"Why do we left the left wings ?"
Comment adviennent/proviennent les textes aujourd’hui ? oul'inadéquation presque totale des productions écrites par rapport à nos besoins présents
"Why do we left the left wings ?"
Comme il vient de surgir dans les évidences (évidées jusqu'à hier) que, seuls, les
anticonformistes nous sortiront du marasme – il en découle que les méthodes employées seront scrupuleusement anticonformistes. Elles suivront bien les cadres intellectuels et les logistiques expérimentales de la vraie science ( telle que transmise dans les anciennes universités indépendantes) mais à leur façon nettement inclusive ( exclure doit, définitivement, transparaître, comme un échec de la pensée bien incapable "d'engendrer"!). Vous verrez, alors, qui savait vraiment "écouter". Aux méthodes universitaires s'ajouteront les méthodes diversitaires. Si votre intelligence ne sert pas à vous élargir le cœur, et au-delà, à quoi sert donc cette putain de merde de fumisterie ? Donc sachez ressentir avant que de vous précipiter dans l'asphyxie de la critique mécanique et sans justification réelle.
Triomphe de la théorie
La situation de la théorie, actuellement, n'est pas du tout catastrophique, même si l'inquiétante étrangeté des pilonnages qui favorisent beaucoup trop la droite voulaient le faire croire. C'est que les contraintes, que l'on place sur la route de la gauche, relèvent plus de la pensée magique que de la raison. A la droite il n'est jamais exigé le dixième qu'à la gauche : sinon nous n'aurions jamais eu cet anachronisme potache nommé "néo-libéralisme", une insulte à l'intelligence, une régression barbare par rapport au niveau de civilisation…Ensuite, le formatage des "responsables" d'éditions paraît incroyable : le réel ne peut contenir qu'une seule version, pourquoi semblent-ils hallucinés là-dessus ? Tous leurs livres se ressemblent par trop, quel que soit la "tendance" politique : ce qui, structurellement, empêche toute possibilité de questionnement, toute nouvelle considération sur les problématiques et, donc,
l'éventualité même d'actions adaptées. La Société est bloquée par le haut. C'est, en conséquence, la pensée des dirigeants de toutes natures ( même éditoriales) qui forment obstiné blocus ( uniquement pour des fantasmes de peur du peuple !). Le manque d'esprit pratique collectif ( qui ne survient que par fréquentation quotidienne de la théorie – voilà ce que c'est que d'avoir abandonnée la réflexion sur le soviétisme à l'esprit journaliste : conclusions toutes faussées parce que le bagage théorique de départ se montre défiguré). Le point commun entre ces esprits sans issue c'est "le monde à l'envers". D'apercevoir que tel ouvrage "se vend", vibrionne le mécanisme de le "reproduire" ( esprits retournant donc à la bestialité et à l'automatisation avec TRAHISON complète de la pensée, tournant, en plus, sournoisement, le dos à toute émancipation collective), le technicien en sait plus que le créateur ; s'y ajoute le "syndrome du professionnalisme" complètement erroné, puisque depuis le temps que nous avons carrément des "professionnels" la situation mondiale devrait être optimumement parfaite or elle s'annonce catastrophique, le "professionnalisme" achoppe donc comme un alibi et un aveuglement qui masquent les routines, les enkystages, les dysfonctionnements ou les fausses pistes. A l'inverse, les amateurs restent ceux qui AIMENT…La réalité n'exclut jamais rien …
Mais …mais…
Nous nous trouvons dans la situation où l'éditorial ensevelit le créatif sous des leçons ( il sait tout mieux que lui, juste parce qu'il note – mécaniquement – quelques détails non reproductibles !) et nous aboutissons de la sorte à un assassinat dramatique de la spontanéité créatrice ( du vrai écrivain puisqu'il reste pionnier !) . Ce qui correspond aux process que nous avions décortiqué dans "L'ardeur sociale – techniques pour s'extraire de l'individualisme" : le commerce vient toujours après ( le producteur, le cultivateur, le mineur, l'artisan, l'artiste, le penseur ou le social etc.), jamais il n'est pionnier de rien. Ne défrichant rien il ne connaît goutte aux nécessités de l'innovation technique, théorique ou artistique. Et donc se conduit en pur razzieur, détruisant tout ce qu'il ne comprend pas. C'est à dire beaucoup, beaucoup. La pensée commerçante reste une pensée mécaniste, qui duplique ce qui est observé, qui reproduit à l'identique, imite et copie – en aucun cas, cette pensée ne possède les compétences pour ouvrir le futur, visiter les potentiels – bref théoriser ! en aucun cas, le commerce ne doit s'occuper des "contenus", ses aptitudes en ce domaine le poussent à la seule prédation. C'est la situation actuelle où l'infection spectaculaire-marchande menace la survie de l'Humanité. Il faut pas moins d'une insurrection immédiate des vrais écrivains face à ces mentalités sournoisement obstinées ( vous venez de sauter sur piger que nous sommes sur le "thème" du ci-devant concours ) . Les éditoriaux vont devoir rendre des comptes pour non respect des règles de l'intelligence. Au moins : tout se remet à l'endroit ! A donf !
Donc, après cet abrégé des obstacles objectifs à l'émergence de la théorie, il deviendrait aisé, physiquement, de se mouvoir dans le nouveau paysage. La situation théorique actuelle se révèle limpide : rien ne peut défendre le capitalisme. Si ce n'est en monologues matraqués, jamais le néolibéralisme n'a obtenu le moindre consensus : selon l'unilatéralisme durci étasunien, il fuit, en effet, tous les débats, pour "n'attaquer" qu'illégitimement. Soit, pour "l'intelligence impersonnelle", la preuve scientifique qu'ils
ont déjà perdu ( et que ceci va se "réaliser" dans un délai inchiffrable - mais proche !). L'inédit de la situation sonne comme nous ne pouvons savourer la victoire à cause de la destruction climatique. Nous devons même "accélérer le mouvement", comment , là se fonde tout le non débattu ( sachez, à cette étape, que pour la psychologie posturale, "ils se mettent au-dessous" – "l'autorité" de l'aura de la gauche opère déjà !) . Le champ théorique semble vaste mais bien structuré, nous l'avons questionné dans de nombreux ouvrages : aussi, se centrer sur cette explication ( déjà faite) ratera la cible qui s'énonce – pourquoi les dirigeants de tous poils refusent la voie/voix de la raison, pourquoi censurent-ils maladivement tous les écrits théoriques, pourquoi sont-ce leurs mentalités "le" problème mondial central actuel ? pourquoi semblent-ils si "loin" des catastrophes climatiques, agricoles, maritimes, énergétiques, aquatiques, forestière et autres (que nous avons listées dans Où trouver encore du sérieux ? ) et leurs "solutions" tellement dérisoires par rapport aux nécessités de ce "nouveau réel" ( celui de la Fin de l'Humanité !) ?
Formatés tous pareils, se reproduisent pléthores de livres qui barrent le chemin de l'action : aucune compétence théorique. Le stérile plan joue à l'identique : 3/4 ( dans le meilleur des cas !) pour "décrire" (sans décentrage) la situation actuelle ( comme si nous ne la connaissions pas jusqu'à l'écœurement !) et le 1/4 ( ou 1/10) restent voués aux "solutions pour s'en sortir" sans circuits psychologiques, affectifs ou émotionnels à parcourir ensembles, donc sans expériences à partager... Malheureusement, ce process est vicié : les "analyses" ( qui se prétendent bien "informées , mais qui ? par quoi ?) de la situation actuelle n'apparaissent pas répondre aux sens des proportions, des mesures ou des perspectives – ce qui souligne une méconnaissance hurlante du réel ( la cohabitation des propositions s'avère irréaliste). Qui lit cela " ne saura rien ". Pêche, en effet, un vacarme où :
1 – le capitalisme paraît indestructible, hyper valorisé, machiavélique en diable. Intelligent, malin : il récupère tout. Pas de plus grand éloge du capitalisme supposé destin, fatalité, le gant de dieu dans la main de mon cul, "ils" ont mis "ça" dans la tête des gens, nous n'y pouvons rien – qu'à l'extrême gauche. Incestueux à ce point, c'est suspect : puisque nous sommes privés de la vraie description du monde qui voit le capitalisme comme le système des plus grands gaspillages ( plus stupide système de gestion des ressources et contre- modèle dans la répartition des richesses où il stagne toujours à l'âge des cavernes), des destructions massives et de la non durabilité financière. Rien en lui n'est sérieux et ses dirigeants s'avèrent juste mesquins, limités, restreints, sans aucune envergure etc (pour abréger). De ce fait, rien de reluisant ni glorieux comme la littérature d'extrême gauche ou autremondialiste le laisse trop supposer !!!
2 – ce qui devient gravissime ( et exige que la théorie soit retirée immédiatement des mains de ces irresponsables !) c'est l'inactivation, la neutralisation, l'immobilisation que provoquent leurs écrits. Face à la perfection capitaliste nous disparaissons complètement des mécanismes. Aucune prise sur le réel, rien d'accessible ici et maintenant : l'inertie généralisée. C'est de la démobilisation, démoralisation, découragement, neutralisation : nous ne sommes plus rien face à l'immensité du système, nous perdons toute possibilité d'intervenir, et , dans la tête, sombrons au vertige du "rien ne sert à rien", à quoi bon, ils sont invincibles et autres irréalités – après tout, n'est-ce pas cela, en "pratique", que les "sociaux-traîtres" ? La règle demeure : ce qui "passe", malgré son possible éclat kitch c'est ce qui dérange le moins la puérilité de ce système – le "reste" se voit tout simplement "censuré". Eh oui ! nous allons devoir aborder la "censure structurelle" ( ou les diffamations) dans nos réparties, quel pensum, mais ce ne sera pas comme des "pleureuses", surtout, mais bien comme un des éléments faisant partie de notre système explicatif. Pas de malentendus ! Donc nous avons des "penseurs" de gauche qui ont tout détruit : soit par instrumentalisation par l'éditorial soit par contamination des cerveaux improductifs des (non) dirigeants qui ne secrètent que paralysies, inerties, stagnations et "censures de l'action". Seuls ces hideux personnages sont dits "présentables" : est-ce insondable mystère !!!
3 – comme cet écrit ne peut refléter, exhaustivement ( au regard de son "thème", l'état actuel de la théorie, nous n'extrairons que quelques "noyaux centraux" : le capitalisme s'avère le système le moins sérieux qui soit par sa privatisation des bénéfices et sa nationalisation des pertes. Si le juridique reprenait la fonction qu'il emplissait au 18ème siècle, il serait balayé pour escroquerie sociale, tromperie préméditée sur la marchandise, anticonstitutionnalité, insultes à l'intelligence voire illégalités flagrantes. Juridiquement, le capitalisme se sait condamné. Economiquement, sa "réalité topologique" reste méconnue ( système des rotations, argent scripturaire, gains structuraux dus aux positions en apex, coûts cachés, externalités, P.I.B. inutilisables, méconnaissances mathématiques, bourses gangstérisées etc etc). La répétition incessante de leur propagande rend lente la compréhension mais la vraie intelligence (dissimulée par les "dirigeants" (sic) prétendus de gauche ) se trouve bien à gauche ( des héros !) aussi y arriveront nous toutes et tous. Le mieux, lorsque ardue transparaît la tâche, ce sont les "raccourcis" ( qu'en pensiez-vous ?) :
Un simple calcul et tout s'éclaire. Où avez-vous donc tous la tête ?
Prenons la relance mondiale des banques. C'est des 1 000 milliards d'euros, des 700 milliards de dollars…
Or nous sommes 6,7 milliards d'humains. 700 milliards de dollars divisés par 6,7 milliards égale 104 millions de dollars pour chaque habitant de la planète. Ca donne le tournis.
En France, les 26 milliards pour 62 millions d'habitants ça offre 420 millions d'euros pour chaque habitant. Une famille de 4 peut grouper 1,62 milliard d'euros. Ca remet sacrément la tête sur les épaules.
C'est chiffres sont très parlants. Si cet argent avait été remis directement aux citoyens mondiaux toute pauvreté aurait été éradiquée et toute crise rendue impossible. Alors où se cache le réalisme au royaume de l'argent fou et irresponsable ? Ce sont des enfants hébétés, pourquoi les suivez-vous donc ?
Pour survivre le capitalisme doit créer de toute pièce, sans cesse, des crises, mettant la planète en danger.
Le seul problème sérieux, et qu'aucun dirigeant actuel ne semble apte à résoudre, c'est la REPARTITIONdes richesses. Des chiffres parlants…
Où est donc la crise ? Uniquement dans le si dangereux système capitaliste. Pas dans la Société réelle!!!
Les leçons fulgurent et le "hideux secret de la finance" va exploser : en fac on nous bernait avec "les dépôts font les crédits" or si le prêt n'est que " scripturaire ", soit une ligne fictive sur un livre ( et nous remboursons avec du vrai argent) le scandale de ces milliards de milliards "volés à la collectivité" pour fournir aux banques l'argent qu'elles ne nous prêterons pas ( et vaudrait mieux récupérer directo nos billes !) démasque ce système sauvagement antidémocratique , escroqué par des financiers "non élus"et qui instrumentalisent les "élus" ( les abstentionnistes se montrent les seuls lucides "contraignant" à l'abolition de "l'offre" politique actuelle et à la création d'une nouvelle génération de politicien-nes ). L'illégalité de ces manœuvres saute aux yeux : rendez-nous tout l'argent que vous nous avez volé et, peut être, faut-il, aussi, arrêter les banquiers comme "braqueurs de banques", en tout cas discréditer à fond leurs irresponsabilités et n'y plus voir que des "gosses attardés" dans ces ex-grands. Lorsque les "produits dérivés" représentent 10 P.I.B. mondiaux et que la machine étasunienne ne voit que la sortie : "les banques doivent copier le process boursier", lorsque le système de la dette étasunienne ( des particuliers et de l'état) pèse 17 P.I.B. mondiaux, il est temps de parler en français courant. Cela donne : les U.S.A. sont les mendiants structurels mondiaux, ils se vautrent dans l'indignité en vivant sur le dos du reste du monde. C'est à cause des inhumaines privations des africains que ces imposteurs peuvent vivre en consommateurs archi délinquants ( structure en apex). Lorsque vous êtes endettés et que vous ne remboursez pas vous êtes plutôt mal vus : grâce à l'illégalité médiatique mondiale c'est l'inverse, les pauvres sont calomniés, or les flux monétaires mondiaux continuent à aller du sud vers le nord , donc seuls "les pauvres aident les riches".
L'illégitimité du système suinte de partout : "no one is innocent" osent-il salir les spoliés, persécutés, calomniés – clair qu'eux demeurent bien innocents des turpitudes des autres , qu'ils subissent de plein fouet. En voyez- vous d'autres ? Au niveau du travail, le même gangstérisme sévit : en français courant ça se dit "plus vite tu bosses bien plus vite t'es viré" – l'augmentation de la productivité, sans partage des plus-values afférentes, doit être poursuivie pour "antisocialité" avec dommages et intérêts rétroactifs. S'ajoute, le changement climatique qui EXIGE que nous travaillions toutes et tous toujours moins ( travailler plus forme un "déni du réel" psychiatrisable !).
En conséquence obligation constitutionnelle de dédommager le travail "qui est un dû" : un revenu universel d'existence ( allié au "salaire maxima garanti" qui reste une de nos formulations théoriques que le circuit des diffamations doublé de celui du "vol des idées des autres", a fait connaître – l'important c'est de passer non hé con !) devient point "nodal". Seuls vrais penseurs ( ceux qui allient esprit pratique hyperactif – une idée par jour – avec le collectif de la théorie) et artistes pourront nous guider vers la "fête sociale permanente", 24 h sur 24 h, avec ré apprentissage des socialisations, thérapies des troubles dus à l'individualisme solipsiste etc ( la stratégie ne se dit pas…) – qui palliera à la baisse draconienne des activités "qui tuent la vie". Léger condensé des valeurs ajoutées de la théorie (vous entrevoyez bien qu'elle se montre complète, globale et unitaire !) …
…En l'état du monde, sa trop déshonorante non diffusion
Voici esquissé le triomphe de la théorie qu'aucun-e participant-e à la gauche caviar ou à la
"gauche culturelle", au "parisianisme si arriéré" ( que nous devons le traîner comme un boulet…) etc etc (idem) n'auront contribué à produire. Tous les imposteurs sont démasqués : il faut qu'ils tombent vite vite pour que nous montions. Vous vous êtes toujours trompés d'admirations. La "gauche qui gagne" a toujours été présente mais dissimulée, ensevelie par les "fauteurs d'échecs", chantres des immobilismes morbides et qui viennent de montrer à quel point elles/ils s'avèrent non fiables, incompétents, obsolètes, pas sérieux, sans profondeur ( pour résumer) mais sournois, envieux, antisociaux, empoisonneurs publics etc. Tiens donc ! La "gauche qui gagne" a vraiment gagné : comme c'est bizarre ! C'est que les "héros" de cette affaire ne pourrons que cracher à la gueule de la majorité d'entre vous pour lâcheté notable ( tous contre un) et complicités asservies avec les bourreaux ( les médias illégalement lyncheurs). Seule sortie pour vous : arriver rapidement " à leur niveau" sans pouvoir espérer la moindre "récompense",tout juste "une juste "réparation" pour avoir, si stupidement, favorisé la gauche "qui a tout fait pour que nous perdions" – tout simplement parce qu'ils n'étaient pas "avec nous" mais, en sous-main, contre nous. Un sondage ( façon vrai écrivain) auprès des plus jeunes dévoile à quel point ils demeurent perturbé(e)s par la douleur et l'incompréhension de ces échecs. Leurs souffrances actuelles en paraissent exagérées à cause de cela. Les plus âgés ont beaucoup à réparer : qu'elles/ils recommencent, déjà, à être sincères. Et de diffuser à tous vents : NOUS avons déjà gagné ! Ce "nous" se trouvant bien à différentes distances du but. Certain-e-s ( héros) y sont carrément déjà, d'autres ( anticonformistes) bien proches et puis, tout le déroulement espacé du peloton ( insoumis, partageurs, artistes anticommerciaux etc la statégie ne dit pas tout !) et, enfin, toujours plus paumé-e-s et largué-e-s les ex-dominateurs de hier, dont nous avons déjà oublié le nom. Chacun-e reçoit ce que SON CŒUR a donné. Inversion des versions. C'est que …
Qui ressent l'ellipse sait qu'elle a deux centres. Qui sait mettre la pensée en abîme vit,
physiquement, le "déplacement" que crée la pensée. Qui vibre de raccourcis devient tellement utile aux autres s'ils admettent que les émotions ont forcément leur place dans toute réflexion. Vous avez bien vu à quel sommet d'inhumanité nous a entraîné ce monde sans affection, pour ne pas dire sans amour ? Nul-le ne vous oblige à intégrer la sale mentalité des dominants: si vous le faites ne vous en prenez qu'à vous-mêmes et admettez que les anticonformistes sont bien les meilleurs résistants (à consulter sur "les milliers de petits trucs") à toute propagande ou manipulation, ils ne sont jamais gogos, juste victimes intensives de toutes calomnies et autres persécutions ( puisque "vous" rajoutez les vôtres à celles de la droite)…Si la gauche perd c'est que, partout et encore, semblent soutenues , secondées, assistées, insistées les pensées structurées comme des censures, exclusions, flicages, émiettements, désunions, étiquetages compulsifs et fanatismes du simplismes et du bipolaire.
Socialement, ce sont les pensées qui créent la "réalité sociale" vous n'étiez pas au courant ? Ainsi, la sidéralité d'un concours pour le dire ( comme du temps de Jean Jacques Rousseau) souligne-t-il tout le désarroi de l'urgence ( ou l'urgence du désarroi ? choix projectif ?), d'autant plus que ce concours s'allie avec la possibilité d'anonymats, de surnoms et/ou de total bénévolat. C'est dire qu'il est ratissé large et que l'on a besoin de tout le monde. La "gauche culturelle" ( paraît-il "victorieuse" dans la culture – à quel prix !) semble bien avoir commis de gigantesques dégâts !!! Plus vite nous l'aurons contournée plus les chances de s'en sortir, collectivement, augmenteront. Cui prodest !
Pourtant, ce n'est pas parce que vous avez pris le pli de perdre que
certains n'ont pas "déjà" gagné !!!
( à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org, onglet 2 "Why do we left the left wings ?"