Foutre des étiquettes c'est refuser de penser (suite)

Je ne rentre dans aucune case

 

Pourquoi il vous en manque une ? Pour que vous insistiez à ce point compulsif de me contraindre à entrer dans une case ?

Etre inclassable devient comme lasser les cases âniers ! ou bien pérégriner dans toute la liberté et pourquoi se limiter à une case ?

 

Je ne rentre dans aucune case – preuve étincelante de l'abolition de l'esclavage pour moi que de quitter la case de l'oncle Tom !!! Vous voulez encore vous encastrer dans vos cases mates ? Dans ces conditions, vous demeurez esclaves complets et, de ce simple fait, perdez tout droit à mettre les autres en cases…

 

Pourquoi voulez-vous tout caser dans vos casernes de cases ?

 C'est sans issue raisonnable…"trop" piégés et pris en flagrants délits – que vous vous montrez. Foutre les autres "en cases" c'est par pur esprit cancre de contradiction. Or cet esprit de contrer tout, sans rien regarder, avoue sa position d'infériorité et de dépendance, dans la hiérarchie du réel, par rapport à qui il voudrait mettre en case. Lui c'est bien un cas et vous ne rentrez toujours pas dans aucune de "ses" cases…

 

Lui est un cas, un cas qui tourne, excentriquement, souvent casaque ; un cas qui cascade les catastrophes…et vous voudriez que la société se fonde sur de pareils détraqués ? Vous n'êtes pas sérieux ?

 

Le futur ne parle qu'à qui garde un espace disponible en lui, conserve suffisamment d'espace vacant, afin de l'accueillir tout entier...

 

  Et pas le foutre dans une case !!!

 

(à suivre)

 

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Ce si petit bout de "leur" lorgnette ?

 

Les plus puissants du monde n'ont pour voir celui- ci qu'une minuscule lorgnette ? Ce que vous trouvez dans les médias conformistes occidentaux par rapport à la révolution arabe et l'émancipation des peuples ? Quasiment rien, que du descriptif et surtout rien d'explicatif. Sinon 2 obsessions qui signent qu'ils en ont vraiment à foutre des peuples et encore moins de leur émancipation…

 

Congelés dans leur monde "à part", coupé de tout réel commun "partagé", leur si microscopique lorgnette (et comment osent- ils diriger un monde dont ils ne savent rien d'essentiel ?) ne VOIT QUE – 1)   -  l'immigration  avec "l'Europe (laquelle ?) redoute l'exode massif de ces peuples". Et la leur d'immigration sans gêne dans les autres pays du monde où, ils ne montrent vraiment aucun respect ? Et puis, le fric le fric , le fric  assez ! – les illégales Bourses avec ce "les marchés (voués à toujours gagner sans même la moindre possibilité de perdre – vu que "nos" impôts les subventionnent à donf ) oui ces marchés beûûûûrrk si déstabilisés par les mouvements populaires".

 

Donc l'Europe (laquelle ?) se montre très anti- Populaire mais, paradoxalement, trop carrément "populiste" (cf le texte "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" sur  le site internet à but non lucratif freethewords.org,   onglet 4).

 

Leur si petit bout de lorgnette avoue leur monde sordide, mesquin, étroit, "coincé", négligé, bloqué…et ne peut q<u'éloigner, à tire d'ailes , tout ce que la Terre prte de noble, d'enthousiasmant, de grand ou de généreux…

 

Abandonnons les à guigner les guignons, reprenons les choses en mains et changeons le monde …

 

(à suivre)

 

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Le tout est supérieur aux parties

 

Et que voyons-nous ? Toutes ces parties se croire supérieure au tout et, par leurs activités farfelues, empêcher que le tout n'arrive. Comme pour la révolution arabe ? L'unité irréductible demeure supérieure à toute minable ambition personnelle…oui ou non ? En Occident, la majorité opine toujours mais fait, trop souvent, l'exact inverse de ce qu'elle vient de défendre avec ardeur….Est- ce pourquoi tout Progrès progressiste comme toute évolution fuient ces pays toujours plus enfoncés dans une léthargie suicidaire comme dans un refus infantile de penser ?

 

(à suivre)

 

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Chacun doit rester à la place qui lui revient ?

 

Un immense trou de mémoire collectif…à empêché chacun (e ) de "rester à la place qui lui revient" !!! Ca ne vous revient pas cette Société qui a remplacé un roi de "droit divin" par des dirigeants  de "droit magique" qui, déjà, même avant votre naissance vous avait dégoté une place ? Leur connaissance omnisciente de la personnalité et du destin de chacun les fait supplanter tous les Jupiter et autre Mars et ça repart !!! Dommage que leurs "dons" insurpassés ne servent qu'à la destruction toute de la Société !!! Par exemple, ce diktat "immobilisateur" médusant de RESTER à cette place dont vous ignorez tout: comment être ce qu'on ne sait pas être ?

Mais, grâce à epsilon gggruuuuscwxkzz, un immense trou de mémoire collectif…à empêché chacun (e ) de " rester à la place qui lui revient " !!! Pourquoi elle était partie ? Des observateurs impartiaux ont, vite, sorti un mémoire péremptant qu'ils "étaient mal placés" eux-mêmes pour en discuter…ajoutant le slogan très slow "si tout le monde reste à sa place qu'est ce qui reste ?"…subvertissant (enfin !) les médias en osant que si tout le monde reste à la place qui lui revient il devient impossible de rester en place

 

A peine les médias médiums perçurent ces secrètes pensées qu'ils créèrent des universités semi-publiques et semées privées, mi raisin et ami figue…Le slogan était "L"INDISCIPLINARITE CREE LA MULTI- DISCIPLINARITE"…Purée ! C'était écrit dedans : l'université unique c'est que de l'armée mentale, 1 2 1 2 au pas et de la discipline dans les disciplines !!! Seules les diversités et leurs si percutants "diversitaires" (dont hic! nous faisons partie nunc !) restent modernes. Et à la pointe de l'Evolution !!! pourquoi kkkkkôôôôônn nous avait caché ççççaaa ?

 

On est bien "placés" pour le savoir et pour en placer une…mais comme l'effondrement intellectuel (qui se nomme publicité !!!) patauge dans la gadoue chimérique – genre "la rentrée moins chère" – on va devoir vraiment s'expliquer…"La rentrée moins chère" mais par rapport à quoi ? l'année dernière, avant prochaine ? a gaga gaga gaga – si vous trouvez une seule information utile dans ces gâtismes hâtés qu'elle soit haute de forme !!! Donc on peut être bien ou mal placés ? oulallala ! l'impératif catégorique de "rester à  SA place" tombe en miettes…l'omniscient fait que rien que de nous mal placer – et si on rem- Plaçait ces omniscients ex- dirigeants des gens ? Mais "ma"place c'est par rapport à quoi, l'année prochaine, l'an cinquante 12 avant le ci-devant, la flèche du temps ou l'arc de tes sourcils ? Tics tics tics tics tics, pleuvent les très probables scoops     LES DIRIGEANTS NE SAVENT PAS PENSER LES DIRIGEANTS NE SAVENT PAS PENSER LES DIRIGEANTS NE SAVENT PAS PENSER LES DIRIGEANTS NE SAVENT PAS PENSER LES DIRIGEANTS NE SAVENT PAS PENSER LES DIRIGEANTS NE SAVENT PAS PENSER …interruption non momentanée mais définitive de leur règne…

 

Partout sur Terre, il leur est dit dégage ! t'es trop mal placé et pas assez dégagé pour "nos" buts !!!

 

(à suivre)

 

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Tout le monde – ça existe vraiment cette bestiole tout le monde ?

 

Toute généralisation si illimitée fleure trop l'omniscience plus que divine. Afin d'affirmer "tout le monde" il faut, à la fois, "tout" savoir du passé", se montrer ubiquiste pour le présent et surpasser en "divin"-ation tout le divin assemblé pour le futur…Ce qui n'est pas rien dans le mégalomaniaque…si peu discret ou modeste de qui se planque derrière le je suis simple, j'ai pas fais d'étude, j'aime pas l'intelligence, je philosophe pas, faut du concret, etc – et qui chute dans ce gigantisme d'AFFIRMATION !!! Ah! si "tout le monde"", alors, je m'écrase, me tais, abandonne mon moi indépendant et me fous des chaînes, m'auto-piétine, me dilue et disparais…Le filet qui attrape tout, qui fait taire et sème l'inertie partout – vient de semer son épidémie.

 

"Tout le monde" l'expression qui tue ? Vérifions-lui le fion !!!

Et comment savent-ils que tout le monde est tout le monde ? Oui comment ? Y‘a même une déshonorée chanson qui ose « Tout le monde veut passer à la télé »….A ce point ? Vous aussi ? vous feriez tout pour ?

Boum badaboum! Patatrac t'as le trac! Pas de bol du tout…Nous avons rencontré de ces individus très vivant(e)s et « qui feraient tout pour ne jamais passer à la télé »….nous- mêmes pensons que votre image n’y est que manipulée, que vous n’avez aucun contrôle sur le montage très anti-démocratique . Et que donc vous risquez de servir un but qui ne vous convient pas du tout…D’aboutir au précis inverse de ce que vous souhaitiez…Tant que vous n’avez pas un droit de regard c’est donner toute la bouffe aux ennemis et la mâcher pour lui… « tout le monde » devrait déjà savoir cela !

 

Toute généralisation amplifie, agrandit, accroît, déploie et étend au-delà du possible, du rationnel, si immense et du réalisable…Si "tout le monde" le dit personne ne peut l'entendre, en fait…Sans contraire, rien ne peut exister en tant que singularité autonome…Vous n'êtes plus qu'une petite partie insonorisée, aveugle, inodore, écorchée et sans saveur d'un grand tout qui vous a phagocyté et digéré…Dire "tout le monde" c'est, précisément, s'auto- supprimer, se déglutir, s'ingérer, s'avaler, s'absorber, s'annuler…Disparaître !!! S'auto- dissoudre !!! Se néantifier !!!

 

Vous vous attendiez à celle la ? Les gens dits simples (parfois, si compliquant et sac de nœuds nouant!) foutent, en effet, le chaos et la confusion dès QU'ILS AFFIRMENT SANS SAVOIR…A part eux, seuls, les financiers déloyaux, les manipulateurs terrorisants des médias ou certains politiques impromessibles , nul qui ne s'acharne à dire "tout le monde". Autrement que par pure inattention !!!

 

"Tout le monde" la plus dangereuse des bombes sociales ? l'explosion dans la civilisation ? le déclencheur de la fin du monde tout le monde ?

 

Oui, le jour où "tout le monde" le monde existera – il n'y aura vraiment plus Personne sur Terre !!!

 

( à suivre)

 

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Penser est ce qu'il y a de plus difficile au monde (1)

 

Penser est devenu ce qu'il y a de plus difficile au monde – c'est même mystère de s'apercevoir que quelques individus y parviennent encore ! Il faut savoir qu'ils ont vécu d'atroces guerres. Et en première ligne…ouais ouais le pire crime pour un bourgeois régressif c'est de penser, donc d'avoir un esprit critique, etc…

 

Comment faire pour aider ces rescapé(e)s et en susciter beaucoup d'autres ? Juxtaposer avec d'autres activités…Les sports sont un excellent exemple…

 

LA FOLIE SOCIALE C'EST QUE CE QUI EST ACCEPTE EN SPORT NE L'EST PAS POUR LA PENSEE…il existe, pourtant, de nombreux points communs entre les deux…si vous voulez retrouver un des délices suprêmes (penser!) vous saurez nous lister tout cela…nous, nous n'en retiendrons, ici, que 2:

L'entraînement

Le succès de l'épreuve…

 

I )J Alors que tout un chacun admet qu'un athlète ne l'est qu'à coups d'entraînements, d'efforts acharnés et de discipline personnelle – penser se ferait sans efforts, sans entraînements et sans discipline intérieure. Ce pourquoi tout le monde se permet de faire barbare irruption dans la pensée qui s'essaie. Et sans réflexion préalable…piétinant, ravageant, saccageant, dévastant cet espace commun si fragile…vous trouvez que c'est la bonne attitude vous ?

Le hiatus c'est la perversion maniaque qui s'énonce "puisque c'est "moi" (purée vous me connaissez hein?) "ça" ne peut que penser bien !!!". Or, tout cela est archi-faux et dangereusement toxique…

Ca vous la bouche hein, de vous apercevoir que les vrais destroy ce sont celles/ ceux qui INTERROMPENT le travail de la pensée…si propre sur eux, ma pauv' dame et si à la mode y paraît…Le concept inédit de "gangster mental" n'est pas de trop ici !!! En faites- vous partie ? Pensez- y !!:

 

II )J°   Ensuite, lorsque, à force d'entraînements et d'efforts, l'athlète gagne…qui ira l'insulter et lui nuire du genre "si tu gagnes c'est rien que pour m'humilier, me rabaisser, me contrarier ; c'est parce que tu en as après moi que tu fais rien que de gagner ?" Qui dirait ceci ? Autre part que dans un film comique ? Pourtant, le penseur reçoit de ce genres d'agressions. Et tellement pire encore …d'où nombres de réactions 

 

Penser est ce qu'il y a de plus difficile au monde. Et ce le restera tant qu'il n'y aura pas de vrais débats. Organisés selon la vertu supérieure de la pensée: l'honnêteté intellectuelle (dont un des intrants pourrait être ce n'est pas parce que je le dis que c'est vrai c'est parce que c'est vrai que je le dis !!!)

Et tant que le respect ne se vissera pas là où il faut: envers les seuls héros pluriséculaires…les athlètes du cerveau …Lorsque vous aurez une seconde pour être honnêtes et que vous rechercherez qui "reste" du passé…des riches? des généraux ? de la chair pontifiée à religions? Pas du tout du tout:  des penseurs très DIVERSIFIES et des artistes…bref, les athlètes du cerveau et du cœur !!!

 

Que nous sommes donc loin des "besoins réels" des peuples !!! Penser reste ce qu'il y a de plus difficile au monde: c'est pourquoi toutes les sournoises attaques (fomentées par des irresponsables et des inconscients qui ne tirent que contre leur camp !) se montrent si dommageables…

 

Penser demeure ce qu'il y a de plus difficile au monde parce que penser c'est AGIR. Un athlète n'aura que quelques paramètres à gérer en même temps. Un vrai penseur des centaines…Si après ça vous n'étiez pas convaincu(e) que penser est 100 (ou 50, peu importe! c'est la fourchette d'écarts qui compte !) dois plus difficile que n'importe quel sport c'est que vous faites semblant d'être cons…bon faites le alors mais pas sur nous !!! La preuve ? l'idée de "Jeux Olympiques de l'intelligence" n'a toujours pas atteint les cerveaux autistes qui font semblant de diriger !!!

 

Les séries d'actes manqués qui empêchent, justement, ces "Jeux Olympiques de l'intelligence" exhibent bien que penser vraiment et à fond appartienne encore à…l'impensé collectif !!!

 

 

(à suivre)

 

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6 septembre 2010

 

La vraie actualité c'est la moitié manquante de la photo ( texte cadre)

 

En Malaisie, il y a quelques années, les journaux étalaient une photo dérangeante, on l'on voyait une foule compacte se précipitant, hurlante, mains agressivement tendues, contre des policiers qui se tenaient en face d'elle. Cette photo dégageait une grande violence et cette foule, en pleine meute, n'inspirait aucune sympathie. Seulement, nous sommes parvenus à voir la photo entière. Là, changement radical d'optique: sur la droite de la photo, des hommes armés, à tirs tendus, étaient bel et bien en train de massacrer la foule. Sa réaction toute naturelle de panique, de fuite éperdue, mains tendues devant, redonnait toute sa noblesse à cette multitude que nous étions prêt(e)s à vouer aux gémonies avec la première photo.

M'est entré, ce jour-là, bien fiché dans le crâne, que L'ACTUALITE C'EST LA MOITIE DE LA PHOTO MANQUANTE.

Voilà, un cerveau, irrémédiablement perdu pour la propagande de la régression capitaliste. Et donc, pour qui la plupart des journaux ont atrocement déchu: ayant trahi l'obligation d'informer. Ayant choisi (à la sauvette) leur camp et donc ne pouvant plus s'appeler "médias" (au milieu de…qui remédie à…). La moitié manquante de la photo leur devient, soudain, très défavorable. Il faudra bien un jour, une justice concrète. Ils étaient du côté de ces (sous)hommes armés tirant dans la chair d'une foule désarmée. Et ils le restent toujours plus aujourd'hui. Point barre.

Et – de ce fait – l'exercice légal de l'actu devient l'exact contraire de ce qu'ils font (ou plus exactement ne font pas!). Leur déchéance se montre totale (pas un mot qui ne signât une putride dégringolade) lorsqu'ils osent remplacer le débat d'idées par une indigne pipolisation anti-actu. Ils doivent être "informés" que ces pratiques soulèvent de répulsion de plus en plus d'humains. Les circuits de réprobation et de dégoût changent, radicalement, de côté: nous vomissons cette décadence arrogante de tout notre corps. L'actu people est pire qu'une trahison: la perte immédiate de tout droit à informer.

L'irruption douloureuse de la moitié manquante de la photo aura été notre épiphanie. L'actualité c'est OBLIGATOIREMENT le hors cadre, ce qu'on ne nous montre pas, le planqué, le masqué, l'escamoté ou le dérobé. La moitié manquante de la photo devient plus importante que la partie que l'on daigne, et avec quelles réticences, nous exhiber. L'on récolte ce qu'on sème !!! Ca doit leur faire une sensation pénétrante, mais tous ces pérorant "traîtres à l'info" ne peuvent plus recevoir qu'aversion, exécration, désapprobation, et réprimande. Toute people manière de traiter les idées devient déclencheur de nausées. Nous n'en voulons plus jamais.

Dehors avec vos saletés !!!

Comme nous, voyez-vous toutes ces cruel-le-s ex-stars de l'anti-journalisme (qui avaient déjà, si légèrement, sacrifié nos vies) tout en bas de la pente, pataugeant dans leur boue collante, parmi la liesse collective de cris d'émancipations: " enfin débarrassés de ces matons! enfin débarrassés de ces matons ! ces matons qui nous servaient "leurs" actus comme "notre" punition, notre peine, pour tous les crimes "qu"eux seuls ont commis"..: enfin débarrassés de ces matons qui nous regardaient comme "leurs" prisonniers, coupables que de ne pas être tout aussi corrompu(e)s qu'eux! Nous sortons, enfin, de la prison des mensonges généralisés !!!" ?

Le crime clair et net c'est la pipolisation de la vie publique (donc sa privatisation: juste reprendre, à ce sujet, toutes "leurs" citations contre Mao Tsé Toung et sa "personnalisation" (synonyme de people non?) du pouvoir). Ah bon! Ce qui n'était pas bien pour lui, serait, soudain, magiquement, valable, pour eux ? Pas question: EMPECHER les débats d'idées par la pipolisation forme, dorénavant, un crime contre l'actualité. Est- ce bien clair ?

Le circuit des réprimandes et des condamnations change, très soudain, de bord…

Ce texte reste liminaire d'une radicale façon de traiter l'actu. Qui va émerger rapidement. Sa longueur ne dépend  que de ce but. Un seul exemple, exhiber Eva Joly, comme profil people représente une déchéance grave pour les idées écologiques. On ne voit pas en quoi leur justesse serait confortée par faire pleurer les chaumières ? Et la moitié manquante de la photo ? Clair! Que c'est qu'ils (ex Verts & co) n'ont rien à dire de "durable" sur l'écologie concrète puisque, tout évidemment, ils ne voudront jamais l'appliquer, tel, du moins, que les nécessités de la survie planétaire l'exigent: Ils sont juste là pour faire barrage aux vrais écologistes, pour qui zéro people. Et tout idées !!! T'es people tu trahis afin que ne persiste que "le circuit des noms": ainsi, recadré(e) tu ne peux qu'être ennemi des idées et de leur succès. Donc, la défaite préméditée du plus grand nombre "juste" pour que ton nom restât scandé, de toi ou nous, qui est complètement fou ?

Ainsi donc, le côté soutien exagéré aux noms, clarifie de quel camp est vraiment le "pipoleur". Vous pouvez vous affubler de n'importe quelle étiquette: l'imposture people l'emportera à tous les coups. Même dans leurs hautes eaux, les socialistes n'ont jamais dépassé les 30 000 militants. Pour les autres formations, les chiffres font aussi groupusculaires. Si, la pipolisation n'existait pas, ils (tous les politiques "minoritaires"!) ne récolteraient que de bien moindres effets. Nous devons revenir à des débats, en direct, dans les salles et places publiques. Nous devons enlever des mains des si peu fiables ex-journalistes tout "encadrement de ces débats". Avec eux la moitié manquante de la photo excède plus de la moitié de la photo. Ils nous volent l'actu, ce sont de limpides truands: nous ne les laisserons plus faire…

Leurs exécrables manipulations furent résumées dans une chanson qui nous prévenait, vaillamment, devant:

Tous ces rêves bien truqués

qu'on veut te faire jouer les yeux bandés…

et à laquelle le "à qui ça sert ?" n'a toujours pas obtenu de réponse. Nous l'exigeons immédiatement. "A qui ça sert ?" la moitié manquante de la photo ? Ne pas répondre "est" une réponse…

Aussi bien, vous repérez la même déchéance accélérée des ex-arrogants. La moitié manquante de la photo était dans le texte même. C'est pire que répugnant que de truquer des rêves. Mais cela touche à la hideuse perversion que d'exiger que l'on se bandât soi- même les yeux. Il faudrait être maso, ennemi de la raison, détraqué, avili ou insensé pour obtempérer à un tel scandale.

Les circuits d'indignations et de condamnations changent, très soudain, de bord…Comment avons- nous pu supporter de tels échecs ambulants ?

Toute pipolisation représente un échec cinglant de l'intelligence. Et cela se sait de plus en plus. Cqfd ?

 

(à suivre)

 

 

GREVES : la moitié manquante de la photo (2)

 

Lorsque ce sont des journalistes, ces hyper corporatistes à tendances ultra régressives, refusant tout progrès collectif, comme toute avancée sociale – qui parlent des grèves, y'a un problème juridique implosif. Ne produisant que du commentaire archaïque, ils parlent des grèves et manifestations comme s'ils étaient les alliés objectifs des citoyenn-ne-s, usagers et autres administrés, en saccageant, outrageusement, la réalité des mouvements. La moitié manquante de la photo montre que ce sont ces médias qui sont les ennemis identifiés de la majorité écrasée: sans eux, pas de bourses, pas de spéculations gangstérisées, pas de finances hautement irresponsables et pas de racket de l'argent public en 2009. Les médias se montrent très gravement responsables de la déchéance sociale "par le haut". On ne peut, à la fois, être juge et partie: les tribunaux devraient dessaisir les médias du "devoir d'information sur les grèves" pour fautes déontologiques graves. Et lourd passif de dangerosité sociale : la finance folle (et qui la soutient) représente un DANGER COLLECTIF mille fois supérieur à toute manifestation ou grève. Pourquoi la police n'arrête-t-elle pas les VRAIS gangsters de cette société ? Reste-t-elle, encore, juridiquement légitime ? Si les gens descendent dans la rue c'est, aussi, pour apprendre la loyauté et l'honnêteté aux médias trop déchus. Alors, 10 000 tons plus bas, escrocs déguisés en ex- journalistes lorsque vous vous adressez aux vrais "créditeurs du système".Yes jerrican ?

Un seul exemple de "crime contre l'information" ? Jamais de recadrage des motivations de ces grèves: les grèves ne surgissant pas en génération spontanée, une poly-factorialité de causes doit bien expliquer son émergence. Les grèves semblent même une réactivité à des coups portés "hors du cadre" ? Ne pas informer de la moitié manquante de la photo devient donc une insulte grave au drapeau de la déontologie. Qui peut comprendre un charabia uniquement antagonique (seule info!) basé sur strictement aucun fait ?  Et tout gréviste devrait porter plainte, à la seconde, contre les médias pour escroquerie intellectuelle, non-respect de la déontologie et archaïsme corporatiste…Et effet, qui voit les comptes- non-rendus des grèves par les hallucinés ex-journalistes n'y perçoit qu'un incohérent magma de contes de fées, une irrationalité galopante, un délire dangereux pour notre santé: plus jamais la moindre parcelle de réel. Rien n'y tient plus la route, aucun dialogue réel ne pourrait faire durer cette bouffonnerie plus de 10 secondes et strictement aucun argument ne se trouve derrière cet énorme scandale à l'info…

Identique pour les manifestations où ces "détraqués visuels" semblent ne voir que les menus incidents qui, dans tous les cas, ne peuvent constituer plus des 2 à 3 % de la réalité globale de la manifestation. Donc, les grévistes ne font grève que pour perturber (infantilement, en plus!) un petit centième du cortège et pour "fournir" l'ultra scoop usé jusqu'au caoutchouc à ces ex-journalistes – quel esprit d'abnégation! Toutes les médailles du courage devraient leur revenir !!! Cacher 98 % de la réalité est un crime contre l'actualité, est- ce clair ? L'info n'est plus QUE PAR CE QU'ELLE NOUS CACHE MASSIVEMENT. C'est de l'info "négative". Ce genre d'info ne vaut rien du tout: la dévalorisation rebrousse même le temps…Lorsque ses propagateurs récoltent du rictus d'ultra méfiance…

Les circuits d'indignations et de condamnations changent, très soudain, de bord…Nous nous indignons, de plus en plus, contre les médias déchus et ne les suivront jamais dans leurs circuits de trahisons indignes. Nos cris de colère s'amplifient au fur et à mesure que le gigantisme de leurs trahisons nous apparaît…Ils perdent tout droit à faire de morale à qui que ce soit: devant leur porte, en effet, la putréfaction dépasse les kilomètres! En conséquence, nous les condamnons au respect immédiat de la déontologie: donc des réparations d'années de calomnies irresponsables sur les grèves et manifestations.

Total: les médias nous doivent 2 mois, 21 jours, 14 heures, 42 minutes et 10 secondes "d'information propre" ininterrompue sur la réalité causale des grèves.

A bas le people! vive le peuple!

Que, désormais, l'actu soit : nous vous dirons tout sur la moitié manquante de la photo

Aujourd'hui c'est…

Vivent les grèves puisqu'elles semblent le coin qui, planté dans le bois de la réalité, démasque et démasquera les médias comme la moitié manquante de la photo – la partie qui nuit excessivement à la société.  Pas les grévistes et pas les manifestants, en tout cas !!! Vive l'information libre !

Et trrrrèèèès bientôt une énoooooooooorme manif anti médias !!!

 

(à suivre)

 

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LES NON REPONSES INFORMENT AUSSI

 

Les médias, du fait de leur refus de vérifier les attentes et les besoins réels des citoyen-ne-s, sont en train se tirer en grand dans les pattes. Déjà, nous ne sommes plus intéressé(e)s du tout par les télés, au niveau d'information zéro, sans jamais de débats de fond et dont quasiment tous les reportages ignorent les règles d'objectivité et de loyauté. Etalant juste des préjugés et des a priori: tout se voit ensuite déformé par cette barbarie de méthodes. Pourquoi s'infliger ces pensums ?

 

Aussi, quel ne fut pas notre agrément que le hasard nous mette en contact avec l'émission C dans l'air au thème "Un vert de trop", où un membre du bureau politique des Verts dits Europe écologie (vous voyez que, lorsque le compactage idéologique est si fort, offrir les noms ne sert plus à rien !). Le concentré de ce que nous venons d'apporter l'esquisse se trouvait très présent. Trop.

Tout d'abord, l'émission amène un parfum de peopolisation, difficilement supportable, plus d'un demi heure. Après quelques minutes de  visionnage nous nous sentons très vite comme des intrus (c'est cela même, les télés en boucle, complètement sans nous, nous rendent intrus!) puisque leur hautes intelligences elliptiques nous privent de toutes démonstrations et raisonnements. Sans lesquels demander "d'écouter" une entrevue (à peine entrevue!) n'a plus de sens. Donc c'est plutôt servir sur un plateau, reluire les godasses: et, là toujours, nous rejeter hors de la justification de leur présence sur l'écran. Nous les sentons d'un autre siècle, absolument absents du concret de notre époque. Au niveau information, ce qui est formation, et qui amène la forme formatrice, absolument rien.

 

 Pour s'être dérangé et nous tartiner ainsi de vide. Voilà ce que c'est d'avoir expulsé les écrivains et les penseurs des pouponnières où ont chuté les médias: plus de pensée CONSTRUITE. Et rendue visible dans sa progression. Un "participant" (même ceci n'est plus sensible et palpable!) n'obtient aucun aliment à écouter leurs mots. Juste le spectacle de personnes satisfaites d'elles- mêmes, au-delà de l'imaginable. On se demande sans cesse le motif d'une telle satisfaction, dans leurs maniérés non dialogues nous n'y trouvons rien du tout. L'explication c'est qu'ils ont complètement oublié que nous étions là.

Cette impression d'émissions inutiles et qui prennent la place de ce qui pourrait si constructif – ne pouvait qu'obtenir un dénominateur commun. Tilt! ce sont les non réponses. Aux diverses questions "ouvrantes" sera juste claquée la porte au nez. "On dit que vous ne parlez plus d'écologie? ". Ramassez ça en pleine poire: "Nous ne parlons que d'écologie", au lieu d'ouvrir sur ce qui a mis cette question dans la tête de la personne à qui l'ont vient, ainsi, de supprimer définitivement l'autorisation de questionner. Questionner toujours, nous trouverons l'impolitesse anti-démocratique de ne pas vous répondre. Nos non-réponses participent de l'implicite et de la latence ("vous savez bien que"…donc inutile de nous interroger plus avant – à part que ce "vous savez bien que" participe d'une dérive autoritaire!)…Nous, nous entendons ne vous mêlez pas de "nos" affaires: ah bon! Nous avions cru ces affaires publiques autant que les débats (ceux- ci!) seraient publics. Nous participons, en direct, à la privatisation de la parole écologique par les ex- Verts. Nous venons de perdre le droit d'user de notre intelligence, de notre sens critique avec ses analyses méthodiques et ses synthèses globalisantes.

 

La grille des non-réponses devient extrêmement active. Tout y est si lisse que tout glisse dessus: la forte impression que nous perdons aussi le droit de vivre, puisque notre regard même semble déranger, rejoint l'émergence du nouveau concept. La non-réponse devient l'extériorisation d'un fonctionnement mental interne. C'est le clair refus de répondre à tout (rappelons que respons-able, c'est celui qui est "capable de répondre" – respons !). Tout s'y montre si poli qu'il ne vous renvoie plus que votre seul reflet. Enfermé dans la goutte de votre expulsion, l'impétrant vous projette sans cesse hors de son champ de parole. Toute question perd l'efficacité d'exister: traitée en scorie que l'on escamote, trop vite, en lui cinglant une non- réponse. A une autre question sur le (non la !) leader du moment, nous n'avons le droit qu'à un tir en touche psychologique (comme si c'était le genre de réponse à la taille des enjeux!). Sa ténacité psychologique deviendrait garante de la nécessité sociétale d'auto-restrictions. Puis, à ajouter quelques "dialectiques autistes" lorsqu'il sera abordé (si peu!) la décroissance: "nous mettrons en décroissance tout ce qui pollue et en croissance tout ce qui dépollue".Et toc! Symétrie rhétorique dont sont friandes les paresses mentales…

 

Voici – quelques faits, nous en extrayons l'époque. Nous avons subi (nous sommes le contraire de masos!) pas plus de 20 mn de cet enfer mental et nous en sommes encore trop imprégné(e)s. D'où la nécessité de nous purger…Le choc dominant fut l'omniprésente sensation d'être traité(e)s en importuns et en intrus. La base argumentaire devient de chasser les autres de son espace personnel. Personne à l'horizon, j'ai raison par non présence d'autrui. Plus aucun raisonnement, on ne présente plus ses arguments: on passe en force ! Ces émissions, médicalement dangereuses, forment une incitation permanente à ne plus participer au réel collectif et à exclure tout débat public du public. La privatisation de la parole surgit de la sensation qu'ils vous écrasent de leurs totales légitimités et de nos complètes illégitimités. Ce qui paraît "déplacé" de leur part, vu que "l'offre" politique complète est refusée par au moins 60% de la population adulte totale. Le très grand malaise de capter que, désormais, ils ne parleront plus que sous formes d'ordres, de slogans comminatoires, et de "double bind" catégoriques ; qu'ils ont déjà pété les plombs et perdus le respect intime de l'autre radical et de la possibilité démocratique des diversités – nous rend vraiment malades…Faut le faire: nous avons subi et, en plus, ça nous affecte à ce point…D'où ce libelle !

 

Nous cuit encore l'impression que nous venons d'assister à un psychodrame du retour plein pot de l'autoritarisme (aux souvenirs barbares de brutes inexpérimentées qui braillaient "ah bas les livres, plus de discussions on obéit c'est tout"…le total incompétent écrase le plus compétent…datant de siècles passés et toujours si présents !). Les êtres cités nous semblent bien surgir d'un autre monde, complètement inconscients de la réalité commune, des besoins réels de tous. Fonctionnant par déloyaux pilonnages "d'autorité" (user de son nom ou sa fonction pour empêcher l'intelligence et donc le débat de l'autre appartient bien à cette dérive barbaro-autoritaire !) ces anti-démocrates fonctionnels, emplis jusqu'aux yeux de leurs légitimités, sont- ils en train d'obtenir ceci ?

 

En ces quelques minutes, nos corps se sont mis à, fermement, les refuser comme des entités ennemies. Le rejet vital pour survivre ? Leurs légitimités intimes (savoirs convaincre les cœurs et les cerveaux) se sont émiettées à grande vitesse. Nos plongeons dans leurs fonctionnements réels nous ont empli d'un très grand malaise (au point de nous en rendre malades) – nous savons que nous conserverons cette épiphanie en nous. Ils ont perdu, définitivement, en notre intime, tout socle pour parler à notre place. Pour être notre parole déléguée. Nous ne reconnaissons plus rien de commun avec eux. Etc.

 

Nous supposons n'être pas les seul(e)s à capter l'époque telle qu'elle est. Des rejets intimes de tels comportements doivent être nombreux: pourquoi serions- nous une insulaire exception ? Nous projetant dans l'avenir (et demeurant des esprits totalement collectifs), nous nous disons juste que "leurs mains de propriétaires enserrant, si visiblement, les paroles publiques, peuvent très bien tout perdre parce que, justement, elles semblaient trop gagner". Et nous, trop exagérément, écrasé(e)s…

 

Lorsque vous ne pensez qu'à l'intérêt collectif (pas au vôtre!) il y a des attitudes qui tuent !!! Trop de victoire, alors, vous fait tout perdre en une seconde. Comme une soudaine évaporation…

 

(à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org,   onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir", onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou, encore, onglet 2  "Présent !",  onglet 1 "Remue ménage", onglet 4  "Nul n'est  nul",  "Où trouver encore du sérieux ? " ou bien, aussi,  "Je ne parle plus à qui a raison", enfin,  onglet 3  "Rien de plus solide que le solidaire" ou "Légalité de l'égalité".

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