Rire de bon cœur - (1/3)
Rire de bon cœur: les mots ne nous cachent jamais rien. C'est nous qui ne trouvons pas l'humilité de les entendre tels qu'en eux-mêmes. Et nous nous privons, pour la plupart d'entre nous, de leurs merveilles. Rire de bon cœur: le seul rire authentique, qui nous apporte un bien être complet, une réelle bonne santé et un sincère état de bonheur. Tout le cœur y est et, en général, on ne peut rien lui cacher. D'où la mécompréhension autour des "comiques sociétalement autorisés" qui portent plus le ricanement que le rire. Abonnés à ne se moquer que des plus faibles, à ceux qui ne peuvent ni se répondre ni se défendre – rien n'est sain dans cette dérision…dérisoire.
Pourtant, la majorité des individus classe cette prédation "légale" sous l'étiquette "rire". Premier gigantesque mensonge (amplement relayé par les médias toujours plus "ignorants" de tout !). Le rire ne raille ni ne moque, il ne forme pas de projectile sous espèces de lazzis ou de quolibets. Le rire n'est pas dirigé contre les autres. Mais trouve son destinataire dans soi-même. On rit pour soi, hé con ! C'est une des sources du bien être par le fait que tout s'y passe "naturellement". Naturel que ce cœur en expansion, soulevé de joie et qui désire s'agrandir toujours plus. Jusqu'à serrer le monde entier dans ses bras. Ce mouvement de dilatation provoque le bien sentir de tout le corps, de la respiration à la digestion, dans une rotondité d'épanouissement. Qui ressemble tant à la paix. Un gigantesque oui à tout l'univers.
Tandis que, tout à l'inverse, le corps du ricaneur se montre très rétracté, comme s'il était la couverte pliée en 4 de lui-même. Ne profilant pas les 360 ° de la paix mais juste la pointe blessante à 30 °- 45 °. Ne pouvant masquer son appétence à désobliger, offenser, outrager ou encore injurier – il ne peut obtenir que des chimies corporelles gâtées, détériorées, de mauvais goûts. Digestions aigres et souffles avariés. Le corps n'y respire pas bien et ne peut diffuser le "souffle de ses esclaffements" dans ses moindres recoins. Rien en lui ne s'y déplie mais se retire, s'enfuit, tout griffé de ses méfiances…
Vouloir, de la sorte, nuire aux autres de par le rire – se montre aussi crétin que de s'empêcher de respirer afin de scruter la respiration des autres. Un gâchis et une perte de temps complète: les occidentaux sauront- ils un jour devenir "réalistes" ? En toutes choses, pour le moment, nous ne les voyons que choisir les solutions les plus stupides. Hé ho, "l'art" de vivre, vous avez déjà entendu parler ? Et collecter le collectif ? Deuxième mensonge culotté et sans gêne: ce n'est pas du tout pour les autres que nous rions, mais nous rions pour nous-mêmes. Ne serait-ce que physiologiquement ce sont bien vos entrailles, seule, qui se soulèvent et votre respiration qui fait le piston ?
Prétendre l'inverse c'est comme n'avaler que de l'amertume et du brûlant pour le vain argument que "nous ne mangerions que pour les autres". Or, il demeure attristant de constater que la société penserait, plutôt, ainsi. Qu'importe mon bonheur, c'est plutôt celui des autres que je dois perturber, flétrir et corrompre.
A quand une réelle prophylaxie sociale du rire ?
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
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Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
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