LES RACINES DE LA POLITIQUE
Dans les domaines artistiques, l'inconscient collectif pousse à revenir aux roots, aux racines, aux fondamentaux, à l'essentiel. On se demande ce qu'il fout cet inconscient collectif pour la politique devant l'auto-destruction à laquelle sont en train de procéder les "partis dits de gouvernement". Ils anti-gouvernent et toutes les élections récentes ont montré que la majorité du peuple ne veut plus de leur "offre politique" (ils anti-entendant pas du tout!). Un tilt de réveil ? En 2009, élections, prenez la population adulte totale de + 18 ans (45 millions), divisez avec le chiffre tekkkkkte-exact du "parti majoritaire", vous obtenez exactklyyyy 9,62 % de la population adulte totale. Si vous trouviez là un "parti majoritaire" c'est que vous glisseriez sur la pente de la folie. Nous pesons nos mots: les médias fous braillaient, grotesquement, une "massive" victoire de la majorité. Où ça ? Quoitèskisepass? Ah! c'est ces cinglés qui dégoisent. La majorité, hors tout déni du réel, c'est celle qui refuse l'offre politique actuelle. Revenons aux choses sérieuses, sans eux (donc ces autoproclamés "dominants" ?).
Dans, le commerce, ils retireraient les produits. En non-politique, ces ennemis en acte de la démocratie vraie pilonnent toujours plus bestialement. Message pourtant clair: vous (oui vous!) devez changer à 100 %. Vous. Pas nous !
Alors roots politiques?
Marx, dit Karl, était très influencé par Charles Fourier (eh oui!) mais se montrait opposé à l'utopisme (eh non!). Pourtant, il emprunta à donf le terme "mouvement social" à ce Charles Fourier, dont il pris extrait de sa "Théorie des quatre mouvements – 1802". Vous croyez que "la non-offre politique" actuelle nous parlera de Fourier? A ce point, pauvres mères ! Dans "Misère de la philosophie – 1847" du noble Marx vous trouvez ces deux phrases. "Ne dites pas que le mouvement social exclut le mouvement politique. Il n'y a de mouvement politique qui ne soit social en même temps".
Clair? Oui même clair on !!!
Si vous n'aviez rien compris à ce qui précède, peut-être, est-ce que votre "mise sous tutelle" se rapproche !!! Ainsi, la non offre politique actuelle "se monstre", visiblement, anti-sociale. Que c'est pas beau du tout, du tout ! C'est que le social l'embarrasse, ma pauv'dame, kantésquyzapprendrontàvivre, moi je vous dis si ç'avait été mes mômes ces politiciens, des claques pour leur apprendre la politesse. Pas comme les gosses des banlieues si patients et serviables sous les humiliations et les injustices, té "sociales"…Hein, ma pauv'dame, kantonsaitpasfèr on démissionne, non, mon pauv'monsieur. Hé oui! il passait par là, vous allez pas, en plus, vous foutr' à l'exclure, chauvinette (la ceusse ké fanatik ouais de la "cause" féministenime!) ? Nos moutons, foutre, on allait les oublier… Bé, le social c'est le vrai sang de la société, tout comme l'influx nerveux représente le constituant actif de notre vie ! Une société sans social semble aussi impossible qu'un système sanguin sans sang. Et pourtant, la déchéance-collective-par-le-haut y galope, aujourd'hui…La société semble, suicidairement, expulser son social. Des issues ?
Social est même une insulte chez l'élite-se-délite…Toute manif "sociale" obtient un début de criminalisation à but dissuasif…Social signe tout ce qui est rejeté ou délaissé, mazette…Lors, peut-on vivre encore longtemps sur la tête? Ouais, s'ils virent à la folie, rien ne nous oblige à les imiter. Tuer le social c'est tuer le politique. Vous exagéreriez pas, vous insinuez-vous ? Comme pour toutes les personnes qui ne se trouvent pas en première ligne, il demeure difficile de transmettre les gros morcifs…Sans effectuer des détours. Prenons-les, alors, un livre "Légalité de l'égalité – une approche du droit aux yeux droits" qui, sous son aspect humoristique, se révèle extrêmement sérieux. Tant en droit qu'en histoire, il va au fond des choses, n'omet aucune facette et ses sources très fouillées ne peuvent qu'attirer le consensus. Vous y trouvez, fin de la première partie, des pages éclairantes qui "traversent" toute la société. Et ne repèrent le mot social que, là, où se trouvent la misère matérielle ou la santé déficiente. Par exemple, assistante "sociale" et sécurité "sociale" etc. Vous trouvez cet ouvrage en téléchargement gratos sur "freethewords.org". Le "social" ce n'est plus que pour le caniveau ou l'échec alors que ce devrait être inscrit, fièrement, au fronton de la civilisation ? Les deux phrases de Marx devraient, elles aussi, se voir introduites, avec éclat, dans le "préambule à la Constitution"…Des citoyen-ne-s archi fier-e-s de leur société ça peut exister, non ?
L'exagération ne surgit donc pas de nous mais des (non) dirigeants. Le nez au milieu de la figure se fait voir tous les jours. L'organisation "sociale" où le mot social demeure un des plus beaux de toute la langue. La désorganisation capitaliste (hého! toujours à ronfler, purée ? "déréguler" provient autant de "dérégler" que "d'irrégulier" – que vous faut-il de plus pour flairer la délinquance là où elle se situe réellement ?) oui, la désorganisation capitaliste se dit, à chaque seconde, anti-sociale. Pas d'associé-té, mais une dissocié-té: l'ennemi capitalistique du plus grand nombre. Le hic c'est, qu'en 2009, le temps que la lumière parvienne (première ligne déjà archi au courant!), le capitalisme a perdu toute légitimité possible. Jusqu'à la fin de son temps historique…Out en août ? Aucun des "points d'appuis" ne lui appartient désormais. Ce fait reste masqué du fait que les lourdauds maladroits, qui encombrent, ridiculement, tous les médias (certain-e-s même au nom des gauches!), au sens fort, ne savent pas penser. Leurs corps ne dansent donc pas la grâce de ce don. Et, comme (ennemi-e-s de vous-mêmes!) vous ne "croyez" que ce vous voyez, vous ratez quasiment tout le spectacle. Paroles de pros: magnifique leur danse dans dans. Le basculement a bien eu lieu, et ce n'est plus penser autrement dont il s'agit, mais vivre, entièrement, dans une nouvelle civilisation. Regardez un peu autour de vous, les danseurs discrets de la nouvelle vie sont bien là. Ah non, vous allez arrêter vos caprices: ils "sont" là . Ainsi que leurs corps ayant, à profusion, prouvé être, entièrement, "passés" dans cet âge d'abondance…de rapports "sociaux". Pas de déluge de fric (ce colifichet pour maniaques compulsifs qui va les rendre de plus en plus douloureusement malades!), hé con !
Conclusion d'étape d'agenda machin ? Le capitalisme, coincé dans la posture de sale garnement dégoulinant de mauvaises volontés, va devoir tracer, et vite, vers la voie de la "sociabilité" isotropique.
Les nectars ce serait que pour les pauvres…
Autre nez au milieu de la gueule: la cruauté socialiste qui n'a fait que torturer la vraie gauche par son "hégémonie". Structurellement immobilisée, aussi. Juridiquement, tout roublard-e un peu téméraire, pourrait les "traduire" (trop exact!) en Justice, pour détournement de biens "sociaux", publicités mensongères (le "social" de socialiste), abus de positions dominantes ou autres. La règle c'est on n'instruit pas les salauds, hé con! Con étant devenu un souple compliment et "salaud" un constat "social" d'immense désapprobation. En conséquence, juridiquement, le plaidoyer pourrait se tramer autour de "social-liste", y-a-t-il encore du "social" ici, n'en reste-t-il pas que les listes, (leurs) listes ? La raison "sociale" n'admet aucune déraison, que nous sachions ? La contrainte "sociale" les enserrera à l'obligation de "participer" à la vraie gauche, après abandon de leur "hégémonie" (puisque soulevant une gigantesque répulsion collective). Ou, à s'auto-dissoudre…
Social, le mot des proches élans affectifs…
Et affinités qui aiguisent les finités des fins…
Drivés par, yes jerrycan. Par…we canned joy... Yes, les "scoops de la pensée" ? Tous les plus fins nectars viennent du bon fonctionnement mental (les dérives orientalistes, par mé-compréhension ou plantages des iceux, sont devenues une "amertume" que les non masos ne sont guère obligés de traîner!). De ce fait, c'est le "tiers exclu" qui "met en œuvre les solutions" (revoir Aristote et le principe de contradiction que les bourgeois ont dégueulassé avec leur capricieux et stupide contraire = contrariété !). Encore, c'est les marges qui tiennent "toutes" les pages et elles, seules, ont lu "tout" le livre. Puis, les dits "excentriques" empêchent, héroïquement, l'effondrement collectif qu'un excès de nombrilisme irresponsable (donc "incentriques" et trop centrifuge: l'effondrement "par" le centre se nomme implosion!) entraînerait. Et tant d'autres, mais faut pas instruire les sal…hey ! serait-ce que vous commenciez à piger les pigeons ?
Nous allons, de ce pas, l'expérimenter immédiatement votre nouvelle faculté. Oui nous allons bien vous aider à tout "socialiser", soit susciter ou développer des rapports sociaux entre les hommes (si vous dites entre les femmes et les hommes ou inversement, vous suscitez du malentendu en ne vous limitant qu'au rapport inter-sexes!). Té, pour "socialiser" tout le social la nécessité de la plus grande des décentralisations s'accélère, hé con! Les jacobins s'étaient plantés, té, pourtant, la marseille-aise ne fut pas une plaisanterie ! Cascades des cas cadets…etcchoûm…
Le social socialisé risque donc de remplacer le socialisme plutôt désocialisé ?
BONUS :
La politique est lente, profonde. Gestations et maturations. Procède le mieux par réflexions en de longues périodes verbales. Comparaisons, récollection de faits, ajustement pondéreux, estimations, évaluations qui prennent tout le corps. Ces immensités mentales ne se peuvent résumer mais, uniquement, se démontrer pas à pas. En un certain nombre de paragraphes. Et jamais avec moins que de longues minutes afin de pouvoir parcourir, corporellement, toute la réponse. Seule digne d'être vraiment dite.
Tout l'inverse, en somme, des médias fous – les pires ennemis de la politique, mais les politiciens ne veulent toujours pas le savoir. N'opérant que par oppositions politiques ou alliances. Sans chercher la vue globale, le synoptique d'ensemble. Champ mental trop restreint.. Sinon, jamais au grand jamais ils n'accepteraient de se couler dans le moule barbare des médias fous. Qui mourraient de honte si leurs intentions étaient vues. Ou si la structure de leurs perverses manipulations de l'information démystifiées.
Nous avons vu de très longues minutes juste afin de pouvoir offrir une réponse assez consistante pour qu'elle puisse être utile. Reparcourue et commentée si besoin. Or les médias, plus que déloyaux, veulent enfermer cette immensité dans quelques secondes. Quelques images. Impossible! C'est la destruction la plus systématique de la politique en tant que proposition-débat-action. Seuls des ennemis absolus de l'Humanité peuvent désirer cette déchéance médiatique.
Caricaturer, soit défigurer, démanteler, déformer, altérer, ruiner – seul résultat possible de l'enfermement de la parole en quelques secondes (est-ce pour cela que les médias ont, généralement, des gueules de matons?). Rien de sérieux et respectueux ne peut être résumé en quelques mots. Ce ne peut être même de la pensée. Il faut, au moins, 3 phrases charnues pour obtenir une esquisse de pensée. Alors quelques mots piquetés aléatoirement ce ne peut prétendre qu'au tir tendu d'armes lourdes. Grossièreté et bestialité. Seul un ennemi peut tenter de vous déséquilibrer en vous enclosant dans une cage si minuscule. Ces médias se démasquent, du même mouvement, comme les sempiternels ennemis des personnes qui les regardent, écoutent ou lisent…
Aucun politicien ne devrait accepter une telle barbarie. L'image perverse qu'en rendent les médias les dessert sur le moyen terme. Renvoyant une image uniquement irresponsable et frivole de la politique. L'espace dont vous disposez reste l'écriture: les médias ont détesté, dès leur début, les penseurs et les écrivains. Sans motif dicible. Ce mystère est éclairci: l'écriture, la parole longue (qui prend plusieurs minutes), la réflexion de fond mettront bas la barbarie médiatique. Cette régression démente. Ce déni du réel permanent. Et cette accumulation d'horreurs psychologiques…
Voir la télé comme une vitre thérapeutique, derrière laquelle défilent nombres de perversités, vous permet d'observer objectivement. Voyez ces visages "aux expressions déplacées": des présentateurs qui "jubilent" devant des informations traitées en négligeables jouets. Ils se trompent carrément d'expressions émotionnelles, ne peuvent cacher les trépidations infantiles de leur corps etc. Etc.? Ne pas trop renseigner qui en serait indigne! Vous triangulez (psychologie posturale) et plongez dans la reconstitution de leurs segments mentaux. Avec tel mouvement, telle expression, telle accentuation de mot etc. – la pensée "réelle" ne peut être que…
Vous percevez, quasiment sans interruption, une sacrée ribambelle d'êtres très superficiels. Sujets aux seuls mouvements browniens. Sans aucune profondeur intérieure. Comment le sait-on? Toute écoute réelle demande, de votre part, un espace intérieur et donc le temps de le parcourir. Vérifier, qu'avant même vous avez terminé de prononcer le mot, ils sautent déjà dessus - prouve qu'aucune résonance n'a pu agir en eux. Ils ne vous ont certainement pas écouté, à aucun moment ils n'ont même tenté de comprendre le sens de vos paroles et de votre attitude intérieure unique. Ce manque de profondeur dévoile des esprits extrêmement puérils, aux idées foncièrement étroites, aux mouvements du cœur infiniment minuscules, aux mobilisations d'attentions quasi inexistantes. Ils se précipitent aveuglément sur un mot, sur une image ou sur une attitude. Comme des protozoaires sur l'éclat de lumière ou la mouvante pénombre (pouvant provenir d'une proie!). Pas d'horizon, pas de recul, pas de distance, pas de gigantisme: ils se punissent eux-mêmes. Faute de s'être créé un espace intérieur de pensée, et d'avoir suivi l'entraînement athlétique qui permet d'estimer (tirer à l'arc sans regarder la cible) et donc de tout peser et soupeser (faire coïncider ratios, mesures, poids et logos (mots)- débute la sagesse corporifiée, soit "la justice en vous). Chaque ratio (vous devenez l'éléphant qui ne brise jamais aucune vaisselle de porcelaine) conduit, toujours plus sûrement au rationnel etc. Etc.? Ne pas trop renseigner qui vient tout juste de s'en montrer indigne! Browniens? Désordonnés et décousus: trépidations et compulsions comme seul "langage non verbal".Votre cerveau est le plus grand magicien que vous pourrez rencontrer. Les aventures mentales dépassent tout ce que les écrans habituels pourront jamais montrer. Oui? Des écrits, peintures, déconstructions filmées (1 film sur 10 000), danses, musiques authentiques (donc non commerciales) etc. peuvent vous en donner une esquisse…
Face à ces prodiges, voyez les bondir bestialement sur les mots, dans le but clair (posturalement) de vous blesser et de vous nuire. L'arme étant de vous "enfermer" dans ce qui n'est absolument pas vous (une image tellement mesquine, sordide, rétrécie!) en déformant le mot ou le geste. La victoire est (avez- vous remarqué le systématisme de leurs plantages lorsque qu'ils évaluent celui-ci "gagnant" et l'autre "loser" – lorsque, dans la course de fond de la vie, il est plus que clair que c'est l'exact inverse?) au bout de "la mise en boîte". Tellement sommaire, grossière et inauthentique qu'elle ne peut convaincre que les pré-dé-terminés!!! L'immense nuisance de ces attitudes – si prisées des médias, mais vous avez pigé que "plus rien ne s'y passe" sauf…– outre, l'outrancier masochisme de soi-même (se priver ainsi des insurpassables luxes mentaux), c'est qu'ils "occupent" tout l'espace social.
Personne ne les jalouse (plutôt l'inverse), nul ne veut leur place (pire que toutes les misères), aucun quidam ne veut les convaincre (la raison n'est pas un "objet" que l'on puisse "perdre" mais une qualité qui ne veut pas "avoir" raison mais "vivre" (être) la raison) etc. Seules les formatés conformes, aux mouvements browniens si étroits, se privant de quasiment tous les trésors de la vie (ces "qualités" infinies, tant durables et bien inépuisables!)- manquent leurs manques. En clair, la seule cible qu'ils atteignent c'est eux-mêmes. Atteints éteints...
"Sortir du cadre" (la psychologie a prouvé qu'afin de résoudre un problème, ligoté de beaucoup de complexités, "sortir du cadre" de la question (enfermante!) posée, obtenait plus de solutions, que toutes autres méthodes) ne se trouve plus dans les médias. Où alors? Dans danse! Précisément là…Allons- nous les laisser à leurs tonnes d'illusions (à bizarres hures tyranniques: ils ne partagent leur présence que sur un mode très contraignant pour les autres)? Oui oui c'était une question! Vous admettrez – alors- que cet auto-enfermement brownien, cette énergique constriction intérieur (qui esquisse les prémisses d'une implosion!) – nous les font plus apparaître dans un aquarium. Enfermé-e-s absolument dans leur enfermement intérieur. Le cerveau est tellement magique que toute image vouée à nuire peut (apprentissage du proprioceptif!) se muer en son inverse d'un pure joie…
Soit – afin de, temporairement, conclure, avec l'humour cosmique inexistant dans les médias fous, sur ceci: qui ils croyaient séquestrer dans des désinformations volontaires se révèlent les seul-e-s qui ne soient jamais en prison. Immensément libres!!! Qui avait dit que les médias ont des dôles de gueules de matons?
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org, onglet 2 "la star des stars"