T'as pas la berlue, c'est à Berlusconi qu'a été dit fortement dégage !

Publié le par imagiter.over-blog.com

5445111053_2c0f3bbd3c.jpg

Non, non, t'as pas la berlue, c'est Berlusconi, oui le Berlusiliconé – qui obtient la pression la plus "durable" connue, à ce jour…Celle des femmes…Elles se cramponnent vraiment à qui se cramponne, déloyalement, au pouvoir…Jusqu’à ce qu’il cède, en général !!!

 

Bon, le droit de cuissage, l'abus forcené de positions dominantes, les réseaux pour faire pas beau – sûr que ça fait reculer de plusieurs siècles, d'un coup…Mais que l'unanimité des médias dominants et des pouvoirs en place "couvre" cela ça fait super mac, non ? Les médias dominants et les pouvoirs en place – les macs sournois des femmes – ceci devient trop de trop !!! hé bé ! Serait temps qu'on les vienne épauler ces chères giiiiiiskttes !!! afin de bouter hors du monde cette lie de l'Humanité !!! Le mouvement planétaire dégage! atteindrait-il l’Europe par le plus voyant de ses berlificotés?

 

Non, t'as plus la berlue le Berlusracorni, a répondu « je ne démissionne pas ». Oubliant la juste syntaxe démocratique : ce sont les votes qui vous missionnent ce sont donc, eux  seuls, qui vous dé- missionnent, vous ôtent la mission, vous l’enlèvent, vous la retirent. Oui vous la « dégagent »…dans ce cas de rhétorique, dire « je démissionne » n’est qu’une figure de style, qui apparaît, a posteriori, comme la prise en compte d’un revirement de situation…

 

La réalité devient, ainsi, de savoir s’il est encore missionné ou s’il a, déjà, été         dé- missionné ?

 

La nature de l’opposition, massivement féminine, qu’il vient de rencontrer tend à prouver qu’il devient très proche du dé- missionné, de la sortie…sa légitimité est trop fortement entamée pour que ses dénis du réel puissent encore rester de quelques utilités, pour la faire revenir… Plus il va se cramponner – plus elles vont se cramponner…Il est, à l’évidence, très poussé vers la sortie !

 

Que disaient- elles de si corrosif à propos du Berlusiliconé ?

 

Nous voulons le mettre sur la touche, nous le voulons, sur la touche…Là, où il pourra plus "toucher" ma sœur, mon amie, ma belle sœur, ma cousine, ma nièce, la nièce de ma voisine, aussi, oui oui, plus touche non plus, Berlu, non t'as pas la berlue – cette fois- ci, c’est en train de tourner à des volontés qui sont, clairement, en train de se tendre, de forcir, de se bander dans la détermination du on le déblaie, on le débarrasse, on l'exporte, le comporte, le compote, on le vire complètement, on le dégage.…

 

Et pas en touche!!!

 

(à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org,   onglet 1  "Les mamelles du repos" et  "Remue- ménage",  onglet 2 "Présent !", onglet 4  "Nul n'est  nul" ou, encore,  "Je ne parle plus à qui a raison".

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article