Risques

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Un des problèmes cruciaux du monde actuel est l'absence cruelle d'esprits synthétiques. Il y en a si peu qui sachent encore écouter, se mettre à la place des autres, soupeser chaque argument à sa vraie valeur, le réinstaller avec douceur dans son écrin – et produire un résumé mondial du meilleur d'absolument chacun-e …sans oublier personne…le meilleur dans le but d'améliorer tout le monde !!!

 

La folie du "tout ou rien" semble avoir balayé ces suprêmes qualités. Evidemment demeurent certains esprits synthétiques mais la majorité a trop glissé pour pouvoir comprendre ces immensités de vues. Ces êtres d'exception, que le capitalisme, moteur de toutes les médiocrités, exclue…deviennent les seuls qui pourront nous sortir de la catastrophe permanente que secrète le capitalisme du déni de solutions… "Qui préfère la sécurité à la liberté aura vire fait de perdre les deux", prévoyait Benjamin Franklin…Le capitalisme cumule donc l'insécurité sociale et l'anti- liberté concrète qu'est le frauduleux libéralisme sans libéralités !!!

 

Le problème taraudant du capitalisme c'est qu'il ne connaît absolument plus rien du réel qu'il secrète…un seul exemple, la crise des subprimes ne provient pas de ces harcèlements de crédits qui ont déferlé sur les classes modestes (sans que celles- ci ne l'ai demandé). Et qui sont donc entièrement de la responsabilité des endetteurs de Wall Street. Qui auraient dû se voir astreints à tout rembourser…le déclencheur de la crise subprimes ce ont les C.D.S. ces excès de luttes contre le risque…Le livre de Michael Lewis – Le casse du siècle, The big short, reste un réquisitoire implacable qui explique, à la loupe, les erreurs monstrueuses de Wall Street et démontre que l'entêtement borné de ces prétendus grands esprits ont incité à des achats massifs de C.D.S. credit defaults swaps, des assurances frauduleuses contre les risques . Qui, de fait, ne font que reporter le risque plus loin dans la société …mais de telle façon que plus personne ne comprenne plus rien aux montages d'une opacité quasi soviétique…a savoir que les Etats- Unis sont le seul pays qui ait repris, tel quel, le fonctionnement de pans entiers de l'URSS…

 

Donc – devant notre raison attentive – c'est bien l'excès de réaction aux risques qui déclenche les catastrophes…TROP SE PROTEGER DU RISQUE AUGMENTE TOUS exponentiellement LES RISQUES…il existe un seuil au delà duquel, le médicament devient poison. Et où les précautions ne créent plus que désastres sur désastres…Ce sont les protections mêmes contre les risques qui ont déclenché la crise dite de la Grande Récession (en écho à la Grande Dépression)…tout cela parce que la trop régressive Wall Street – en dehors de toute modernité - qui commet "crime économique" sur crime économique refuse, sa glasnost !!! Le casse du siècle veut dire que Wall Street a agi comme le plus grand gangster conscient que l'Humanité ait jamais porté et qu'il faut la traiter comme telle…

 

La crise de la dette, ce trop de précaution leurrant par rapport à la consommation, entre, aussi, dans ce schéma de refus de sa glasnost !!!

 

Et le tort des conformistes devient énorme puisqu'ils ont laissé en liberté des personnages pour qui l'argent est toujours gratuit, qui ne savent plus ce qu'est un risque concret (vu que la Bourse '"fonctionnaire", financée en sous- main, par les états, les transformant en paradis boursiers, fait prendre tous les risques à "l'argent des autres" et ne paie jamais en cas d'échecs de sa part – soit à chaque nouvelle bulle)…et qui donc, l'argent étant gratuit pour les trop riches aliénés n'ont plus (pour leurs nerfs ) que l'ouverture de faire des "paris financiers" oui oui de "jouer" avec l'argent des autres…les subprimes, pour eux, n'auront été qu'un jeu…c'est dire les addictifs dangereux qu'ils sont devenus !!!

 

Les conformistes "sont" des masochistes, qui semblent apprécier de se faire spolier, tromper, humilier, escroquer, mentir, etc…mais qui osent exporter ces déficiences sur tout le reste de la société…le monde n'a donc jamais couru autant de risques que par immobilisme…les mêmes qui ont créé toutes les crises systémiques sont encore en place, reproduisant leurs dangereuses addictions

 

Le monde va basculer dans le risque total ? Oui et non…Dès qu'il y aura changement d'élites et que ces nouvelles élites remettront les financiers à leur place subalterne, qu'ils fermeront les Bourses pour contre- productivité***, etc…tout quittera les rails du risque aveugle… 

 

*** "Au cours des 50 ans qui viennent de s'écouler, les 10 jours les plus extrêmes sur les marchés financiers représentent la 1/2 des bénéfices. 10 jours sur 50 ans. Pendant ce temps, nous nous noyons dans des bavardages " (p. 354 - "Le Cygne Noir ). Oui vous avez bien lu 10 jours sur 50 ans, soit même pas 0, 02 % du temps pour 99,98 % de bavardages frauduleux…Inadmissible de faire prendre autant de risques à l'Humanité juste pour que des minables moraux fassent trop de profits sans projets collectifs à la clé…

 

Oui les élites nouvelles nous feront quittera les rails du risque aveugle…Et entrer dans de nouveaux concepts – toujours inédits…dont voici un avant goût…

Assurer - Assurance. Sécuriser. Sûr. Le diptyque se déploie : confiance en soi - contrat pour renforcer cette confiance. Hardiesse ardente, aplomb, sûreté de soi qui amène sécurité, sang froid et autorité de même puisque leur manque de contenance, garder leur contenance, c'est-à-dire fausse la contenance de 50 litres. "Que les gens ne montrent pas trop d'assurance dans leurs jugements, comme celui qui, dans un champ, estime les blés avant qu'il ne soit mûr." (Dante Alighieri - La divine Comédie, Chant XIII ).

Rien de pire en effet que le surplomb qui sait tout à l'avance sinon les analyses qui s'arrêtent : le premier empêchant la libre évolution de Charles Darwin, belle comme l'oiseau qui évolue dans le vent, le second barrant la globalité et sa synthèse rayonnante, belle comme plus personne n'est exclu. Le contrat de sûreté entre contraire et contrôle, entre contrainte et contraction, entre restriction et contradiction, assure contre les risques, les aléatoires possibilités siégeant dans ce lointain inconnu qui s'apprivoise, pourtant, en étant dit hasard, jeu (aléa). L'inconvénient c'est lorsque l'on importe, importun, cette pensée de jeu et qu'on la place au milieu du social pour notre maximum de confusion, que l'on ose nommer, ici, science.

Fort heureusement, la langue contient toutes les sciences et aucune science ne contient toute la langue. La langue demeure, ainsi, l'arbitre de ce qui est ou non savant lorsque le scientifique appartient à un sous-système de ce qui peut être chapeauté comme le savant. L'assurance ne peut plus être garantie par le seul scientifique : il n'est plus global expert puisque trop soumis au complot complet, suite à l'abandon de sa participation au partage, dispatcheur selon Bacon, répartiteur selon les réparties de la d.d.d., il n'est plus le protecteur de notre globalité comme de magnifiques savants passés, il préfère, selon le mot de Georges Braque, inventer des mensonges plutôt que de dire que la Vérité existe.

La preuve, nous pouvons la vérifier ! Il n'est plus guère le certificateur de certitudes sphériques, comme le couple androgyne de la Réalité. Or, l'assurance, comme le contrat social, comme le marché transparent repose sur la confiance. Sa gnose s'achève ! Elle ne reposait - négativiste - que sur des refus non constructifs comme le son ne peut participer au sens. Et à quoi alors ? Puisque, enfin, même si son et sens ne se superposent exactement, ce qui les figerait et empêcherait toute utilisation nouvelle, ils forment (comme l'admettait tout de même de Saussure) les deux faces de la même pièce, se renforçant, s'épaulant, s'appuyant l'un sur l'autre, jusqu'à provoquer les verbérations et réverbérations élucidantes. Masquer, cacher, voiler ce mouvement permanent nous rétrécit dangereusement à l'abstrait où le langage vit sans nous. Et n'est plus que l'instrument de l'incommunicabilité, de la Société de Non Communication actuelle.

out d'abord, puisque nous ne pouvons plus nous prononcer de la tête aux pieds, incarner nos opinions et choix, nos caractères et raisonnements, ce qui fait qu'on discute, avant tout des goûts et des couleurs, l'apprentissage pacifié des différences. Ensuite, vivre que la véracité du dictionnaire, ainsi actionné, conduit, après un patient mais passionnant apprentissage, à admettre que ce qui rassemble, trame les mots est bien plus important, essentiel, primordial, que ce qui les sépare. Et que donc le son des mots est plus fidèle au sens que de conduite incohérente. Assurer puis assumer : une seule consonne change, a priori les deux sens ne participent pas du même registre, pourtant, le sens se tisse pareil, ils se montrent liés, même filiation, même rivière. Pour assumer, en effet, il faut avoir de l'assurance et assurer implique que l'on assume tout, jusqu'au bout, jusqu'au but. La proximité du son lie les sens mais ne les fige point.

C'est précieuse aide à la préhension de la compréhension, ce qui empêche toute abstraction stérilisante comme tout ligotage impérieux et sourdingue de sens dicté d'ailleurs. La preuve inverse eut été que la polysémie, totalement hasardeuse, aléatoire, chaotique, n'impliquât rien, n'expliquât rien et que deux mots, aux sons quasiment semblables n'aient vraiment rien à voir, totalement étrangers l'un à l'autre. Ce qui n'est absolument pas. L'honnêteté intellectuelle permet de vérifier que de daigner écouter le son d'un mot, de désculpter du regard sa forme et sa formation, donc son information, de jeter un œil sur son étymologie ne peut qu'aider à dé-Couvrir le sens global de ce mot. Et mieux que la tradition des vieux dictionnaires qui est de définir un mot à l'usage d'autres mots tout en claironnant que chaque mot demeure irréductible à tous, ce qui introduit que jamais un mot n'est défini. Tout juste esquissé. L'idéologie "des faits et rien d'autre" conduit à une impasse dramatique puisque chaque fait appelle toujours plus de faits, et que donc, coincés en cette accumulation insensée, vous ne puissiez plus dégager la structure et le sens de cela.

La formule se trouve dans ce qui formule. E = mc2 n'appelle pas à l'avalanche de "faits" mais à la découverte des "relations" relatées de la Réalité. Pour le langage le sens se situe dans le mot lui-même, la formule dans la manière de formuler ce mot. L'abandon de l'idéologie du fait excluant, pour le dictionnaire de définir le mot sans lui-même, sa matérialité, sa corporéité, sa substance, sa famille, sa structure...etc nous introduit dans l'immensité de Tout. Si loin d'un sens déterminé d'avance, un sens qui se construit (work in progress), en harmonie avec nos corps, nos sentiments, l'univers, l'auto-institution explicite de la Société. L'inverse d'une "convention" où le sens se situe partout ailleurs que dans sa matérialité, si loin de tout ici et maintenant, expulsé de toute la contingence des sons pour ne trôner que dans une transcendance inaccessible - sauf par les pouvoirs évidemment, qui ne nous dictent, alors, que leur dictature, avant d'autant plus de facilité que le Sens ne se trouve plus que dans cet absolu insonorisé situé hors de notre monde.

Cet "absolu" renie toute relativité, et, surtout, la relativité générale, celle-là même qui permet de tout "relater", puisque le relatif seul permet les "relations", l'absolu restant figé et sans dynamique (voir Parménide). Ainsi donc l'idéologie "des faits et rien d'autre", raccrochée au fanatisme de "tout sentiment est un pathos", reliée à l'aveuglement et à la surdité de '"l'arbitraire du signe", nous ont conduit à l'impasse terrifiante où toutes les découvertes de la Science sont rejetées, où l'évolution des mentalités et styles de vie se montre interdite, où toute libre expression réprimée. Et de reconnaître la situation actuelle de refus de la "relativité" donc de ce qui "relate" et relate quoi sinon les "relations" (définition diversitaire de la science : ce qui dévoile des "relations" possibles là où nous croyions à des séparations et des impossibles) : l'idéologie occidentale trône dans le refus frénétique de "l'ici et maintenant" des sons, de la "contingence" qui se place dans la circulation des sons, pour nous faire stagner dans "l'absolu" d'un sens insonorisé, d'un sens non vérifiable ni expérimentable, puisque extrait de toute matérialité pour ne se trouver que dans une "transcendance" qui ne vit pas sur Terre. Cette impasse ne trouvera que les sourds et les aveugles à la Réalité puisque la diction juste du dictionnaire nous ouvre tous les chemins.

Comme celui de nous ouvrir à la sensualité de la conSensualité du nouveau contrat social qui ne peut se nouer qu'autour d'un langage qui prononce, à la fois, nos corps, nos sentiments et nos idées. Comme celui de nous éloigner, définitivement, de toute abstraction glaciale et séparée, et nous réintroduire dans le concret où chacune et chacun participe AU langage. Comme de nous faire saisir qu'un mur est fait de briques individuelles, a priori semblables mais toutes légèrement différentes, et que chacune est pour cela unique et irremplaçable. Comme de nous enthousiasmer que la génétique ait aboutit à reconnaître que les races n'existent pas et que la diversité génétique n'implique aucune supériorité ni infériorité possibles (ce qui montre, incidemment, que nos mentalités et styles de vie traînent encore dans la préhistoire et sont très loin d'être moderne). Ce qui, la constitution du langage ayant beaucoup à voir avec le fonctionnement du code génétique, ne peut qu'aboutir au détrônement épistémologique de la surdité aveugle de "l'arbitraire du signe". Comme, enfin, la liste est trop longue, de vivre que l'Amour et la Science guident le monde.

Le refus fantasmatique de la diction du dictionnaire discrédite tous les pouvoirs puisqu'il met à nu que la "censure" n'est pas ce qui prive un auteur de diffusion mais bien ce qui réprime toute femme et homme du droit à l'accès de toute connaissance, à eux cachée, interdite, refusée, dans une attitude paternaliste (ou maternaliste) d'hure dictatoriale. Ils (elles) n'ont donc de comptes à rendre qu'à tout le monde et surtout pas à l'auteur. Puisque si, enfin, la diction du dictionnaire n'avait aucune vertu scientifique, ne cheminait pas avec le vrai et le réel, quelle meilleure tactique que de le laisser se ridiculiser en libre diffusion. L'inverse étant seul pratiqué pointe que les pouvoirs ont beaucoup à cacher et à craindre et que l'ici et maintenant et la contingence réalisés sonnent leur définitive fin (humour de l'Histoire qu'ils aient osé placer les penseurs dans l'ailleurs et l'absolu alors qu'ils se révèlent les meilleurs décrypteurs de réel que nous ayons eu). Personne ne peut affirmer que la démarche de la d.d.d. soit d'affirmer que le sens n'est QUE le son. Ce qui discrédite encore plus les diktats immobilistes de "l'arbitraire du signe" puisque pas à pas, artisanalement, comme un orfèvre patient, avec des dizaines de différentes méthodes juxtaposées et non en compétition absurdement destructrices, la d.d.d. vérifie que le son aide infiniment à appréhender, discerner le sens. Mais ne le remplace pas !!!

Que le futur, duquel il est comme un pionnier, un éclaireur, saura de plus en plus cela : que c'en est la plus forte invention sociale de l'avenir. Le son allié à la vue, afin de résonner des racines, préfixes ou suffixes, devient ainsi le meilleur guide de nos corps. Le plus important. Mais pas le seul. Puisque cette démarche repose sur une philosophie tellement simple que personne n'a, encore, osé la dire - tout ce qui existe existe - et que le labeur de l'Adulte devient d'apprendre à tout inclure, comprendre, intégrer, aimer. Jamais d'exclure. Car exclure est une attitude bornée, stupide et lâche : ça ne change strictement au réel. La majorité ÉCRASANTE fuirait donc le réel ? Exclure c'est bien faire l'autruche devant la philosophie réconciliatrice et démocratique du Tout existe, mais la Valeur met de l'ordre et des lois universelles dans ces ténèbres. La Valeur vraie c'est celle qui inclut tout et n'exclut rien. En cela l'argent ne pourra jamais mener le monde, à peine le démener.

Le labeur du savant - vocable qui unit les démarches soi-disant littéraires, artistiques, aux sciences sociales, physiques, biologiques et mathématiques...etc - demeure de trouver la Valeur comme le meilleur artefact où elle se trouve, dans sa formation et donc dans la forme de son information. Ce qui demeurait centre des débats depuis des décennies, mais ce centre ne savait pas de quoi il était centre. Cette Valeur semble bien se trouver dans le langage qui inclut tout, valorise tout le monde, permet toutes les différences et expressions de ces différences, qui possède, de plus, quelques vertus "inexplicables", comme "magiques", telle de n'être, avec la vie, les deux seuls phénomènes qui ne soient jamais morts ou telle la valeur qui va ap-prendre conscience du comment vivre en Société, comme d'ap-prendre conscience que la conscience morale ou affective est le diamant qui augmente la jouissance de la vie. Cette Valeur dé-voile le But, donc le sens et le chemin pour y parvenir. Encore, elle devient cette Justice qui tombera toujours juste lorsque nous saurons de quoi les choses font pareil et reprendrons, à nos ap-pareils, toute le dignité du savoir devenu s'avoir soi-même. C'est mieux qu'une aventure c'est l'Aventure. Tout vous est assuré.

L'artefact - qui n'a nul besoin de transcendance - ouvrant, œuvrant à cela sera la langue et sa diction ayant dé-voilé la précieuse Science de l'Autre. Que personne, encore, n'assume ni n'assure.

(extrait de "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques" que vous trouvez sur site internet à téléchargements gratuitsfreethewords.org,   onglet 3)

 

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 (à suivre)

 

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité", onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

Publié dans le ridicule qui tue

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