devenue proprement INTOLERABLE…

D'où cela provient-il ? Du cumul jamais mis en image, en pensée ordonnée, d'un patrimoine sous- taxé, ajouté à d'un salaire très peu chargés et de revenus financiers qui échappent à toute raison (puisqu'ils sont les flagrants vols des plus values collectives)…l'ensemble est sous- fiscalisé de l'ordre moyen de 15 %. C'est du parasitisme évident…toutes les révolutions ont toujours commencée sur ce point d'entêtement extrême; oui ou non ? Alors que les classes moyennes, elles, en totalisant les moyennes de retenus sur patrimoine, des 16 % directement retenus sur salaires, plus les 6 % des impôts sur le revenu et les 10 % moyens des impôts locaux, dépassent les 40 %. Et que les plus pauvres, à cause de l'illégale sur-fiscalisation des impôts indirects peuvent dépasser les 50 %, dans certains cas de figures, selon Thomas Piketty. La différence de 35 % devient énorme lorsque la PROGRESSION des richesses est géométrique (2 4 8 16 32, etc) et non arithmétique (2 4 6 8 etc). Et que l'observation méconnue (on se demande où se trouve la vraie science dans la chienlit économique ?) – de toute perte compte, au départ, double et tout gain compte, également au départ, double…

Lorsque les riches nous spolient, par leurs émeutes boursières, tombent dans l'extrême déshonneur de faire nationaliser "leurs" pertes – chacune de nos pertes constitue un trou et nous allons perdre du temps (et une partie de nos nouveaux gains) à le reboucher ce trou…D'où double perte (le creusement du trou et le comblement de ce creusement)…plus tous les effets induits faciles à comprendre: limitation des manœuvres encore à disposition, non emploi de gains voués au comblement pour autre chose, etc. Au point que TOUTE PERTE PEUT ATTEINDRE jusqu'à 4 (quatre) fois son impact premier...et que si la Société ne prend pas en compte les réalités les plus flagrantes – c'est bien qu'elle se trouve dans un état persistant de fuites en avant…

Identiquement, tout gain est, au moins, double : l'apport direct et l'utilisation de celui- ci afin de provoquer d'autres gonflements structurels des gains. Avec effets induits en cascades, cela peut atteindre les impacts premiers jusqu'à multipliés par 4. Être trop riche n'est en aucun cas une prouesse (plutôt la signature de dysfonctionnements sociaux gravissimes et donc d'incompétences totales des prétendues élites) juste des effets de structures.  Qui devraient être pondérés, combattus, rééquilibrés, non ? oui oui mais ce qu'il importe de voir c'est que ces REALITES PUREMENT STRUCTURELLES creusent les explosions des inégalités (comprenez- vous bien ce mot – les inégalités sont illégales !!! c'est un acte d'accusation contre qui provoquent ces inégalités, oui ou non ?) dans les deux sens. Effets d'augmentations garantis.  Du fait que toute perte est, au moins, à effet double et tout gain également - la Raison avait établi que L'EQUITABLE (le mot de remplacement pour qui a peur bleue de l'égalité) c'est, dans ce cas, la course de handicaps. Afin que la course puisse, seulement, exister, ramener les adversaires à équivalences. Non seulement les inégalités sont, constitutionnellement, illégales, mais les insultes des voyous riches face à l'égalité des chances, donc à l'éducation, à la communauté républicaine – les montrent tels des hooligans de la civilisation…

Leurs INCIVILITES sont les plus barbares de tous les temps…La seule "règle d'or" à introduire dans la Constitution c'est celle du HANDICAP EQUITABLE envers les trop riches (ces ennemis frontaux de la société)…le mécanisme de double perte et double gain doit être compensé. Donc ré-compensé le retour à l'équilibre fiscal, par tout reversement de la moitié des gains (avec des taux de pondérations afin d'embrasser toutes les situations, évidemment) à la caisse de solidarité fiscale. Sur le modèle de la sécurité sociale. Afin que les pertes reçoivent ces compensations directes et équitablement adaptés…Oui oui il suffit de reverser pas plus de la moitié des gains à la caisse de solidarité fiscale…et de reverser aux pertes justifiables ces sommes pour, enfin, sortir de "l'indignité républicaine" honte la plus farfelue de tous les temps) de privatiser les gains et nationaliser les pertes. Oui ou non ? Tout ce qui est vrai reste simple !!!.

Evidemment existe aussi – puisque nous venons de coupler la démonstration de 35 = 3,5 milliards, que LES FONDS SONT DEJA BIEN LA, que le P.I.B. mondial double tous les 15 ans, que l'alibi du mais "où trouvez l'argent" est juste irrecevables paroles de délinquants – avec la nécessité d'un organisme émergent de solidarité fiscale (l'équitable partout) …Alors la solution de simplicité c'est tout le monde à 2 000 € par mois :

1 - Les fonds existent déjà si 35 ont "la même chose" que 3,5 milliards d'humains, oui ou non ?

2 - Ce sera l'enrichissement de 80 % de l'Humanité – d'où faire surgir l'humour de nommer ce nouvel état social de "pauvreté généralisée".

3 - Les nécessités de la survie de la Terre, de la possibilité humaine de rester vivants comme de mettre fin à la catastrophe climatique (indignement nommée "réchauffement climatique" alors que c'est "global") – ces nécessités plus importantes que l'argent (pure convention et non existence universelle) impliquent de Travailler toujours moins – donc un dû à la place…

3 - Payer à même étymologie qu'apaiser. Chacun sa paie c'est donc la paix. Les auteurs de la guerre sociale, les voyous de la démocratie, les ennemis de la République sont démasqués ce sont les trop riches. Avec eux c'est l'incessante guerre stupide et sans issue. Les soumettre au revenu maximal garanti ce qui permet les 2 000 € mensuels pour tous, plus la sauvegarde de la planète – garantit, avec sérieux, la paix mondiale

4 - La Fête Sociale permanente 24h/ 24 qui contient les fêtes, mais toutes les techniques de resocialisations, les organismes qui mettent concrètement fin à la solitudes, qui apprennent le partage, l'autogestion, les biens publics, etc tout autant que le développement personnel, la résolution des conflits ou le soutien aux projets des autres, tout ce qui existe de savoir civilisé, en fait – constituera le balancier du toujours moins d'activités humaines (puisqu'elles tuent la vie)…

Le collectif sans emploi (société séparée de chacun de ses membres par un excès de commerce dont "l'intérêt" financier c'est que tout le monde soit bien seul, oui ou non ?) représente bien plus d'activités que toute l'organisation actuelle. Sonc fin de la délinquance des élites qu'est le chômage (dans la Constitution est inscrit que "le travail est un droit" (et un revenu un dû)). Ce scandale d'incompétences qui devraient "démissionner" tous les prétendus dirigeants…La preuve scientifique ? Toutes ces activités qui n'ont pas encore de noms !!! Si tant d'activités n'existent pas c'est bien que la société ne réponde pas du tout aux besoins réels de ses membres. Les 20 % apparemment "perdants" de l'humour équitable de la "pauvreté généralisée" vont s'y retrouver grandement dans tout cet AGRANDISSEMENT consistant des espaces collectifs. Puisque revenus de 2 000 € impliquent projets à utilité collectives et moyens adaptés afin d'y parvenir (avec filtres environnementaux afin de vérifier  à chaque facette du projet leur non nuisance) – des esprits entreprenants pourront toujours exister. Mais demeureront dans le revenu maximal garanti. D'autres pactoles symboliques se laisseront, clairement, trouver par eux…

Le trop riche se montre donc comme l'inversion de l'organisation la plus rationnelle possible. Son bâton dans les roues. Le grand dérangeur. L'auteur de tous les troubles planétaires. L'émeutier permanent. C'est le grain de sable déréglé qui transforme tout en irrationalités, qui fout de la folie maniaque dans les chiffres, qui empêche les têtus totaux de la comptabilité de faire fermer les Bourses, de décrire comme grand délit passible des Assises toute spéculation, et autres indignes sous- fiscalités etc…

Le riche triche, exagérément, puisqu'il prend toute la place, rend toute vie en société toujours plus désagréable, multiplie les drames, augmente les douleurs, n'a que des effets négatifs, sème le chaos partout et, même, empêche, par son inertie imaginative et sa frénésie déloyale, tout autre système d'exister…

A l'évidence, comme ce qui se passe en Italie le prouve, à notre grand avantage, les riches sont sur la "pente suicidaire". De refuser l'impôt de solidarité est la pire des erreurs qu'ils pouvaient commettre. Ils ont déclenché des mécanismes de la foule qui sont en train de se retourner contre eux. Au point qu'ils vont, bientôt, se montrer prêts à tout donner pour revenir à la situation d'avant…

Mais, nous prouvant qu'ils n'ont plus aucun contrôle sur rien – sinon souiller la parole publique. Que toutes leurs agitations se montrent toujours plus infantiles et que leur mises sous tutelle juridique semble la solution sociale la plus adulte et sage…

Nous allons commencer le nouveau système sans eux…

                                               tellement il se profile, déjà, hyper performant !!!

(à suivre)

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitsfreethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité", onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu