Pour poursuivre il faut "pour" et "suivre"
Si vous êtes systématiquement et mécaniquement contre à part contre ne passuivre, difficile de vous suivre. Vous voudriez faire croire au pléonasme universel ? Au renforcement dissymétrique de tout ? Absolument pas ! Ce sont des autorités mentales, morales et intellectuelles dont nous parlons. Normalement – pas d'a priori de pouvoirs divins, d'indiscutabilités des fondements, pas d'infaillibilité papales de ces médiatiques illégaux, pas d'actes de propriétés qui précèderaient la création même des actes de propriétés, pas de légitimations qui se placeraient en antériorité devant toutes les légitimités possibles !!!
Non – il s'agit des instances essentielles (que même Attila et tous les barbares ont respectés, eux !): les autorités mentales, morales et intellectuelles…Jamais Attila n'a assassiné un clerc – la société de consommation les assassine tous. Tuant tout futur. Et montrant son chaos – incachable depuis 2007. De l'infantilisation croissante de la société : comment pourrons nous en sortir si le sérieux devient la course à toujours plus puérils ? Les dirigeants, de tous domaines d'activités sociales, ce sont des prolétarisés de la pensée : oui ne connaissent rien au réel complet, fourvoyés dans leurs spécialisations sans la synthèse humanisante d'un socle de culture générale. Et censurant, explicitement, tous les génies, les grands penseurs et les synthétiseurs sociaux !!!
Non, triple non, aucun barbare n'avait mérité à 100 % le nom de barbares. Eux oui !!! C'est à assassiner toutes possibilités de futur qu'ils s'acharnent. Penser c'est agir. Sans vraie pensée ce n'est plus des actions juste toujours plus de chaos. Déjà amplement visible. Les dirigeants ne sont plus du tout ceux/ celles qui devraient être. Ils occupent une place qu'ils ne savent absolument pas assumer. Ne serait- ce que de comprendre de quoi il s'agit !!! Il s'agit d'agir !!!
Pour poursuivre il faut "pour" et "suivre" !!! Un contresuivre serait contre indiqué. Mais voici qui semble ôter de la légitimité a priori dans le poursuivre celles et ceux qui nous empêche,nt de partager les richesses collectives…Bon, toujours, nous poursuivions un but, une idée, quelqu'un, une somme de valeurs, la gloire, etc… Pour poursuivre et s'il faut "pour" et "suivre" – voici qui effacerait à 100 % but, ID2E personne, argent ou gloire ? Un suivre c'est que notre réalité se sent contrainte de revenir à l'équitable…
Il n'y pas de mot séparé, pas de mot dans son coin, pas de mot qui conspire et peut se soustraire au regard universel…tout est perceptible pour des hyper sensitifs – le soi- disant monologue étanche du capitalisme est pris la main dans le sac. Il n'est ni légitime ni omniscient : vu ses traces il louvoie dans assumer, il dévie toujours plus fuyant – ce n'est pas se montrer c'est se cacher qui ressort du suivi complet. Il veut faire ses razzias mais sans qu'il soit su que c'est vraiment lui. C'est plus un voleur à la tire qu'un tireur de valeurs …ce qu'il poursuit, ce capitalisme, devient bien ce qui le poursuit . Jusqu'à "l'arrêter" un jour poche ? Pour poursuivre il faut "pour" et "suivre"…Nous avons toujours suivi (à suivre) et sommes pour tellement de partages d'Humanité et d'univers…les chefs d'accusations pourront en conséquence vraiment les suivre…
Suivant ou suivi serait le poursuivant ou le poursuivi, alors ? Le suiveur poursuiveur: les flèches directionnelles les placent, sur le tableau complet de notre pensée, à diverses positions spatiales. Nous voyons bien qui précède et qui demeure postérieur. Le suivi semblant plus assidu, régulier, normal, véridique et ponctuel que le suivant : c'est qu'il porte son but intégral en lui…
Reste impliquée, implicitement, la notion de continuateur, celui qui aura suivi les plus adultes observations du poursuivi…stoppant le flot, qui pourrait devenir ininterrompu, du suivant du suivant du suivant du suivant du suivant du suivant du suivant du suivant et du suivant poursuivant…pour un bien plus cohérent et rationnel suivi de poursuivi !!!
Ainsi si si vraiment – chaque mot peut nous déplier, déployer, oui arrêter de faire ployer, toute une géométrie vivable, que nous pouvons ressentir, humer, savourer, rendre toujours plus concrète dans nos existences, etc…
Et comme nous le disions, depuis le tout début, (à suivre) – mot à sens vraiment multiples…(à suivre)…
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu