Écolo plus ou écolo moins ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Écolo plus ou écolo moins ?

Actuellement, l’écologie de terrain est bien prise en main par une foule d’initiatives individuelles n’attendant plus rien des pouvoirs. Le regroupement mental et affectif de tous ces élans nous fait prendre tant conscience que ce sont plutôt eux que les institutions qui sauveront la Terre. Soit l’écolo plus face à l’écolo moins : tant nous vérifions que les mêmes institutions tant mondiales, européennes ou nationales prennent des décisions déplorables. Tant elles nuisent à la Terre et à la survie des humains. Afin de le prouver très simplement – nous n’avons qu’à piocher dans l’actualité afin de trouver des exemples très frappants venant des deux côtés. La conclusion risque d’être que ce n’est pas les citoyen-ne-s lambda qui doivent CHANGER mais bien ces mastodontes bornés, arriérés et fermés à toute discussion rationnelle. La société peut avoir absolument tort et une partie de sa population absolument raison. Cela s’est déjà vu et se voit ici…encore !

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« Notre nouveau président, Emmanuel Macron, et son ministre de la transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, présentent l’énergie renouvelable comme une thématique « transversale », donc prioritaire, pour l’avenir du système énergétique français. Ils envisagent notamment de réduire de 50 % la part du nucléaire d’ici à 2025.

La-décentralisation-est-la-clé-pour-révolutionner-le-système-énergétique-français

Le sujet de l’énergie a pourtant été très peu évoqué au cours de la campagne présidentielle. Or, cet avenir ne verra le jour qu’en misant sur la dynamique collaborative, qui déjà dessine les contours de l’économie de demain, et en surmontant des résistances historiques : les hésitations d’EDF face aux sources alternatives et l’allégeance traditionnelle des politiques aux grandes entreprises du secteur énergétique. »

Et comme nous le disons, sans cesse, la France devenu mastodonte hyper centralisé, ne peut plus se mouvoir sainement. La décentralisation des enjeux et des méthodes demeure la solution… « La décentralisation est la clé pour révolutionner le système énergétique français. Nous devons privilégier le fonctionnement collaboratif en réseau, à travers, entre autres, des centrales de production de toutes tailles et du peer to peer. EDF a manqué l’opportunité de se positionner dès l’année 2000 sur ce modèle, et de s’affirmer en tant qu’expert du démantèlement des sites nucléaires au niveau mondial, ce pour deux raisons.

Une raison stratégique : en tant que producteur d’énergie habitué à la forte rentabilité d’un modèle de production centralisé, il lui était difficile de se tourner vers les bouleversements à venir sans embrasser une vision à long terme. Or, il est loin le temps où des dirigeants – tels que Roger Gaspard ou Marcel Boiteux – restaient plus de quinze ans à la tête de l’entreprise. Depuis 1998, la moyenne est passée à cinq ans. Plus difficile dans ce cas de ne pas privilégier le court terme.

Une raison culturelle, aussi : le nucléaire a longtemps été présenté, dans toutes nos écoles et par toutes nos élites énergétiques, comme « LA » solution par définition. Et ce sans débat. EDF doit rectifier le tir [[et pas les humains de terrain]]. Dans un pays « trop » centralisé ces nouvelles données véritablement raisonnables passeront-elles ? Toutes les initiatives individuelles, en tout cas, vont en ce sens


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Les porteurs de projets avancent, aussi, vers les grands regroupements salubres. Les bureaucraties n’initient rien du tout. Mais, parfois, ne font pas obstacles à l’intelligence…Ici, un projet qui fait sortir du nucléaire ! « Le 23 mars 2017 se signait à Bruxelles un premier pas vers le futur de la production d’énergie verte : le lancement de la construction d’une île artificielle créatrice d’énergie en pleine mer du Nord.

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Les engagements dans le cadre de la COP21 ont été signés et les objectifs européens ont été définis : l’effort dans la production et l’utilisation des énergies renouvelables doivent être considérables. C’est alors un projet audacieux que les gestionnaires de réseaux électriques TenneT (Pays-Bas, Allemagne) et Energinet (Danemark) ont proposé à la Commission Européenne. Le North Sea Wind Power est une plateforme de 6 kilomètres carré qui sera mise sur pied au niveau du grand banc de sable de Dogger Bank (17 600 km2) entre les côtes anglaises (100 km) et les côtes danoises (150 km). Ce banc est un emplacement idéal étant donné sa forte exposition au vent et ses fonds marins peu profonds qui simplifieront l’ancrage des éoliennes et divers équipements. En effet, cette île se verra recouverte de panneaux solaires et entourée de 7 000 éoliennes, ce dispositif devrait fournir une puissance électrique de 70 000 à 100 000 mégawatts. Cette production d’énergie durable permettra de fournir via des câbles sous-marins entre 70 et 100 millions d’habitants de 6 pays signataires : le Royaume-Uni, le Danemark, l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas et la Norvège. » Comme ce sont des porteurs de projets à l’écoute des demandes collectives – ils ont éloigné ces productions massives d’éoliennes loin des nuisances apportées aux populations. La décentralisation c’est l’écoute !

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Dans toutes les difficultés, massivement provoquées, par les financiers mondiaux qui ne savent vraiment pas vivre et les prétendus dirigeants qui ne s’occupent plus que des franges marginales de l société – il fallait changer l’axe de l’éductaion. Apprendre le vivre ensemble (ce que ne font surtout pas les dominants toujours plus détraqués) est le chemin équilibré afin d’apprendre, d’assimiler et d’intégrer dans un ensemble cohérent, toutes les disciplines intellectuelles. Pourquoi toutes les connaissances ? Afin de faire connaissance !

« Comme le préconise sagement Edgar Morin, il s’agit aujourd’hui d’enseigner à vivre tout autant qu’enseigner les seules matières académiques. C’est fort de cet enseignement, que Muriel Fifils a lancé son école primaire alternative en 2013 dans la Drôme. Caminando, c’est le doux nom que porte une école primaire laïque et privée située dans la Drôme sur la commune de Menglon depuis 2013. [[et nous en avions déjà parlé dans ce blog]] Muriel Fifils, fondatrice et directrice de l’école a voulu mettre sur pied une école qui pousse les élèves au même niveau académique que les enseignements classiques mais qui leur apprend à vivre tout simplement. La vingtaine d’enfants qui ont la chance d’étudier entre le CP et le CM2 bénéficient d’une éducation riche en valeurs et basée sur l’environnement et l’Autre avec un grand A. À l’origine de cette école originale, Muriel Fifils a constaté en inscrivant ses enfants à l’école primaire, qu’ils suivaient les mêmes cours qu’elle il y a 40 ans : drôle d’idée lorsque le monde observe des écarts de plus en plus grands entre chaque année. La mondialisation, la facilité de voyage et le progrès technologiques dessinent encore les nouveaux contours de notre société. Muriel a voulu enseigner aux jeunes enfants le respect de l’environnement, indispensable à la survie de notre planète, la communication non-violente, outil pertinent pour l’acceptation et la compréhension d’un monde hétérogène, le vivre-ensemble, capital pour une société harmonieuse et ouverte d’esprit ainsi que l’empathie.

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Le bon rythme est celui de chacun : Seulement, ces enfants bénéficient de bien plus qu’un simple bagage académique : deux fois par semaine, ils prennent soin d’un potager qui leur fournit des légumes BIO pour la cantine. Si le potager est collectif, chacun a droit de s’occuper de sa petite parcelle et apprend à en être responsable. Ils apprennent à respecter le rythme de la nature, à pailler les plantations l’hiver et les arroser l’été, à respecter la biodiversité et à découvrir les animaux qui en font partie. Aux abords de la petite école, Muriel Fifils a trouvé un superbe support pédagogique : la rivière. Regorgeant d’insectes et attirant les oiseaux, les enfants apprennent à observer la nature, pieds dans l’eau dans le cadre de leur cours « sciences expérimentales ».

Le savoir-vivre : matière principale : Au-delà des matières et des cours, c’est la structure toute entière de l’école qui repose sur des valeurs fondamentales telles que le partage, la participation, la vie en communauté et l’implication. Les élèves sont responsables de la logistique telle que le ménage, la vaisselle ou les fournitures de classe, ils produisent même leur propre pain ! Pourrait-on imaginer dans ces conditions une quelconque dégradation de l’école ou du gâchis de leur propre production ? » Véridiquement vérifié, les « communs », les propriétés collectives sont infiniment plus respectés que la propriété séparée individuelle : puisque tout le monde y a intérêt et s’en ressent valorisé.

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« La FNAB, fédération nationale de l’agriculture biologique, craint que le manque de budget en matière de subvention aux exploitations agricoles biologiques ne paralyse la vague de conversions qui s’est initiée depuis 2016. En effet, malgré un intérêt grandissant de la part des agriculteurs français pour l’agriculture biologique, les ressources de la PAC et les budgets nationaux s’épuisent.

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L’agriculture bio contre la crise : Depuis le début de l’année 2017 l’Agence française pour le Développement et la Promotion de l’Agriculture Biologique (Agence « Bio ») enregistre plus de vingt conversions à l’agriculture biologique par jour. Ces dernières concernent désormais plus de 16% des surfaces agricoles exploitées. La conversion à une production entièrement biologique apparait en effet comme un moyen efficace de lutter contre la crise grâce à une demande grandissante pour ce type de produits.

L’adéquation entre les politiques agricoles, notamment à l’échelle européenne, et les réalités de l’agriculture biologique est sérieusement mise en cause par la FNAB. En effet, sans aides versées aux agriculteurs, les nombreuses intentions de transition ne pourront jamais être satisfaites. [[exiger une transition énergétique sans l’accompagner d’une transition alimentaire semble tout à fait aberrant]]. Le niveau des aides est critique et les fonds européens Feader (fonds européens gérés par les régions) sont déjà épuisés depuis fin 2015. Ce sera alors aux régions elles-mêmes et aux agences nationales de débloquer les fonds nécessaires au développement des exploitations agricoles biologiques. Cette situation induirait ainsi un développement différencié de l’agriculture biologique sur le territoire national et provoquerait une compétition entre les exploitations biologiques des différentes régions françaises. »

Ces-ultimes-terres-agricoles-qui-résistent-encore-à-la-bétonisation

« Ils cultivent du blé, du colza, du thym, vivent au rythme des saisons, se plient aux caprices de la nature. Mais leur horizon, c’est les avions, l’autoroute et Leroy-Merlin. Au nord-est de Paris, 700 hectares ont miraculeusement échappé à un demi-siècle de bétonisation. [[Mais la folie qui n’entend rien et ne voit rien et « croit », dans son âge d’obscurité, que l’argent est plus « vrai » que la vie – va encore casser l’essentiel, qui n’est certainement pas l’immaturité des profits faits n’importe comment ! Et donc ?]]..Dernier projet nocif en date : EuropaCity. Ce gigantesque centre commercial et de loisirs signera-t-il la fin du grenier à blé parisien ? Le Collectif pour le Triangle de Gonesse refuse de s’y résoudre et organise le 21 mai un grand rassemblement à l’endroit où les travaux sont censés débuter dans quelques mois.

L’OVNI EuropaCity : Sur cette parcelle située au milieu du Triangle de Gonesse au nord-est de Paris – une nouvelle gare de métro et de RER doit voir le jour. Pas n’importe laquelle : celle où est censée affluer, en 2024, une partie des 31 millions de visiteurs – deux fois plus que Disneyland Paris – attendus chaque année à EuropaCity. A la fois centre commercial et parc de loisirs, EuropaCity est un concept « unique au monde », s’enorgueillit son promoteur Immochan, filiale du groupe Auchan. Autour de cet espace aux allures futuristes graviteront un quartier d’affaires et des hôtels. Présenté comme un modèle d’architecture « écoresponsable », le projet de 3,1 milliards d’euros s’inscrit dans un vaste plan d’aménagement du Triangle de Gonesse porté par le Grand Paris. Un plan qui détruirait au total 280 hectares de terres parmi les plus fertiles d’Ile-de-France.

Immochan assure vouloir « concilier projet urbain et agricole ». Une « ferme urbaine » de 7 hectares est prévue. Et un « carré agricole » de 400 hectares formant la partie nord du Triangle de Gonesse doit également être sanctuarisé. C’est-à-dire réservé à l’agriculture pour les trente années à venir. De la poudre aux yeux, selon Jacques Proix. « La ferme urbaine ? C’est le cirque ! », lâche-t-il d’un ton sarcastique. « Il va y avoir des rambardes, tu vas être au milieu et on va te regarder travailler. Moi, je ne suis pas un clown ! » Quant au carré agricole sur lequel l’agriculteur possède également des parcelles, « il appartient en bonne partie à Axa. Ils peuvent nous dire de partir à tout moment ».

EuropaCity n’est que le prolongement d’un phénomène d’urbanisation vieux comme le béton. Mais ce projet aux dimensions inédites interpelle aussi par le choix du site : Gonesse et ses environs sont déjà saturés en centres commerciaux. » Et….économiquement, les centres commerciaux perdent beaucoup de terrain, ils ne sont plus rentables. Ils ne semblent plus faire partie d’un avenir, qui, lui, est plus décentralisé. Mais face à qui ne veut rien savoir…et qui l’est d’autant plus, qu’il se montrer aveuglé à s’acharner que « ceux du bas » sont toujours arriérés et n’y comprennent rien – ce pourquoi ces arrogants « ignorants » nous conduisent, sans cesse, dans le mur. Eux, en tout cas, très difficile de les …raisonner. Seul point très positif : la saturation des faux arguments pour…tout bétonner se retourne, désormais, contre qui les utilise.

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En intermédiaire – entre l’éconologie plus (l’économie de l’écologie) et l’éconologie moins – la dialectique même qui pourrait bien tourner. Soit devenir une écologie très positive, tout dépendant de l »usage qui en est fait ! Comme ceci… « Vous avez cumulé des formations en économie, biologie, sociologie, philosophie et sciences cognitives. Pourquoi cet éclectisme ?

Nicolas Baumard. - Les modèles économiques standards, que j’ai appris au début de mes études, donnent une vision simplifiée [[euphémisme pour simpliste, inadaptée, trop sommaire et vraiment hors réel]] du comportement humain. L’hypothèse d’un individu rationnel et égoïste permet de modéliser de façon [[trop]] simple les comportements sur le marché – et encore, pas tous. Mais, dès que l’on sort des rapports de marché, il faut une vision plus complexe pour comprendre le réel. [[ce qui ne semble pas intéresser les financiers complètement aliénés dans leur monde minuscule – qui se « prouve » par le fait que ce sont les seuls professionnels qui, jamais, ne s’informent sur absolument aucun autre domaine intellectuel. Aucune demande d’information jamais : ils demeurent, dangereusement, en vase clos !]].

Il ne suffit pas pour autant de dire que les individus sont généreux et coopératifs. Il faut une théorie pour expliquer pourquoi on est parfois égoïste, parfois généreux. Ma recherche part de la philosophie, plus précisément de la théorie de la justice de John Rawls. Les humains sont une espèce morale extrêmement coopérative, cela de façon innée, et non parce que nous serions façonnés par des institutions ou des cultures. Toutes nos ressources étant obtenues par des interactions, nous avons intérêt à être généreux avec les autres pour qu’ils coopèrent avec nous.

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Les biologistes, par exemple Richard Dawkins, travaillent sur l’hypothèse que la sélection naturelle a plutôt bénéficié à ceux qui étaient les plus généreux ; le darwinisme, contrairement à ce qu’on dit, n’est pas la loi du plus fort ! On peut alors modéliser les conditions dans lesquelles être altruiste est un comportement gagnant.

Quelles conclusions pratiques en tirer ? Par exemple, on peut penser que les gens sont prêts à payer leurs impôts non pas parce qu’on les menace d’une amende s’ils ne les paient pas, mais parce qu’ils estiment que le système fiscal est juste. C’est ce qu’on appelle la « coopération conditionnelle ». Si vous êtes trop généreux, on vous exploite ; si vous n’êtes pas généreux du tout, on ne coopère pas avec vous. C’est donc le sentiment d’équité et de confiance... » …Toutes les véritables recherches scientifiques prennent donc le contrepied des délires toxiques des cupides de l’argent sale, des spéculateurs irresponsables et autres boursiers inconscients du mal collectif qu’ils font. Si autant d’esprit brillants tournent le dos aux lobbies en lubies, pourquoi pas les politiques ? Vont –ils rester les derniers grands…arriérés ?

Le-développement-du-commerce-est-il-facteur-de-paix ?

« Un des arguments les plus souvent avancés pour justifier le marché commun européen, est que le développement du commerce est facteur de paix. La polémique sur cette question est très ancienne. Montesquieu et Platon en dissertaient déjà. Ses partisans donnent deux arguments en faveur de cette thèse : l’un, psychologique, l’autre, sociologique.

Selon le premier, que rappelle l’économiste américain Albert Hirshman (1915-2012) dans The Passions and the Interests, le commerce a offert aux hommes un déversoir pour leur énergie et leur agressivité qui, autrement, n’aurait trouvé d’issue que dans l’activité militaire. Cette proposition indique une possibilité seulement ; elle ne reflète pas toute la réalité historique. Historiquement, l’essor moderne du commerce n’a pas encouragé uniquement des sentiments de fraternité (comme ceux que mettent en avant les publicités de Coca-Cola ou de Benetton).

Colonisation, ruine, racisme : Son essor – avec le sucre, le tabac et le coton – est étroitement lié à l’explosion de la traite négrière, au vol des terres qui a accompagné la colonisation, à la ruine des artisans en Chine et en l’Inde, au racisme et à de nombreux massacres de populations, etc.

Comme le dit Montesquieu (1689-1755), dans De l’esprit des lois : « Les peuples d’Europe ayant exterminé ceux de l’Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l’Afrique, pour s’en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l’on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves » (Livre XV, ch. V).

Un autre non-dit dans cette thèse bien trop simpliste et hypocrite, est que le commerce est loin d’être la seule activité qui détourne de la guerre. Dans son livre The Rationale of Reward, le philosophe britannique Jeremy Bentham (1748-1832) attribuait la même vertu pacificatrice aux sciences, à la poésie, la musique et aux beaux-arts. » D’autant plus que Fernand Braudel insistait bien sur la vérité que le commerce lorsqu’il a trop de pouvoir devient le pire ferment antisocial de la destruction de la civilisation. Le commerce n’est pas fait pour mener la société, la diriger. Plutôt pour suivre les pionniers…Mais – limité donc par la politique et la morale – à n’occuper que le tiers (1/3) des activités humaines, il demeure salubre. Au-delà, il peut tourner au poison barbare. Actuellement, nous en serions au 2/3 (deux tiers) « d’occupation » irresponsable de la société par le commerce sans projet commun. Et nous voyons les dégâts massifs : trop d’emprise du commerce de puérilités est une des causes principales des catastrophes actuelles. A nous de LIMITER le commerce, de le ramener dans sa position salubre. Et nous aurons plus d’écologie et d’éconologie positives que l’inverse !

Ces-ultimes-terres-agricoles-qui-résistent-encore-à-la-bétonisation

La face positive est que les bios résistent à la bétonisation insensée du monde (béton= mort !) et que nos regards apprennent, enfin, à se détourner des grands projets poudre aux yeux et se concentrent sur l’essentiel et le primordial : les terres fertiles valent plus que tout l’or du monde. Ceci est le véritable Réalisme …tourner le dos aux terres fertiles doit vous retirer des mains toute gestion de l’argent des autres !

>>>>> ---- ECOLO MOINS

« Bonne nouvelle sur le papier, la mise en application récente de la loi dite « Sapin 2 » sur la transparence du processus parlementaire est une déception pour les ONG luttant pour la transparence. Dans sa version définitive, la loi a en effet été largement édulcorée, sous la pression probable des mêmes lobbies qu’elle cherche à encadrer.

Le 10 mai dernier est entrée en application, par la publication d’un décret, la loi anticorruption dite « loi Sapin 2 ». Votée en novembre 2016, cette loi avait pour objectif d’éclairer les citoyens sur les coulisses de l’élaboration de la législation, et notamment sur l’influence précise des « représentants d’intérêt » [[et des déclarations d’intérêts et leurs « conflits » qui peuvent, pourtant, rendre inéligibles – quel chaos, vrai ici, plus d’intérêts chez les politiques et ils votent….pour favoriser, abusivement, des cupidités ennemies de l’intérêt général]] – autre nom, plus politiquement incorrect, des lobbyistes et leur lubies irrecevables – sur les parlementaires, conseillers ministériels et autres hauts fonctionnaires à l’origine des lois.

Loi-pour-réglementer-lobbies-passée-pendant-les-présidentielles

Sur le papier, le projet de loi promettait une avancée majeure dans le décryptage de l’appareil législatif, avec un suivi précis des rencontres entre lobbyistes et fonctionnaires, le tout chapeauté par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Malheureusement, en pratique, l’efficacité du texte dépend largement des conditions d’application du principe de transparence : l’idée d’un registre des actions des lobbies est bonne, mais il faut que ce registre soit suffisamment précis (date, « cible », contenu, budget des interventions) pour ne pas être une simple liste des « représentant d’intérêt » ayant leurs entrées dans les hautes administrations.

C’est là que le bât blesse. Entre l’adoption de la loi et sa promulgation, de nombreux amendements ont été passés, qui l’ont largement édulcorée. Selon Mediapart, une forte pression des lobbies eux-mêmes (notamment du Medef et de l’Afep, l’association française des entreprises privées) serait responsable de cet allégement. Dans les mois qui ont séparé l’adoption et le décret d’application de la loi, ces puissances privées auraient combattu pied à pied le détail de son application, au nom du « secret des affaires » et de la « liberté d’entreprendre ». C’est donc en invoquant la crainte de voir leurs activités révélées via ce registre à la concurrence que les intérêts privés, vrais émeutiers, combattent la loi. [[selon l’image de Lepage ce sont comme si les délinquants exigeaient la révision du Code Civil parce qu’il ne leur est pas…favorable. Quelle posture définitivement RIDICULE que celle du lobby qui est contre la loi, toutes les lois !]]

Cette position a d’ailleurs été validée en principe par le Conseil Constitutionnel, saisi en décembre dernier par le Premier ministre, et dont la décision a conditionné les modifications de la loi : l’avis de l’autorité suprême était en effet que le texte devait être « conforme à la liberté d’entreprendre », en ne contraignant les lobbyistes à déclarer que les « données d’ensemble ».

« Il fallait au moins rendre publics les noms des parlementaires. Il y a une différence, pour un lobbyiste, entre obtenir un rendez-vous avec un député lambda ou avec le rapporteur d’un projet de loi ». En effet, la mouture finale de la loi ne définit qu’un cadre très général pour la communication des actions des lobbyistes, et manque cruellement de précisions sur des points essentiels. Quatre insuffisances, notamment, se font sentir …(…) Des exemples à l’étranger : Pourtant, comme le fait remarquer dans son communiqué la HATVP, la constitution d’un registre précis et efficace, sans mettre en danger le secret des affaires, est possible. Elle en veut pour preuve les systèmes en vigueur dans les démocraties voisines : ainsi, en Irlande et au Canada, les registres requièrent le nom de la personne visée par l’action des lobbies ; ces derniers ont aussi l’obligation, dans ces deux pays comme aux Etats-Unis, de donner la date – ou au moins le trimestre concerné – de la communication entre le responsable politique et la personne physique au compte du lobby. Ces exemples, espérons-le, sauront inspirer le nouveau président et son gouvernement dans leur projet de moralisation de la vie politique. » Les chochotes françaises ne pourraient pads le faire ? Le point est, pourtant, simple : que les lobbies en lubies se sentent toujours en terres étrangères, non pas « chez elles, plus que les élus, et elles font ce qu’elles veulent sans ne s’occuper que de leurs caprices …mais bien barrées, repoussées aux limites des lois de la réPublique (et pas réPrivée….), celle de l’intérêt général qu’elles ne veulent que – frauduleusement – bafouer.

Le-nombre-d'insectes-a-baissé-de-78-%-depuis-1989

« Un club d'entomologistes allemands a mesuré scientifiquement les insectes dans une réserve naturelle située au nord-ouest de l'Allemagne de 1989 à 2013. Elle a ainsi constaté une baisse de leur nombre de 78% en 24 ans. Les résultats de leur recherche ont été publiés dans "Science", indique mardi Natuurpunt (homologue flamand de Natagora). » Plus toutes les autres baisses précédant ces 24 ans…la protection de la biodiversité est plus urgente que les caprices des lobbies. Ne pas le comprendre devient UNE FAUTE POLITIQUE GRAVE. La loi Sapin 2 est bien un dramatique fiasco des politiques ne respectant pas les lois qu’ils prétendent faire voter.

Greenpeace-procès-lutte-contre-déforestation-se-voit-réclamer-200-millions-deuros/

« Greenpeace est actuellement en procès aux Etats-Unis contre la société canadienne d’exploitation forestière « Résolu ». Cette dernière réclame la somme astronomique de 200 millions euros à la célèbre ONG et pourrait bien mettre un grand coup de frein à l’activité de l’association si la justice lui donnait raison. La destruction de la forêt boréale canadienne : un enjeu écologique majeur [[les profits si peu mérités d’une entreprise PAS UN ENJEU MAJEUR !]] Les forêts canadiennes représentent un enjeu clé pour la préservation de la biodiversité [[et pas les profits égoïstes et sans issue]]: un certain nombre d’espèces en voie de disparition sont menacées par les agissements de Résolu, qui continue à exploiter les forêts de manière trop intensive. [[la raison et la pondération ne sont pas chez ces frénétiques si incapables de …s’autoréguler. « Tout ce qui est excessif est insignifiant », clarifiait Talleyrand. De telles entreprises deviennent donc insignifiantes !

Ce procès contre Greenpeace représente une attaque contre tous les défenseurs de la biodiversité et la cause environnementale. Greenpeace a fait savoir sur son site web qu’il « ne s’agit pas simplement d’une attaque contre Greenpeace, mais aussi envers les personnes à travers le monde qui soutiennent financièrement nos campagnes, assurant ainsi notre indépendance vis-à-vis des gouvernements et des entreprises; envers les personnes qui agissent en ligne en partageant nos appels à l’action ; envers les activistes qui risquent leur liberté pour dénoncer les atteintes à l’environnement ; et envers les bénévoles qui s’organisent partout dans le monde pour faire connaître nos campagnes ».

Un procès inédit : Si l’association est habituée des campagnes de communication très frontales et conflictuelles avec les grands groupes, la stratégie juridique adoptée par la société Résolu est pour le moins étonnante. En effet, ces derniers invoquent les lois américaines destinées à la lutte contre le crime organisé et la mafia [[on dirait bien que cette entreprise se décrit elle-même…d’ailleurs le capitalisme financier depuis 2008 a été démasqué comme une immense escroquerie montée par des parasites qui vivent sur l’argent des autres…les « ententes illicites », selon les termes de la loi, soudent ces parasites en mafias !]] : c’est en effet le fonctionnement entier de Greenpeace – et de ses campagnes médiatiques – qui est remis en cause. La stratégie très offensive de Résolu apparaît comme une véritable tentative d’intimidation, une « poursuite-bâillon » qui aurait pour objectif de faire taire tous ses contradicteurs. » Ils risquent, par leur si ridicules maladresses, d’obtenir exactement l’effet inverse. Que ce soit eux qui obtiennent la démonstration que ces entreprises, si ennemies de l’intérêt général, n’agissent qu’en tant que…marginaux de la société !

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Ces-normes-pensées-pour-l'élevage-industriel-et-qui-détruisent-le-monde-paysan

« Ces normes pensées pour l’élevage industriel et qui détruisent le monde paysanC’est une bataille peu médiatisée qui se déroule dans les campagnes. Face au risque d’un nouvel épisode de grippe aviaire, l’administration a sorti l’artillerie lourde à travers des mesures de biosécurité s’appliquant, de la même manière et quelle que soit leur taille, à tous les élevages de volailles. Plutôt que de questionner la densité des élevages, ou le rôle du transport d’animaux vivants dans la diffusion du virus, les élevages en plein air sont les plus affectés. Du Vaucluse au Calvados, en passant par la Drôme, des éleveurs, vétérinaires et consommateurs se mobilisent pour défendre l’élevage fermier face au modèle industriel. » Si complètement irréaliste !

Depuis que l’ECHA (Agence Européenne des Produits Chimiques) a annoncé en mars [[décidemment tous ces lâches frauduleux se dissimulent dans les élections pour faire passer l’inacceptable ]] qu’elle ne classait pas le glyphosate, principe actif du Roundup parmi les agents cancérogènes, l’entrebâillement de la brèche a été exploité par les industriels afin qu’ils puissent relancer la machine pour 10 ans supplémentaires. [[tout en étant si insoucieux de la santé des humains !]]

Les-industriels-repoussent-l'interdiction-du-glyphosate-dans-10-ans

C’est le 15 mars 2017 qu’était tombé le verdict : « Le comité d’évaluation des risques (CCR) a conclu que les preuves scientifiques disponibles ne répondaient pas aux critères de classement du glyphosate comme cancérogène, mutagène ou toxique pour la reproduction ». [[dans l’autre sens pout autoriser une molécule dangereuse pour la communauté humaine ils se montrent…mille fois moins sourcilleux – ce qui entache cette décision du soupçon de non probité !]]… Après des mois de batailles contre Monsanto et son pesticide toxique, les 60 ONG accompagnant Générations Futures, le porteur de projet contre le glyphosate, ainsi que les victimes directes tombent des nues. Chaque tentacule coupé du monstre semble repousser en double ; l’influence de Monsanto et des lobbies industriels de l’agrochimie ont poussé à la réouverture du dossier concernant le prolongement de l’autorisation du glyphosate pour 10 ans. Le 16 mai, la Commission européenne a relancé la procédure, le texte sera donc soumis au vote des Etats membres.

Prise de position des eurodéputés : Contrairement à l’ECHA, le Centre International de Recherche sur le Cancer de l’OMS a classé, timidement pourtant, le glyphosate comme probablement cancérogène pour l’Homme. Les eurodéputés socialistes français Eric Andrieu et belge Marc Tarabella expliquent ne pas vouloir porter atteinte aux agences européennes telles que l’ECHA mais de souligner « l’exacte vérité dans la conduite des études ». Leur groupe proposera une question orale concernant le glyphosate et les Monsanto papers ainsi qu’une demande de débat à la Commission (12 juin) avant de mener une audition rassemblant les différentes commissions de l’Environnement et de l’Agriculture du Parlement européen. Afin de faire peser leur avis, ce rassemblement est indispensable pour faire barrage en cas de prise de décision de réintroduire l’autorisation par la Commission Européenne :

En effet, les voilà forcés de prévoir un plan B pour court-circuiter la décision de leur propre institution. De l’autre côté, les défenseurs de cette nouvelle autorisation se cachent derrière les mêmes arguments « Même si le glyphosate suscite des inquiétudes, il n’y a pas d’alternative économiquement viable et garantissant la protection de la santé humaine à proposer aux agriculteurs. Il est donc urgent de réfléchir à moyen et à long terme à la meilleure solution et ne pas s’en tenir à une simple opposition de principe. L’Union européenne doit débloquer des moyens financiers pour développer la recherche et l’innovation [[surtout très indépendante des lobbies]] afin de trouver des alternatives » a expliqué l’eurodéputé Angélique Delahaye du Parti populaire européen, membre de la commission de l’Environnement (Démocrates-Chrétiens).

Lorsqu’on regarde le nombre d’alternatives qui ont été enterrées, rejetées, mises de côté pour ne pas faire de l’ombre aux produits de l’agrochimie traditionnelle, l’hypocrisie ne…se cache plus. Le glyphosate est le principe actif du Round Up, responsable de la pollution de la terre, de l’eau, de l’affaiblissement des sols, de la destruction de la biodiversité, il rampe jusque dans nos assiettes, provoque ainsi des cancers et tue, à petit ou à grand feu, les agriculteurs français et du monde entier : ce ne sont plus des suppositions, ce sont des faits avérés, testés, étudiés et prouvés !

La Commission européenne a décidé de se la jouer solo et se dédouane de toute responsabilité vis à vis des industriels, notamment Monsanto, en expliquant que « Chaque Etat membre garde le droit d’autoriser ou non l’utilisation de pesticides à base de glyphosate sur son territoire ». De son côté, l’ONG Générations Futures, trop souvent abusée, s’est indignée de cette nouvelle décision qui « fait fi de l’initiative citoyenne européenne (ICE) qui a déjà recueilli 750.000 signatures en 4 mois demandant l’interdiction du glyphosate (…) »

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Simplement, en allant voir toute l’actualité nous avons rencontré 2 grandes séries de comportements. D’abord, ces humains qui, individuellement, en groupes ou en portant de grands projets font ce que les pouvoirs ne font plus – protéger très concrètement la nature. Il y a même une école qui ose que son programme principal c’est…d’apprendre à vivre. Particulièrement, en respectant partout la nature. Une île dédiée à l’énergie, tout ne nuisant pas à ses voisins humains puisqu’il n’y en a pas, alimenterait 70 à 100 millions d’humains. Ce qui est une alternative lucide au nucléaire. D’autres luttent intelligemment contre la bétonisation du monde. Etc. Leur font face les grands arriérés barbares de la société (les multinationales unidimensionnelles, les institutions sourdes et aveugles ou les lobbies et leurs lubies loufoques, etc.). Ceux-ci font beaucoup de mal à la biodiversité (moins 78 % en 24 ans) et à…l’intérêt général (nos impôts pour réparer « leurs » dégâts !)…Ainsi, ces lâches cupides, se drapant des élections, ont, en mars, avril et ce 10 mai, « fait » voter une loi favorable aux lobbies. Alors que d’autres pays ont réussi à leur imposer des limites très rationnelles. Le round up de Monsanto aurait pu passer pour 10 ans encore si le Parlement européen n’avait pas bien réagi. L’administration environnementale, face aux élevages de poules, détruisent les élevages sains des paysans locaux en leur imposant les…règles de la grande industrie. Échecs garantis. Greenpeace et sa lutte contre la déforestation se voit mise en procès « pour être mafieuse ». Ce qui se retourne contre les déforestateurs et leurs «ententes illicites », selon la loi, qui signent bien des méthodes… mafieuses, etc.

Bref, nous en concluons que les pouvoirs agissent toujours plus mal, ne respectent plus les lois communes et augmentent leurs destructions irrationnelles – pendant que de nombreux humains reprennent, concrètement les choses en main – et sauvent physiquement la Nature !

……………………Ces faits ne peuvent plus rester méconnus !

 

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

la méthode à employer....

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Écolo plus ou écolo moins ?
vivre ensemble en actes...

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le béton c'est la mort

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Depuis que l’ECHA (Agence Européenne des Produits Chimiques) a annoncé en mars qu’elle ne classait pas le glyphosate, principe actif du Roundup parmi les agents cancérogènes, l’entrebâillement de la brèche a été exploité par les industriels afin qu’ils puissent relancer la machine pour 10 ans supplémentaires.

Depuis que l’ECHA (Agence Européenne des Produits Chimiques) a annoncé en mars qu’elle ne classait pas le glyphosate, principe actif du Roundup parmi les agents cancérogènes, l’entrebâillement de la brèche a été exploité par les industriels afin qu’ils puissent relancer la machine pour 10 ans supplémentaires.

une bande de sauvages est-elle passée par là – arbres brutalement écrasés ? Pressés de tout détruire pour faire des…bénéfices : la manière même condamne une telle gloutonnerie anticivilisée

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vote loi Sapin 2 très pro lobbies....alors qu'elle ne devait pas l'être.

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Écolo plus ou écolo moins ?
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Un projt très mal pensé qui ne fera que détruire plus la nature...

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