Pourquoi nous sommes plus forts que les marchés ?
A l'évidence oui ! Nous pouvons faire rentrer ces marchés si toxiques dans leurs tanières. En sachant leurs points faibles et en agissant dessus.
Ce qui rend impuissant la majorité des individus c'est la non jonction entre la pensée et l'action. Comme savoir et que savoir ? Comment agir avec ce que nous savons ? Comment donc entraîner, tel un athlète, sa pensée à trouver les entrées d'actions, les prises pratiques par où nous pouvons agir ? Pour tout ceci nous sommes mieux armés que nous croyons et les marchés (ennemis de la société !) se révèlent tellement plus vulnérables que la propagande ne l'entend. Oui nous sommes tellement plus forts que les marchés et leurs béants points faibles…
Le premier travers c'est que des marchés qui refusent tout contrôle et toute réglementation voudraient, outrageusement, contrôler et réglementer le monde entier. S'ils veulent se "déréguler" – agissons de même avec eux, bafouons toutes leurs règles. Trompons- les (pour la bonne cause) et reprenons leurs tout ce qu'ils nous ont volé…
Le second point faible devient que la "validité" de leurs "règlements" que pour les autres et pas pour eux - privatisations aveugles et, obligatoirement, décrétées bonnes – pour qui ? – le non impôt des riches et l'austérité que pour les pauvres, n'a jamais été reconnue. Démontrée. Avalisée et soutenue par strictement personne de valable ou de sérieux. Ce ne sont qu'élucubrations et caprices de chochotes. Aucun adulte derrière ces frivolités. Pire – ces délires sont bien les causes flagrantes de la crise perpétuelle (qui ne cessera que lors de l'abolition solennelle de cette classe parasite !). Encore pire – ce grand banditisme ne peut constituer un projet "social". Tout politicien qui s'y soumet est donc très antisocial. Et donc…la leçon que nous devrions "suivre les yeux fermer" afin de "calmer les marchés" 'comme csi leur folie une fois nommée pouvait faire peur !) est de fait une connerie. QU'IL NE FAUT SURTOUT PAS SUIVRE.
Le troisième point vulnérable c'est que la Bourse, scandaleusement, osent que les pays ne leur semblent pas pouvoir gérer leurs dettes ni leurs économies alors qu'elle vit en parasite sur l'économie réelle, qu'elle coûte parfois si cher aux pays (voir notre blog sur "avez- vous confiance dans un financier ?"), qu'elle use si déloyalement des différences de taux de changes et de toutes les formes spéculatives (tiens, les amendes perçues représenteraient le total des dettes des …pays de la planète, excepté les U.S.A. – étrange, non ?) - ce qui rend tellement plus difficile la gestion des pays, et, enfin (comble de l'indignité), que banques et Bourse fassent "collectiviser leurs dettes". Le ridicule achevé !!! Que, donc – ces marchés représentent un lourd fardeau pour les Etats, que leurs mauvaises fois permanentes ne les montrent que comme des ennemis dangereux de ces états (qui ne peuvent plus, eux, "collectiviser leurs dettes" avec impôts sur les trop riches, sur les banques, sur les primes et sur toutes transactions boursières (sauf les vrais placements à moyen terme – moins de 5 % vous savez !)…cette imposture fondamentale – DE SE PERMETTRE CE QU'ILS INTERDISENT AUX AUTRES - est un faiblesse forte des Bourses mondiales. Les aligner sur le sort commun c'est leur faire perdre 95% de leurs taux de nuisances…
Pourquoi cette problématique semble, alors, si peut comprise ? Tout un chacun étale sa mollesse du fait de "ne rien piger à l'économie et à l'économie politique"…sûr que, comme le grand sport, faut s'accrocher et s'entraîner tous les jours. Mais c'est loin de rester inaccessible. Et ce n'est pas en interrompant, avant même d'avoir écouté, qui en sait un peu plus, et en refusant, déloyalement, tout raisonnement structuré comme modalité de conversation "économique" - que le chaos s'annulera. Mais ces individus (ennemis concrets de leurs entourages, amis et familles du fait de leurs non exigences !) ont un coup de bol. Un ouvrage leur est enfin accessible. Pages 43 à 51 (ce n'est pas "énorme !) tout leur est amené à portée. D' Alain Cotta "Le règne des oligarchies", janvier 2011. Désormais plus d'excuses à faire semblant de ne pas comprendre…stang the ghettos ? La thèse d'Alain Cotta c'est que les crises ne servent qu'à établir ces oligarchies. Donc ils sont prêts à détruire la planète juste pour ces enfantillages oligarchistes. Se tromper de terroristes à ce point, vraiment ça vaut pas le coup parfois d'être musicos !!!
Prématurons y quelques "signaux d'argumentations". Tout d'abord les produits dérivés des produits dérivés (qui ont causé les crises catastrophiques de 2007-2009) sont inconnus de tout le monde même de qui les compacte, en fait. Comment les agences de notation pourraient noter ce qui n'existe pas autrement que dans ces "produits opaques" (réponse à tout de ces maniaques dans leur façon perverse de "nommer") ? Et comment la Bourse pourrait se déterminer face à ce vide rationnel ? Le manque total de sérieux semble couronner toutes leurs activités. Ce sont pires que des bouffons !!!
Ensuite, tout ce cirque de déments (secouer dangereusement la planète JUSTE pour que si peu (anti-démocratie) puissent en tirer des profits…illégaux ? Oui le chaos social que pour éviter les réglementations (que nous allons voir si rationnelles) – pour les banques dégénérées (et qui devraient se voir sanctionnées lourdement pour fautes professionnelles si graves entraînant…la nationalisation de la Bourse et des circuits d'investissements. Oui les produits dérivés de Chicago n'existaient que pour extraire des bilans ces prêts "toxiques" (toujours leurs mots reflétant des esprits malades – puisque comment oser concevoir un produit financier que l'on sait dommageable à tout le monde ?).
En plus – le biais pervers de départ "éviter tout risque en vous faisant gagner beaucoup" c'est RENDRE les individus malades. Et détraquer la société entière (puisque le risque sera – très multiplié – reporté ailleurs !) et ces ignobles hedge funds qui ont "volé" les versements pour retraites de millions d'individus sans être sanctionné c'est de la pourriture légalisée ?). L'effet hyper pervers du "zéro risque" c'est QUE TOUS LES RISQUES SONT DE FAIT MULTIPLIES…Ces évidentes loufoqueries (gagner le maximum sans aucun risque) auront, dans un laps de temps très bref (de 1997 et les premiers produits dérivés à 2005 premières ruines des caisses d'épargnes si solides au départ) presque complètement détruit la société humaine. Et faudrait laisser continuer ?
Nous nous trouvons donc avec des personnages aux cerveaux plus que détraqués, qui ne proposent QUE des catastrophes sociales (avec le triste schéma de la Bourses follement gaspilleuses 1,9999 million de perdants pour 0,00001 prétendu gagnant) et pour des buts plus que sordides (éviter tout contrôle parce qu'ils ont tout à cacher !) – rien de socialement recevable…
Devant cette hécatombe – facile à capter que nous sommes Plus forts que les marchés ? Leur base sociologique trop restreinte, leurs zones géographiques de prédations si minuscules et désenclavées de tous liens sociaux collatéraux, leurs terreurs devant tout débat vraiment public où ils seraient comminatoirement commis à venir …dialoguer (plus quelques éléments plus stratégiques) nous pouvons aisément balayer cette racaille. Leurs médias de propagandes sont décrédibilisés à fond : chacun de leur mot nous informe sur comment abolir leurs mesquineries au sommet (pas mal sur comment nous "dérivons" leur ex force ?
1 – en les empêchant de donner la moindre leçon aux peuples tant qu'ils ne seront pas "régularisés", réguliers ni régulés et soumis à des contrôles de je n'ai rien à cacher.
2 – tant que le Steagall Act ne sera pas remis en vigueur pour toutes les banques qui se sont prouvées écervelées et d'une stupidité indéfendable
3 – tant que les banquiers et les spéculateurs ne seront pas garants (sur une bonne partie de leur fortune personnelle) de toute transaction "conseillée" – sic? – à autrui.
4 – tant que les politiques de réponses aux crises financières ne seront pas inscrites dans des tableaux d'évaluation (avec suivis de leurs impacts réels…). Ainsi, les banques centrales, dont la BCE, recommencent les rengaines qui ont échouées en 2007 – 2008 – 2009 : abse,nce d'actes politique d'encadrement des finances et uniques monétisations de tous les problèmes (ici des dettes, là des junk subprimes), par le rachat des obligations les moins soutenues pour leurs rapports avec les Etats, etc…Des tableaux d'évaluation les contraindraient à inventer des solutions originales, sans reprises des conformismes ringards du passé, adaptées aux situations réelles…etc
5 – la tenue (déterminée par la loi) de registres de motivations des législations, enlèverait nombre de possibilités de mensonges, d'impostures, de manipulations du passé, etc. bref, couperait l'herbe sous les pieds des financiers fous et de leurs médias de propagande…un seul exemple sur "(…) une période de démocratie du fait de s'être bien gardée de laisser aux banques toute latitude. Les sénateurs avaient bien compris – formés par leurs expérience – que le pouvoir financier ne connaît aucune autodiscipline et que sa nature même le conduit à tous les effets pervers possibles.
Ainsi prirent-ils les deux mesures les plus aptes à nous garantir tous contre l'impérialisme naturel de la finance. Le Steagall Act interdit aux banques de s'étendre dans plusieurs états de l'union et introduit la nécessité d'une séparation stricte entre la banque commerciale et la banque d'investissement. "(p.28 - Alain Cotta "Le règne des oligarchies", janvier 2011). En effet, à quoi sert de tant se méfier de l'Etat fédéral si c'est pour se faire avoir stupidement par la finance fédérale, éloignée de tout, ne consultant le local sur rien et tyrannisant nos vies de leur impérialisme insupportable ? Les fiances ne pouvant s'auto discipliner, s'autoréguler, strictement pas de main invisible correctrice – c'est une faute politique énorme que d'avoir dérégulé, permis les titrisations, les marchés dérivés, les droits aux bilans tronqués, les réunions comptes des personnes et spéculations des investissements, etc (bref toute la démence depuis les années 1990)). Encadrer fermement les finances a toujours été une constante de la vraie politique : de trahir ces bases implique que nous avons plus affaires à des politiques indépendants juste à des voyageurs de commerces, illégalement, inféodés aux intérêts privés.
6 – plus tous nos nombreux blogs d'études approfondis de tous les aspects de l'économie…
Qu'y pouvons-nous si vous ne vous trouvez pas à l'intérieur de la certitude que, quoi qu'il arrive, nous resterons bien plus forts que les marchés. S'y trouvez ? < 22- 51 Wall Street…
%%% oui oui 22- 51 Wall street…pas si loin, en fait, de chez "Gant" avec les gains vrais, où, sans délits pour les initiés, vous sauriez tout !!!
(à suivre)
trouvez un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité", onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ".Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.
Résistance au changement Implique changement de la résistance
George Santayana "les Américains ne résolvent pas les problèmes. Ils les laissent derrière eux." (ou le pot aux roses de la "nouvelle frontière").
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu