Tamise pas ta mise

Publié le par imagiter.over-blog.com

neige-riviere[1]

Vous laissez pas avoir, pas abattre non plus. Ces extases que vous procurent la tête restent très bénéfiques. D’écouter qui essaie de vous persuader du contraire ne le semble pas du tout .Ainsi ?

Donc vous me foutez dehors pour que je sorte avec vous ? - Par quelle porte alors ?

 

Je n’ai plus qu’un souci c’est votre coupe de cheveux ! – A ce point ? Vraiment, on ne peut vraiment pas boire dedans…

 

Vous dites trop souvent« Fais pas le malin ! », « Fais pas le malin ! » et, tout en n’étant jamais, socialement ni économiquement, sérieux, vous voudriez que tout le monde le soit. Malins…Comme ça bien rangés sur les étagères, faut pas déplacer, faut pas déranger, faut pas "vous" prendre la tête (même si votre inertie abusive parvient à la prise de tête collective ?), non faut pas vous faire fonctionner les neurones. Pour vous , plus on est con plu on est intelligent, moins on parle plus on "prouve" son intelligence. L’idéal serait même que tout vous laisse dans le sommeil primal…aux autres de se débrouiller pour que ces caprices extravagants, qui demandent, carrément, la destruction de la majorité de la Terre se fasse sans vous. Mais pour vous seul. Frivolité oblige!!!

 

Que vanille manie donc autre combat que le chocolat !

 

- Personne ne m’a humilié comme ça ! – Il suffit que ça sonne et par ces milliers eus on ne m’aura plus !!! Fourmilliers, en somme.

 

Bon, si je comprends bien, il ne me reste plus qu’à mettre la clé sous la porte ? – N’est - ce pas plus raisonnable de mettre la clé sur la porte ?

 

Quand l’attention requise va-t-elle devenir exquise ? – Holà holà ! depuis le temps que je mise sur toi je m’en suis toujours pas remise en plis…

Ca fait pas un pli !!!

 

A votre avis la suite serait plus frappante, en :

1 -  dans ce cas change tes mises

2 -  eh bien ! tamises donc ta mise

 

Oui lequel de ces choix trouve votre accord des on ?

 

Troublantes tremblantes Lestes listes Friture sur le futur

 

Où tu vas comme ça ? A Vegas, mon gars !

C'est pas du jeu !

 

Tu crois ? Si c'est seulement de la veille que l'on veille comment veiller sur aujourd'hui ?

N'est- ce pas, déjà, en commençant de veiller à veiller, de faire attention aux attentions, de montrer qu'à votre égard tout est déjà égard ?

Cette veine de roches transparentes affleure, aussi, en ce qui suit, directement la veille - et c'est ce qui vous ré- veille. Qui fait quitter le sommeil, qui tire de l'assoupissement, qui extrait de l'endormissement…Réveillons (nous avec) tous les réveillons ???!!!

A lâcher ce qui sur-veille (la veille et tout le maintenant !) c'est vers ce é- Veillé que vous vous dirigez donc ? La vigilance est dans l'éveil, tout comme si l'éveillé veillait sur sa propre concentration !!!

C'est cela …

Chaque mot de chaque jour nous transporte bien plus loin que nous ne l'espérions lors de la somme qu'est le sommeil...Si métaphore signifie ce qui transporte, votre vigilance visuelle peut embrasser autant ce qui est transporté, ce qui est déplacé (et donc ce qui n'est pas "déplacé"!) que toutes les transformations que le transport amène et mène à vous !!!

 

Ah bon!

De se priver de ces expériences hyper sensuelles prouve à quel point vous ne voulez pas "devenir l'ami de vous-même". Et alors ? Est-ce une raison suffisante pour salir les merveilles auxquelles vous vous rendez seul (maso ?) inaccessible alors qu'elles ne le sont pas du tout ?

 

…comme vous le verrez à notre prochain numéraire numéro…

 

(à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org,   onglet 1  "Les mamelles du repos" et  "Remue- ménage",  onglet 2 "Présent !", onglet 4  "Nul n'est nul" ou, encore,  "Je ne parle plus à qui a raison".

Résistance au changement      Implique changement de la résistance

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les  1 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 

Publié dans littératures

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