Que proposez-vous ? Mais juste oser le propos !!!
L'eau de tout leur corps coulait entre les secs récifs de tous leurs alibis …
A ignorer, depuis si longtemps, la vérité de nos corps et de la Terre pour un esprit sans chair, sans yeux, sans oreilles, sans bouche, sans tact tacticien, qui répète, à l'infini, sa poussiéreuse rengaine de l'inutile économie. A ignorer même sa propre naissance, cet esprit (avec ou sans dialectique) achève, désormais, de moisir l'or de l'amour.
La conservation des conversations implique, de plus en plus, que soit étalé, dès à présent, là, métal étal, tout ce système – nouvellement solaire.
L'eau de tout leur corps coulait entre les secs récifs de tous vos alibis, cette eau rassemblait tout, réunissait tout, ruisselets, ruisseaux, rivières, fleuves, océans de nous retrouvés. Que proposez-vous ?
Que proposez-vous ? Posez-vous là et passez votre vie à le proposer, propos-position à tenir toute votre entière existence : comme cela, pendant ce temps, nous obstinerons le carnage du fric le plus fou…
Que proposez-vous ? Mais oser le propos, voyons…le propos osé !!!
Et ils étaient partis, ils avaient tout réussi, de nouveau ré-issue. Le soleil, chacun était sûr que l'autre en avait une moisson abondante, chaque jour de nouvelles grappes.
Des enfants, apparemment, sans ressorts s'étaient détendus, assis dans leurs vêtements déjà usés de couleurs. La vie était déclarée comme une fête de tous les jours : pétards fêtards - la rendre vivante, vivable une fois pour toute. Tant l'homme en complet se prétend complet. Des enfants sans ambitions oui avaient catapulté de réussir leur vie comme un rêve, reconnaître la lumière de leur enfance coupée à la machette - les yeux brillants d'un secret à partager. Les parts d'âges. Pourquoi, oui pourquoi étaient-ils tous partis pour la même raison, sans la savoir ?
Pour la même raison et sans jamais la savoir?
Mais qui était, où était l'organiste, le chef d'orchestre de tout cet unisson des organes?
Tout a réussi dans toutes les directions, sur tous les fronts radieux, dans tous les aspects de la vie…Lorsque "diriger"mais vers où, vers quoi, semble tant monodirectionnel. Toujours partis sur le lait en poudre de nouvelles pistes. De nouveaux gestes s'agenouillaient pour les humbles partages, de nouvelles fiertés, le cœur qui bout et coule de donner, de nouvelles paroles, chacun dévoilant le passage, le point d'eau de ses rêves, le moment où il avait changé, tourné vers le sablier. Le chez soi des autres. Le chez soi collectif.
La chaleur s'extériorisait en étés de vacances qui devaient durer toujours. Si beaucoup se sont rangés dans les casiers d'eux-mêmes c'est qu'ils ne voulaient plus être dérangés par n'importe qui (alors, maintenant, ils le sont par n'importe quoi)…tu étais bien n'importe qui, tous pouvaient t'adresser la parole, plonger au fond de toi, de tes pudeurs, de tes liens, de tes idées, au farfouillis de toi.
Si beaucoup ont interrompu, rompu ces vacances, malgré leurs apparences, c'est qu'ils n'avaient pas compris que vacance c'est d'être libre, disponible, vacant. Non manipulable. Ils font l'occupation d'eux-mêmes ! La Terre demeure promise et la marche tenue. Tous avaient eu le même silencieux déclic sautant, s'ôtant de tout ce qui enferme (frontières, activités, rôles sociaux, propagandes dévalorisantes, manipulations désinformatrices, etc.), étant juste eux-mêmes (plus "d'accès" à cette Société de tromperies organisées), inutile d'insister sister.
Nous pouvons être tellement d'autres choses tellement…Ils étaient devenus la Terre, de vrais terriens totalement terrestres. Nous savons la Terre où t'erres. Erratiques errances…Cours et recours donc : la Terre fut vécue dans son entière sphère : t'es plus que témoin!…Et tous partirent, quittèrent tout pour la Terre, comprenez-vous, pour la Terre. Je ne connais que les pierres où même pi erre, les épines de ce chemin qui mène, dit-on, à ce beau pays : la Terre, comprenez-vous. La Terre toute dé-terrée. La boucle était bouclée. J'étais fier mais à qui se fier…Les pôles polarisant cette fine toile où ces fils de la vierge, mais les fils du fils enfin, oui ce lent tissage du métissage. Ces mêmes chemins - la main du chemin. Tu reviendras de venir, c'est certain. A force de venir et de venir tu parviendras à devenir.
Le temps battant au temps et à ses sécrétions : les tempes qui nous permettent de temporaliser.
Oui enfin, enfin oui, ces pôles épaulés qui polarisèrent
ces actes ramifiés de l'Abel premier
de notre alphabet…
Extraits oui oui trouvez le texte complet sur le site internet gratuit freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos "…
******
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3"La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu