Si tout le monde sait tout mieux que tout le monde – qui sait alors ? (1)
Effectivement, à force de chuter dans une société du « moins disant » (donc qui désapprend à parler), du moins sachant (donc qui refuse tout savoir puisque tout effort d’apprendre), du moins exigeant (donc, pour intelligence, nous n’avons quasiment plus que de la fausse monnaie) - nous sommes au seuil d’entrer dans la vraie folie collective. Si tout le monde sait tout mieux que tout le monde – qui sait alors ?
Des êtres éveillés ont nommé l’actuelle époque de « règne des perversions ». Les perversions ça fait joli à l’extérieur, en vitrine – oui, mais dès que vous êtes, douloureusement, empoisonné( e)s de ses serres vénéneuses – vous savez que l‘urgent c’est de s’en sortir au plus tôt… Ouiche, si tout le monde sait tout mieux que tout le monde – qui sait alors ?
Or, ça fait pas un pli : tous les arriérés médiatiques pourront entrer en compulsions maniaques permanentes, tous les financiers incompétents et inconscients pourront jouer de la cruauté mentale, toutes les stars pourront tenter de continuer à vous tromper, etc – rien n’y fait CE NE SONT PAS EUX QUI COMPTENT…Seuls la vraie intelligence, des cerveaux solides, aux argumentaires d’acier ; seuls de grands cœurs et des visions immenses – oui, seuls les savoirs irréductibles et désintéressés (inaccessibles à tout intérêt trop local et complètement fou !) NOUS EN SORTIRONT…Malgré vos frivoles et inconsistantes calomnies…
Plus vite ce sera compris plus nous augmenterons nos chances de survivre…
Conclusion : ce sont les grands exclus de cette déshonorée société dont nous avons le plus BESOIN. Grands penseurs, vrais écrivains, scientifiques indomptables, associatifs désintéressés, esprits larges et grands cœurs, unitaires et inclueurs, esprits synthétiques, sens du collectif, résoluteurs de conflits, sachant partager pour qu’il n’y ai pas de perdant, etc – il faut absolument mettre sur la touche tous les intrus toxiques qui n’ont rien à « nous » dire et rien à partager. Et que vous laissez, imprudemment, envenimer tous les espaces publics… Si tout le monde sait tout mieux que tout le monde – hé ben ! qui sait alors ?
Soudain, tout vous semble décourageant et inaccessible – à vous, hier, si méchamment blessant. Hého, la vraie intelligence c’est celle qui transforme tout argumentaire fiable en action, qui passe du général au particulier (et, comme disait si bien Einstein – que vous vous obstinez à ne pas entendre – sans théorie on ne peut rien, donc, qui « plane », qui est dangereux utopiste, c’est qui n’a pas « de théorie » et refuse de se « prendre » la tête…de la sorte, il « prend » les autres en otages de sa chute…) L’intelligence, eh ouais, vous qui vous laissez niquer la tête (et vous montrez , étourdiment, si sourcilleux sur votre « identité » ( !)) – ce n’est pas parler à la télé. C’est même le contraire. Au point caricatural, où l’on peut schématiser – la vraie intelligence c’est celle qui ne vient plus parler à la télé. Toutes les règles y sont déloyales, le savoir y est spolié et trahi, le seul but reste d’y tromper en grand les gens…Genre tout le monde sait tout mieux que tout le monde – mais qui qui qui sait alors ?
Pourtant comment faire, haletez-vous – vous qui, hier, empêchiez tout débat – alors que nous savions déjà toutes les issues après lesquelles vous courez maintenant…
Eh bien ! qui dit théorie dit méthode. L’acte le plus difficile de l’Humanité – penser bien – a été abandonné, piétiné, détruit, exclu, diffamé, etc…Ce ne sera pas en un clic, une subreptice calomnie ou en un achat compulsif d’objet que vous réussirez cette fois ci. Maintenant, il vous faut affronter la vraie réalité. Et vous n’y avez pas votre place et vous ne savez plus comment vous y comporter. Toutes les illusions médiatiques vous deviennent d’insupportables fardeaux, de lourds handicaps, de pénibles punitions de masos. Qui va vous sortir de cette merde puante et douloureuse ? Eh bien ! la théorie et la méthode, en un premier temps..Nous devons, en plus de récupérer des êtres aussi peu avenants et aimables que vous, supporter toutes les injustes conséquences de vos pollutions qui s’avouent dans vos phrases indignes genre « chacun sa merde »…Aucun vrai adulte ne peut souscrire un tel nihilisme, un tel anarchisme sournois (conformiste à l’extérieur traître à l’intérieur, c’est ça ?)…A cause de tels hurleurs égoïstes comme vous – le changement de société va être douloureux. La moindre des choses, alors, est que vous LA FERMIEZ PENDANT QUE VOUS APPRENEZ…Purée, t’as vu ces fous dangereux qui se croyaient « tendance » alors que ce sont d’archaïques barbares…Ouf ! maintenant que ces fomentateurs du « suicide collectif » se taisent (ça fait 20 ou 30 ans qu’ils ne font un vacarme infernal RIEN QUE pour empêcher les gens « de s’entendre » ? - quel soulagement !!!)…Commençons donc par la première marche…vous devez ressentir que…
SAVOIR DONNER N'IMPLIQUE PAS QUE L'AUTRE SACHE RECEVOIR
Oui ce n’est pas parce que vous SAVEZ DONNER QUE L'AUTRE SAIT RECEVOIR…Ce qui conserve que l’essentiel reste le don, qu’il faille protéger, avant tout, le don. Et coacher, énergiquement « qui ne sait pas recevoir ». C’est indigne, c’est inhumain, c’est pas adulte, c’est parasitaire. Hého, n’est-ce pas tout le contraire du fonctionnement pervers de notre déshonorée société ? Qui ne piétine que le sel de la Terre et ne favorise que les destructeurs au sommet ?
Sans doute ! Oui oui, ce n’est pas parce que vous SAVEZ DONNER QUE L'AUTRE SAIT, automatiquement, RECEVOIR…Cette simple phrase vous fait plonger, tout vif, dans l'enfer qui fut réservé aux plus que meilleurs d'entre nous: les génies! Aujourd'hui cela reste cent fois pire, par certains côtés, et cent fois mieux par d'autres. Dans l'ère de la bourgeoisie qui, enfin, s'achève, dans l'ère de sa bestiale vulgarité couronnée, en très fin de course – c'est à eux qu'il faut penser en tout premier. Ils nous auront tant protégés, si vous vouliez savoir. Ces êtres d'exception me remplissent sans cesse de bonheur. Mais je n'oublie gère que, sous le talon dément de la grossièreté bourgeoise, elles/ils ont souffert mille morts. Personne à leur hauteur pour les consoler. Aucune épaule plus forte que la leur. Aucun repos, très rarement une flaque radine de bonté. Aucun moyen de comparer, et donc de tout parer, lorsque vous êtes qui allaite les autres. Et en reste altéré. Presque aucun allié(e)s, une multitude aveugle d'obstacles. Pas d'ennemis obstinés, un ou deux tout au plus, les autres n'osent pas – ce qui est pire, ambivalence reste mot de torture. Tout le monde plus ou moins contre eux. Jamais le peuple, qu'ils aim(ai)ent tous tant, ne les a "vraiment" aidé. Sinon, à la marge individuellement (aujourd'hui c'est tout l'inverse, on se bouscule pour …: mais chut on n'instruit pas les s…!). Donc nos génies ont brisé leurs cœurs, leurs têtes et même tout leurs corps à essayer de pallier l'autre qui ne sait pas recevoir. Et qui, ne le sachant pas, escalade encore plus la brutalité, s'en faisant une gloire de tout piétiner. Toujours plus cruel: donc ils roulent la barbarie de se dire "affranchis" (rien de franchi, en fait!). De n'être qu'un balourd imprécis, un lourdaud rudimentaire ou un humain si rêche (toujours ceux qui "exigent" le plus d'amour, en plus !). Savoir donner, oui ne sert pas à grand chose !!!
Si personne d'autre n'est à la hauteur…
Sauf sur la très longue durée…Voyez ! Nous sommes de vrais scientifiques (24 heures/ 24 et pas les seules 8 h de labo et toute une vie socialement "sauvagement anti-scientifique" !)…Nous sommes les seuls cobayes et ne nous démettons sur personne d'autre. Tentez deux expériences, que vous venez de savoir, sûres:
1))) Essayez de faire signer cette pétition: "Refusons tous les génies passés à l'école ! Ils n'avaient pas la télé ni le frigo, ils connaissent rien à la vie! Ce sont des arriérés ! Ils n'apprendront rien de bon à nos enfants ! Plus d'Homère, d'Hugo, de Voltaire, de Rousseau, plus de Shakespeare, de Cervantès ni de Goethe. Plus de…(à votre invention…)"
C'est logique, ça tient la route, ça se défend, c'est déguisé par l'air du temps. Essayez un grand nombre de fois. Nous savons déjà (pas devins du tout, pourtant !) que vous n'aurez aucune signature (ou juste un distrait qui n'aurait pas lu le texte) et beaucoup de gêne chez les gens. Pas beaucoup de paroles (vous touchez aux vrais tabous, aux refoulés "nucléaires", aux vifs dangers mentaux là oucceqqqquelesgéniesvont…) en plus. Mais, avec nous, des psychologues "posturaux", des hypersensibles, etc (vous saurez tout pile quand…le moment…). Les gens sont, en général, "gênés" car ils ont deux rivières de sensations en même temps: de ressentir que ces "génies" de plus de 4 500 ans ou plus de 450 ans, nous "surpassent" encore infiniment, les choque énormément. Effectivement, ils n'avaient pas télés, frigos, sms etc, et pourtant… – mais "rien" de ça (où est le "vrai" progrès ?) ne fait l'intelligence (mais on ne peut s'en passer, s'auto-justifient- ils !)…Alors quoi…Rush des pourquoi ??????? Pourtant, silencieux respect, on ne peut "leur faire ça" aux génies…donc on signe pas…un peu tard…la vraie hiérarchie…sans personne qui donne (génies et talents) plus de société du tout, en fait !!! alors , les simagrées bourgeoises, toujours moins de 7 ans d'âge mental…
2 ))) sur le très grand nombre, toujours, demandez dans pleins de situations diverses et à toutes les couches sociales, de citer (restez flous!) "trois grands du 18 ème siècle, 15 éme, 16 ème, 2 ème etc. En France, en Italie, au Brésil, etc. Vous pouvez être sûr(e)s, à l'avance, qu'une moyenne de 85 % (98 % dans les lieux plus populaires), vous "dira" - soit un artiste, soit un savant, un penseur, un inventeur ou un écrivain (tellement rarement un politique, un général ou un évêque). Malgré une vie sociale souvent "sabotée", brisée, abîmée, détruite, de leur vivant – ce sont eux qui "restent". Les questionné(e)s, avec toujours une barbarie cachée, persistent à persécuter et calomnier les "grands" toujours en vie, leurs contemporains. Inadmissible! vous admettrez! Mais dès que "plus là": au top direct que ça grimpe tout ça. Ils "pardonnent" leurs ancêtres d'avoir piétiné ces grands… ou ils "n'en veulent plus" aux génies, dès que leur présence "ne peut plus exiger" ? Et les "aides" à la torture (financiers, politiques, médiatiques) rien, tous oublié(e)s plus vite que leurs ombres…Tous celles/ceux qui nous rendent la vie aussi insupportable: oblitéré(e)s en une seconde. Donc leurs vies n'auront "servi" qu'à nuire.
Savoir donner n'implique pas, au départ, la symétrie qu'un autre sache recevoir. Et si plus personne ne sait recevoir, qu'allons- nous devenir ?
La bassesse ose, encore, de "faire une partie du chemin vers elle", mais si vous deviez faire 98 % ou 99 % de ce chemin, cette bassesse tombe plus bas encore. Leurs demandes se montrent toujours à sens unique: ils exigent tout, et plus, des autres et se vautrent dans les laxismes indolents pour eux- mêmes. Encore, même avec un guide, c'est tout de même vous qui devez marcher. Même avec un guide, c'est quand même vous qui devez être "dans" l'expérience, la ressentir et la vivre. Il ne peut pas vivre "à votre place". L'escroquerie sociale, nommée "classes moyennes", ne peut, sans cesse, effacer la réalité…
Dans la même pièce que Albert Einstein, il vous explique, si vous ne comprenez pas, c'est, très précisément, parce que vous n'aurez pas fait les efforts pour. Effort afin der déployer votre expérience des ressentis. Effort pour s'ouvrir aux inconnues intellectuelles. En conséquence, à 98 % , ça ne peut être que de votre fait, de votre faute, de votre initiative…A peine 2 % si Einstein n'avait pas suffisamment réfléchi à comment mieux présenter les choses. Et, encore, évident que cet effort est, déjà, inclus dans sa parole…Pourtant, l'escroquerie sociale, nommée "classes moyennes", va entamer son travail de sabotage. Après des heures de piteuses déchéances, elles vont parvenir à présenter les faits sous un angle frauduleux. Einstein, si prétentieux et s'écoutant parler, l'a abondamment prouvé en humiliant….xxx…sous un discours incompréhensible…
Déplanter les graines fécondes de "qui sait". Est ce bien raisonnable ? Le drame c'est qui ne sait plus ni donner ni recevoir: Ce sont les grand(e)s pollueur(se)s sociaux actuels. Les calomnies en général leurs sont dues. Ils ne savent s'exprimer qu'en semant une putride confusion partout. Leurs taux de nuisances collectives dépassent tous les seuils tolérables. Et, pourtant, cœurs de cibles de la déchéance capitaliste, ils s'étalent toujours plus résolument toxiques, plus dangereusement souriants, plus bestialement destructeurs. Soutenues par toutes les pubs et autres défenseurs morbides du mensonge. Des plaies universelles, devenus inaptes à toute raison, inaccessibles au bon sens, empêtrés dans les lianes de manques d'esprit pratique…en bref, vivant hors des réalités. Et, donc, le pire des fardeaux que nous devons traîner…Ils pavoisent nous voisinons…
Nous voici au seuil de la dernière perversion: si personne ne sait recevoir c'est que vous ne sauriez pas donner…Tout semble toujours de kla faute desmielleurs et les pires récoltent toutes les circonstances atténuantes. Ce qui rend la vie sur Terre toujours pire. Donner: transmettre, passer, livrer…Aucune suite à la vie si le don est interrompu. Qui a dit "la société commence lorsque quelqu'un donne" – n'a pas bien écouté "toute économie n'existe que parce que quelqu'un donne" ou encore "la civilisation disparaîtra lorsque plus personne ne donnera" ? La dette envers les dons se montre gigantesque: et les associé-tés s'avèreraient avisés de fermer le clapet des cinglés qui calomnient les cadeaux …Nous pouvons nous passer des diffamations pas vraiment des dons…Maintenant, qu'est mieux que blanchie la partie vitale qu'est donner (et virés à la poubelle qui ne sait faire mieux!) – nous captons que c'est "recevoir" qui représente notre époque si carencée, gâchée, dépossédée...
Les génies, centres du généreux, continuent de générer, de généraliser, de produire et reproduire, de concevoir et d'engendrer…Le souci n'est plus au début de la communication mais à son destinataire…
Recevoir, tel devenir le réceptacle adéquat du don. Prendre forme du recueil qui accueille. Adopter la recette de la réception, ce juste pendant de la parole. La parole n'avoue-t-elle pas que "parer" c'est y parer, soins, préventions, attentions, vigilances et protections de nos santés. Tout autant que s'en parer, enjoliver, orner, agrémenter, se couvrir de toutes nos beautés. Recevoir, identiquement, se montre telle la protection qui "recueille", dans l'attentionné mouvement qui sait tout garder. Hospitalité hospitalière (tel l'accueil de l'hôpital). Tout autant que la rutilante splendeur d'un accueil vibrant. Face à l'absence criante de toutes ces "réceptions" (ce luxe inouï qui ne coûte pas un centime d'argent!), nous savons y voir des cœurs stupidement fermés. Clos sur leurs sucs qui ne peuvent plus que pourrir. Si loin de ces joies resplendissantes qui constituent la réelle substance des fêtes (si distantes des flots d'alcools et autres moyens transformés en buts!)…Afin de fonder cette abondance, il faut des êtres hyper-réceptifs. Bref des âmes d'artistes…
La fausse monnaie qu'est la lugubre économie bourgeoise (cette insulte à l'intelligence!), fait semblant "d'ignorer" que les deux piliers du monde demeurent soutenus par qui donne et qui reçoit. Pour l'offre offrez et pour la demande mandez (transmettre et communiquer dans le but de faire venir)…Tout est écrit noir sur blanc et leur vulgarité basse ne saurait pas déchiffrer ? Oui nous pourrons très aisément nous passer du capitalisme. Aucunement de donner et recevoir. Ce qui "économise l'économie" et nous ramène à cette protection et à ce soin qu'est la "vraie" économie…Or qu'observons-nous chez ces faux monnayeurs: ils passent leur temps à diffamer le généreux, le gratuit, le donné tout autant que l'accueil, le bénévole ou la gratitude…Une des deux versions doit être archi fausse: nous gageons que c'est l'anti-économie bourgeoise. Qui ne saura jamais ni donner ni recevoir…
La liberté est si grande que plus l'être se sent sans attache plus il peut s'ébattre au loin et plus, un jour, il peut ou non revenir dans votre direction. Obtenir de tels élans spontanés sans la liberté non ça ne vaut pas le coup. Plus vous êtes grand à 'intérieur plus vous apprenez à tout recevoir…Telle que cela vient…La part la plus rude de la vie que de "recevoir"..
Notre anti-civilisation actuelle qui piétine toutes les "qualités" (sans lesquelles pas de civilisation!), telles donner ou recevoir, tue avec acharnement tout le terreau, oui l'humus qui fait l'humain ( étymologiquement, humain vient d'humus!). Sans cet humus, le futur ne peut pas être fécondé, ni germer ni grandir ni naître. Ce n'est donc pas rien que le "massacre des qualités"…Jouer au romantisme de la décadence s'y voit fermement démasqué: ce n'est que le sordide d'un suicide collectif "imposé" par le haut.
Ne pas "apprendre" à recevoir et donner devient bien un inexcusable "crime éducatif" au sens fort. Ce sont les génies qui supportent le plus lourdement ces nuisances. Ils ont autre chose à faire que de pallier l'éternelle auto- satisfaction bourgeoise (avec toujours plus de catastrophes autour d'eux!) qui, quoi qu'elle fasse (et surtout ses désordres), se montre très béatement fière d'elle. Avec le symétrique, du quoi qu'ils fassent, et avant même qu'ils ne l'aient dit ou commencé, s'irrite bien trop bruyamment de son sempiternel mécontentement envers les autres…
N'est-ce pas ceci l'image maladive de l'inversion de savoir donner et recevoir ? Ne pas apprendre à recevoir et donner aboutit à la barbare régression bourgeoise: cette têtue anti- civilisation…Où tout est à l'envers…Et veut obstinément le rester...
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org, onglet 4 " Où trouver encore du sérieux ?, onglet 2 " Le roman de l'économie", ou onglet 3 " Rien de plus solide que le solidaire".