Le temps d'écrire ?
Encore une question de temps, mais lequel ? Celui dont on consulte régulièrement le ciel ou celui que l'on consulte tout aussi régulièrement sur sa montre, celui qui passe. Ici ou ailleurs. Mais celui qui passe est passant, c'est un passant grisonnant, bien sûr, s'il passe il prend de l'âge, et la marque du temps qui passe la plus souvent consultée par ces dames et ces messieurs, c'est les cheveux blancs. Le temps est au gris, brumeux car il a plu et un voile filtre la vision comme une myopie sur le paysage. Ce que je vois à une allure d'estampe, des traits à la fois doux et fins, floutés mais contrastés, les immeubles tranchent avec leur blancheur sur ce fond gris et vert, j'entends les oiseaux et j'ai vu les premières hirondelles, elles se sont fait attendre cette année.
Mais je veux, alors, parler du temps, celui du ciel, qui devait nous tomber sur la tête. Il nous tombe bien sur la tête, quand il pleut, quand il neige, quand il vente (les feuilles, la poussière), et encore plus avec ces UV cancérigènes, dont l'effet est augmenté par le rétrécissement de la couche d'ozone, dû à la pollution. Alors si le ciel nous tombe sur la tête, et surtout sur la peau, c'est bien de notre faute. Alors pourquoi implorer le ciel ?
C'est comme si on faisait un crime, que l'on en soit puni et qu'on implore celui qu'on vient de tuer pour nous rendre le couteau avec lequel on l'a tué !!! C'est complètement dingo ! Quoique l'on dise ou écrive, le temps est toujours là, le vol de l'hirondelle, c'est le temps, les deux temps, mais il y en a plein d'autres... Je n'aime pas celui qui passe, temps, or, j'aime regarder les passants, je regarde le temps passer, et être passé…J'ai dépassé le temps imparti, je n'ai pas regardé la montre, alors que j'écrivais !!!
Parler m'aurait permis de dire plus de choses, mais elles n'auraient pas été exprimées de la même manière, car ce n'est pas que je prends le temps d'écrire, mais les mots me viennent différemment, quand j'écris, c'est comme
… des perles que l'on enfile pour faire un collier de mots....
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu