Pourquoi le grand public ne participe pas aux décisions ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Si la démocratie est aussi "universelle" pourquoi en exclure quasiment tout le monde de son fonctionnement réel ? Une telle attitude "paradoxale" avoue que ce ne peut être LA DEMOCRATIE…

 

La ploutocratie des privilèges est illégale en République – considérée comme un putsch de factieux – relisez les jurisprudences, vous verrez bien…Le blog du 24 novembre 2012, "Egalité de malchances - Féodalités de comportements ?", vous introduit, d'ailleurs, au vrai débat !!!

 

Un des drames de notre époque c'est que le Faux domine. Une moyenne de 60 % d'idées qui circulent ont été, récemment ou plus anciennement, prouvées erronées. Et, pourtant, elles prescrivent, somment et décrètent, encore…

 

Qui est "homme d'action" sait à quel point la précision, la méticulosité et la vérité de départ permettent d'éviter le maximum d'effets pervers à l'action entreprise. Si vous avez, principalement, de l'erroné, de l'inexact ou du faux – c'est comme d'avoir des commandes qui dévient, vibrent et s'enrayent. Pas facile à manier !!! Risques très multipliés d'erreurs.

 

Pourquoi donc le grand public ne participe pas aux circuits décisionnels ? Ne l’y voit-on jamais ? Pourquoi la démocratie n'a pas encore COMMENCEE ? C’est pour du beurre ? Pour du faux ? C’est encore du semblant ?

 

 

Lorsque les idées fausses sont majoritaires dans une société, que bien peu en ont pris conscience et que, en conséquence,  les plus virulents, figés, sourds, entêtés ou fanatiques demeurent les porteurs "d'idées fausses"…la déréalisation collective augmente. Trop largement diffusée et massivement inoculée.

 

Et, parallèlement, tout ce qui reste véritable - se voit non diffusé et marginalisé. Ainsi, la France demeure sous équipe en services publics et en nombre de fonctionnaires et l'on continue…sans le moindre argument de poids à ne pas renouveler les fonctionnaires existants.

 

Ainsi, les pays où la sécurité alimentaire se voit être la plus grande sont bien ceux où le grand public est admis aux comités d'évaluation. D'ailleurs, le renforcement judicieux des réglementations est dû, principalement, à leurs interventions…

 

Ce n'est pas tant ouvrir l'œuvre colossale de toutes les idées mises à jour, avec des polémiques "frontalières" à n'en plus finir sans doute, mais de grandes réussites envisageables, qui compte. Que d'obtenir un état d'esprit plus collectif de respect des idées vraies, par reconnaissance du fait de la forte toxicité des idées fausses.

 

Ne pas inviter aux colloques ou sur les plateaux radios et télés, etc. ceux qui sont l'objet du débat ou de l'expertise (prostitués, malades du Sida, utilisateurs de substances, Mother, etc) – procédé trop répandu chez les scientifiques…

 

Contre c'est à la fois louable et insaisissable. En effet, être "contre" n'admet qu'il vienne après le quoi il est contre. Ce quoi doit bien lui préexister sinon pourrait-il être contre un in-identifié ? Et puis "contre" c'est ce qui est tout contre, adossé à lui, soutenu, étayé par lui (ce qui ne permet pas de tracer la séparation entre les deux ). Et puis "opposé à" : mais dans un dessin honnête, comment être face à face si vous vous appuyez, par le dos, à l'objet de ce face à face ?

 

Que vaut l'autonomie scientifique si elle ne sert qu'à renforcer la logique industrielle et commerciale ? Trop hétérodoxes ? Ne se trompe-telle pas d'alliés ? Est- ce que ça ne l'intrigue pas que le commerce reprenne texto ses arguments ?

 

L'autonomie de l'expertise qui se paie par la disqualification systématique, unilatérale et hypocrite de toutes les personnes externes qui veulent intervenir – signe une étrange terreur devant cette expertise de l'expert. Identiquement – la démocratie est si "universelle" qu'il ne faut plus en faire usage dans la moindre des petites décisions quotidiennes…Est-ce que cela justifie que soit court- circuitée l'opinion du grand public ? Pourquoi donc le grand public ne participe jamais aux circuits décisionnels ?

 

La science "technocratisée" (pas la vraie !) se dote de tout, compétences et infaillibilités, buts nobles (travaille pour le bien de tous, lutte contre la faim dans le monde, et) et, en face, elle ne distribue que du négatif. Les non experts ne vivent qu'illusions, mythes, fausses représentations sociales, fantasmes, subjectivismes, résistances irrationnelles. Ils "ignorent" tout et ne comprennent plus rien à rien. En conséquence, le grand public ne doit pas avoir voix au chapitre. Doit obéir aveuglément aux experts. Comme si le distribution des savoirs et informations pertinentes pour les décisions et l'action n'étaient pas réparties également. Comme si un autre "point de vue" n'apportait pas plus de garanties à toute la société ? Comme si, et pour le SIDA et pour les OGM, ce n'a pas été des militants politiques, syndicalistes, certains journalistes, blogueurs, penseurs (imperméables au discours de l'autonomie et de la SOUVERAINETE de la science veillant au bien- être de l'Humanité) qui avait alerté, en premier, provoqué les vigilances et mis sur pied les modalités d'action ?

 

Ainsi, le public n'est ni "porteur d'intérêt" ni "porteur de connaissances". Il a la "distance" nécessaire qui augmente la dose d'impartialité. L'autonomie scientifique c'est AUSSI la fermeture de son champ. En conséquence, l'impossibilité pour qui se trouve inclus de dire sa réelle opinion sur les travaux des autres. Le public peut, là, se montrer impartial. Les "conférences de consensus" y ont fortement gagné. N'est- ce pas le Danemark ?

                                  

                        Le pays le plus heureux est aussi le pays le plus consulté.

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 (à suivre)

            tous ces blogs sont bien reliés à une pensée globale ***

 

trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L'Economie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 

Publié dans qui fuit le réel

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L
<br /> bizarre qui parle de démocratie ne veut pas LA METTRE EN PRATIQUE<br /> <br /> <br /> faut leur retirer leurs mensonges de la bouche !!!<br />
Répondre
I
<br /> <br /> leurs généralités perpétuelles cachent une cruauté indiffétente qui ÔTE TOUT sens et validité à leurs propos - d'où toujours confronter au réel...<br /> <br /> <br /> <br />