CE QUE NOUS APPORTONS
Textes à la demande
Oubliez un peu l'angle commercial, nous réfléchissons hors de ce cadre. Voyez , en dessous, 3 illustrations différentes...
Il nous est reconnu un don de la formule. Vous avez celui de trouver les infos pertinentes. Par exemple. Passez par nos méthodes de textes, l'info en ressort valorisée pour le bien collectif. Nous, nous apprenons à mieux détecter le fond non formulé de l'époque. Et...Ce qui ...etc.
A suivre: dès que disponibles d'autres aspects de ce que nous apportons...
Pas de création de communautés pour le moment. Si vous le désirez nous pouvons tenter d'inter-agir avec les éléments présents. Donc, désirons entrer dans des communautés existantes...
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3 textes différents (comme modéles de texte modulable à la demande- si du moins cette demande nous semble répondre à un intérêt collectif! donc pas de sophismes etc...)
Dictons nos dictons. Du genre que dicte la dictature ? Qu’est-ce que la dictature dicte ? Soyons les arbitres de l’arbitraire ? Et dictons nos dictons. Comme l’exemple dicté et édicté par qui la dictature ? Dès son origine, la dictature a tout à voir avec les mots. Ce sont les mots qu’elle dicte et ce sont les mots qui l’édictent. Ce que tout un chacun semble trop ignorer. Nous pas. Dictons donc nos dictons. Jetons nos jetons. Procédons sans procédés. Jetons d’une manière expresse les expressions toutes faites. Faisons la pétition des répétitions. Fuyons la latitude des platitudes. A bannir le banal. Clichés et stéréotypes. Ne plus licher les clicher. Toutes catégories trop catégoriques. Ponçons les poncifs. Jugeons les préjugés. Usons les usages jusqu’à la corde. Puis tirons nous de nos tirades. Arrachons le maximum des maximes. Le principal des principes. Leur prince. Que l’on devise un peu sur nos devises. Décalons les décalogues. Faisons le procès des processus. Mais conduisons nos conduites. Réglons nos règles. Scrupuleusement, toujours de vive voix. Verbal . Comme le proverbe du verbe. Feuilletons les feuilletons. Et déroulons le récital du récit. Le couplet des couples. Mettre des sonnettes aux sonnets. Que nos contes vous contaminent. Raconte conte ! Rendons nos fables affables. Recueillons nos recueils. Et nous rimes de nos rimes. A sentir nos sentences. Bradage des adages. Goûte aux mets des guillemets. Désormais tu signes tes signes. Brique ta rubrique. Taille les détails. Rase la phrase. Contenu continu. Que soient exposés au danger tes exposés. A revoir les revues qui n’ont pas été revues. Remarque tes remarques et rapplique avec tes répliques !
Qu’enfin l’on formule la formule !
(extrait de « Nul n’est nul », P. 27 sur freethewords.org)
LA FINANCE COMME MALADIE
Il devient remarquable de remarquer que tout le langage des médias, revues spécialisées et discours politiciens ne savent user que des termes de maladie en ce qui concerne la finance: "les marchés au bord de la crise de nerfs", "la Bourse en dépression", la "fièvre", des "humeurs", des "vapeurs"…etc. Ces marchés sont donc considérés comme des malades et, plus encore, avec circonspection, il faut les ménager puisqu'ils risquent de devenir des malades dangereux. Ce qui appelle à deux catégories de remarques : l'inconscient de ces "observateurs" sait détecter l'aspect maladif, déraisonnable, irrationnel de la pandémie capitaliste et il s'en méfie instinctivement mais ne sait le dire. D'autant plus que, versant mystérieux, les marchés veilleraient à la "bonne santé de l'économie". Comment des personnes, sans arrêts, en fièvres, humeurs, en hystérie ou en dépression, peuvent-elles veiller à la bonne santé de l'économie ? Ce qui est dit ne peut masquer cette évidence. Cependant, replacées dans ce contexte, ici éclosent, des phrases comme "la crise économique qui résulterait du déroute des spéculateurs", laisse pantois. Rappelons que, d'un point de vue légal, juridique, la "spéculation" reste illégale et appartient au gangstérisme. Donc il paraît difficile de voir en quoi le maintien du gangstérisme est nécessaire au capitalisme. Avec maintien de l'opacité et de la déresponsabilisation. Dont acte ! D'autre part, économiquement et mathématiquement, il paraît encore plus difficile de voir en quoi les "spéculateurs" qui font leur beurre tout seuls, sans les autres, qui "détournent" à leur unique profit la richesse collective et donc soustraient tout et n'ajoutent rien, pourraient créer une "crise économique" qu'ils créent déjà par leur anarchisme de tout "détourner". Comment en soustrayant pourraient-ils ajouter de la valeur ?
N'avez-vous pas l'impression de nager dans le roman, dans le délire ? Les marchés sont comme les chochottes de la Terre, si fragiles si malmenés, par qui, par quoi, la réponse ne parvient jamais. Sans égard pour toutes les catastrophes qu'ils infligent au reste du monde (la volatilité très déstabilisante des marchés a pu être dite "due à l'organisation du système de prévention étatsunien et leurs fonds de pensions", anarchiquement, dévastateurs). Or, il faut plaindre, condescendants (marchés dépressifs), ces marchés. Étrange cette massive attitude d'infirmière adoptée par les médias. Alors que la science, à travers Hicks, Gérard Debreu, les néo-conservateurs, a pu, mathématiquement, montrer que la Bourse reste "le plus mauvais système d'investissement possible" que "le libéralisme demeure le système du plus grand gaspillage et de la plus mauvaise redistribution possibles" Ce qui n'est pas rien ! (…) ? La "réponse" des médias en tant que paternalistes infirmiers autoproclamés, crie de décalage. Décalage si facile à retrouver dans la fiction romanesque.etc. (extrait du « Le roman de l’économie », p. 36 sur freethewords.org)
Comment ?
Comme comment ?
Comment commenter ? Comme le commentaire du comment ?
Comme mémorer ou comme unique ?
Le comment siège dans le comme : alors comme ceci ou comme cela ?
Le comme siège dans le comment : alors commenter le comment comme le proverbe du côté du verbe ou comme le pronom serait pour le nom ?
Comme commun ? Communiquer sur/par ce que nous avons en commun ?
Que collecte le collectif ? Communiquer comme (une trame préexistante, un palimpseste ?) transmettre, soit propager, soit publier, confier, étendre, répandre, élargir le cercle ?
Comment ? Comme commun : le commun communique, sans le commun rien ne peut plus communiquer …
Cette porte communique « avec » cette autre pièce (l'inconnu, l'invisible) : communiquer n'est pas encore advenu ?
Communiquer appartient au comment (la méthode : que faire ?) mais au comme (également, pareillement ou semblablement : donc au partage !)
Communiquer nous rejoint et nous conjoint, nous réunit et nous prolonge : le début du monde était déjà présent dans ce mot ou ce mot était-il déjà présent au début du monde ? (extrait de « Ouvrez vous ouvrages », p. 13 sur freethewords.org)