in extenso l'extensible

Répit. Celui qui nous offre du véridique répit. A qui le répit qui vous sourit ? A cette immense majorité silencieuse, celle qui subit les pires adulescents et immatures irresponsables de l’époque. Tous ces faux politiques qui les insultent sans cesse,...

La « conscience phonologique » serait toute une succession hallucinée de mots abstraits, très en retraits, comme si nous étions carrément…séparés du langage. Comme si ce langage n’était pas nôtre, charnel, sensuel, sensitif, vibrant, aimant, ému, sonore,...

Que ce passé ne soit pas le futur ! Si, pendant ce temps, les pauvretés atteignent leurs plus extrêmes niveaux depuis… 10 ans ! Pas de pires…extrémistes donc que ceux qui provoquent, sans cesse, les pauvretés ? Puisque ce repli de la raison s’accompagne...

Parce qu’inacceptables Et pourquoi donc ? Parce qu’elles sont les pires ingérences dans les affaires Publiques. Et que, dans «l’intérêt général», ce public devrait s’ingérer dans les indignités privées. Nous allons démontrer tout ceci : Voici L’HORREUR...

La «culture» c’est l’émergence des actes de tout le monde. Ce n’est surtout pas une abstraction. Exemple ! Les SELs de monnaie locale avec les BLÉs - Bourses d’échanges locaux…qui pourraient nous sortir de la mouise en cas d’effondrement …économique !...

Ce que n’avaient pas prévu les lunatiques néolibéraux c’est que soit quitté et en masse leur système archaïque, d’ancien régime, de ruines poussiéreuses, sans allant et sans avenir. De jeunes diplômés de grandes écoles « ne veulent plus reconduire ce...

Vive le vivant. C’est écrit dedans : garder vivants ces vives. Vivaces et vivacités vont bras dessus bras dessous. Et qui vive aime vivre ! Nous le dit et dira. En commençant par quoi : par le grand orchestre des animaux. Oui bien avant que l’humain soit,...

Ne dites pas pilonner lâchement le RSA mais bien rétablir fermement l’ISF. .. Ne dites pas ultras riches mais TROP riches. C’est tellement plus facile à comprendre. Et à ressentir. .. Ne dites pas réPrivée mais bien réPublique. La laideur de la réPrivée...

En fait ce n’est pas de musique dont il est parlé. Le titre se fera comprendre plus loin. Alors de quoi est-il donc parlé ? Mais de la bourgeoisie en folie qui, au nom du dogme hyper répressif de «pas de fausses notes», édicte des centaines de règles...

Plus de citoyens (pourchassés) que de vils consommateurs (effondrés) - la ville smart (ni élégante ni intelligente) c’est partout des «mouchards» (tiens sur le réverbère là !)…et pourquoi ? Ben tiens, faut «optimiser les achats de ces consommateurs »....