Pour le tout, donc pour "vous": étymologie de Solidarité !!!
Merveilleuse étymologie « Pour le tout » ! Ce qui est tissé ensemble nous tisse ensembles : cela a le nom de solidarité (qui répond de tout) ! Du fait que la Terre soit une et indivisible, aucun pays ne peut exister, à part. L'interdépendance mutuelle est la loi de la Terre, qu'on le veuille ou non. Et l'utopie n'est jamais où on le croit: nier ceci est, clairement, utopique. Et, pourtant, "dominant".
Faut aider le maximum de pays, faut parvenir à ce que chacun hisse le pays juste en dessous à son niveau. Ne pas faire cela c'est carrément non "durable", donc utopique. Les irréalistes refusent, tous, de devenir terriens. Etc. Ainsi recadrés, les plus "dangereux" des "utopistes" actuels ce sont les financiers. Le nez, bestialement, collé sur les chiffres trop évidents, ils ne voient jamais tout l'alignement entier – les coûts induits, les coûts cachés, les coûts externalisés, les coûts de la non-économie d'échelles ou les coûts "systémiques".
C'est donc se montrer le pire des gestionnaires existants. Ils bne connaissent RIEN aux affaires – ça saute aux yeux !!! Ainsi, les coûts de destruction de la Nature risquent de, bientôt, dépasser TOUS LES BENEFICES des drogués aux trop gros profits. A la limite, il eût été plus utile de leur filer un paquet de fric "pour qu'il nous foutent la paix", ces arriérés acéphales, tellement la virulence de leurs avidités maladives nuisent et à la société et au futur de la planète.
Refuser le coût "systémique", en arguant de coûts de vitrine (trop évidents pour tenir la soutenabilité !) c'est en effet, augmenter, exponentiellement, les coûts globaux. Les Bourses à spéculations n'est- ce pas un peu cela: un minable y fait un gain sordide, ici, mais le coût pour la collectivité se voit multiplié par 10, plus loin. Les capitalistes sont, en fait, ceux qui n'ont, absolument, aucun sens des affaires. L'argent collectif est trop sérieux pour le laisser aux mains de ces INCAPABLES. Voyez-les, ils s'aveuglent sur un minuscule profit ici et ne voient jamais l'énorme addition là- bas…Leurs esprits sont trop détraqués pour que nous puissions leur permettre de continuer.
"Pour le tout" (in solidum) c'est le sens du solidaire, le seul solide, robuste, résistant, sûr, fort, sérieux, indéfectible ou indestructible. Parier sur les "gains en douce" du capitalisme – vous savez ceux qu'on doit vous cacher, soit sous une avalanche de désinformations et de mensonges, soit sous un glot de manipulations, de leurres et de trompes l'œil - c'est tellement se montrer trop partiel afin de pouvoir se faire croire parler pour le tout. Le capitalisme est, clairement, anti-solidaire, donc "non durable" !
Le solidaire, lui, nous tisse, vraiment, ensembles. Sa base c'est de pourvoir à ce que chacun et chacun soient aussi attentifs aux autres qu'à soi-mêmes. Puisque ce sont les autres qui vont vous faire "arriver" votre part du pactole. Pas vous tout seul. Par et pour le tout, le solidaire représente un englobant, un contenant, une sphère supérieure, etc. Et il faut avoir l'esprit aussi malade qu'un financier pour nier cette loi de la Nature. Le solidaire pale "pour le tout" et lui ne parle QUE pour sa minuscule partie. Qui des deux a la tronche la plus sérieuse ?
Solidaires sont les liens entre les individus de telle façon que chacun réponde de tous. Que chacun réponde l'un pour l'autre et l'autre pour l'un. Pour le tout: les seules manières de parler recevables ? Les liens (ce qu'il y a de plus fort dans la réalité matérielle de l'univers) s'y dessinent, bien en vue pour nous. Imaginons ces liens tels des engrenages qui mettent en contact direct l'ensemble des pivots au même mouvement – n'obtenons-nous pas là une description méticuleuse du dense réalisme de la solidarité ? Devient, de ce fait, très irréaliste qui ne "croit" pas dans le solidaire. Il nie ce qu'il y a de plus probant dans le réel !!!
Sans bourse délier: serait- ce juste pour de telles mesquineries qu'il nie et renie que tout reste, indissolublement, lié et relié ? Que, donc, dans ce "monde fini" ce que l'un prend c'est, obligatoirement, au détriment de l'autre. Faire "semblant" de gagner c'est faire exprès "d'ignorer" que c'est le prendre à un autre. Que si l'un gagne c'est parce que l'autre perd. Et que si cet anti-social achevé, l'archétype le plus complet de tous les gangstérismes (oui le capitaliste) NE SE SENTE LIE PAR RIEN - le condamne très justement :
1 --- soit à se soigner comme malade de l'irréalité où tout serait délié et jamais relié
2 --- soit comme un dissolvant social, conscient de sa supra-délinquance, mais voulant, tout de même, la poursuivre et l'étendre…
Voici bien un monde littéralement à l'envers où le pire ennemi de l'Humanité solidaire se voit la diriger, et sans aucun droit de le faire, se remettre, tout entier, à l'endroit…
Où nous allons, de nouveau, tout tisser ensembles !!! Oui oui rendre toujours plus solide et indéchirable le solidaire…bref, où, après les délires idéalistes du capitalisme…
nous allons, tous revenir à une vie plus COMMUNE !!!
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org , onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.
Résistance au changement Implique changement de la résistance