Comment ce serait de reprendre les choses en main ? (1/2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Comment ce serait de reprendre les choses en main ? (1/2)

Quasiment tout des agissements économiques des dirigeants nous est connu. Il n’y a rien de reluisant ni d’irréversible. Même si aucun esprit sain ne peut comprendre pourquoi ils s’enfoncent dans toujours plus d’aberrations… C’est pour eux qu’il n’y a plus d’issue.

Ce qui compte, dans un contexte sans modèle ni précédent, ce sont nos réactions et comportements. Une fois pour toutes, nous n’avons pas à, nous occuper des argumentations des dirigeants – il n’y en a aucune. Les médias mercenaires déversent des casse-têtes (mais pas pour leur effondrement moral juste pour les êtres honnêtes) – là, rien non plus à écouter. Que l’information brute. Qui, une fois connue dans son plus simple appareil, doit être immédiatement contrée.…Démontée, déconstruite, défaite. Toutes ces décisions sont irresponsables et dangereuses pour la société : il faut donc protéger la société de ces prédations illégales fussent-elles de prétendues élites. Tout ce que font les dirigeants actuels sont des actes de « voyous ». Il faut donc les traiter comme tel en agissant avec eux juste par la ruse. Qu’ils ne sachent plus jamais rien d’utile.

Afin de comprendre comment tout ceci est réalisable – nous allons procéder en 2 temps :

I ) - D’abord toutes les preuves que « tout » ce qu’ils font aura toujours été plus qu‘illégal ? Ensuite toutes les solutions – voir comment en fin d’article.

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La réalité est, déjà, qu’en, tant que contribuable, vous payez des intérêts sur de l’argent qui n’a aucune existence réelle.

Ces intérêts doublement illégaux ? Les banques, en effet, ne prennent aucun « risque » - Le risque ? Ce qui établit « l’assiette » de l’intérêt, plus il y a de risques plus l’intérêt peut être élevé…ici zéro risque = zéro intérêt !!! Le fait qu’il n’y aurait aucun risque pour les banques aboutirait bien à ce qu’elles n’ont donc aucun droit légal à prélever des intérêts sur un argent (fictif en plus).

Prouvons qu’il n’y a aucun risque.

Extrayons, d’abord, les bons extraits (d’avoir été extraits ?)…« Le monde croule sous les dettes dont la plupart ne correspondent à aucune épargne ! Ce n’est l’argent de personne. Il s’agit simplement d’argent créé à partir de rien par des banques commerciales qui ont le privilège d’avoir une licence bancaire. Avec un euro de fonds propres, elles peuvent prêter 20 euros, 30 euros, 40 euros selon les réglementations auxquelles on les soumet et leurs propres calculs. »

« Le vocabulaire est distordu pour nous faire croire qu’on parle de « vrai » argent, mais il n’en est rien. L’accès au crédit est « confondu » avec le capital adossé à de l’épargne, les crises de solvabilité sont appelées crises de liquidité, etc. Les banques prêtent donc et demandent des intérêts proportionnels au risque de l’emprunteur ; mais cela n’a rien à voir avec leur propre risque qui est nul puisqu’elles prêtent…ce qu’elles fabriquent elles-mêmes sans aucun mal… »

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Ici, nous nous centrons sur l’intérêt et la loi. Le rapport risque et taux d’intérêt (1). Et, en contrôle intra-bancaire, les modalités de la détermination du taux d’intérêt (source : Comité de Bâle sur le contrôle bancaire) (2). Voir en fin d’article.

Ensuite, les conditions de rupture d’un contrat commercial (puisqu’il s’agit de banques commerciales) :

Loi NRE du 15 mai 2001 (Nouvelles Régulations Économiques)

En effet l’inexécution d’une obligation contractuelle donne droit au cocontractant de rompre ledit contrat. Vous serez donc fondé à demander la nullité ou la résiliation du contrat dans ce cas sans risquer d’engager votre responsabilité.

L'article L442-6 du code du commerce précise qu'en cas de force majeure ou d'événements extérieurs, la rupture contrat commercial peut être considérée comme recevable. (La loi une fois en vigueur se voit insérée, aussi, dans les différents Codes – d’où code de commerce)

Et le nœud gordien est bien dénoué.

L’ancien premier ministre M. Rocard a affirmé que les banques commerciales créaient de l’argent ex nihilo, à partir de rien. C’est le côté positif. Ensuite, il n’a plus été question que de frivoles irresponsabilités (nous aurions pu faire autrement mais nous ne l’avons pas fait !). Et la conclusion en devient entièrement irrecevable : mais…c’est comme ça [ où donc ?]…et nous devons payer.Politiquement, c’est faux !!!

Or, nous venons de vérifier que l’intérêt dépend du risque. Et qu’il est possible de rompre le contrat. Le nœud gordien ? L’effectibilité de la sortie du problème est simple (comme toutes les solutions – ce sont les problèmes qui sont tordus !!!). Il faut et il suffit de prouver que le capital de la dette publique est effectif et non créé à partir de rien. Ce qui résout, du même élan, la vérification que l’argent prêté peut surgir du néant…mais, du même coup, annule les intérêts si le capital n’est que fictif.

Les motifs de ruptures de contrats sont largement suffisants. Pour non respect unilatéral des clauses du contrat. Pour abus de dénomination des pratiques commerciales avec intention de spolier : appeler dette une création ex nihilo n’est pas possible. Tout autant que des intérêts pour strictement aucun risque. Non justifiables.

En République comme en démocratie c’est encore la décision politique qui l’emporte. Devant l’accumulation de preuves qu’il a été fait un usage abusif des licences bancaires de créations monétaires non adossées à l’intérêt général. Les livres de jurisprudences sont remplis d’exemples où les États ont annulé des licences précédemment accordés. Les précédents existent : le politique prime.

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Poursuivons ces extraits d’une pensée bien construite… « L’affaire était tellement mirifique pour les banques, que des milliards ont été donnés aux principaux dirigeants des pays européens pour que « leur » pays adhère à cette Constitution, même si les populations ayant pu donner leur avis par référendum, ont voté NON… »

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A l’origine , ce sont donc les politiques qui ont laissé miroiter la concupiscence des convoitises…Solutions ? Fermer les vannes…mettre autant d’interdits aux débordements de l’argent qu’il y en a actuellement contre les vrais citoyens. Qui n’ont eux nul besoin de telles réglementations. Et ne plus oser l’inadmissible nous aurions pu faire autrement mais nous ne l’avons pas fait !

OUI ? « Pour sauver le système financier (c’est-à-dire ceux auxquels des gouvernements avaient accordé une licence de création monétaire), les États se sont (fictivement) endettés. Ils ont choisi la dette car sinon il aurait fallu lever l’impôt en quantité tellement extraordinaire que les gens se seraient révoltés. La plupart des contribuables auraient refusé d’être taxés à seule fin de conserver leurs rentes à ceux qui touchent des intérêts sur de l’argent qui n’existe pas. Le recours à la dette publique permet d’esquiver le débat démocratique sur l’emploi de l’impôt et donc sa justification. »

« Aujourd’hui, le cumul de la dette publique montre à l’évidence qu’elle ne pourra jamais être remboursée, les contribuables n’en ont pas la capacité. [ceux qui se sont désassujettis, illégalement, de l’obligation de l’impôt – oui]. »

« Le cas particulier de la France…Cette dette publique correspond majoritairement à de l’argent qui n’existe pas car une partie est dans les banques et les banques centrales, majoritairement car il y a malgré tout de l’épargne là-dedans, notamment en France. Ce sont vos livrets A, vos assurances vie en euros et vos dépôts bancaires.
Ce cas particulier de la France explique pourquoi notre pays emprunte à un tarif si peu élevé comparé à celui des États-Unis. »

« En tant qu’individu, épargnant et contribuable, vous avez intérêt à placer votre épargne (le vrai argent) de façon à ce qu’il ne soit en aucun cas confondu avec le faux argent (celui qui est créé par les banques) et hors de portée de la taxe FMI. Vous avez intérêt à ne plus posséder aucune obligation (assurance-vie en euro, livrets A ou de votre banque)…, ainsi lorsque la révolte contre les intérêts injustifiés commencera, votre épargne sera moins en danger. »

Alors que le code de commerce certifie que c’est un droit légitime de quitter l’organisme commercial où nous sommes. Le respect du préavis est jute à remplir.

« Évidemment, l’establishment politico-financier ne va pas vous simplifier la vie…, il ne veut pas de révolte…pour l’éviter, il faut que vous restiez prisonniers du système financier. Le contenu de votre porte-monnaie est donc en passe de devenir illégal. La dernière grande idée évoquée par les autorités consiste à rendre le cash (les espèces) illégal.
Votre épargne liquide et vos revenus, obligatoirement parqués dans le système bancaire, seraient ainsi toujours prêts à être ponctionnés pour pouvoir payer ces intérêts indus. »

Nous voyons ici un monde à l’envers. Les dirigeants qui cherche, par tous les moyens, à CORROMPRE toute la société. A aboutir à une gangstérisation généralisée de la civilisation. A rendre illégales toutes les règles d’honnêteté, de probité, de respect, de confiance, de symétrie des contrats, de contentieux, oui de…Justice. Nous n’avons évidemment plus à écouter de telles déviances !!! Tout ce qui est excessif est insignifiant, avaient pour habitude de commenter dans les marges des notes à eux adressés, les hommes politiques. Aujourd’hui, ils ont plongé dans le tout excès !!! L’avidité envers l’argent est bien une maladie qui se soigne.

La technique de tout faire en douce devient une grave erreur politique – c’est le tout mensonger par omission permanente. Ne rien dire est un motif d’être « démissionné » de sa fonction politique. Le devoir tacite d’un élu c’est de rendre des comptes. De pouvoir expliquer les nécessités, pour l’intérêt général et le bien commun, de toutes les législations. C’est ainsi…

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Pour en finir avec la prétendue dette ? Extraits de nouveau…« En France, ce fardeau fictif pèse plus de 33.000 euros par habitant…, il serait plus juste de dire que chaque personne qui travaille doit 87.000 euros. Comment en sommes-nous arrivés là ? »

« La dette est avant tout de l’impôt qui n’a pas été levé, de l’impôt stocké, prêt à être levé. La dette est le cumul de budgets déséquilibrés depuis 1974. L’État dépense plus que ses recettes fiscales…, cependant, notre gouvernement arrive encore et toujours à emprunter à bon compte car nos créanciers étrangers savent que « la réserve d’épargne personnelle des Français » couvre le passif national ; la France (au contraire de la Grèce) est forte d’une armée de fonctionnaires dévolue à la noble mission de faire rentrer les impôts ! »

« Pourquoi jusqu’à présent nos gouvernements ont-ils préféré le déficit à lever des impôts ? Parce que pour taxer, il aurait fallu débattre, convaincre du bien-fondé de telle ou telle dépense : êtes-vous d’accord pour offrir pour le statut d’intermittent du spectacle aux artistes ? Pas sûr si le dernier spectacle de votre maison de la culture vous a assoupi après 20 minutes.
Êtes-vous d’accord pour payer la retraite à 50 ans aux cheminots (personnel roulant) alors que votre boulanger qui fait de l’excellent pain ne la prendra qu’à 62 ans (en admettant qu’il y ait suffisamment de nouveaux entrants pour lui payer sa rente) ? Souhaitez-vous vraiment aider les chauffeurs de taxis face à la “concurrence sauvage” des véhicules avec chauffeur ? Peut-être pas si vous avez attendu 45 minutes sous la pluie la dernière fois que vous avez eu besoin d’un taxi et, qu’une fois dans la voiture, les odeurs du berger allemand mouillé (pour la sécurité) et de la boule de parfum pendue au rétroviseur vous ont donné la nausée. »

« Une discussion parlementaire révèlerait finalement que telle ou telle dépense n’a d’autre but que de favoriser tel ou tel lobby dont le mérite principal est le nombre de voix qu’il peut apporter au gouvernement en place. Politiquement, il est donc bien plus sage d’esquiver le débat et de recourir en douce au déficit financé par l’emprunt. »

Nous verrons, en second lieu (2), toutes les solutions qui existent. Et sont très occultées par les trop tapageurs médias mercenaires (on ne se demande plus pourquoi)…preuve, à l’avance, de leur efficacité à ces solutions…

Un dernier point cependant. Comment tant d’aberrations ont pu s’insinuer dans la société ? La faute des beaufs !!! C’est du moins, l’avis du rédacteur de ce que nous avons extraits les extraits. Et qui, pour cela, mérite d’être cité…

« J’en viens maintenant à une autre information qui va vous passer au dessus de la tête, en effet 95% des gens sont des beaufs-crétins lobotomisés, incapables de discernement…, d’ailleurs ces mêmes restent persuadés que toute dette doit être remboursée, que l’argent est une valeur sûre, que la révolte des Grecs va ruiner la France … et blablabla… »

(…) « Post-scriptum : que « ceussent » qui n’y comprennent rien…, qui continuent de croire aux « vérités » établies…, qui s’abreuvent des racontars audio-visuels des merdias « aux ordres »…, qui persistent à croire que l’Amérique est un Grand pays qui est venu nous « sauver » en 1944…, qui vont revoter Sarkozy ou Hollande… … et qui ne savent pas lire plus de 10 lignes…, aillent se faire f… » (Gatsby Magazine)

En très grande partie, il semble devenu évident que -

…..c’est de la faute de leur « ignorance » obstinée si nous en sommes arrivés là !!!

http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=903&cat=ataraxie

(suite : au prochain post)

(1)

https://books.google.es/books?id=Pbl7v77EtBAC&pg=PA51&lpg=PA51&dq=interet+analyse+des+risques&source=bl&ots=S8HGmHT5fA&sig=VWF9YYJKl6LkziqjPA5dq_r4OCU&hl=es&sa=X&ved=0CF0Q6AEwCGoVChMI3JmL3KGyxwIVRlwaCh01RQBY#v=onepage&q=interet%20analyse%20des%20risques&f=false

gestion des risques de taux d’intérêt et de change

(2)

http://www.bis.org/publ/bcbs29afr.pdf

principes pour la gestion du risque du taux d’intérêt (source : Comité de Bâle sur le contrôle bancaire)

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et"L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

ce qui est logiquement impossible puisque c'est de faire payer le riche qui est le plus lucratif - à moins que tout ne soit que déguisement - le riche crée les déficits, vit dessus, les agrandit et exige leur remboursement tout en ne payant plus d'impôts...

ce qui est logiquement impossible puisque c'est de faire payer le riche qui est le plus lucratif - à moins que tout ne soit que déguisement - le riche crée les déficits, vit dessus, les agrandit et exige leur remboursement tout en ne payant plus d'impôts...

qui ne peuvent effectivement pas exister - nouvel ovni lancé afin d'habituer à ce que la fiction financière supplante la réalité - pas cette fois-ci.

En fait, les banques centrales qui essaient de fixer des taux trop négatifs pour ruiner les populations, craignent que les gens iront se réfugier dans le cash

poser un autre regard sur ces non évidences.

dixit

comment le terrorisme intellectuel des illégaux financiers n'existe plus...

Publié dans economie et politique

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