"Why do we left the left wings ?" (4)
Ce qui nous manque pour gagner
Nombre de savoirs ( qui incluent, eux, les sciences comme connaissances) semblent si absents, manquants, omis, insuffisants : notamment en psychologies, dont la psychologie sociale. Ce qui explique pourquoi quasiment personne ne ressent que l'économie est géométrique, plus précisément une topologie, avec convexe et concave, pertes, au minimum, doubles ( ce que vous perdez en "figure de manque" et ce qu'il faut réunir pour combler la perte qui vient de se montrer si béante). Ainsi, lorsqu'il s'agit de censures ou calomnies, en période de diffusions massives, il faut bien savoir, qu'en général, la majorité y collabore ( soutiens, relaie, supplée). Il existe donc une faille, une fosse collective qui fait glisser la majorité des êtres vers l'impulsion ( irrésistible ?) des bas fonds affectifs et moraux nommés "calomnier" ( calomnies c'est ça qui nous détruit !) ? Perte de savoir "hiérarchiser le réel" et l'action, connaissance immédiate de ce qui est primordial et de ce qui est accessoire ? Toutes les sordides pitreries plus "importantes" que de "sauver la planète" !!! Plus aucune exigence morale, l'irréalisme comme "politique", les circuits de diffamations comme seules "infos", empêcher que "ça s'entende et que ça se sache" que des "alternatives complètes" brillent et font tomber en miettes ce système (intellectuellement il est déjà fini, historiquement, ayant eu un début sa fin est logique, scientifique et si proche, ça ne tient qu'à un mot, à une vibration de "mentalité qui change", socialement c'est le rush vers la "consensualité des sensualités" - tout le contraire des hédonistes "sans amour" etc etc). Intellectuellement déjà fini tout ce système , simplement, nous ne pouvons préciser la "date" à laquelle, ça se saura partout. Une piste ? Trouvez ces termes qui mettent terme, donc dénouement !!!
Celles et ceux vers qui les regards continuent de se diriger s'effondrent, tombent majoritairement en poudre. NOUS NOUS SOMMES TROMPES D'ADMIRATIONS : les êtres exceptionnels sont dans la foule "protégé-e-s par la pauvreté". Le moyen de les trouver ? suivez la "conjuration des imbéciles" qui signe que lorsqu'un génie pointe on le '"reconnaît à la conjuration des imbéciles qui s'agglutine pour que cette bonne nouvelle ne se sache pas" ( la "gauche culturelle" a-t-elle été, partiellement ou totalement, contaminée par cette conjuration ? à elle de nous le dire ! et, en tout cas, la déchéance show buzzz ( le "tous contre un" de la star des stars!) devient clairement identifiée comme toxicité maxima, ainsi que "la courroie de transmission " principale des illégales télés piégée ( ils ont laissé tellement de traces que n'importe quel avocat peut en tirer des milliards de milliards d'euros de dommages ! à verser aux si proches "fonds collectifs" ! qui veut entendre !). La collectivité de gauche affaissée dans les ornières de droite ne peut s'en sortir que par elle-même.
A "croire" qu'il faut être "sérieux" ( mais de la "série" manipulée par les dominants – ce qui enlève tout sérieux à se déguiser de sérieux – exemple, le ridicule archi-arriéré des costards cravates !), et donc en cette entrée dans la "spirale des bêtises", la gauche s'est "cantonnée" dans des analyses économiques et politiques ( méthode antiscientifique s'il en est, la réalité reste globale et tout y est lié, donc d'isoler un seul élément…etc) qui ont, quasiment tout le temps, sonné creux. "Oubliant" que la domination c'est biopolitique, culturel et existentiel. Ils ont stupidement ( un comble pour des gens dits "sérieux" !) abandonné cela aux griffes ignobles de la beûrkpub etc. C'est qu'ils n'ont jamais fréquenté personne : sinon facile de repérer que les vrais "gens de gauche" répugnent à la malhonnêteté matérielle et intellectuelle, ils refusent ( plutôt que la gauche perde ! mais n'est-il pas des "victoires" qui pèsent comme des échecs !) d'user des perversions capitalistes, de sa mauvaise foi et de sa mauvaise volonté permanentes qui en fait la "pensée voyou" type ( telle que l'Histoire la retiendra !). Tout comme Max Weber, dans l'éthique protestante…capta que le capitalisme naissant profita à donf de "mentalités extérieures" à lui ( amour du travail bien fait, probité, auto restrictions sensées, respect de la parole donnée, moralités etc) le capitalisme mourant profite de la "mentalité plutôt saine" de la majorité écrasée. A chaque seconde, des groupes désintéressés et distanciés pourraient dresser un nouveau délit au capitalisme ( ici, débauche de mineurs, ici incitation à l'envie et la haine, là aucun respect des promesses faites, éloge de la fausse monnaie – sans vérité pas de monnaie vraie – propagande contre l'intelligence, destruction des solidarités concrètes, diffamations ( des milliards de milliards d'euros à gagner 22-13) ou désinformations etc etc – comme pour l'imagination nous ne pouvons – actu – tout dire…à qui entend ?). Le capitalisme n'est plus guère qu'une longue litanie de délits !!! Le phénomène LE MOINS SÉRIEUX que l'Histoire ai connu.
Ah oui ! Ensuite ?
Puisque et la gauche et la droite participent entièrement de l'ontologie (l'être sans la religion!) et que la Bourse, dans ses délires, advient comme l'aveu d'un "argent métaphysique", surgi de nulle part, et, en aucun cas ne suçant la "valeur travail" etc – quoi de plus linéairement attendu que la solution au problème " pourquoi perdons-nous depuis 30 ans ? "soit"existentielle". Et "existentielle" en plus. Soit les conduites et comportements induisent votre vraie mentalité ( derrière vos postures d'impostures) qui, a son tour, impulse les styles de vie. Ceci est la MATRICE ! La méconnaissance de cette matrice vous disqualifie définitivement de tout rôle dirigeant, vous compromet comme irresponsable notoire, vous déprécie comme cancre dangereux, vous déconsidère comme immature à vie, vous discrédite comme obsolète et non fiable. Et donc, font monter les réels compétents, aptes et capables qui, jamais, n'ont perdu le fil de la réalité. Vous aviez dissimulé ces génies, vous êtes doublement déconsidérés. Il sera peu excusé aux universités de nous avoir privé de tant de pistes prolifiques. Est-ce parce que le professeur ne professe que ses fesses ? Ou, plutôt, qu'il ne professe que sa profession seule ( comme le mot le souligne) ? En tout cas, si un flic vous matraquait, un prof, en plus, vous contraint à un " savoir alien " ( centraliste, proconsommateur, antisolutions alternatives, sans honnêteté intellectuelle ) soit "2 fois flic" ( pourquoi les gens se gourent-ils d'indignations ?).
La Renaissance n'a été possible que parce l'usage de chacun des sens, le sens même du voyage, de tous les arts, les "points" de vue sur tout ( et Einstein désirait appeler la "théorie de la relativité" "théorie du point de vue" : pour la postérité ça aurait-il été plus bénéfique ? est-ce une étourderie méthodologique ?) se sont modifiés ; temps et espaces utilisés de nouvelles façons etc; pas un élément de la vie collective qui ne soit revisité!!! En sorte que, pour l'émancipation les "bons" profs sont, précisément, ceux que la hiérarchie administrative désigne comme "mauvais" profs. Alors vous voyez bien que les choix deviennent CONCENTRES : "tous" les choix s'effectueront en quasiment un. Ce que nous voulons c'est ce qu'ils ne veulent pas. Et, inversement, la vraie intelligence c'est ce qui "libère" la tête de toutes les inutiles tensions comme de tous les détours superflus – démultiplicateur des "forces". En d'autres temps, nous nommions ce prodige "la droiture" !
La réalité reste isotropique
Aujourd'hui c'est tout l'inverse nous sommes en retard sur toutes les périodes précédentes, nous régressons culturellement : nous descendons toujours plus bas dans la médiocrité. L'existentiel et le culturel précèdent toujours : d'où c'est "un crime contre l'Humanité" de délaisser les "contenus" entre les mains de l'incompétent radical et non fiable commerce Tout est rabâché et gâché, plus c'est faux plus ça continue, toute nouveauté est durement pourchassée ( rarement l'Histoire nous a montré des persécutions aussi imméritées), comme si tout le monde "devait réciter sa leçon" ( preuve scientifique par induction de la présence d'un dictateur caché – même une "entité" due à la conscience collective…)…Le comique de ce vibrionnement archi stupide pourrait sembler "comique" s'il ne ressemblait pas à un suicide collectif. Aussi, désormais, nous savons comment procéder : trouver qui a le plus modifié l'usage de ses sens, repérer qui a le plus profondément labouré les arts, qui porte la joie pour tous, qui est entré dans l'usage gigantesque du corps (hors des oripeaux peu seyants du "développement personnel" – apprenez donc à jeter tout vocable "marketing"), qui a "vécu" l'espace et le temps, qui a brillé et qui a le plus "rencontré", qui a cherché les conversations, qui n'a jamais cédé sur l'importance des mots etc etc etc etc Et nous aurons les prémisses "existentiels" – donc culturels - à la sortie réelle du capitalisme. Ce n'est pas parce que des religions avaient occupé, d'inappropriées façons, de vastes espaces subjectifs, que des potentiels humains bien laïcs – et l'on peut se surpasser laïquement ! – ne doivent pas être utilisés…Les hédonistes (faire croire que le capitalisme crée du plaisir alors qu'il n'est que catastrophes inexcusables, par exemple olfactives) ont tout faux, ils sont ridiculement non crédibles : les consensualités dépendent bien des sensualités…
Epicure reste dans le vrai, la joie et le bonheur supplantent aisément les plaisirs très limités de n'être que quantitatifs ( d'où "souci" comme dé-plaisir ? encore, la nécessité barbare du fric pour les "plaisirs" alors qu’Épicure surnage par "être heureux avec rien", autrement dit la pauvreté comme bonheur absolu ! dur, dur de saisir que "les au devant de la scène" avaient tout faux, mais faux à ce point d'enlisement là !). La sensualité réelle participe du Sens qui est, aussi, sensé (le goût de la Raison dans la bouche), sensitif ((se)mouvoir siège dans émouvoir), sensible (les affections affectent à bon escient) et sensationnel (toutes les sensations sont sensationnelles). Une autorestriction financière semble très bien s'allier à cette vie "mouvementée" et, désormais, tout répugne dans le capitalisme gangstérisé, qui horrifie tous nos sens ( les hédonistes sont d'acharnés antisensuels beûrk !).
Des êtres ont entièrement expérimenté (dans toutes les dimensions) la sortie du capitalisme, ( ils l'ont échappé belle), d'autres en partie, d'autres encore pas du tout. Mais de savoir que la sortie existe devient un moteur à motivations qui restera éternel. Nous avons définitivement cessé de perdre, faut laisser le temps d'arriver à la conscience lumineuse. Chaque jour, nous gagnons "du terrain"…
La fureur communautaire ne jaillit que contre le changement (nécessaire) de "style de vie" : pourquoi se tromper à ce point ?
Sauf – sur, peut-être, le "changement des styles de vie" : là le refus apparaît massif, obstiné, buté, comme si le réel ( irrationnellement) se massifiait… Quelques indices pour votre "compréhension" : dans un journal de la décroissance, une personne affirme "pour ma voiture c'est non négociable" ( se trouvant ainsi en triste proximité avec un très toxique partisan de la destruction de la planète, le Bushman- ainsi, combien d'étiquetés libertaires se révèlent très consommatoires péremptoires !). Ou bien, partout, les médias béatent ( hors toute réalité) de "luttes massives pour la planète" alors que des enquêtes serrées ( styles vrais écrivains) soulignent que très peu de personnes se mettent à vivre très écologique. Pire même : l'écrasée majorité ne va pas du tout en direction d'une vie plus "propre"…Les leçons : les médias de toute urgence doivent être régulés ; ils pratiquent la destruction en grand des intelligences et des esprits critiques ( ici, dire "écolo" c'est se dédouaner d'avoir à le faire ; là, les virus touchent au mortel, à force de répéter que "tout le monde lutte pour la planète" ces fous avérés vont finir par le croire et ne toujours rien faire !) Le (non) changement des styles de vie donc devient le point crucial, le lieu des basculements, le noyau des intenses chaleurs. Beaucoup s'y voient DÉMASQUÉS : impossible de se prétendre de gauche avec une "empreinte écologique" de 10 personnes, empreinte qui agrandira, de plus, sa macule. Impraticable de se briguer de gauche si vous soutenez "objectivement" ( même si vous rectifiez verbalement : suffit pas de dire "à bas les flics !" pour se voir "certifié-e-s de gauche", tout au contraire !) les forces "réellement" anti-démocratiques ( médias et éducation antinationale, dans la situation actuelle "pires que les flics" ou "à rappeler plus à l'ordre que l'esprit collectif s'autorise à faire pour les flics") des financiers qui dirigent le monde sans "être élus" des politiciens qui "laissent faire cela" et du "spectaculaire marchand" qui se situe en pleine irresponsabilité délinquante …Pour le moins.
Donc le front buté ( et sans argument raisonnable – uniquement égoïstes !) du refus de changement de style de vie. Tout change ( le climat) mais les mollusques scotchés à leur rocher s'entêtent à poursuivre leur suicide de ne pas changer ( le problème c'est que ce suicide n'est pas détachable, ce serait aussi le notre ! d'où l'urgence de savoir qui réellement opte pour le changement REEL de style de vie ( pas le changement médiatique !) ?). Le refus de changement de style de vie s'allie avec le "laxisme des pauvres" . Oui, il demeure confondant de saisir à quel point les "pauvres" excusent bien trop largement les puissants, leur donnant des "circonstances atténuantes" que ces brutes n'accordent que, si rarement, aux floués du système. Les pratiquants du "laxisme des pauvres" , justifiant, disculpant, couvrant ces 90 % de délinquance "en valeur" que commettent les riches, doivent comprendre à quel point ce laxisme devient excessif : ils condamnent leurs enfants et cet entourage qu'ils aiment tant à toujours pire ( alors que nuls inéluctabilité et fatalisme dans le système : le capitalisme "n'est qu'une" idéologie, une mentalité sans racines dans le réel, pas plus épaisse qu'une fumée cette "croyance capitalo" : en conséquence la quitter ne créera absolument aucuns cataclysmes dans le réel !) . Il devient facile d'abandonner ce système qui concerne, au mieux, le tiers (1/3 !!! 22-13 !) de la Société. C'est franchement abusif, carrément exorbitant que de lui "accorder" encore une seconde de durée / son abolition va permettre à l’Évolution stoppée de repartir et à l'émancipation collective d'élever le niveau général de conscience.
Faute de vrais débats, les gens ne "savent plus rien sur rien" : le changement de style de vie ce n'est pas un coup de massue qui vous aplatit, ce n'est pas à vous de tout faire, mais le poids se répartit conjointement et simultanément, si bien qu'il devient léger sur chacun-e. Le savoir "associatif"qui se profile gigantesque se voit sous-utilisé ( pour ne pas dire carrément méprisé) alors, que dans certains domaines, il écrase catégoriquement l'incompétence commerciale. Le savoir "associatif" vous précise, par exemple, que le social est "géométrique" ( ce que vous ne faites point a poids double pour les autres !) mais "démultiplicateur ( vous croyez que votre "infime" effort ne pèse rien or , ajouté aux autres, il accélère l'apparition de la "masse critique" qui visibilise tout changement) etc. Il faut que s'installe dans les esprits : le changement nécessaire sera bien plus bénéfique au plus grand nombre que la situation actuelle. Pour la souffrance collective largement imméritée, pour la plupart, faites encore un effort. Nous mutons mutuels puisque mutuel est, déjà, une mutation…d'inappropriée manière, quelqu'un fusait "faut pas instruire les cons !", mais lorsque "con" écarte que vous soyez un salaud ( rare les deux en même temps !), ici, il suffit de souligner "qu'ils" ne doivent pas recevoir en même temps tous les renseignements. Intelligenti pauca !
Le "noyau dur" de ce qui nous empêche de gagner repose, en entier, dans la problématique du style de vie . Les hypocrisies incachables qu'étalent les "gens de gauche" à ce sujet deviennent les pires arguments contre eux ( pourquoi choisir ces double-jeux – un coup bien un coup pas bien - au moins à droite on sait que c'est, déjà, une maffia, on ne sera pas déçu-e-s ). Les dirigeants si patauds et balourds sont devenus inaccessibles aux expériences humaines communes ( à l'époque actuelle, il devient pire de "décevoir" quelqu'un que de lui faire mal ! etc, perte de tous savoirs "utiles" ). Au niveau pratique la gauche à tout à (ré)apprendre : et rien /n'évoluera tant qu'elle n'aura pas regardé en face la Gorgone du changement matériel, tant que la hiérarchisation des efforts ne sera pas clairement répartie ( plus t'es riche plus tu pollues, plus t'es star plus tu pollues). Juste avant l'infinie régression capitaliste être riche comportait plus de devoirs que de droits ( le seigneur devait nourriture, soin et assistance aux pauvres …).
A ce propos : rappeler tout ce qui reste cuisant dans l'Histoire. Une des pistes de sortie devient de pulvériser les hypocrisies, de la plus petite à la plus grande : ainsi nous avons hérité du "fumer tue" – attentif aux fumeurs passifs, et, puis, stop, barrage au bon sens – plus d'attentions aux piétons passifs lorsque l'équivalence de grandeur de la voiture = 100 cigarettes et l'avion = 1000 cigarettes, il devrait paraître sensé de noter sur les voitures " rouler est dangereux pour l'air des autres " ou sur les avions " voler est dangereux pour l'air des autres" – pourquoi n'est-ce pas fait ? la réalité reste isotropique (dans l'univers les "lois astronomiques" – constantes etc - se vérifient quelle que soit le point de l'univers). Si c'est vrai ici, cela se vérifie là : mettre une "précaution" sur les seules cigarettes se profile en gigantesque escroquerie morale . Le capitalisme se trouve à la merci d'un seul mot et d'une attitude qui se répandraient : notre tâche devient, aussi, de repérer et d'user des "accélérateurs de co-Incidences" ( de nombreuses terres prolifiques existent dans le juridique et l'usage de concepts comme "isotropique" forme filons, systématiser l'usage que font les pouvoirs de tels impératifs catégoriques pour, doublement, les ridiculiser et dévoiler la puérilité inexcusable de la majorité de leurs "prescriptions" : mais dans l'état actuel des non-débats nous ne pouvons que suggérer ces pistes…pas servir à l'ennemi…d'où superbe motivation pour démarrer le "mouvement" – l'immensité de ce que nous allons découvrir…vite !) . La plus grosse duplicité c'est la consommation comme moteur de la croissance.
Or la consommation c'est le "prodigue" de la loi sur la tutelle sur "les incapables majeurs". Consommer tourne autour de l'irresponsabilité il s'agit de placer la consommation sous tutelle du savoir écologique. D'autant plus que le mot "con-sommation" a pour sens con, de cum avec et sommation, de l'arithmétique somme, addition permanente qui ne veut pas connaître son total, comble de l'insouciance et de l'irréflexion, sommet des gamineries capricieuses et des délinquances ( licites, peut-être mais délinquantes !) Il devient antirépublicain, anticonstitutionnel, antidémocratique, antisocial de placer la "consommation" dans le cursus économique. C'est une activité définitivement pas sérieuse, irréfléchie et imprudente qui doit être sévèrement "régulée " ( tout gas-pillage est un pillage, aussi juridiquement répréhensible !). Une consumation pas une augmentation, une diminution des richesses renouvelables pas une croissance du potentiel de celles-ci !
Consommer évoque bien une pratique d'anti-croissance ! Subséquemment, tout style de vie de la société de consommation doit être fermement combattu pour "incitation objective pour le retour à l'age des cavernes" "destruction du futur" "non assumation de ses actes" etc l Le consommateur évoque définitivement un mineur qui ne sera jamais adulte, responsable, conscient, lucide, rationnel : il faut le traiter par des cures de désintoxications, par des contre "lavages de cerveaux" de la secte pub etc. Une politique qui se réduirait à la "consommation" devient en conséquence irrecevable : foutons leur des avis de non réception…L'évolution des consciences ( qui représente une Évolution carrément révolutionnaire !) doit se faire à bride abattue puisque le GIEC ( climat) donne "plutôt 7 ans" pour inverser le processus "mortel" de changement climatique. La mentalité précède le style de vie : son changement ne coûte pas un seul euro. Par contre, son non changement "pour tous ces services gratuits que ne rendra plus la Nature" risque bien d'excéder les "richesses" mondiales ( et d'où viennent-elles ces richesses sinon de la Terre ?ah non ! surtout pas, rappelez-vous "l'argent métaphysique" qui ne surgit ne nulle part ! les "dénis du réel battent leur plein !) …
Le capitalisme ou l'impossibilité de toute sensualité
L'esprit qui sait ne "se perd jamais dans les détails", puisqu'il s'y retrouve au complet, et nous et vous avec ; chaque détail ayant son importance ( ne serait-ce que celui d'importer l'importance!). Aussi, de nombreux cris de joie vont faire vibrer, font vibrer la planète : "la littérature revient!", "l'écrit va débouler", "les écrivains sont de retour". Non nous ne sommes plus seul-e-s à percevoir que les pratiques de l'écriture et de la réflexion sont découragées, voire ruinées, dans les écoles, les partis et les associations, à l'ère ( sans partage – l'horreur jamais ne se cache !) de l'informatique et de "l'odieux-visuel" ( lorsque toute image est trafiquée plus aucune "démonstration par l'image" n'est acceptable : exit!). L'insurrection de l'esprit devant l'infinie régression capitaliste, cette arrogante barbarie, c'est le refus dansé de toute automation, de prêt-à-penser, de prêt-à-aimer, de prêt-à-fréquenter, de toute manipulation châtreuse des cœurs et des sensibilités. Oui, ressurgit un mot que tous croyaient, profondément, enfoui - "émancipation" ( mutons mutuels ou pas du tout!). Les plus silencieux croyaient que le collectivisme manquait par trop d'esprit collectif lorsque tant de têtes dites de gauche préfèrent reluquer une star que leur si proche voisin. La prise de conscience que ce ne sont guère des facteurs externes au mouvement émancipateur ( dont le capitalisme reste la sournoise et malsaine contestation) qui expliquent sa pétrification mais bien des facteurs internes, tout affectifs, émotionnels, intellectuels, sensuels, moraux et théoriques. La formulation du problème formule, en même temps, sa solution. La solution reste "existentielle". Ce sont des facteurs moraux, affectifs, émotionnels, théoriques et pratiques qui ont œuvré à "l'immobilisation du mouvement" – exactement comme s'il était "médusé" ou "pétrifié", désorienté ou désarçonné, par incorporations massives de son ennemi.
Ce sera, clairement, par la transformation de ces facteurs que le mouvement se désincarcéra. D'abord, on voyant que "ce sont ceux qu'on disait des simples d'esprit qui sont les vrais seigneurs dans ce monde pourri", les arriérés politiques et médiatiques s'émiettent d'incompétences, lorsque nous semblent terriblement en avance ceux que nous rejetions ( instrumentalisés par qui ?) hier.
.........................Tout s'observe en train de s'inverser : horizontalement et verticalement.
( à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org, onglet 2 "Why do we left the left wings ?"