Philanthropes de l'amour
Nul ne saurait être privé de sexe, les plus âgés comme les infirmes, les fétichistes comme les plus laids – afin de veiller à ce que tout le monde accède à la sexualité oui un corps de philanthropes de l'amour prodiguerait ses dons universellement.
Amis de l'anthropologie (Philanthropologie !!!) – ils accompliraient, enfin, l'acte qui FONDE l'Humanité. Puisque (rappelons-le !) l'Humanité n'existe toujours pas, sinon uniquement comme un terme générique. Tout autant que la Terre (ce qu'il y a de plus réel !) n'est toujours pas reconnue – écrasée par l'arrogance "envahissante" de tous les pays – l'Humanité n'est toujours par reconnue. L'irréalité est le facteur dominant des si peu civilisées sociétés actuelles.
Ce qui nous prive (sauf les rares génies de l'époque qui ont le point commun de se voir bestialement censurés par la régression bourgeoise – au détriment de tout le monde !!!) de tous les sentiments et émotions gigantesques rattachés à l'Humanité. Nous avons esquissé l'usage de ces trésors dans notre livre "Assentiments aux sentiments", en ligne depuis 1999, sur le site gratuit "freethewords.org", onglet 4…inutile de poursuivre la transmission d'une expérience lorsque vous n'avez pas même encore vécu la toute première étape…
Pourtant, inutile de cacher à quel point l'enthousiasme soulève puisque l' Humanité ne se présente pas du tout comme une abstraction, un concept, une idée, un noumène, mais bien comme un Sentiment - des sentiments d' Humanité – et que ce basculement de la nature des paradigmes, des phénomènes structurants de la civilisation, des modèles, des archétypes et idéaux, devient décisif. Ce ne sont plus des textures intellectuelles mais des trames d'affects que nous pouvons déjà côtoyer…
Affects – ce qui effectivement affecte, ce qui se prouve par effets d'affects. Et, qui parcourt toutes ls échelles d'intensités puisque nos affections peuvent se faire affections, infections, maladies, anomalies et dysfonctionnements. Tout autant qu'amours, penchants très penchés, inclinations bien inclinées, tendresses trop tendues ou attachements absolument noués…l'éventail reste tout ouvert…
Très terrestre demeure l'affect. Il reste affecté à un lieu. L'affectation déguise, peut- être, l'effectif, mais, voulant imiter, elle ne rend vibrant hommage qu'aux modèles. L'effectif déployé lors de ce combat, effectivement, offre tous ses effets. Se montre, ainsi, effectué jusqu'au bout des ongles…L'amour demeure très peuplé tout simplement puisque le manque d'amour se profile… si désaffecté. Dés- Affecté, sans lieu d'affectation, sans topos d'effectuation ou sans site d'effectivité…mais sans impact de réalisation, sans accomplissement ni achèvement du phénomène…
Entièrement, vissé, fixé, enté, planté, dressé dans la matière – l'amour visite tout le matérialisme et le rejoint avec tout ce qui est dit spirituel. Mais ne forme pas une nébulosité infréquentable, drapée dans le flou – mais bien la spire respirante du spirituel (le souffle) qui peut faire tant rire.
Et qui participe, malgré tout, du contrôle sur soi : songez au rituel du spiRituel…
Les Philanthropologues, ainsi inaugurés, contextualisés et recadrés – tracent, ainsi, l'émergence d'une mutation vers une "intelligence sensualisée" (où tu m'as senti mentale !!!) qui sait autant décrypter toute la géographie du mouvoir d'émouvoir que cet as- sentiment qui nécessite la présence massive de sentiments lorsque nous voulons dire oui, accepter, confirmer, approuver, permettre, recevoir, certifier, témoigner, accorder, garantir ou affirmer…oui c'est être toute ouïe…
Tout aussi bien ce sont des sons comestibles, des touchers parfumants, des odeurs imagiques, des visions incarnées ou des goûts vibratoires qui constituent la trame de ce cerveau sensualisé***. Où chaque pensée déroule tous ses sens, à laquelle tout le corps participe, où le visuel rattaché, à égalité, aux autres sens ne se laisse plus leurrer par es abondantes illusions d'optique. Le langage y devient une science holiste et son nouvel usage ne correspond plus aux cruelles et faussaires utilisations actuelles. Où la vie se montre, ridiculement, gâchée à 90 % soit par soi-même soit par les autres (nous-mêmes gâtant, aussi, la vie d'autrui)…
****vous pouvez savourez d’autres triomphales techniques (toujours inconnues ?) de ce "cerveau sensualisé"…telles : "Sourire vos digestions", "Comment l'œil vous respire tout l'univers ?", " Les sentiments nous prépareraient des repas succulents ?", "Reposer le repos d'une question", "Piller les roupillons", "S'organiser autour des organes", « Butiner le but », « La queste des questions », « Efface le face à face que reste- t-il ? » ou bien "La communication qui n'a jamais appris la communication réelle", "On ne peut exposer de solutions de changements sans être soi-même un changement". – oui encore Toute l’histoire du rire en 5 textes. Encore plus, voir le blog du 16 septembre 2010 « Simuler votre cerveau vous offre toute la réalité » ou comment notre cerveau peut être magicien, etc…
Dans ce nouveau cadre sorti de tout le cadre, les philanthropologues deviennent la preuve indirecte qu'une nouvelle civilisation est bien en train d'émerger des décombres malsaines de l'ère bourgeoise qui n'a que trop durée…
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos" et "Remue- ménage", onglet 2 "Présent !", onglet 4 "Nul n'est nul" ou, encore, "Je ne parle plus à qui a raison".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu