On ne peut exposer de solutions de changements sans être soi-même un changement.
Ce bon montage du réel participe d'un paradigme trop méconnu : la science théorique mène seule tous les progrès matériels qui suivent. Ainsi, depuis l'audiovisuel 2011, le laser, l'imagerie médicale, jusqu'aux derniers progrès de votre portable – tout vient de la physique quantique des années 1960. Or ce sont là ses tous derniers effets concrets. Que va-t-il se passer après ?
L'aube des réponses se trouve, par exemple, dans un un livre choc "Rien ne va plus en physique!" - l'échec de la théorie des cordes, de Lee Smolin, janvier 2010, qu'il centre sur le rejet de toute réflexion fondamentale et le monopole de tous les budgets autour de recherches appliquées qui ne cherchent ni les théories prédictives, ni les expériences de vérifications et confirmations ni les synthèses productives. Et qui, donc, depuis 30 ans n'accumulent que des données sans issues pratiques détectables. Et, le comble de ces savoirs prétendus pragmatiques, technologiques, concrets ou appliqués (mais appliqués de quoi ? en l'absence de toute théorie fondamentale s'appliquer se limite, inutilement, à se coller sur un rocher, non ?). La vraie science appliquée c'est donc la science fondamentale, la science pure, la réflexion généraliste, que les "ignorants" (ceux qui ne veulent rien savoir sont 10 fois pires que l'analphabète qui ne prétend pas tout savoir sans rien expérimenter !!!) proclament, stupidement, science inutile !!! D'où plus de découverte physique depuis 30 ans – donc plus de retombées économiques à attendre !!! Qui sont les archi crétins de la bande ???
Identiquement, la littérature vraie, celle des génies difficilement "assimilables" (à tous les sens du terme !) au début, s'est vue exclue par "l'ignorance" marketing et managériale. Gilles Deleuze avait, pourtant, définitivement prouvé que la structure même de l'édition fait contre productif obstacle invisibilisant à toute émergence possible de génies (puisque sans préalable reconnaissable par es esprits-machines ils ne peuvent être classés, étiquetés et se voient, ainsi, bestialement, exclus des codes- barres à quoi se rétrécit, suicidairement, toute la société !!!)…Et, depuis, les arriérés éditeuriaux méconnaissent tous les génies actuels – en bavassant, débilement, que leur système reste infaillible pour détecter les talents. Archi faux !!! Le fait qu'ils soient même devenus "incapables" de pouvoir le "reconnaître" plaide en leur terrible défaveur !!! La réflexion de la littérature s'est donc, dans la visibilité, stoppée dans les années 1980. Et les retombées économiques collectives (épuisées depuis longtemps) avouent que des oeuvres qui ne changent pas la vie, ne transforment pas les individus, e sont initiations à rien du tout, ne transmettent plus aucune expérience renouvelable, n'aident pas à penser et ne sont méthodes d'aucunes nouveautés radicales – ne font qu'encombrer inutilement le paysage, sans rien "rapporter" à quiconque…seuls des aventuriers de l'esprits, des penseurs indomptables, des écrivains vrais, des scientifiques honnêtes et des férus d'expériences directes ont hérité des trésors de la culture mondiale. Pour la majorité de la population, trop clair, que l'absence des génies leur manque cruellement: le marketing barbare s'est donc archi trompé…Les dernières avancées demeurent, décalée dans le temps, le "work in progress" : le changement que vous apportez réside déjà dans les mots, la syntaxe, le rythme des raisonnements, la visibilisation de la page que vous employez…Au début, quelques difficultés à entrer dans les routines, mais, ensuite, bonjour les éblouissements et les épiphanies !!! Nul ne peut parler vraiment de changement s'il n'est pas déjà tout le changement dont il parle.
La vraie littérature fondamentale (vous avez la soi- disant "difficile" !) produit toutes les littératures "appliquées" qui lui succèdent (les conformismes d'aujourd'hui ne sont que les anti-conformismes d'il y a 25- 30 ans et que, donc, si l'on est "normal" l'on cherche les anti-conformismes véritables d'aujourd'hui, oui ou non ? sinon vous ne trimballez que les poussières malodorantes d'hier, non ou oui ?)…A cet égard, avec le sous titre clairvoyant de "la bibliothèque du futur?" nous vous faisons prendre sacrément de l'avance grâce au site (gratuit en plus !) freethewords.org (libère tous les mots ou rend les tous gratuits!)…
Nous avons accumulé le fait de participer à des "groupes de réel", d'élargir nos sources à toutes les activités sociales à travers des associations de terrain et des collectifs transversaux, de lier et relier de multiples savoirs et des méthodes qui vont avec des sciences, littératures et expériences humaines – nous nous trouvons à la pointe de la vie ardente, sans cesse passionnante qui ne connaît pas la crise ni l'ennui. Nos buts demeurent de rester du côté des solutions pas des problèmes, de connecter le pratique avec les synthèses mentales qui les "conçoivent" (rapports à la gestation et la naissance !)…
Autant pour la science irréductible que pour la vraie littérature les dégâts causés par les "Lost in management " de François Dupuy – février 2011, les "Comment la théorie financière a produit le krach 2007-2009"*** le sous-titre du livre "L'arrogance de la finance" (plus ils se trompent plus ils s'aigrissent à l'autoritarisme sourd et aveugle !) de Henri Bourguinat et Eric Briys, etc – sont désormais identifiés comme les fauteurs de troubles planétaires. Ceux qu'il s'agit de démasquer au plus vite si nous ne voulons pas recevoir des catastrophes si "redoublées"…
La science fondamentale doit se voir déblayée de ces trop incompétents imposteurs si nous voulons ALIMENTER LE FUTUR DE L'ECONOMIE. Les conformistes actuels, les charlatans au sommet tuent, actuellement, tout futur dans l'œuf. L'avenir se prépare longtemps à l'avance (le court-termisme est son plus dangereux terroriste) et ces dirigeants ne présentent aucune des compétences anticonformistes nécessaire pour cette fonction la plus difficile, la plus adulte et la plus sensée. Les minables de l'hédonisme aveugle, sans le moindre argument "durable", sans grandeur, sans beauté ni la moindre intelligence, ont donc fait barrage aux experts du futur …C'est même pourquoi l'immense dommage causé aux génies de la pensée et de la littérature doit être réparé, sur le champ, selon les modalités de Gilles Deleuze…
Comme nous le montrions, dans "L'ardeur sociale", au-delà d'une certaine dose, le commerce devient un poison extrême, un danger social permanent, quelque chose de pire que n'importe quel terrorisme. Avec les contrepoisons de "pas de contenus aux mains des superficiels commerçants" et pas "plus du tiers des activités sociales entre leurs mains trop ignorantes" (en aucun cas, le commerce ne doit diriger la société – depuis 30 ans, sa bêtise exhibitionniste l'a fait, nous voyons les résultats nihilistes !!!). Par contre , en deçà de 33 % (1/3) des activités sociales, tout le commerce devient bénéfique…et ses bénéfices, ontologiquement, bénéfiques…pourquoi ? Le commerce, dans aucune civilisation, ni à aucune époque NE PRECEDE. Les pionniers sont les producteurs, les créatifs, les artisans, les penseurs, les scientifiques, les paysans, les ingénieux, les écrivains, les artistes, les industrieux ou les aventuriers. Le commerce ne vient QU'APRES. Ceci veut dire que, sans la présence préalable des découvreurs et innovateurs, le commerce ne pourrait tout simplement pas exister. Aucune qualité à transmettre! Or, seules les qualités créent la valeur véritable, et (sauf pour les arriérés ignorants du capitalisme!) jamais les quantités. La hiérarchie du réel s'apprend, notamment par "les enveloppants ultimes". Par exemple, le langage contient toutes les sciences et aucune science ne contiendra jamais tout le langage. Ou bien la Terre contient tous les pays et aucun pays ne contient toute la Terre. Aussi, l'environnement demeure plus important que nous puisqu'il est identique à nos prétendus intériorités et nous si rarement à lui. Encore, nourrir un animal que nous mangeons ensuite c'est nous nourrir aussi – par conséquent, nuire à la santé de cet animal c'est, au bout du compte, niquer la nôtre…etc etc…
Le commerce ne connaît rien à la hiérarchie du réel, ne sait absolument pas penser ce réel "global", encore moins estimer, peser, mesurer, jauger, juger, etc (toute fonctions du logos grec). Non plus, il ne sait voir et prévoir…de la sorte, 3 des piliers de la tête du vrai dirigeant lui manquent…
De ce fait le commerce ne doit jamais diriger aucune société. Et l'O.M.C. doit se voir rétrogradé à au sous direction soumise à la recherche, à la science, à la décision, à l'art ou à la vraie littérature…il ne doit plus prendre de décision "mondiale": plus grand fauteur de troubles que lui, ça n'existe pas !!!
Notre civilisation doit mettre toutes les chances du futur de son côté. Qui depuis 35 ans cumule toutes les catastrophes systémiques, les dégâts et les destructions intra-sociales – FAUTE D'AVOIR APPRIS A PENSER – doit être démis des fonctions, qu'à l'évidence générale, elle/ il ne ait pas remplir !!!
Apprendre les complexités, les pluridisciplinarités, les paradigmatiques et les "émergences" était primordial, les non-élites des sommets ont fait barrage…l'heure que les casseurs soient les payeurs est donc arrivée…
Bizarre, en un premier abord, que ce soit nous qui devions faire l'âpre police des détraqués du sommet. Tout ce que vous direz sera retenu contre vous, etc.
N'est- ce point ce que nous sommes déjà en train de faire !!!
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos" et "Remue- ménage", onglet 2 "Présent !", onglet 4 "Nul n'est nul" ou, encore, "Je ne parle plus à qui a raison".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu