Voler, s’envoler tels des oiseaux (14)

Publié le par imagiter.over-blog.com

2236066469_c10336bff0.jpg

Actuellement 5 êtres toujours vivants ont volé comme des oiseaux. Vous seriez vacillant, mais sur Terre. Si vous pouviez vous ressentir tout bruissant des senteurs inconnues, des émotions non germées, tout vibrant d'un voyage in-ouï (en dehors de toute les écoutes, à ce jour, collationnées sur Terre), tout palpitant d'un léger vertige boisé, tout trépidant d'un regard étoilé.

Vous vivez l’expérience regardé-regardant, introduit-introducteur, dehors-dedans, observateur-observé, concave-convexe, plein-vide, ying yang etc. – tant de couples dits "séparés", "opposés",, comme ennemis ou en guerre, devenant "référents" soudés, couplés, ensembliers, symbiotiques.  La réalité contient tout, n'exclut rien (com-prend tout ou aussi con-tient l'intégralité !): de ne jamais s'être intéressé au point de vue de la réalité ne paraît pas du tout réaliste. Et, pourtnat, c’est l’état dominant des esprits.

 

Se priver (sans motif défendable) de 9/10 de la vie ne paraît plus recommandable ! La qualité du réel que vous aviez, ici,  "refusé" de savourer se nomme "comment envelopper ce qui m'enveloppe?". L’attitude la plus fiable, sérieux et réaliste qui soit. Seul le parfait alignement entre les serrures permet d'ouvrir toutes les portes. Avec les distances précises (donc précieuses!) "respectées" (donc respectives)…L'art des mots surpasse la minutie du joaillier, le doigté de l'artificier, la pondération du jardinier, l'imagination de l'éducateur de rues, la détermination du chirurgien ou le je ne casse rien du bon juge etc. Les "englobants" représentent la justesse d'une justice intérieure, l'infaillibilité d'un regard, la maîtrise paisible de l'estime etc. ( etc. vous admettrez que c'est plus qu'agréable que vous puissiez énumérer/rémunérer aussi!).

 

Vous n’auriez pas de savoir des "englobants" que pas de possibilité de bien agir sur la réalité: est-ce pourquoi les Bourses forment le plus ahurissant des fiascos intellectuels, vouées à ne créer que des catastrophes sans jamais "créer" de nouvelles richesses (0,10 % en cent ans!) mais en ne vivant qu'en parasites, qu'en pique-assiettes, qu'en effondrés mendiants, ne survivant que par subventions des banques centrales (pas moyen de trouver plus fonctionnaires que les spéculateurs boursiers! Mirez leur "corporatisme" outrancier!) ? Les soi- disant élites (sans le savoir essentiel qui « envoler » le réel !) ne font que le travail de patachon que nous voyons tous les jours. Les  "englobants", oui, se vivent comme "la réalité qui contient tous les rêves mais aucun rêve ne contient la réalité toute entière". Préférable au trop local-plouc du "les rêves n'existent pas", dont l'outrecuidance fleure le délire des grandeurs, d’apprendre, avant tout, ce réel qui inclut tout (même ses dénus puérils)…

 

Le rêve appartient au réel, il en constitue une facette, dénier son existence n'est donc pas sérieux. Mais, alors, pas du tout –c’est pire que l’arroseur arrosé c’est l’arrosé sans rosée. Puisque de toujours nier lui évite (une nuisance vient rarement seule!) de s'insérer dans le "comment" des rêves…Donc, par ricochets, à la possibilité « d’économiser » cette Economie devenue la plus inadmissible des délinquances. Au XVIII ème siècle "l'économie de la Nature" formait "l'englobant" rationnel de l'économie "humaine" (un sous-sous-système qui ne peut survivre que si la Nature dure!). Aujourd'hui, la Nature est devenue anti-naturelle, l'argent très local et pure "convention" (donc artifice!) décrété seul universel (alors qu'aucune photo de l'univers n'a pu en trouver trace!) et dont la seule "présence" va annuler tous les tsunamis, dérèglements climatiques, tornades, volcans, pollutions, épuisements des ressources, destructions des biotopes et des espèces vivantes etc…Perte absolue des qualités: ce n'est pas les flux monétaires qui sont déréglementés, "déréglés" mais bien les cerveaux intoxiqués par ces délires. Puisque tout, tout absolument, "revient", boomerang, à nos cerveaux. Tout ce qui est menti, dévalisé, diffamé, omis, trafiqué etc…retourne, selon sa modalité singulière de poison, dans nos têtes. Rester, avant tout, humain et tout inclure, premier anti-poison!!!

 

S’envoler – l’assainissement et la purification les plus rapides ?

 

Pour vous envolé, vous touchez, enfin, aux qualités, . La preuve simple et flagrante c’est que, soudain, vous savez apprécier tout ce qui se trouve de judicieux dans les mots. Ainsi. "Dans" l'espace ressemble tant aux retrouvailles des trouvailles: donc, sur Terre, nous ne serions pas "dans" l'espace, il se situerait "hors de" la planète? Réponse difficile (surtout lorsque bien trop perdent "notre" temps en pataugeant dans d'irrespirables foutaises!) mais qui "rebondit" sur où être sûr-e de ce "dans"? Le verbe qui correspond à "dans" eh bien ! trop top ! c'est "danse". Danse dans, c'est dans que tu danses ; lorsque tu danses, tu te centres vraiment "dans" le résumé et le germe de tout. Votre esprit, aussi, lorsque vous écoutez quelqu'un, vous semble ne pas pouvoir supporter la coexistence de sa parole. A-t-il perdu toute souplesse, toute "liberté" de mouvement, lorsqu'un esprit bien fait parcourt son auto-athlétisme? Et, à quand les si NECESSAIRES "Jeux olympiques de l'intelligence"? L'imagination ne dévoile-t-elle pas cette abondance qui danse ce qui abonde, oui qui n'appartient qu'à la toute générosité mentale?

 

Plus vous donnez plus il y a à donner. Votre esprit, lorsque vous écoutez quelqu'un, perd pied tout de suite, c'est que vous ne disposez pas, devant vous, de ces espaces infinis où "reposer" vos joyeux yeux. C'est donc (tout découle de ce qui coule!) que vous n'avez que les idées des "autres" (nous voyons la catastrophe systémique que créent ceux qui vivent "avec l'argent des autres"…alors, un peu de sérieux…pour une fois…dans votre monde à l'envers où se prétendent milliardaires les vrais pauvres aux têtes enchantées etc.). Ne possédant aucune idée que vous auriez visitée avec votre corps tout entier, vous "perdez" tout l'espace. Aussi, l'autre parole, ne vous laisse plus l'espace de souffler. Derrière vos phrases vous n'avez aucun arrière-pays, aucune participation aux "joies et douleurs des autres que nous devrions partager" comme le formulât, un peu différemment, Adam Smith dans sa "Théorie des sentiments moraux". Ce soi- disant fondateur du capitalisme aura été, clairement, un de ses pires ennemis. Un envolé de plus ?

 

En fin de compte, goutte à goutte, goût à goût, vous avez "perdu" toute Humanité. Le court-termisme formait bien une fumisterie qui n'enfume que ses adeptes égarés dans les vertiges des hypocrisies qui reflètent des hypocrisies qui reflètent des hypocrisies qui…Qui se ment à soi-même (pire que ne pas être édité, au point que qui ment à ce point "disparaît" avec sa mort ! Même si très édité de nantes!) se perdra indéfiniment dans son labyrinthe. Tellement de riches, de puissants et de glorieux qui semblent si égarés (la preuve d’échec flagrant c’est que l’on cherche à nuire à autrui comme « actes urgents» de ses pouvoirs – ce qui est si con, « perdre » du temps sordide alors que vous seriez au top du bonheur ? vous voyez que « ça ne colle pas » ? conclusion…). Richesse et gloire comme labyrinthes ? Sans aucune chance de s'en sortir. L'expérience fantastique (ne "pas" se priver des 9/10 du réel!) des longs-termistes ne pourra, de plus, jamais leur "convenir"… Où aviez-vous donc la tête? Ah oui ! dans tout ce qui "n'existe pas" et qui ne peut aller dans aucun désert (allez-y avec votre milliard de dollars!) ou ne survivre sans ce qui "existe" (vos milliards de dollars risquent, fortement, de vous priver de "tout ce qui existe"). Est-ce vraiment si intelligent? Evidement que non, puisque toute authentique intelligence n'appartient qu'aux courses de fond.

 

Les sophismes juste au format réduit des courts-termistes (ces-devenus-crétins-à-force-de-refuser-toute-conversation qui agrandit, nourrit et transforme!)…

 

Vous les envolés – rien à cirer de ce défaitisme (par aveuglement au concept vide de « monnaie »), vous êtes où ? Englober (tel le globe), insérer et intégrer, réunir et joindre, contenir et ne rien excepter – vous vivez l'éclosante sensation de venir de vivre tout cela. Le point de vue de l'univers ayant eu la possibilité de vous « joindre », puisqu'il était en vacance de lui-même. Qui "réussit" ses vacances? Qui demeure flottant à toutes les opportunités qui passent. Qui demeure vacant, vacuité paisible qui, seule, peut accueillir l'inconnu, le radicalement autre (l'interface de l'interface de…). Qui sait le libre de l'in-occupé (quitte à devenir résistant!), le départ qui départage et que signe le dés-œuvré: chaque seconde de cette offrande de soi-même devient l'égrènement de la vie complète. Oui oui qui "réussit" ses vacances? Qui "devient" la vie ? Quoi donc vous ne saviez même pas qu'elle est "comme cela". Donc pas une seconde de votre existence d'accordée à porter attention à la réalité. Et, ensuite, vous osez vous dire "réalistes".

 

Une réalité où nul ne s’envolerait dedans ? Expliquée par ces 9/ 10 de la réalité qui « nous » sont, pour le moment, encore invisibles ?

 

Avec les 9/10 de la vie hors de vous, des croyances uniquement "dans ce qui n'existe pas" en tant qu'universaux : pays lorsque c'est la Terre qui existe, argent quand les richesses sont "données" par la Nature, talents lorsque tout le génie les con-Tient à son inimitable façon, économie alors que tout n'y est que "croyances" et rien n’y est "sciences", inégalités alors qu'elles rendent bien "malades" et qu'elles "créent le chômage etc », litanie à développer pour qui aime "avoir" raison lorsque "l'être" s'avère un milliard de fois plus gustatif…etc

 

L'essor essore...

 

(à suivre)

Publié dans sentez la santé

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article