Les mots justes précèdent la Justice ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Mais c'est que les hommes ne peuvent toujours pas se regarder dans leurs yeux et leurs mots JUSTES. Régler leurs problèmes verbalement en pleine vie physique, en présence entière et présente, ici et maintenant, le cœur à nu : accumulation d'intermédiaires et d'intermédiaires qui font si bien intermèdes de papiers, lois, règlements et contrats de toutes sortes. Papiers envahissant déjà quasiment TOUTE la respiration sociale. Amendements à l'amende. Tout s'accumulant et se cumulant puisque ceux qui se disaient avoir édicté des lois ne les avaient que dictées : ne semblent-elles pas utilisables que par eux seuls ? Pour eux seuls et contre tout le reste du monde…

 

Mais aussi ce besoin d'assurances, de justice digérante de la justesse, de bail à bailler, de signature des signes, de pactes sans actes, de mobilier et immobilier immobilisés, d'avocation, de pro-cureur ne curant plus rien du tout, et voici que ce juge ment dès le jugement qu'il porte sur son "instruction" (krisis!) : car toujours pas de mots, d'expressions dites JUSTES dans la Justice (à dire le vrai sens des mots l'on risquerait justement de trouver le sens de la vie, comme le sens de la Justice…). Tout un jeu de règles s'amoncelant tellement que de régler un problème n'y est que de régler le rouage des règles, pour qu'elles pondent une solution sans rapport aucun avec le problème lui-même, mais seulement en accord avec la disserte dissertation des règlements…

 

D'où le toujours besoin sans soins des notaires et tous les baux, contrats, actes de cessions, d'hypothèques…etc. comme gare (sans train) de la garantie. Détourés en conseils (financiers, juridiques, en droit social, fiscaux…etc.) ou experts (agricoles et fonciers, immobiliers, maritimes, judiciaires etc.) en hécatombes d'assurances - s'il n'y avait donc que ceci pour donner de l'assurance et de la certitude. Assurer étant affirmer, comme certains, que dans le Corps social il faut que la cassure s'assure entre toutes et tous, et devienne de toujours se prémunir des autres, se garantir contre eux et elles, ne donner toutes ses cautions qu'aux précautions - rendant tout contacts impossibles avec qui que ce soit en dehors de ce fatras de cadenas de papier. Même portés par les coursiers des courtiers. Car ces notaires omettent de savoir que les hères sont les seuls héritiers : c'est du moins ce qu'atteste le testimonial testament. Ne viennent-ils pas, en toute Justice, de l'avouer ces avoués ?

 

Car, tout de même, se brandit le banquier qui, de sa banquise placée sur toute la respiration sociale, s'évertue à étouffer toutes et tous de son banquet et sa féminine banquette, en ces banquets de banques bien connus : c'est-à-dire ranger des tas d'images, à en faire des paquets, or -qui est or- il en crée un trésor riez donc, jusque la banque route et bien autre chose, à s'en ouvrir des succursales, des filiales très filiales, à se bomber le coffre faible, à s'en faire des pour cents, à se demander le matin "mais qu'est ce que j'ai donc" et le soir "mais qu'est-ce que je peux encore avoir" - ce qui reste syndrome d'une très grave maladie - et, enfin, de tous ces tas, ces tas, ces tas, ces tas à tasser et dévoiler, en tous ces tas, l'état de vos pensées exactes. Le bancaire toujours sur le banc .

 

Ces quatre fonctions prouvant, chacune à sa façon, (soin, enseignement, rapports sociaux, modalités d'échanges, toutes fonctions essentielles) à quel point l'Argent, utilisé comme l'on commence vraiment à la savoir, est destructeur, anti-social, anti-Nature, vraiment réducteur, il rétrécit au lieu d'agrandir, empêche au lieu de permettre, congestionne au lieu d'épanouir et rend la Société irrespirable et étouffante. Ces professions libérales qui devaient libérer toutes libéralités, comme le sens au consensus consensuel - aujourd'hui, renversées en ces "métiers d'argent" non représentatifs, non élus, ne se rendant responsable devant aucun contrôle pertinent et se considérant comme irresponsable par rapport au démantèlement de la Société et à l'épuisement de la Nature qu'ils provoquent. En toute absence de conscience.

 

Rien qui ne transcende pour dire le but, la fin et d'adapter les moyens crédibles pour une telle fin annoncée. Toute "raison" n'est que leur "petit" intérêt, petit puisqu'il ne concerne qu'entre 3 et 5 % de l'Humanité; Où se situe l'intérêt général celui qui n'oublie absolument personne ? Certainement pas dans l'opinion de faire travailler tout le monde sans son corps et sa sagesse, certainement pas dans l'étouffement des poissons de toute tentative de rendre forme exacte (vrai sens de ré-forme!) à simplifier tout ce qui est papier, obstacle au collectif ...etc. etc.

 

Congédie la tragédie de tout cet irrespirable social et, lorsque les métiers se métissent, le virage de la spirale ressurgit, par exemple, chez celles et ceux que l'on claironne "travailleurs" sociaux" - dans ce gigantesque pléonasme, puisque, normalement, raisonnement, "tout" travail devrait être social (correspondant, répondant à la structure de la Société); Travailleur social : assistante sociale, aide familiale, conseiller conjugal, conseiller d'orientation, éducateur spécialisé, animatrice culturelle etc. etc.. Chacune des professions se voyant attribuer une cible qui n'est pas définie en termes de personnes mais en termes de "problèmes sociaux (sic)" - comme le social pouvait être un problème sinon son absence justement de ce social.

 

Ainsi quoi de plus fainéant que l' absence ide geste qui "crée" le laissé-pour-compte pour le laissé hors compte, comme tous les "exclus" provoqués par la compulsion des exclus-ivités etc. Même chose pour ces "agences d'hégémonie" que sont les officines de formation professionnelle et de psychosociologie, les services d'aide sociale, l'ANPE…etc. Les mots, fidèlement, ne cachent rien et, mieux, démontent les traces des manipulations. Le but "du travail social" (donc pour "cacher" tout social!) devient de décomposer (selon l'action chimique connue) les effets "visibles" et cyniques de l'exploitation pour que, jamais, celle-ci ne puisse apparaître ni aux assistants ni aux assistés. A quoi ? à quel spectacle ?

 

Ne serait-ce pas celui de l'irresponsabilité et de l'incompétence : les "problèmes" sociaux étant causés, provoqués, créés, couvés par la Société qui ne veut toujours pas vivre en société - les preuves, les réprouvés l'ont prouvé suffisamment. Enseignements parallèles, médecines prises en charges par les usagers ou provocations à la confiance au lieu de contrats du genre je travaille"pour" elle, lui gagner sa vie, son salaire, il travaille "pour" moi, gagne ma vie, mon salaire, je travaille "pour" lui, lui gagne sa vie, son salaire - plus personne ne s'aveugle à gagner sa propre rétribution, nous gagnons celle d'une personne que nous ne connaissons pas. Ce décentrage-recentrage résout tout, ne tentez-vous pas? Fonctions d'Agora avec l'art d'accoucher les esprits (une fois qu'une personne a été reconnue une fois, croyez- moi sa vie change). Fonctions de Beauté pour rendre toutes villes plus belles et vivantes …etc…etc…Toute une recherche où chacun(e) risque de se retrouver en plein avec la grande Respiration Collective.

 

                   L'altruisme devenant un truisme...

 

Et c'est le médecin qui courait après les lièvres des fièvres, savait quérir tous les moyens possibles pour guérir, savait apaiser de paix toutes douleurs - aujourd'hui, basculé, inversé, en ses très gnostiques diagnostiques de symptômes et syndromes très synchrones, dont "on ne peut rien dire" "il y a trop d'intérêts en jeu" - et ceux de la Vie, de la Terre ? -cette approche schizophrène et paranoïaque d'un intérêt qui détruit tout sauf un seul et, globalement, est-ce si intéressant, ne semble jamais soulignée. Soit la DMS, disease mental statistical, à partir d'un ensemble de chiffres (statistiques de surcroît) vous prétendez couvrir toute la diversité existante en la faisant entrer de force dans quelques catégories. Vous dites soigner la diversité sans croire altérer les couleurs, les sons, goûts, odeurs (olor de dolor) et tacts tactiques de nos corps. Et panser sans penser par le biais d'un ordinateur qui par son ordination pourrait mieux soigner ton corps que toi-même : et tu n'aurais rien à dire.

 

Et, ainsi, le docte docteur peut se fourvoyer en trois impasses et passer outre: le médico légal, la santé comme preuve du respect de la loi? Il se trouve que le médical terme de crise qui a été transporté bien ailleurs, vienne du grec Krisis de krinein : juger! décision! Or donc si la "crise" juge ton propre corps - elle juge aussi le Corps social, n'est-ce pas ? La médecine camée en médicaments (médicamés) ouvrant trop les portes aux trusts pharmaceutiques (sans même la médiation d'y remédier) - ceci aboutissant trop à l'impossibilité sociale du soin. LE BESOIN ETANT SOIN. Et soigner ressemblant à oindre, comme s'oigner de soigner, d'un baume devenu introuvable, qui que l'on soit. Et qui a nom douceur, attention, écoute, fraîcheur, spontanéité, élan, enthousiasme etc.  Car que mal a dit la maladie il ne s'agit que de bien le dire (en encore plus pour le Corps social). En usant de tout le sens consensuel possible !

 

Les expressions heureuses chassant comme le mal heureux et contre qui, contre quoi. En cernant, plus proche, chaque maladie du nom qu'elle a reçu ainsi que toute la constellation de mots qui y gravitent. Et il guérit, peut être en franchissant le gué du rire. Et si le soin s'oignait plus que nous le pensions ? (à cet effet, tentez donc de retenir tous les termes médicaux ou de maladies qu'use un politique, téléguidé par un financier, parlant de la Société : et la Bourse N'EST QU'UNE maladie complète!). Nous pourrions être conduit à ce que ce guéri don ne se trouve plus sur le guéridon qu'en honoraires. Mais honoraires pour honorer qui? La médecine, libérée de l'aveuglement de l'argent, a encore plus d'avenir (autre!) que nous pouvons imaginer. Les expressions heureuses se montrent, donc, pour absolument tout : la positivité peut revenir au grand galop...

 

Comme pour l'enseignement qui était renseignement, où DONNER des connaissances et tellement de connaissances qu'il devient, ensuite, facile de faire connaissance avec toutes les femmes et hommes de la Terre, où instruire pour construire, où développer toutes les facultés même facultatives, se sont renversées en éduquer, c'est-à-dire briser toutes les saines résistances qui empêchent l'esprit d'enfance de passer à la moulinette unique d'un esprit abstrait de tous les corps, et d'un seul et même esprit afin que toujours l'on se côtoie sans se décider idée de commencer à vivre, afin que la crises du refus de décisions décisives s'éternise. Afin de se passer de soi-même, pour entrer dans cet esprit sans soi, sans corps et sans personne en fait; Vas y donc voir si tu n'y crois! Afin que cet esprit, rendu totalement abstrait, extrait de tout, ne puisse être regardé en face, traversé, dépassé, changé par un(e) ou par toutes ou tous.

 

Et nous arrivons à cet admirable bonheur de vivre nos corps d'aujourd'hui dans un anti-local, très anti-présent, précisément dans la respiration unique de ce gaz vicié. Tout fut inversé depuis que l'accumulation des connaissances ne nous permet plus de faire connaissance, comme de bonnes vieilles connaissances, toujours enchantées à retrouver. Et, puisque seul LE PROFESSEUR PROFESSE sa PROFESSION, nul doute que ce qui vient d'être dit ne rejaillisse sur toutes les autres - professeur matrice des professions, paradigme des professions d'où, une fois décrypté le professeur, toute profession professée disparaîtra et il n'y aura plus que des activités, droit chemin vers l'Humanisation. Voyez déjà l'instituteur et l'institutrice que l'on oblige à être tuteur et tutrice des institutions, sans oublier les pro-viseurs et autres censeurs de quelles censures, surveillants généraux (même si on les déguise en conseillers d'éducation (de qui?) ou pions, de péons, gardiens - pour masquer l'étouffement des enfants). La fonction d'enseigner étant asphyxiée lorsqu'il y est formellement banni d'y enseigner autre chose que ce des "seigneurs" (non représentatifs ni élus), ces "enseigneurs", le décident.

 

Voyez comme les mots ne nous cachent rien et voyez toute la mauvaise foi et la mauvaise volonté des dirigeants autoproclamés, trop pétris de sournois entêtements, qui malgré les mots, tentent de continuer à manipuler. C'est-à-dire que la vérité devient de plus en plus simple et les mensonges de plus en plus compliqués. La langue est simple, l'histoire des mentalités et géographie sont simples, mathématiques simples selon leurs buts, toutes sciences sociales aussi simples que l'enfance des rapports humains, toutes sciences humaines à le devenir plus encore, toutes sciences naturelles protectrices, enfin de la Nature - lorsque tous les mensonges, qui empêchent cet enseignement de respirer, qui veulent étouffer le Corps social (pour de minables "profits" - même pas 10° des 360 ° de la complète réalité : quelles "pertes", en fait, que leurs hallucinés profits!) dans l'irrespirable et l'abstrait, sont acculés à devenir toujours plus complexes. L'école n'étant pas l'écologie (la science de l'école) qu'elle aurait du ! - les enfants devant encore s'asphyxier dans les mensonges des adultes…

 

L'enseignement, libéré de la surdité sournoise de l'argent, sait abattre toutes les cloisons et rapprocher tout le monde lorsque l'argent, plus qu'incompétent, ne sait

qu'éloigner tout le monde et ne dresser

                                                         que des murs entre les gens.

 

…comme de retrouver, spontanément, notre "cerveau sensualisé" (chaque pensée y devient sensation). Comme à l'ensemble de ses techniques …dont quelques unes de nos plus récentes, restent offertes par ce blog : "Sourire vos digestions", "Comment l'œil vous respire l'univers ?", "Parfum parfait", "S'empreint d'embruns", "Sous la chair des mots – la sensualité d’immensités…","L'athlétisme mental ?", "Délecté lecteur – l’évolution n’aurait pas prévu l’écriture ?", "La vaporisation du moi", "La bibliothérapie ? Les livres guérissent !!!","Quelles formations ont suivi les transformations ?", "La culture viendrait d'ailleurs…", "Unité enchantée" , "Aucun sport n’est plus sportif que le langage", "Où est passée l'énorme déperdition d'intelligence collective ?", "Optimisation de…l'optimisme", "Les points d'appui ?", "Rideau d'eau", "Détectivé ?", "Quand naissons -nous ?", " Tous saufs sauf","Mimétisme comme unique raison", "se perfectionner à la perfection…", "L'infini partout autour de soi", "Les échanges affectifs d'infos", "Dans danse", "La gratitude est le paradis lui-même", "… intelligentil", "Talents et société", "Tant d'instants ?", "Elle excelle", "Et tout fait suite suède de ce qui précède?", "Les profondeurs de l'usage du cerveau ?", "Empreintes", "Un regard pour autrui", "Rendons le futur plus fort", "Reposer le repos d'une question", "Qu'est- ce qui vous amène à vous amener ?", "Toute la spiritualité ne serait que spirales ?", "Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu'imaginé", "Tribus", "Piller les roupillons", "S'organiser autour des organes", "La réalité est complète", "Tri et trois ?", « Butiner le but », « La queste des questions », "Objectivité de la poésie", "Esprit libéré et esprit encombré ?", "spirer et conspirer", "Essaie de dormir !", " Trio vainqueur – sentir, sentiment, senti- mental !!!" , "La Forme à (absolument) tout faire ?", , "Comment garder des sensations de qualité ? (1) (2)", « Efface le face à face que reste- t-il ? » ou bien "La communication qui n'a jamais appris la communication réelle" ? etc. – oui encore etc. En bref, quasiment tout vous serait caché ? Sans doute ! vous pouvez le vérifier sur le blog "Lorsque ne plus savoir admirer tourne à la maladie" (1) un blog a obtenu un titre à part " A votre égard tout sera égards". Grâce à qui ? Toute l’histoire du rire en 5 textes. Aussi, "Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?" du 9 juin 2011…Encore, voir le blog du 16 septembre 2010 « Simuler votre cerveau vous offre toute la réalité » ou comment notre cerveau peut être un véritable magicien à votre service, etc…

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 (à suivre)

            tous ces blogs sont bien reliés à une pensée globale

 

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,  onglet 1  "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3"La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et  "Rien de plus solide que le solidaire", sinon,  onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

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L
<br /> bonsoir<br /> <br /> <br /> prodigieux tout ce que vous ouvrez - travail de titans qu'aucuns mercis désormais ne pourront plus jamais égaler !!! il y a trop d'engueulades à fournir contre les imposteurs qui occupent des<br /> places qui ne sont pas les leurs...alors que..<br />
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V
<br /> <br /> bonsoir<br /> <br /> <br /> avec retard - une succulente lecture merci infiniment<br /> <br /> <br /> <br />