Les bourgeois sont des fouteurs de merde

Dés le début d'ailleurs. Commençant par spolier si illégalement les "champs communaux", système social à grande durabilité, ils réduisent à la misère la plus grande partie de la population et la propulsent, désœuvrée, vers les villes, désormais parties du très mauvais pied.

D'autre part, ils "altèrent ainsi fondamentalement les relations économiques entre la population et leur environnement naturel" (p. 147 –  "Une brève histoire de l'extinction des espèces" de Franz Broswimmer). Nous possédons, là, la source précise des catastrophes en séries actuelles***. C'est, en effet, par bien pire qu'ils vont remplacer cette organisation proche de la nature…Ce sont les mentalités qui rendent les faits malades !!! Et pas du tout les faits qui déraillent tout seuls !!!

***voir, aussi, plus loin, l'analyse de Jeremy Rifkin (Biosphere politics)

En conséquence de quoi, l'apparition du bourgeois c'est le vol illégal partout et la bêtise sociale comme ciment. D'ailleurs, le mouvement des enclosures, qu'on appelle aussi "la révolution des riches contre les pauvres", garde la trace (utilisable en justice !) que le bourgeois est bien "le" fauteur de troubles universels, le gangster de base, le tricheur et le menteur, le terroriste social et l'ennemi tout net de la société entière. Le "crime" toujours non puni des bourgeois d'avoir volé, à la société, ses terres collectives reste là pour le prouver. Les mots de Broswimmer "évincés" "délogés" illégaux" etc demeurent, aussi, tels la visibilité irrécusable de l'émergence du bourgeois comme le plus grand fouteur de merde social

L'équilibre social qu'apportaient les champs communautaires était que la propriété privée  cohabitait, sainement, avec le collectivisme. Evidemment, le féodalisme n'était pas un système progressiste et il fallait en changer. Pourtant, contrairement aux illusions des conformistes, les plus grandes périodes d'inventivités, tant en agriculture, que dans les industries naissantes, s'étalent bien du 13 ème au 15 ème siècle. Et beaucoup moins aux 16 ème et 17 ème siècle, bien extraordinairement traditionalistes en ces domaines…Comme quoi ce féodalisme spécifique n'empêchait pas frontalement les progrès !!! Tel que la lecture de Fernand Braudel peut en convaincre. Qu'on nous lâche donc la grappe avec le bourgeois apportait le progrès. Sans lui nous en serions à l'âge des bougies. C'est la claire régression qu'il conduisait et conduit toujours. Max Weber a merveilleusement prouvé que le capitalisme s'est fondé sur des qualités et des vertus à lui totalement extérieures et lui préexistant (l'amour du travail bien fait, l'honnêteté, le goût de l'invention, l'attention aux autres, le désintéressement, la diplomatie etc). Et que, dans ces conditions, tous les progrès de la vie quotidienne seraient de toutes façons arrivés, sans les bourgeois et leur désastreux capitalisme. Mais d'une toute autre manière. Mais surtout pas à la façon des troubles et crises partout qui forment le sillage irrationaliste des bourgeois.

S'il est une classe d'individus que strictement personne ne regrettera ce sont bien eux. Ils salissent tout. Empêchent le fonctionnement non pollué des raisonnements, des analyses ou des synthèses. Leur "rationalité" ce sont les pires des gaspillages en tout et celui (inexcusable!) de tous les talents. Il pervertit tout par des infantilismes maniaques (et des monologues détraqués!) dont le "profit" semble le résumé. Il se gargarise que "son" système soit ingénieux parce qu'il lui rapporte du "profit". Mais à quel prix, il omet de le calculer !!! Car le "profit" c'est plus que faux!!! Globalement ce profit est un coût véritable reporté plus loin, ailleurs sur quelqu'un d'autre. Aussi, au lieu d'avoir la vision adulte, sage, pacifiante, globale et équilibrée des gains collectifs, de l'équilibre des comptes, du partage précis des plus values, de l'avenir gardé ouvert (donc "durable"…etc Nous voyons ce diable hystérique, sorti de sa boite comme un obsédé, incapable de parler collectif, d'argumenter longuement, brailler "son" profit, comme un talisman qui permettrait tout. Nous ne voyons que la guerre "économique" (sic) partout, le chaos inter-individuel et les crises maladives…Alors que nous venons de vérifier que globalement, croire au "profit" (toujours très individuel et au détriment du plus grand nombre) appartient aux maladies mentales à soigner. Et à la classe sémantique de la métaphysique. Muni de ces fils, vous pouvez revisiter tous les concepts du capitalisme. Strictement RIEN DE SERIEUX et de défendable dans de vrais dialogues ou multilogues n'y réside. Voir *** la chanson jointe !!!

Nous avons de multiple fois, précisé qu'Adam Smith n'avait JAMAIS opté pour "la main invisible des marchés" et la gaminerie désastreuse de l'omniscience de la finance (une parapsychologie vénéneuse s'il est est !!! ) mais que "la vraie richesse des nations" n'est pas du tout l'argent mais bien…les talents qui vivent dans un pays. La finance barbare tue les talents Ainsi, avions- nous obtenu un commentaire (disqualifiant qui l'emploie) sur un des blogs "La flagrante anomalie des Bourses" sur quoi " on ne dit pas les Bourses mais la Bourse " alors que notre titre voulait visibiliser, en sa formulation même l'anomalie. De quoi il existe "un" unique système mondial caché mais vrai ennemi de chacun des pays - "la" Bourse ? Ils l'avouent dès l'intitulé tyrannique comme des terroristes contre la démocratie ? etc…rares les "puristes" qui viendrait marteler :  "la main invisible des marchés" N'EXISTE PAS. C'est une escroquerie intellectuelle. EIle n'est fondée sur rien : Adam Smith a dit l'exact inverse (se méfier à fond des financiers!) et  "la main invisible" reste métaphore attachée à la division du travail pas à l'argent.  "La main invisible des marchés", ce concept hautement métaphysique, n'est pas recevable là où réside l'intérêt collectif, ces délires fantaisistes disqualifient les financiers qui se prétendraient omniscients, hors la loi (déréguler ça veut dire se casser de toute régularité, de toute honnêteté, de toute règle et donc de toute loi). ce sont eux les fouteurs de merde mondiaux. Le premier acte serait de les annihiler et soigner . A la place nous voyons des hurluberlus dégoiser (trop irrationnellement !) "on ne dit pas les Bourses mais la Bourse". Qu'importe que la réalité entière soit détruite pourvu qu'ils en conservent l'image crétinement intacte !!!

Le crime gravissime initial du vol des terrains communautaires par l'acte illégal de leurs enclosures (trop symbolique que de clore l'ouvert, le bourgeois ou "l'esprit prison" ?) apparaît bien plus grave encore dans le passage suivant de Jeremy Rifkin (Biosphere politics). "La nature, qui était autrefois une force indépendante autant crainte que révérée, a été réduite à une panoplie de ressources exploitables, toutes négociables sur le marché. La privatisation et la marchandisation de la Terre ont rabaissé l'humanité du rôle de vivant équilibré à celui de souverain détraqué, et ont fait de la nature un déprécié objet rétréci aux seuls échanges commerciaux"….Pas un mot qui ne symptômatise pas la folie pure. La "valeur "mesurée en termes monétaires" c'est la régression malade vers l'infantilisme mental le plus dangereux qui soit. Ni l'atmosphère, ni les océans, ni les continents, ni le patrimoine générique, ni les découvertes physiques, etc, n'ont rien à voir avec l'argent et l'aveuglement malsain que celui- ci met sur toute chose ne peut conduire qu'à la mort collective.

L'argent ne semble pas du tout universel mais strictement "local et indigène" puisque pas un seul document venu de l'univers comme pas un document provenant des différents espaces naturels mondiaux, des fossiles ou des règnes végétaux et animaux n'a attesté de la moindre trace d'argent dans cette REALITE terrestre là. L'argent est bien "cet arbitraire du signe" (et tellement moins le langage) une pure convention intra-humaine, qui n'existe nulle part ailleurs…Aussi ramené à sa place réelle dans l'immensité de la réalité – il devient évident d'admettre que cette convention (devenue malsaine et perverse) du fric doit prendre fin lorsque l'argent (à cause des détraqués complets des sommets) n'est plus le "structurant social" prédit et prévu mais bien le plus grand des désordres sociaux, le dissolvant de toutes les solidarités, jusqu'au moindre des liens intra et inter- personnels. Bref, le plus grand ennemi de nos sociétés. C'est le plus grand terroriste planétaire et il doit être traité comme tel !!!

Ce qui "compte", surtout, c'est la vie, la survie de la nature et comment nous ne serons jamais maîtres ou possesseurs de la nature (sinon sur le mode de la réalité gangstérisée de destructeurs de la Terre et d'assassins de la vie – ce qui est devient tellement moins reluisant et "souverain" que de les voir sous l'angle de dangereux délirants maniaques de l'argent …).

Avec sa maladie du fric "inexistant" comme pourriture intérieure - les bourgeois sont des fouteurs de merde…toutes les forces vives du monde entier sont en train de le comprendre.

Ainsi que ce qui en découle: c'est notre devoir que de stopper le gangstérisme bourgeois. Par triple terrorisme : économique, social et civilisationnel !!!

(à suivre)

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité", onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.

Résistance au changement      Implique changement de la résistance

Les bourgeois sont des fouteurs de merde (2) nous verrons comment après la folie antisociale des enclosures, les bourgeois sont allés jusqu'à casser les "moissons et fêtes collectives" (chacun allant faire les moissons de l'autre) pour la dissociété "non durable" de chacun séparé de tout le monde. Comment il intervertit tout. Et comment le désordre suprême nommé argent hypnotise et pétrifie toutes les forces vives de la civilisation. A relier à " La maladie grave de "l'argent""…

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu