OPPOSANTS AU GIEC: ILS ONT PROUVE QU'ILS DOIVENT CHANGER!

Publié le par imagiter.over-blog.com

78210008

 

Des attaques sournoises de l’establishment contre le GIEC, nous pouvons commencer d’en esquisser un résumé. En gros, le principal argument c’est « le soleil chauffe » !. Mais, l’actuel manque cruel d’esprits synthétiques nous fait louper beaucoup de trajectoires. Le pervers et si malhonnête fonds de l’argumentaire : les activités humaines ne détruiraient pas le climat – c’est bien son extension subreptice à tous les domaines. Ces activités ne font donc pas disparaître les espèces vivantes, ne font pas un trou dans la couche d’ozone, ne détruisent pas les terres cultivables, n’étouffent pas les océans, n’appauvrissent pas le biotope, ne consomment pas toutes les ressources non renouvelables, ne rendent pas l’air irrespirable, ne créent pas des effets de serres, etc. C’est bien cela le versant très délinquant de ces attaques si relayées dans les télés que c’en est devenu une nonchalante certitude selon les segments : le « réchauffement » climatique c’est l’activité du soleil, pas les activités humaines. Donc si les activités humaines de portent pas atteinte au climat, elles ne portent atteinte à rien. Il n’y a rien donc rien à changer dans le style de vie étatsunien qui a besoin de 7 planètes pour persister, qui consomme plus d’eau que 100 africains, plus de déchets que 2,5 éléphants et minoritaires (4 % de la population) peut consommer 60 % à 80 % de certaines ressources etc. Le simplisme médiatique et son phrasé propagandiste cumulent les « dénis du réel » sans rien changer de ses comportements ni mentalités. La dernière évidence : ce sont les riches qui créent les déficits (que nous cernons dans un autre article !) ne semblent pas atteindre la rétraction qu’est devenu leur cerveau.


De ce léger tour de la problématique, nous ressentons que ces esprits ont, entièrement, quitté le socle des légitimités. Notamment intellectuelles, morales, normatives, responsables, fiables comme de se constituer en modèle. Elles sont en train de virer vers, juridiquement, « l’incapacité majeure » qui va, par étapes, leur enlever tout droit à diriger quoique ce soit.


Mais, nous voici avec la « patate chaude » dans les mains. Réparer ce dont nous ne sommes pour rien. La première évidence c’est que ce n’est pas avec l’état d’esprit, qui a causé les catastrophes en chaîne actuelle que nous résoudrons les problèmes, mais bien en « sortant du cadre ». A l’aide de nouveaux raisonnements (voir, sur ce blog, nos essais en ce sens).


 Commençons donc sans tarder (un détour de 2 petites pages avant de revenir au "climat")

 

D’'illustrer cette entrée par une citation, accélérera la prise de conscience. "Les espoirs placés dans l'autonomie économique l'emportent de plus en plus sur les attentes placées dans l'action collective" (Pierre  Veltz, La grande transition 2008, p. 31)". Notre Société fonctionne donc, actuellement, sur la plus dangereuse des utopies de toutes. Faire croire que la Société fonctionne sans "social" est aussi scélérat que de vider un corps de son sang pour lui faire croire qu'il peut vivre sans. Inciter à l'anti-socialisme, à l'asocialité, au solipsisme égoïste se nomme, juridiquement, "grande délinquance du sommet". Distiller le poison nihiliste des parties supérieures au tout, du détail plus grand que la synthèse, de l'individu plus collectif que le collectif – c'est bien d'un crime contre l'Humanité dont il s'agit. Le hurlant "déni du réel" qui sous-tend ce délire post-nucléaire (chaque "éclat" s'auto- convainc qu'il est, à lui seul, "l'ensemble"), c'est cette soi-disant "mondialisation", à hiérarchie "horizontale", qui hurle de mensonges. La crise de 2008 a archi prouvé qu'il s'agit de la plus grande centralisation financière très hiérarchisée (verticalement) qui n'ait jamais été vue sur la planète. Qu'un banque étasunienne s'effondre et que la Terre vacille signe cet hyper-centralisme. Que des 60 firmes de multimédias et télécommunications de 1995 il n'en restait plus que 5 en 2009 renforce la certitude de centralisation extrémiste. D'où la frénésie malsaine des médias (inexplicable autrement !) afin de cacher ces forfaits !!! Pourquoi la majorité de la Société refuse de connaître la réalité telle qu'elle est ? Pourquoi lui tourne-t-elle carrément le dos? Déjà de signaler la jouissance et la libre plénitude qui vous habite de ne pas "être piègé-e-s" par cette ambiance maladive et sans issue, peut en aider certain(e)s…

Ensuite, retour à la matérialité du quotidien...


Même parmi les frénétiques participants aux médias fous, parfois, vous pourrez y entendre résonner un petit air de raison. A la question de son opinion sur la télé-réalité la réponse sonna "ce n'est pas être contre qui importe mais de signaler qu'elle occupe la place d'émissions fédératrices tellement plus importantes et socialement plus utiles". Trop exact! Il existe des structures mentales qui s'avèrent incapables de comprendre autre chose que ce qu'elles disent, qui se montrent inaptes et incompétences aux opinions différentes et divergences. "Pensée photocopies" qui renient, absurdement, leur "original"! La régression sociale, inscrite dans ces mentalités, les rende incapables de comprendre que beaucoup plus de citoyen-ne-s que l'on croit n'en ont carrément rien à foutre de leurs courtes interrogations et de leurs fausses alternatives. Non les préoccupations majoritaires ne se cantonnent pas aux frivolités des marginaux présentateurs/ trices. Leur nombrilisme stérile occupe donc un espace indu: ce n'est pas bien de prendre toute la place et, en plus, de chuter ridiculement dans le "vous seriez jaloux-ses de "leurs" émissions etc…". Pas du tout: tout au contraire, nous les plaignons grandement pour leur vide intérieur mais, vu la nocivité de leurs insistances, nous sommes contraints de nous exprimer fermement. Nous ne sommes pas jaloux du tout mais vous prenez bien trop de place par rapport à la nullité de vos rengaines !!! Faut vous restreindre et partager l'espace !!! Et tout de suite, vous représentez bien les seuls nihilistes, subversifs cinglés, ennemis de la Société, nocifs destructeurs ou dangereux barricadiers – que vous "exportiez" sur d'autres:  votre incompétence au "collectif" tue le futur commun. Vous croyez avoir pris toute la place, alors c'est à la place de qui vos errances ?

Pendant qu'ils sont en train de discuter sur la longueur des pénis ils omettent de s'interroger sur leurs questions vraiment trop courtes, trop infinitésimales, qui disqualifient leur droit à animer tout débat qui soit, pour inobjectivité, immoralité sociale ou malhonnêteté intellectuelle. Non, ce n'est pas le pour ou contre la burqa, le pour contre, le contre pour etc. qui pourra ressembler à une ébauche de débat exhaustif (où toutes opinions peuvent être, concrètement, entendues) – ce qui est tout de même le minimum d'exigence républicaine. Enferrés à fond dans leurs mentalités sans issue, ils/elles se construisent tant de perversions afin de tordre toutes choses (de façon anti-civilisée!) en leur seule faveur. Leurs fausses compréhensions ne font que du vacarme et lassent de couleurs criardes: jamais la moindre conviction ni sincérité.


Ainsi, quelle n'est pas la surprise, pendant que le GIEC essaie de former une opinion collective fondée, de voir surgir des énergumènes (purs produis des médias fous et qui, de ce fait, peuvent avoir un impact disproportionné par rapport au sérieux de leur pensée) qui osent "le changement climatique c'est le soleil et à 10 % les activités humaines". Cette irresponsabilité devient bien criminelle, balayant en 2 phrases le travail du GIEC et tout savoir les précédant. Les "dénis du réel" pleuvent: écartés les "gazs à effets de sphère" (au-dessus des villes ces cloches plus chaudes signent les effets des activités citadines), les trous dans la couche d'ozone (preuve flagrante des effets des activités humaines), les pluies acides, l'accélération des désertifications (dues aux activités humaines), les dust bowls (lorsque l'agriculture intensive transforme l'irremplaçable terre en poussière que le vent emporte plus loin) etc. Disparues (de la vue !) la disparition accélérée des espèces (la 5ème ou 6ème  grande extinction), la mise en danger du biotope, la diminution des surfaces cultivables, les menaces sur l'avenir de l'eau etc. Et, en plus, etc. Non le soleil crée de 85 % à 90 % du réchauffement de la planète. Pendant ce temps, les maladies respiratoires se multiplient (tout le monde "parle du nez", vérifiez donc !). De 1 nouveau-né sur 10, en 1970, ayant des problèmes respiratoires de toutes natures, nous avons dépassé le 1/3 en 2005 et allons vers 1 sur 2. Si la qualité de l'air ne fait pas partie du climat on se demande ce qui pourrait en faire partie. Non, magiquement, les activités humaines n'ont aucun impact sur le climat. Or c'est la Terre qui fait le climat et pas nous. Et comment fait-elle le climat ? Vous ne trouverez nul concret dans leurs dénis nihilistes du tout: vous vous étiez trompés de réprobations. Le réchauffement n'est qu'un des paramètres du climat: de l'isoler pour décréter (sans preuve!) que le soleil "est chaud", signe plutôt votre trop courte compréhension qu'autre chose. Ce n'est pas parce que vous ne pigez pas grand chose que vous devez obliger les autres à déchoir comme vous…La manipulation incessante des mots "réchauffement, changement, modification, bouleversement…." signale, déjà, une forte tendance à la malhonnêteté intellectuelle. Changer sans cesse les mots, politiquement, prouve juste que vous ne vouliez pas, réellement, changer les choses. Mais là, votre vulgarité (la pire celle des soi-disant élites!) dépasse les bornes: le soleil chauffe, nous étions au courant, mais il ne peut atteindre un impact calorifique plus grand que si la couche d'ozone nous protège moins de ses ardeurs: c'est le cas de l'Australie. Que si l'effet de sphère ne rend pas prisonniers ses rayons (solaires), les empêchant de repartir vers l'espace. En augmentant sensiblement la température. Avec l'apparition des médias fous, ces phénomènes de mémoires plus anciennes "sont"(!) disparus (action +ontologie!). Ils ne sont pas modernes (pas cités récemment dans les médias ils "n'existent plus"!), pas tendances, à la mode-style-ma-dictarture-devient-"la"-mode, pas "in" et "win"etc.


Ce que nous obtenons, en fait, c'est le discrédit radical de la mentalité des médias comme "inaptitude grave au réel", de "tendances à la tyrannie mentale" (imposer sans argumenter avec exemples à la clé, ce n'est plus démocratique) ainsi "qu'atteint de bouffées délirantes se faisant passer pour l'existant". Pire, la mentalité des médias entraîne l'Humanité vers le suicide collectif: cette mentalité n'est plus admissible et pas du tout durable !!! La cruauté barbare des médias fous, avec leur brutalité de soudards dans les exclusions (donc toutes de fondements illégitimes: non seulement ils excluent violemment mais ils n'en avaient même pas le droit!), affleurait dans " ce qui ne passe pas à la télé n'existe pas ". N'est-ce pas une des phrases les plus dictatoriales que vous n'ayez jamais lues ? Dictature = ennemi du plus grand nombre ? Ce qui ne passe pas à la télé n'existe tout simplement pas: cela ne sonne-t-il pas comme flagrant fanatisme? ou bien babillage de bébé inapte à tout sérieux ? ou, encore, artificialité morbide sans issue ? etc. Pourtant…


Discrédit radical: "la matière noire" représente plus de 90 % de la réalité de l'univers. Vous ne voyez ni l'air ni le vent, ils sont pourtant bien plus indispensables que toutes les illusions d'optique. De 60 % à 90 % de votre fonctionnement mental (selon la personne) vous reste non perceptible, votre cerveau fonctionne bien pourtant. Idem pour le corps plutôt automatique etc. En bref, la plus grande part de la réalité nous reste invisible. Donc voir ce n'est sûrement pas savoir. L'effondrement des exigences qui siège dans les télés émousse, énormément, leur "droit à normaliser le réel" (ils n'en savent rien:! ils prennent les leurres pour la réalité! on ne peut plus leur faire confiance! etc.). La majorité de ce qui se passe de réellement passionnant, gratifiant, adulte etc. se passe donc "hors" des télés. La belle vie et la joie c'est de se tirer de leurs putréfactions malhabiles. Que du bonheur lorsque vous leur tournez le dos. La part du réel que "couvrent" ces télés reste par trop étroit, minuscule, borné ou limité !!! Nous sommes tous-tes tellement plus grands !!!


La mentalité des médias fous nous apparaît, donc, tel un échec assez monstrueux, dont nous devons nous méfier, nous défier, nous préserver, nous prémunir, en fortement douter, voire nous en défendre. Certains les écartent déjà par répugnance (vus leurs incessants abus de pouvoir ou de positions dominantes). Vu, aussi, l'ensemble de leur opinions, en fait, très peu libérales ou libertaires, permissives et tolérantes, assez régressives, antisociales,  anti-progressistes, plutôt barbares et sans compassions, comme refusant tout réel changement, toute évolution (coincées dans son "passé en boucle"!).


D'autres commencent, très visiblement, à s'en écarter. Et vous ?

 

(à suivre)78210008

Publié dans méthodes de pensée

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
J
<br />  j'ai voulu savoir ce qu'était le GIEC, déjà sur wiki, j'ai vu que cet organisme censé donner des infos scientifiques aux dirigeants des pays, pour les aider à prendre des mesures pour nous protéger des dégâts<br /> de certaines activités humaines, industrielles, agricoles ..., et bien, ne sont que des personnes passant leur temps à se justifier sur les résultats de leurs études scientifiques, et pendant ce<br /> temps largement dépensé en vérifications, dénonciations, gueguerre entre scientifiques et politiques, le monde continue de produire ses poisons ... une solution ? au lieu d'avoir un organisme<br /> scientifique mondial payé par les pays (donc nous et/ou les trop gros riches influant aussi ce genre d'organisme!) qui récolte les résultats d'analyses de part le monde, pourquoi ne pas créer un<br /> organisme indépendant (éviter les pressions-corruption) dans chaque pays qui étudierait les impacts sur son propre territoire et de ses propres activités, et ensuite rassembler les<br /> conclusions/observations/solutions à un niveau plus large, géographiquement (même typologies géographiques/culturelles) et enfin mondialement. A chaque niveau, des propositions seraient étudiées,<br /> puis appropriées pour une application presque immédiate. Quelle économie de temps et de moyens! <br /> Quand on pense qu'il a fallu 5 ans (1990 à 1995) pour avoir le premier rapport du GIEC, puis le deuxième au bout de 6 ans (1995/2001), et le 4 ième au bout de 6 ans (2007), le prochain étant pour<br /> 2014 !!!, et que les résultats ont été démentis, re-vérifiés, ... on se demande qui va le plus vite, le réchauffement de la planète ou les rapports sur celui-ci ? sans oublier que les solutions<br /> proposées ne sont pas forcément adoptées par nos dirigeants, et adaptées aux pays .. ?? .. ) alors, vous, vous voyez bien, au quotidien ce qui ne va pas, les maladies chroniques, la qualité de<br /> l'alimentation, de l'air, le climat, la prise en charge des soins, ... avez vous besoin d'un rapport du GIEC pour "savoir" ? Ce qu'il faut, c'est des décisions au plus près du terrain, plus de<br /> parlotes, de blabla, il faut agir en s'associant ...<br />
Répondre
I
<br /> <br /> bonne recherche - c trouvé<br /> <br /> <br /> <br />