Sur la route pas Sur leurs croûtes

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Il y a tellement d’actus que l’improbable film « Sur la route » (eux qui ne l’ont jamais faite dans la faim et la fatigue) a attendu sa mise au point. Trahisons et signes d’aliénations totales : rien de ce qu’ils disent ne s’est jamais passé ainsi. La fin d’une classe sociale c’est bien lorsqu’’elle se ment sur tout, qu’elle se coupe de tout réel, même de celui du passé.

 

Jack Kerouac a fait la route. Pas eux. Comment oser parler de ce que vous n’avez pas vécu ? Qu’a vécu Jack Kerouac ? Le livre dont nous extrayons l’écrit de qui l’a vraiment connu. Fernanda Pivano – Beat, hippie, yippie, 1972 Arcana Editrice, 1977 traduction française de Jake Grassi – n’est peut- être pas facilement trouvable. Et pour cause ! Il parle de la rançon de la gloire de Jack Kerouac et les kidnappeurs sont les plus qu’indignes médias… « aux prises avec des journalistes qui n’hésitèrent même pas à « lui faire les poches », on ne sait sur la base de quelle liberté professionnelle, pour rapporter de maigres notes dites secrètes de son prétendu Journal intime ; et qui transformèrent la moindre de ses dires juste ce qu’il fallait pour le faire croire complètement « paumé » à présent dans l’existence » (p. 126).

 

Tout ce que disent les médias est donc FAUX. Le travers dangereux de ces bizarres loustics c’est que leurs « enquêtes » se limitent parfois à ne compiler que les articles de leurs prédécesseurs…s’ils sont faux au départ, l’erreur va se reproduire se reproduire se reproduire se reproduire. Et la fausseté en 2012 peut, alors, leur pèter à la gueule. Nous l’avons vécu nous en témoignerons à jamais : ils se croient si omniscients, papes bullés d’infaillibilités, qu’ils ne vérifient, souvent rien de ces précédents articles devenus plus vrais qu’une bible…Graven très grave. Pour Kerouac cette phrase(citée) montre et prouve, à la fois, le mensonge de déchu-e-s (clair qu’ils/ elles étaient maladivement jaloux/ses de la vie de Jack Kerouac, au livre le plus volé de toute l’histoire) et la faute inexcusable d’angle de départ. Jack Kerouac n’a jamais été ce paumé décrit et les 15 livres, écrits depuis « Sur la route », avec toujours la prédiction péremptoire « il est fini » jamais, elle non plus, réalisée…vous croyez que ces saloperies se seraient excusé ? Même en 2012 nous attendons une réhabilitation de Jack Kerouac. Donc une claire condamnation des médias et des centaines de délits qu’ils ont commis à son égard.

 

Donc pas un mot de vrai sur lui dans les médias ennemis « mais leurs questions étaient si manifestement « en dehors du coup » qu’ils arrivèrent même, aussi saoul qu’il pouvait l’être, à lui faire perdre plus d’une fois patience » (ibidem). Pris en flagrant délit de faire perdre patience à un « vieux routard » - nous ressentons, ici, un dégoût total face aux ébriétés vraies des médias qui croient que tout le monde leur appartient. Vrai ou faux ? « Je me le rappelle, surtout, ruisselant de sueur sous les projecteurs, écœuré et vidé par la foire aux vanités la plus inutile de sa vie, abasourdi par ce qui ce qui se passait, entouré de ce public plus curieux qu’attentif ; semblant traqué par ces hommes vêtus « en sombre ». Et lui, là au milieu, avec ses grosses mains de travailleur manuel abandonnées sur ses genoux, inerte et sans défense comme un vieux lion blessé qu’entourent, maintenant qu’il n’y a plus besoin de dompteur, les hommes de peine du cirque redevenus intrépides. Mais personne ne se demandait à quoi il pouvait penser » (ibid). Quelques lignes d’honnêteté pure et toutes les scories s’effacent …

 

«mais personne ne se demandait à quoi il pouvait penser »…Sauf ce journalisme (quel œil ! quelle plume !) dont nous sentons que l’absence hurlante (arriérés de rédacs en chef !), dans la déchéance actuelle, nous fait RATER TANT D’ESSENTIEL…en effet, le Jack Kerouac de « Sur la route » était LA…or, qu’avons- nous de l’époque, sinon des aliénations de journalistes malades et leurs questions hors de propos, des délits abjects qu’ils ont commis, l’étalage sordide de ce que n’était surtout pas Jack Kerouac, des attitudes puériles et immontrables (elles ont toutes envahi, exclusivement, l’écran), et…et..etc…mais RIEN sur le vrai Jack Kerouac. Il était là et rien personne ne se demandait (et lui demandait) à quoi il pouvait penser …la bestialité de la bêtise…s’il n’y avait eu des témoins honnêtes qui, en quelques phrases, nous plongent dans « le vif du sujet » nous ne saurions rien de l’essentiel d’une œuvre…

 

A quoi servent de tels médias qui parasitent ainsi toute vie et nous empêchent clairement de savoir le vrai et le réel sur qui que ce soit ?

 

RIEN DE VRAI. Jamais, Tu vois que, plutôt que de scruter leurs croûtes (où y’a rien à gratter !) fais comme nous …n’abandonne jamais la route !!!

 

C’est pas un film, c’est la vraie vie !!!

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 (à suivre)

 

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L'ECONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 

Publié dans bulles médiatiques

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