Les dirigeants ne survivent qu'en empêchant toutes décisives solutions à tous les problèmes..
Les dirigeants ne survivent qu'en empêchant toutes décisives solutions à tous les problèmes…à la première lecture c'est difficile à digérer. Puis, tous les faits de s'accumuler en vous !!! Clair que là où il y a des problèmes, là le navrant système prospère et à fond ; il déborde de richesses – barrant toute la voie aux solutions: pour lui, il ne doit y avoir que des problèmes que des problèmes…Et surtout aucune solution, absolument aucune…
Vous vous installez trop facilement dans une nouvelle ornière de pensée. Il avait fallu, tant l'anticommunication a répandu ses poisons, user de la visibilité la plus partagée. Livres = auteurs. Enlevez le nom de l'auteur du livre, vous obtenez un net soulagement de toutes les contraintes, les obstructions, comme des réticences inter-individuelles. C'était pour la puissance de la démonstration! Mais, économiquement, ce n'est pas l'écrivain le problème: la manière dont les arriérés financiers l'ont énucléé pour rendre tous les écrits acéphales, demeure la problématique de fond. Il n'est que de parcourir "Les nouveaux intellos précaires" d'Anne et Marine Rambach – Stock 2009) pour vérifier les immenses dégâts causés par les archaïques et strictement incompétents financiers. Ainsi, n'est-il plus accordé "une minute" (p. 202) aux textes- le comble de la puérile incompétence: les "bénévoles" sous rémunérés (ex-éditeurs) doivent y travailler chez eux. Tout le temps de travail se voit consacré à des réunions générées par les ex- ou futures fusions-acquistions. Le problème vient du fait que des intrus grossiers et destructeurs ont fait irruption dans la culture, y imposant leurs gamineries-qui-coûtent-si-chères-à-tout-le-monde.
Jamais de ces "pour qui se prennent-ils?" alors que rien n'est réfléchi, circonspect ou argumenté dans ces "plans" qu'ils infligent barbarement: demandez-vous pourquoi vous n'usez de ces "pour qui se prennent-ils?" que "contre" de brillants analystes, de sagaces synthétiseurs ou d'écrivains si pratiques, jamais contre ces arrogants fossiles qui, "en plus", s'octroient" des 200 000 plus de richesses mensuelles que les autres.
Ce que ne perpètrent jamais ces brillants analystes, de sagaces synthétiseurs ou d'écrivains si pratiques (dont la civilisation a un cruel besoin) et qui "ne se prennent" que pour eux-mêmes…
Combien de milliards d'humains vont enrager (ou souffrir exagérément – tout dépend de leur positionnement vers l'action) lorsqu'ils s'apercevront que 80 % au moins de toutes les "activités" de notre Société d'anticommunication étaient des "inactivités", des pétrifications médusantes, des immobilismes effarés, des enlisements, des barrages, des obstructions, des obstacles, des embarras, des verrouillages? Bref, piétiner sur place, tout bloquer, figer, coaguler, congeler: plus rien ne bouge là où la description osait "tout bouge". Les destructeurs et vrais délinquants se trouvent, massivement, aux sommets irresponsables de notre civilisation…Les grands esprits (qui existent toujours mais subissent de plein fouet l'effondrement collectif), pendant ce temps, continuent d'être hyper constructifs (eux seuls sont "positifs" en actes! en paroles, cela reste peu probant!)…
Synonymes, réalistes, rationnels ou pragmatiques. Ils produisent et, quel que soit le lieu où ça a lieu, de telle façon que"cela se produise". Ils créent, conçoivent, génèrent, engendrent. Leurs méthodes se cumulent puisqu'ils désirent les solutions et que le "tout court terme" ne veut vivre qu'en parasites sur les problèmes et catastrophes. "Leurs" cercles vicieux semblent devenus tels, que le capitalisme ne survit plus qu'en auto-destructions, en catastrophes permanentes, en explosions de perturbations ou en désordres à la chaîne. Là où il y a des problèmes, là il prospère. Son cycle est, clairement, descendant, finissant, décadent, putréfiant. Tout n'y décrit que le déclin et la corruption (de ne "fonctionner" que dans les négativités signe la pente morbide!). Cependant, rien ni personne n'oblige à avancer comme eux!!!
La Société d'anticommunication n'est qu'une incessante perte de temps. Toutes ses méthodes s'avèrent donc fausses. Pléthores d'autres formules existent: bien peu les ont expérimentées. Ecouter tous les avis, se faire du miel de toutes les opinions. Tout être, à un moment ou un autre, détient le summum de l'intelligence collective. Ne pas en profiter devient le sommet de la bêtise, à laquelle s'adonnent les médias. Qui rate, journellement, plus de 85 % du réel. Un être "médiatique", qui ne vit que le sort commun en ce qui concerne l'intelligence collective, risque de mettre plusieurs mois avant de frôler ce qui, victorieusement, se clame 2 rues plus loin…le grand esprit écoute tout le monde et ne perd, donc, jamais rien. Le cercle de l'intelligence supérieur à tout point de vue fermé. Au lieu de se cantonner dans une seule opinion encerclée (ce que pratiquent, malheureusement, les anti-progressistes des gauches et d'extrêmes gauches!) – multiplier les opinions. Toujours en mouvement, en flexibilités non contraignantes, en mobilités émancipatrices ou en déplacements qui "déplacent", meuvent et désoclent tant de choses. Et, si vous obtenez la grâce de la liberté d'avoir parcouru, physiquement et sensuellement, toutes les opinions, vous parvenez à ce "cercle magique de l'intelligence incarnée" que si peu désirent ardemment.
( à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org, onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou, encore, onglet 3 "Légalité de l'égalité".