Mutations comme si vous y mutiez ? (2)
Mais qui était, où est l'organiste, le chef d'orchestre de tout cet unisson des organes? Tout a réussi dans toutes les directions, sur tous les fronts radieux, dans tous les aspects de la vie Lorsque "diriger"mais vers où, vers quoi, semble tant monodirectionnel. Toujours partis sur le lait en poudre de nouvelles pistes. De nouveaux gestes s'agenouillaient pour les humbles partages, de nouvelles fiertés, le cœur qui bout et coule de donner, de nouvelles paroles, chacun dévoilant le passage, le point d'eau de ses rêves, le moment où il avait changé, tourné vers le sablier. Le chez soi des autres. Le chez soi collectif. La chaleur s'extériorisait en étés de vacances qui devaient durer toujours. Si beaucoup se sont rangés dans les casiers d'eux-mêmes c'est qu'ils ne voulaient plus être dérangés par n'importe qui (alors, maintenant, ils le sont par n'importe quoi) tu étais n'importe qui, tous pouvaient t'adresser la parole, plonger au fond de toi, de tes pudeurs, de tes liens, de tes idées, au farfouillis de toi.
Si beaucoup ont interrompu, rompu ces vacances, malgré leurs apparences, c'est qu'ils n'avaient pas compris que vacance c'est d'être libre, disponible, vacant. Non manipulable. Ils font l'occupation d'eux-mêmes! La Terre demeure promise et la marche tenue. Tous avaient eu le même silencieux déclic sautant, s'ôtant de tout ce qui enferme (frontières, activités, rôles sociaux, propagandes dévalorisantes, manipulations désinformatrices, etc.), étant juste eux-mêmes (plus "d'accès" à cette Société de tromperies organisées), inutile d'insister sister. Nous pouvons être tellement d'autres choses tellement…
Ils étaient devenus la Terre, de vrais terriens totalement terrestres. Nous savons la Terre où t'erres. Cours et recours : la Terre fut vécue dans son entière sphère : t'es plus que témoin!…Et tous partirent, quittèrent tout pour la Terre, comprenez-vous, pour la Terre. Je ne connais que les pierres où pi erre, les épines de ce chemin qui mène , dit-on, à ce beau pays : la Terre, comprenez-vous. La Terre dé-terrée. La boucle était bouclée. J'étais fier mais à qui se fier…Les pôles polarisant cette fine toile où ces fils de la vierge, mais les fils du fils enfin, oui ce lent tissage du métissage. Ces mêmes chemins - la main du chemin. Tu reviendras de venir, c'est certain. A force de venir et de venir tu parviendras à devenir. Le temps battant au temps et à ses sécrétions : les tempes qui nous permettent de temporaliser.
Oui enfin, ces pôles épaulés qui polarisèrent ces actes ramifiés de l'Abel premier de notre alphabet…
Oui oui ces pôles disséminés, séminé et séminal, semés de semelles de Terre, ces pôles tous connus ouvertement, je ne peux même plus vous en parler … Puisque ces vêtements en étaient la calligraphie. Comme de nouveaux errants de l'ère recherchaient le contact ( et contact vous le savez désormais!) avec les cycles de la vie animale et végétales, la marche des saisons, le perron où chacune sait son son sous les mouvements célestes - l'est céleste ne l'oublies moins. Et la saison sait son son. Le printemps c'est le temps, son empreinte, le principe épique du temps lorsque l'été n' a jamais ETE et l'automne autonome mnémonique ne peut faire oublier justement que le vernal hivernal nous esquisse que l'hivers vers quoi d'ailleurs…
Les quatre flèches cardinales t'en rendraient raison…Le graduel annuel : où loge l'horloge à trimer le trimestre et semer le semestre? Où? Le choix est clair : ou ouest ou est, mais si l'est est le choix de l'ouest (ou-est) où est l'ouest, si tout est est ? Tous les choix deviennent limpides, rond est anagramme de nord refermé sur lui-même; Tandis que le Sud c'est tous ces droits nous restant dus : sud (son anagramme). Parcourant toute la vastitude d'un nouveau territoire, la Terre comme une unité, comme une suprême réalité qui englobe toutes les autres et les ennoblit de son reflet permanent, où chaque lieu, chaque trait de paysage ayant l'âge du pays même, se montre comme un nœud, une antenne, une pointe conductrice, un creux réceptif, un long ruban, un pivot, une rivière souterraine d'énergie - dont la réceptivité de l'univers tout entier s'ouvre toute entière.
Les chemins entre ces nouveaux sacrés lieux nacrés, véritables conducteurs d'énergie naturelle, se laissent apercevoir comme les voies de l'esprit de la Terre réceptive de tout l'univers Le regard radicalement changé : au lieu de s'autodétruire en ne regardant "qu'à l'intérieur" nous nous ouvrons, comme fleurs, au grand extérieur. Nous parvient, alors seulement, la compréhension des concrétions du concret, des sécrétions du secret, de s'oigner de soigner, d'oindre de joindre, de panser par penser et tant d'ex-pressions, libérées du poids du passé et son passif fardeau, afin que les cerveaux vite en acti-vités psychiques le redeviennent…(…)
La ville exige des géants, râpe toute l'Humanité couchée, assisse à te regarder… Que pouvions-nous faire pour que tu saisisses au vol une autre vie plus simple, sans possessions d'objets omnivores, sans consommations gangstérisées et irresponsables, mais où les villes sont dansantes, colorées, parfumées, harmonisées, à l'image des sensibilités : une ville vivable et vivante…Ou bien aurions-nous du nous apercevoir, comme tu nous l'avais appris, que la rue est l'endroit où l'on se rue, où l'on perd le respect de tout (le respect se désapprend toujours par l'impulsion du haut de la Société) - et nous chausser de chaussées, trancher les artères urbaines jusqu'au péri périphérique, déchirer les avenues à venir et renverser le boule des boulevards, ouvrir l'arcade de la rocade, quand le dernier soupir de l'impasse passe et raque jusqu'à la dernière des dernières rueuses ruelles : tu vois d'ici la ville à joie!!!
Mais nous resterons encore et encore assis sur les frottoirs des trottoirs, autour des fontaines qui le font, sur les murs longtemps, longtemps, tant que la cavalcade ne les écrasera pas tous. Les villes étant vraiment faites pour des robots géants.
Alors, allonges toi si tu veux gagner quelques centimètres .
…comme de retrouver, spontanément, notre "cerveau sensualisé" (chaque pensée y devient sensation). Comme à l'ensemble de ses techniques …dont quelques unes de nos plus récentes, restent offertes par ce blog : "Sourire vos digestions", "Comment l'œil vous respire l'univers ?", "Parfum parfait", "S'empreint d'embruns", "Sous la chair des mots – la sensualité d’immensités…","L'athlétisme mental ?", "Délecté lecteur – l’évolution n’aurait pas prévu l’écriture ?", "La vaporisation du moi", "La bibliothérapie ? Les livres guérissent !!!","Quelles formations ont suivi les transformations ?", "La culture viendrait d'ailleurs…", "Unité enchantée" , "Aucun sport n’est plus sportif que le langage", "Où est passée l'énorme déperdition d'intelligence collective ?", "Optimisation de…l'optimisme", "Les points d'appui ?", "Rideau d'eau", "Détectivé ?", "Quand naissons -nous ?", " Tous saufs sauf","Mimétisme comme unique raison", "se perfectionner à la perfection…", "L'infini partout autour de soi", "Les échanges affectifs d'infos", "Dans danse", "La gratitude est le paradis lui-même", "… intelligentil", "Talents et société", "Tant d'instants ?", "Elle excelle", "Et tout fait suite suède de ce qui précède?", "Les profondeurs de l'usage du cerveau ?", "Empreintes", "Un regard pour autrui", "Rendons le futur plus fort", "Reposer le repos d'une question", "Qu'est- ce qui vous amène à vous amener ?", "Toute la spiritualité ne serait que spirales ?", "Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu'imaginé", "Tribus", "Piller les roupillons", "S'organiser autour des organes", "La réalité est complète", "Tri et trois ?", « Butiner le but », « La queste des questions », "Objectivité de la poésie", "Esprit libéré et esprit encombré ?", "spirer et conspirer", "Essaie de dormir !", " Trio vainqueur – sentir, sentiment, senti- mental !!!" , "La Forme à (absolument) tout faire ?", , "Comment garder des sensations de qualité ? (1) (2)", « Efface le face à face que reste- t-il ? » ou bien "La communication qui n'a jamais appris la communication réelle" ? etc. – oui encore etc. En bref, quasiment tout vous serait caché ? Sans doute ! vous pouvez le vérifier sur le blog "Lorsque ne plus savoir admirer tourne à la maladie" (1) un blog a obtenu un titre à part " A votre égard tout sera égards". Grâce à qui ? Toute l’histoire du rire en 5 textes. Aussi, "Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?" du 9 juin 2011…Encore, voir le blog du 16 septembre 2010 « Simuler votre cerveau vous offre toute la réalité » ou comment notre cerveau peut être un véritable magicien à votre service, etc…
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces blogs sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3"La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu