"Où trouver encore du sérieux ?" et que pouvons- nous faire

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IV  -  Que pouvons- nous tous faire ?

 

Si vous avez réellement vécu le "work in progress" des deux parties précédentes vous le savez déjà. C'est bien par la compréhension exhaustive de ce que nous devons quitter (l'infantilisme économique, un style de vie destructeur, le capitalisme antidémocratique et l'inefficacité coûteuse du tout pour le Privé) que le changement se densifie. La formule réside dans la formulation. Sinon (même si vous croyez tenir le haut du pavé) si vous n'êtes pas dans le mouvement qui porte la compréhension du mouvement, c'est bien que vous êtes vecteurs d'aliénations. Nous allons découvrir, plus tard, ce qui se cache derrière ce concept.

 

Un changement se fait avec tout l'être. Seuls les délires publicitaires pouvaient vous faire gober qu'un changement puisse avoir lieu sans vous. C'est vous le changement et chaque parcelle de vous vibre merveilleusement dans la mue complète. Ne voulez-vous pas que tout un-e chacun-e bénéficie, aussi, d'une telle renaissance ? Il s'agit, alors, d'aller pas à pas afin que rien ne soit omis. Que tout soit transmis.

 

D'abord, quoique que Karl MARX ait abondamment prouvé les processus de l'exploitation de l'homme par le vol de ses plus-values et l'inéquitable compensation de sa valeur- travail – que cette exploitation persiste et s'amplifie, ne peut que scander le scandale. Nous sommes à jamais scandalisés par la bassesse du capitalisme. Devant cela, vous vivez comme un complet soulèvement moral, affectif et émotionnel; étant entendu que la "peste émotionnelle" c'est juste "tête chaude et cœur froid" et que la peste antiémotionnelle demeure nettement plus dommageable et nuisible puisque c'est "tête froide et cœur froid", l'insensibilité affective étant bien la pire des antisocialités qui empêche toute possibilité réelle de sympathie et de partage, substances des liens sociaux. Vous ne pouvez avoir confiance dans qui renie les émotions. Et comme l'évaporé Karl Lagerfeld osait "si vous n'aimez pas n'en dégoûtez pas les autres" pour couvrir et se rendre complice des dealers hard de la télé dure, mais sans appliquer à lui-même cette noble prescription, disons que "si vous n'aimez pas la vie et la planète (définition affective du capitalisme) n'en dégoûtez pas les autres. Si vous voulez vous suicider n'entraînez pas les autres. Si vous n'aimez pas la fin du capitalisme n'empêchez pas les autres d'aimer." Par exemple, la part des plus-values dans les salaires demeure, juridiquement, de la vraie spoliation. Si la TVA se permet de s'abattre sur tout le monde, il reste logique que la valeur ajoutée (entièrement collective) s'ajoute aux salaires. Avec net effet rétroactif. Remboursez ! remboursez ! Le capitalisme est, partout et en tout, dans les cordes, tout suintant d'illégalités, d'inégalités et d'injustices. Plus rien ne peut le défendre, désormais.

 

Vous venez, présentement, de ressentir la complète certitude que le capitalisme c'est fini, que la page est en train de tourner. Tout y est vieux et poussiéreux, superficiel et inconsistant, rien n'y est défendable et justifiable. Complètement dépassé, plus rien qui n'attire mais tout qui repousse de nausées et répulsions. Comment des êtres ont pu chuter dans une telle déchéance, pétries de seules mesquineries et sournoiseries ? Lorsque est rendu visible, comble du non sérieux et de l'inefficacité, que le capitalisme représente le pire système qui soit. Quand la démocratie demeure, toujours, le meilleur ou le moins pire (c'est pour cela qu'il est tout fait pour l'empêcher) : le capitalisme transparaît comme de l'antidémocratie structurelle (sacrifier la planète et l'Humanité pour l'infime minorité des marginaux capitalistes c'est refuser la loi du nombre, la règle de la majorité, donc devenir l'extrême subversif des valeurs démocratiques, non ?) et de l'antidémocratie quotidienne en actes (que, sous son règne les inégalités réelles – par les seuils chiffrés ou les baisses de pouvoir d'achat - explosent demeure, juridiquement, injustifiable et indéfendable, non ?). Tous ses mots, ses slogans, ses propagandes se retournent souplement contre lui. Désormais, tout le monde a hâte de lui tourner le dos et de courir vers l'avenir riant des efforts d'égalités.

 

  1. Le réel reste accessible à l'intelligence si vous divisez les difficultés pour les résoudre une à une, sans omettre, ensuite, la nécessaire union de tous les éléments de votre solution. Vous divisez le réel en segments et vous vous maintenez près de la prise la plus actuelle, la plus proche de votre quotidien. Vous résolvez le premier segment, puis le second, ensuite…etc Vous venez d'escalader une montagne, réputée infranchissable, simplement en ne la regardant pas du très décourageant tout en bas, et en ne vous tendant que pour chaque étape sans se soucier des suivantes. Dans cette optique posturale, nous avons visité PHYSIQUEMENT tous les concepts infantiles de l'économie et notre récolte s'avère gigantesque, porteuse d'un complet changement de mentalité. Ainsi l'argent s'est révélé comme une fiction purement humaine. L'essentiel devient que cette fiction ne détruise rien de ce qui constitue le "réel". Nous avons rencontré des fanatiques qui "croient" que l'argent "existe" et qui accumulent actes nuisibles sur actes toxiques : l'essentiel devient de les entourer d'un cordon sanitaire. Les activités humaines s'avèrent dangereuses pour l'avenir de la planète, voire la perpétuation de la vie. La Raison appelle donc à limiter, restreindre ces activités humaines aux strictes limites de la préservation de la vie et de la planète. Nous avons vu les conséquences désastreuses des délires comme le profit, la croissance, la compétition ou la consommation structurellement délinquante – ces concepts sont en train de se Ringardiser à Grande Vitesse - R G V, il faut en accélérer l'annihilation – le but demeure de rendre l'argent socialement inactif. Comme, seuls, les êtres réellement simples résolvent la complexité en en respectant les nuances et les diversités (changer les choses sans en blesser aucune) – l'exact inverse de la pensée unique, ce déni hystérique à la réalité biodiverse et à la survie de l'Humanité par la surrection des 8 intelligences humaines et la mutualisation des expériences et savoirs mondiaux. – il s'agit de trouver les actes qui résument tous les autres. Seuls les êtres simples (unis à leur corps et sans arrières pensées) le font au mieux : réduire au maximum les activités humaines c'est quitter la rengaine de stupidité du capitalisme qui cumule le sommet de la bêtise (pillages et gaspillages) en alliant surproduction et sousconsommation pour le plus grand gaspillage possible (voir fruits et légumes 2008), qui provoque, dans ce prolongement, nombre de faux besoins; de ceux qui empêchent la création réaliste des "emplois nouveaux", si nécessaires pour répondre aux besoins réels de toute l'Humanité, actuellement non couverts.

 

Activités humaines limitées à la durabilité de la planète, nous passons donc à une nouvelle structuration sociale. Dans le but multiple de réduire drastiquement les activités, de répondre aux besoins réels, de structurer une nouvelle civilisation, de quitter la toxicité inefficace du profit et consorts : le résumé s'élève comme le "revenu d'existence", sans besoin du moindre justificatif, pour absolument tout le monde. Ce qui ouvre à l'acceptation collective de cette "pauvreté généralisée" de tout le monde : 2000 € par mois. La richesse exagérée se voit, ainsi, bannie de la Société, mais un "salaire maximum garanti" permet à qui, en plus de son revenu d'existence, désire participer à l'économie des besoins. La richesse socialement utile se voit bien acceptée (la richesse exagérée reste socialement nuisible). L'âge de la paix sociale advient (paie venant d'apaiser, le revenu d'existence diffuse la paix du respect par le respect de la paix) et nous pouvons, enfin, accéder à "l'amour social" que, seuls, quelques pionniers ont atteint de vivre et ressentir, à la fête sociale permanente, à la célébration de la vie par tous les arts, aux échanges planétaires d'expériences, à la gratuité et aux "biens communs" ou, encore, à l'apprentissage de comment protéger vie et planète. Cette brève esquisse du bouquet de solutions provient de ce qu'il s'agit de demeurer, encore, elliptique. Etc etc LA RICHESSE COLLECTIVE (jamais encore vécue) DEPASSE TOUTE RICHESSE PRIVEE SEPAREE. Du jamais vu. Tout s'enchaînant, il y, désormais, internalité complète des coûts réels : appartenant au Privé vous n'allez plus faire payer vos délires (externalisation des coûts) par les autres. La Nature entre dans la comptabilité nationale, ses services gratuits sont dédommagés par "rigueur scientifique" : en effet, dire que vous "créez des richesses" en exploitant la nature en "détruisant" donc ses richesses, ou en externalisant vos coûts aux dépens du milieu naturel est, soudain, perçu comme antiscientifique. Du trépignement de sales gosses. Dans ces conditions, la croissance comme mesure économique est déclarée comble d'irresponsabilité, un PIB qui n'inclut que les gains commerciaux (qu'ils soient de catastrophes, de pillages de la Nature ou de vols scandaleux des prétendus primitifs "brevets déposés sur leur herboristerie" etc) se voit, brusquement, considéré comme anticonstitutionnel (une "fraction" de la population impose son fanatisme inargumentable à la nation entière, et "la résistance à l'oppression" reste un "devoir du citoyen"!).

 

Les Bourses sont toutes fermées pour parasitisme économique, délinquance spéculative et mise en apex d'irresponsabilité. A moins qu'elles n'acceptent de "privatiser leurs pertes". Plus de spéculation possible (une faute politique que de l'avoir "toléré" !), les investissements ne peuvent plus $ être à court terme (ce déni de la logique). L'ex capitalisme est devenu "bien public" : les "biens communs" sont déclarés gérables par la sagesse humaine. Ridiculisées, à jamais, ses privatisations des bénéfices et nationalisations des pertes : le comble de la crétinerie du "pile je gagne face tu perds" – comment oser se prétendre SERIEUX si vous n'acceptez pas les pertes potentielles de vos bénéfices ? Jugé comme crime contre l'Humanité la cruauté immense du "pas de solvabilité pas de besoins" : la Société étant jugée d'anticonstitionnaliste et de régression sociale non justifiable de l'avoir toléré. En 1789, les droits de l'homme se prononçaient droits à de la nourriture, à un toit, à des soins et à un accès au savoir. Conditions minimales pour pouvoir remplir ses devoirs de citoyen. Les droits de l'homme (devoirs de la Société) c'est pour pouvoir remplir les devoirs du citoyen (droits de la Société). Au moins, se maintenir à ce niveau : ras le bol des régressifs délirants des médias voyous! La fierté nous inonde de partout! Dire "droitdel'hommisme" devient preuve juridique de diffamation constitutionnelle …En 1958, s'y ajoutait "le droit au travail" : si l'organisation de la Société ne permet pas de vous fournir un travail c'est elle qui est dans l'illégalité, elle doit vous faire réparation. Donc le travail est bien un droit et ce droit vous est dû, un revenu vous est bien dû. Le lester de conditions est tout à fait illégal, très anticonstitutionnel. Vous vous apercevez même que le "revenu d'existence" englobe toutes vos problématiques et les dépasse toutes.

 

Ce début de liste (qui ne peut, stratégiquement, dévoiler l'entièreté de son potentiel) se doit d'être complétée, sans cesse, par toutes et tous. Que cette faible esquisse vous soulève, déjà, d'enthousiasme, ne permet pas, non plus, d'argumenter négativement dans la malhonnêteté intellectuelle. Ce paragraphe se veut juste une ébauche qui embauche. Rien de plus.

 

  1. Changement de paradigme. L'Economie réenchâssée dans l'humble économie de la Nature, nous retrouvons, enfin, la vraie hiérarchisation du réel : la Terre peut se passer de nous en se grattant de catastrophes, nous ne pouvons nous passer d'elle , elle est le nid inévitable de la vie et la matière toujours première (la matière, elle, est "meilleure" que nous, elle remporte et remportera toujours le top 10, nous ne pourrons la supplanter dans ce classement : pour le bonheur de tous, admettons-le !).Toute activité qui porte atteinte à la continuation de la vie et de la planète se doit d'être bannie pour "antiéconomisme irrécupérable" – économiser veut dire épargner, protéger thérapeutiquement , soigner, sauver la vie, pas du tout ce que les délires capitalistes (quelle insurpassable vulgarité que ce "profiter de la vie" que seul un cerveau de maquereau peut émettre, n'est-ce pas) vous leurraient. L'argent ne respectant pas le futur il est placé sous haute surveillance, méfiance maximum pour le plus dangereux des énergumènes. Tout l'inverse d'actuellement où le laxisme à son égard reste inexcusable, une lourde faute politique qui oblige à les "démissionner". Ne contient-il pas ce "noyau dur de délinquance" qui corrompt bon nombre d'esprits se croyant "d'élites"? Par multiplication des contre pouvoirs ou "réalisations" (pratiquement et dans la conscience) de l'entière décentralisation – nous parvenons à annihiler tous les vieux poisons. Puisque les pollutions ne peuvent être "résolues" que si chacun-e en a l'intime "résolution". Sa "détermination" détermine le futur collectif : en effet, un-e seul-e peut annuler les efforts communs en perpétuant l'esprit de pollution.

 

La culture a/aura voix prédominante sur l'argent – celui-ci étant reconnu comme très négatif, définitivement inapte à l'intérêt GENERAL, non respectueux du futur et donc pleinement suicidaire, contenant bien la dérive gangstérisée qui inverse les valeurs, l'argent s'est montré trop antisocial pour être considéré comme un fédérateur de civilisation : toutes ses censures et calomnies se révélant donc comme crimes contre l'Humanité. Vous frémissez de partout : tout reprend sens !!! tout reprend sens !!! Le fait que nous retrouvions les mêmes cheminements que dans la partie II (l'Economie ne dirige plus rien) prouve, abondamment, l'existence d'une puissante matrice, donc de la présence sous-jacente d'un socle empirico-rationnel fondateur. Vous vous sentiez perdu dans un monde insensé mais cette perversion était entièrement due aux délires du capitalisme qui s'ergotait "irréfutable". Délires tellement envahissants qu'ils avaient pu pourrir les racines du raisonnement, déboussoler la Raison, perturber toute justesse de la justice etc. Un exemple, "l'environnement" – proférer environnement signe que vous êtes carrément sur la voie de la folie. Il n'y a nul environnement puisque nous sommes constitués de la même vie que tous les règnes végétaux ou animaux,. Nous ne sommes pas sur une île SEPAREE de la Nature, à l'écart. Rien qui ne nous environne. Aussi bien, la Nature n'est pas un décor éloigné, la Nature c'est nous, elle nous est autant intérieure qu'extérieure, elle ne peut donc se voir propulsée dans un entourage clos, nous demeurons entièrement liés à elle. Vous voyez bien que dire "environnement" (en faire même un ministère) c'est bifurquer vers la folie. L'environnement n'existe pas, nous ne pouvons ECARTER les conséquences de nos actes en les fourguant à un "alien" imperméable. La Nature c'est aussi nous. L'environnement n'existe pas, il pêche aussi par son flou intégral : où ça l'environnement ? environ par là, quelque part aux environs, que du non précis etc…etc  Pouvez- vous vraiment avoir confiance dans des gens qui déraisonnent tant que ça ? Et s'ils délirent ici que ne délirent-ils partout ailleurs ? Véridique vérifié : voir les délires furieux, profits etc. Leur politique, d'ailleurs et d'ici, accumule erreurs sur erreurs : en Espagne "pour lutter contre la récession" "faire un plan de relance" ils voudraient supprimer l'impôt sur le revenu. Vous les voyez bien "séparés", isolés de la Société, sans plus la moindre compréhension de son fonctionnement GLOBAL, vous les voyez comme enfermés dans un minuscule local perdu dans la vastitude (ils ne vivent pas la même vie que nous, ils ne sont pas du même monde) accumuler les preuves de leurs incompétences et de leurs irresponsabilités, de leurs manques radicaux de sérieux sur toutes choses.

 

En récession, supprimer des ressources fiscales est suicider la Société. Puisque soit il y a crise et, sans manœuvre budgétaire, vous ne pouvez qu'amplifier la crise, soit il n'y a crise que "déguisée" (il n'y aucune crise et le PIB mondial double tous les 15 ans, mais de se mettre en posture de crise vous rend, soi-disant, impuissants à la surmonter, donc inapte à répondre – pendant ce temps, en parallèle "cachée", en 25 ans, 15 % des avoirs publics ont été "donnés" (sic) au Privé). La (non) crise serait juste pour détourner l'attention et produire des non-débats. Toutes ces ignobles manipulations seraient pour que les riches continuent à dévaliser la Société. Dans les 2 cas il semble inutile de prolonger leurs explosives nocivités : les politiciens aux "cerveaux privatisés" sont soit des escrocs soit des délirants  - dans les 2 cas nous devons protéger la Société de leurs in/exactions. Ce qui rend le monde invivable ce sont les illégales inégalités et donc l'absence totale de répartition et surtout pas le très juste impôt sur le revenu : quand  arrête-t-on les délires ? Leurs insistantes "erreurs politiques" les dévoilent exactement comme les plus extrêmes ennemis de la Société. Protégeons-là par la mise en place d'un cordon sanitaire : le capitalisme est devenu un inexcusable fanatisme. Après le réenchâssement de l'économie humaine dans l'économie de la Nature, la seconde rupture radicale doit être de réapprendre à vivre en Société.

 

Le capitalisme a instillé le nihilisme, cette négation de l'Humanité, de toute "valeur" humaine, dévalorisant tout, perdant contact avec tout, nous rendant inaptes à l'écoute et à l'empathie (drôle de "richesse"!) -à nous de (re)devenir sérieusement humain. Le retour au réel pétille réellement joyeux. Vous accédez au "global" à la pensée globale et à la perception instantanée. Pour commencer. La biodiversité sociale se voit inscrite au fronton de la nouvelle civilisation : la diversité comme la faveur (et le futur ouvert) de la civilisation. Les différences ne sont pas des inégalités, mais des chances exponentielles, vous êtes multipliés de tous les autres. Ni supérieur ni inférieur. La vie continue grâce à la biodiversité. Chaque animal, chaque plante y a son rôle. Dans la Société, l'effondrement moral ne se capte qu'en haut, dans ces élites autoproclamées qui se révèlent comme la lie de l'Humanité. Les ex-antidirigeants dont nous ne subissons plus la nuisance ("les promesses n'appartiennent qu'à ceux qui les écoutent", reste le pire hurlement anti-politique qui soit puisque le corollaire luit comme "dès qu'un politique parle ne surtout pas écouter puisque nous serions piégés par ses non-promesses" – donc cette cynique phrase paraphe la fin de la politique – pas moins! Vous voyez exactement qui sont les réels destructeurs du social? ). L'esprit bourgeois si sale, son cœur encore plus, crachait "personne n'est irremplaçable" reniant, ainsi, la réalité, comme les sournois contestataires du réel qu'ils persistent à être. La science nous apprend, tout au contraire, que chacun-e est irremplaçable : il aura fallu 15 milliards d'années lumière pour que vous apparaissiez et, après vous, plus jamais le mélange unique que vous êtes ne reviendra. Vous êtes unique, le trésor de tout l'univers, le joyau ascendant de la vie. Personne ne pourra vous remplacer. On dirait bien que le régressif esprit bourgeois a tort sur tout. Il a tout faux, tout faux pas.

 

Pourquoi lui accorder encore une seconde d'attention: son destin est d'être effacé. Les pieds nus sur l'herbe, vous sentez enfin votre authenticité. Le seul cadeau que vous puissiez offrir à l'Humanité c'est d'être vous-mêmes, de penser par vous-mêmes. Bref, de faire le très contraire de ce que la si nuisible beurk pub vous incitait à entrer en décadence. Bye les cochonneries !

 

            Le nouveau paradigme (cf II- 9 et III- 2) irradie comme de REDUIRE les activités humaines au maximum, de les limiter aux normes restreintes de l'économie des besoins. C'est l'avenir de la planète qui décide. L'argent fait l'objet des méfiances les plus vigilantes (il se déguise en sérieux mais reste bien l'objet social le plus frivole et irresponsable qui soit). Le travail, à fort potentiel polluant, n'est plus structurateur de la civilisation vu qu'il faut le réduire, le diminuer au maximum, la paix sociale advient par le revenu d'existence et l'économie des besoins, le maximum de la vie sociale se voit donc structuré par l'apprentissage personnel et collectif de la préservation de la vie et de la Nature, les buts collectifs changent du tout au tout…etc etc. Mais surtout surtout la sagesse collective sait qu'il faut réduire les activités humaines au maximum (la "croissance" perçue comme toxique délire) – les diversions inversions stoppées net !!!

 

  1.  Etablir un joyeux bêtisier de l'ex-capitalisme permet d'explorer d'inaperçues pistes tout autant que de ramasser d'inattendus trésors.

 

 

( à suivre)

 

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org,   onglet 2  "Où trouver encore du sérieux ?"

 

 

Publié dans sciences

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