Devoir emprunter pour utiliser notre propre argent ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Devoir emprunter pour utiliser notre propre argent ?

Lorsque le système bancaire privé se voir accusé ? Oui lorsque nous devons emprunter afin d’utiliser notre propre argent ! Cette fragrante absurdité saute aux yeux de tout le monde. Elle est pourtant la base du si illégal système bancaire privé. Tous les malheurs de ce temps ne viennent que de la PRIVATISATION de l’argent.

Ainsi la dette n’est que de l’argent créé à partir de rien – concrètement, tangiblement, palpablement, il n’y a pas de dettes puisque aucun argent réel n’est sorti de la banque sur sa banquette. Le roi est nu et la plupart des humains nie et dénie cette nudité. Renier que l’argent est issu de rien, créé sur le seul papier, c’est refuser la réalité telle qu’elle est. Qui est pourtant : tous les gouvernements devraient créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Ce qui est tellement évident – qu’il faut faire exprès pour ne pas le comprendre. Qu’un gouvernement doive emprunter pour utiliser son propre argent en devient une vraie monstruosité. Visitons ce domaine qui aura profané toutes les plus hautes valeurs humaines et profanons, à notre tour, ces incroyables irrationalités si ennemies de…l‘intérêt général !

 

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Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.

Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre (1880-1941) (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque 1920).

« Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncheraient. »
George H. W. Bush, Président des États-Unis, 1992.
« S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent. »
Marriner S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed.
Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents.
Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques en 1988.
Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts.
Rothschild Brothers of London.
Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.[[grave erreur - la Bolivie vient de le prouver : tout Etat peut retrouver sa souveraineté monétaire par une…loi…et ces paroles juste…dissuasives se retrouvent noyées dans un océan de bon sens…la prospérité est collective et la richesse si solitairement égoïste ! ]].
M.A. Rothschild (1744-1812).
« Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire). »
M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939.
Les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde.
Henry Makow, Ecrivain Canadien né en 1949.

 

http://www.imagiter.fr/2017/05/un-état-des-lieux-du-pouvoir-des-banques.html

Depuis, les investisseurs préfèrent miser sur les banques présentes sur tous les métiers, aussi bien la banque d’investissement que celle de détail. Un choix, qui garantit des revenus plus modestes mais aussi plus réguliers. Oui, désormais, il ya une faille qui grandit dans le privé de l’argent détenu illégalement…heureusement, qu’ils ne s’en aperçoivent pas !

Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite (sic) intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés.
David Rockefeller, Commission Trilatérale, 1991.
Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.
Napoléon Bonaparte, Empereur Français (1769-1821).
Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite (sic) de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.
James A. Garfield, Président des États-Unis, assassiné (1831-1881).
Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège (sic) de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité.
Abraham Lincoln, Président des États-Unis, assassiné (1809-1865).
Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile… Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.
William Lyon Mackenzie King, Ex-premier ministre du Canada (1874-1950).
« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants. »
Woodrow Wilson, président des Etats-Unis, 1913-1921.
« Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas. »
Irving Fisher, économiste et auteur.
Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi.
Charles A. Lindbergh (1902-1974).
Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué.
Wright Patman, Membre démocrate du Congrès US, de 1928 à 1976, Président du comité de la Banque et de la Monnaie de 1963 à 1975.

 

http://www.imagiter.fr/2017/04/Libérons-les-économies-des-marchés-eux-mêmes-3.html

Tout se fissure du côté des pouvoirs. Faut dire que leurs historiettes sont exagérément cousues de fils blancs. La bataille des mots et des concepts les laisse vraiment sur le côté. Ils ne sont plus dans le coup. C’est que nous pouvons véritablement nous passer de leur organisation antisociale qui ne signe que leurs…parasitisme. Leur économie n’en est pas une, mais une forme de mendicité indigne qui aura corrompu le Droit et obtenu des privilèges tous plus illégaux les uns que les autres. Jusqu’à ce que les populations se grattent et fassent tomber ces pique-assiettes si dépendants (…sans aucune autonomie).

« Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté. »
Encyclopædia Britannica, 14ème Edition.

 

http://www.imagiter.fr/2017/04/plus-les-riches-sont-riches-moins-la-croissance-est-forte.html

Avec de nombreux liens qui démontrent à quel point le privé monopolisateur est extrêmement nocif pour tous les pays

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>>>>> -  ACTIONNAIRES :

« Ses opposants ne manqueront pas de le lui rappeler, à l'image du militant Insoumis Jean-François Ruffin. L'ex banquier Emmanuel Macron est-il autre chose que le candidat de la finance [[privée – d’où viennent tous les malheurs de ce temps !]] et des actionnaires ? Ce 26 avril, il devra le prouver à Amiens face aux salariés du l'usine Whirlpool, en grève pour dénoncer sa délocalisation en Pologne alors que les dividendes des actionnaires viennent d'augmenter.

Emmanuel-macron-est-il-vraiment-le-candidat-rêvé-des-actionnaires ?

Mais son programme est-il si favorable aux actionnaires? "Son objectif est de réorienter l'épargne des Français vers l'économie, il est indéniable qu'il y a des gestes envers les actionnaires", explique l'économiste Philippe Crevel, de Lorello Ecodata. Mais l'ampleur des mesures annoncées est loin de transformer entreprises et salariés en buffet gratuit pour financiers.

"Même Mélenchon avait prévu de baisser l'impôts sur les PME" : La principale mesure vise à réduire l'impôt sur les sociétés, le taux de prélèvement sur les bénéfices, de 33% à 25%. Cela reviendrait à s'aligner sur la moyenne européenne, alors que le nôtre fait partie des plus élevés.

"Même Mélenchon avait prévu de le baisser pour les PME. Il y avait une grande unanimité des candidats sur ce sujet", rappelle Philippe Crevel. Comme Marine Le Pen, qui veut le réduire à 24% pour les PME uniquement. Plus de bénéfices, donc plus d'argent pour les actionnaires? Ce n'est pas automatique. "Il ne faut pas que l'entreprise se vide au profit de l'actionnaire, assure l'investisseur Daniel Gerino, de Carlton Selection. Actionnaires, salariés, investissement... Il faut trouver le bon équilibre ou cela ne fonctionne pas." [[il s’agit de rappeler que la France, en 2016, a détenu le catastrophique record mondial de verser 2,6 fois plus de dividendes que d’investissements. Ce qui est brûler les vrais avoirs par des improductifs qui agissent, alors, comme des razzieurs irresponsables !]]

Deuxième mesure forte, la mise en place d'un prélèvement unique sur les "revenus du capital" de 30%. "Cette 'flat tax' n'est pas si avantageuse qu'on le dit, elle a été conçue pour être simple et neutre", précise Philippe Crevel.

Dividendes moins taxés pour les riches [[aberration : alors qu’ils le sont déjà si peu …taxés…***voir en fin de partie…]], assurances vies plus taxées

http://www.imagiter.fr/2017/03/Le-capitalisme-serait-désormais-financé-par-l'argent-public.html

Pour encourager les investissements, Macron veut rendre le système plus lisible [[ ?]], surtout depuis l'étranger. D'où une taxe unique. Mais pour les détenteurs d'actions, ce ne sera pas forcément un avantage pour l'imposition des dividendes.

Aujourd'hui, seuls 60% [[désinformation – fake news *** voir plus bas !***]] des dividendes sont assujettis à l'impôt sur le revenu. Un contribuable dans la tranche la plus élevée en versera 45% au fisc au titre de l'impôt, plus 15% de prélèvements sociaux. Soit, tout compris, 36% de la somme de départ.

Avec son taux unique de 30%, le projet Macron sera avantageux pour les gros portefeuilles boursiers, sauf si les 15% de prélèvements sociaux doivent encore s'ajouter. On passerait alors à 45% au lieu de 36%.

En revanche, cette "flat tax" sera défavorable aux détenteurs de contrats d'assurance-vie dépassant 150.000 euros. Ils passeraient de 23 à 30% de prélèvement, sachant que ce produit d'épargne est très prisé des gros patrimoines. Là encore, il s'agit d'encourager l'investissement dans les entreprises.

Enfin, la réduction de l'impôt sur la fortune aux biens immobiliers, en excluant [[si absurdement]] les biens mobiliers comme aujourd'hui (actions, parts d'entreprises, biens professionnels) profiterait forcément aux entrepreneurs et aux actionnaires. »

http://www.imagiter.fr/2017/01/lorsque-les-dividendes-tuent-l'avenir.html

Très grave MENSONGE : *** seul 15 % des dividendes sont assujettis à l’impôt… «selon les travaux de Camille Landais, Thomas Piketty et Emmanuel Saez, moins de 15 % des revenus financiers se retrouvent dans la base d’imposition. » (soit la partie des dividendes versés par les entreprises qui repart dans les caisses de l’Etat : moins de 15 %). Et donc 85 % ne sont pas, illégitimement, fiscalisés. Seuls les dividendes déclarés sont taxés. Cette double spoliation des pays devient donc une accusation directe contre les dividendes. 1- Vols des investissements et des justes rémunérations dues au travail. 2 – non paiement des fiscalités légalement dues. ». Les vils fraudeurs sont toujours du même côté ; et en paroles et en actions. Seul fait neuf : ils sont désormais ACCUSÉS.

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Comment ? Nous venons de percevoir la catastrophe qu’est l’argent privatisé, après avoir compris les mécanismes des inégalités - la corrélation entre inégalités et volontés de maintenir le système dans son état actuel par la violence est définitivement prouvée. La violence vient des riches qui ne veulent entendre raison sur rien. Et ce, parce qu’ils ne se sentent ni légaux ni légitimes sur rien, les riches augmentent leurs violences sur tout. Ce qui aide à aggraver les inégalités et ainsi de suite…sans issue dans le système. Sauf à accuser les vrais émeutiers, les fauteurs de trouble et les dangereux ennemis de la société…qui se trouvent tous en haut de la société. Et la médecine (l’égalité c’est meilleur pour la santé de tout le monde), et les sciences humaines et sociales (l’inégalité restreint la prospérité collective et rend la société toujours plus dangereusement conflictuelle) complètent la pensée économique saine (la monnaie ne doit plus jamais être privatisée – c’est un droit incessible de la souveraineté des états, oui un droit régalien, que donc seul l’état peut exercer)…. Il va donc falloir que les riches quittent leurs lubies si infondées.

http://www.imagiter.fr/2017/05/Comment-les-riches-créent-la-violence-dans-la-société.html

>>>>> - Effets concrets de la financiarisation de l'économie ? Ah que l’argent illégalement privatisé n’aime pas les FAITS. Lui qui ne peut vivre que dans les fake news (que les médias d’argent sale vont, amèrement, regretter d’avoir introduit ce concept Cheval de Troie - qui peut se retourner puissamment contre eux – le centre de toutes les vraies fake news, donc de la désinformation en acte, demeure les médias d’argent. Nous ont-ils dit un seul mot…de vrai sur la privatisation illégale de l’argent ? Jamais – pas un seul…)… Oui, effets concrets de la financiarisation de l'économie dans les faits ? Voyons déjà cette vidéo !

70-la-financiarisation-de-l'économie-est-uncash-misère

15 % pour les entreprises :

Le mécanisme est : d’abord, sur 1 $ récupère 0 $ 30. Puis, après 1980, récupère 1 $ 09 et encore 1 $ 94. 46 000 milliards $ de financiarisation sont ainsi auto-créés par de « faux bénéfices », ce qui permet de racheter ses propres actions (buy back).

Le comble de l’artificialisation qui ne crée de l’argent que sur le papier ou dans les pixels informatiques et le fait ressurgir comme…tangible ? 83 % des salaires des patrons sont des actions …Mais la réalité reprend ces droits : toutes ces manigances sordides…n’entrent que pour 9 % dans l’économie RÉELLE

Montrer-la-dette-pour-cacher-les-....dividendes

Vidéo-problématique-sociale-psychologie-du-libéralisme-et-décroissance

Le-syndrome-d'hypnose-capitaliste

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L’argent rend pauvre ? Et QUI rend-il pauvre ?

« Les États-Unis doivent au monde 453 000 tonnes d’or, soit près de trois fois la quantité d’or produite au cours de l’histoire.

Tandis que les observateurs du marché s’inquiètent de ce que fera la Fed ou du sort de l’Obamacare, personne ne semble voir que les États-Unis se dirigent vers la ruine totale en accumulant des déficits budgétaires depuis un-demi siècle et des déficits commerciaux depuis 40 ans. [[ces donneurs de leçons n’en suivent, à l’évidence aucune ]]. L’économie américaine semble marcher sur l’eau, et cette opinion est alimentée par des observateurs chevronnés comme Ambrose Evans-Pritchard, du Telegraph. Dans un récent article, il utilise des données sélectives pour démontrer que "le déclin stratégique des États-Unis est un mythe".

Les-Usa-doivent-au-monde-453-000-tonnes-d'or-soit-prés-de-3x-la-quantité-d'or-produite-au-cours-de-l'histoire

Encore un journaliste qui tombe dans le panneau des statistiques manipulées et va dans la mauvaise direction. Par exemple, le fait que les Américains achètent un nombre considérable de voitures neuves dont ils n’ont pas besoin n'est pas le signe d’une économie forte. Surtout qu’ils le font à l’aide de prêts subventionnés, ce qui engendre de mauvaises créances qui ne seront jamais remboursées. Les déficits, la baisse des salaires, un taux réel de chômage de 23% et la chute du PIB réel ne sont cependant pas des mythes.

LE DOLLAR A PERDU 80% DEPUIS 1999 : Il n’y a qu’une chose qui puisse expliquer que les États-Unis aient pu vivre au-dessus de leurs moyens pendant plus de 50 ans : leur dollar, faible, est la devise de réserve internationale. Mais comment le monde peut-il faire confiance à une devise de réserve basée sur une création illimitée de dette [[et ils osent même stigmatiser les dettes des autres pays ?]] et d’impression monétaire ? Depuis que Nixon a aboli l’adossement du dollar à l’or le 15 août 1971, la devise américaine a entamé une longue glissade. Mesuré au franc suisse, par exemple, le dollar a perdu 71% depuis 1971. Contre la seule monnaie qui ait survécu dans l’histoire et qui représente un pouvoir d’achat stable, c'est-à-dire l’or, le dollar a décliné de 80%. [[les U.S.A ne survivent donc qu’en cachant tout et en donnant surtout de fausses informations. Les fake news dont ils (et leurs tristes inféodés européens) osent accuser, frauduleusement, les analystes désintéressés et indépendants) – ce sont eux et encore eux ! Nous comprenons désormais pourquoi…]].

L’Américain moyen n’a aucune idée de ce qu’il arrive à sa monnaie, vu qu’il ne voyage pas hors de son pays. Il ne réalise pas combien les prix montent chaque année, surtout que les chiffres officiels de l’inflation n’ont rien à voir avec l’inflation réelle.[[fake comportement]]. La seule raison pour laquelle le dollar tient toujours debout est qu’il est utilisé comme devise pour les transactions commerciales, et surtout pour le pétrole. Au début des années 1970, les États-Unis se sont entendus avec l’Arabie saoudite qui était, à l’époque, le plus grand producteur pétrolier, et de loin. En échange d’armes américaines et de protection, l’Arabie saoudite a accepté de vendre son pétrole en dollars US, ce qui signifiait que le monde entier échangerait le pétrole en dollars US. Ce fut le début du pétrodollar. Il existe toujours, mais ce n’est qu’une question de temps avant que de nombreux pays ne commencent à échanger le pétrole dans leurs propres devises. C’est déjà le cas de la Russie, la Chine et l’Iran, par exemple.[[d’où les sempiternelles campagnes de diffamations étasuniennes à leur égard…doublement délinquante donc !]]

CELA FAIT 44 ANS QUE LES ÉTATS-UNIS DÉPENSENT DE L’ARGENT QU’ILS N’ONT PAS : Regardons les conséquences d’une "monnaie adossée sur rien d'autre que la dette et l’impression monétaire". Jusqu’à 1970, les États-Unis enregistraient un solide excédent commercial annuel. Puis, à cause d'un ralentissement de l'économie et d'une escalade des coûts pour la Guerre du Vietnam, le dollar se mit à chuter. Le président français, Charles de Gaulle, avait pointé depuis longtemps les problèmes économiques des États-Unis et avait exigé que les dettes du pays soient payées en or. L’adossement du dollar à l’or par les États-Unis signifiait que tout pays souverain pouvait demander des paiements en or. Mais Nixon a réalisé que l’or des États-Unis pourrait disparaître rapidement et a donc abandonné le système de Bretton Woods, qui était en place depuis 1944. Ainsi, les États-Unis ne régleraient plus leurs dettes souveraines en or, mais en dollars qui se déprécient.

Depuis ce sombre jour d’août 1971, les États-Unis ont entamé un déclin continu avec des dettes grandissantes, une devise qui s’effondre, et un niveau de vie qui n’est plus basé sur la créativité, mais sur le crédit. Laissez-moi vous montrer la preuve la plus évidente que les États-Unis sont en faillite. Depuis 1970, les États-Unis ont enregistré un déficit commercial chaque année, sauf en 1972 et 1974. Cela a engendré un déficit cumulatif de 20 000 milliards $, sur vingt ans, jusqu’à 1999. Les choses ont ensuite explosé. Entre 1999 et 2017, le déficit commercial cumulatif a été de 12 000 milliards $.

Très peu de gens réalisent ce que 12 000 milliards $ de déficit signifie réellement. Alors revenons à l’or. Dans un monde honnête avec de la monnaie honnête [[ ce que l’illégal argent privatisé a cessé d’être depuis si longtemps…]] les dettes se règlent avec de la monnaie véritable. Une monnaie véritable n’est pas imprimée à souhait, mais elle représente la valeur de biens et de services. Disons que la population américaine travaille durant un mois et produit 1 500 milliards $ de biens et de services… si, en même temps, le gouvernement presse un bouton pour produire en une milliseconde la même quantité de monnaie, cette monnaie ne vaut, bien sûr, absolument rien, vu que le gouvernement n’a pas réellement livré de biens ou de services. C’est pourquoi les États-Unis et le reste du monde sont en sursis.

Intéressons-nous aux conséquences d’un système monétaire sain, où les dettes se règlent avec de la monnaie véritable. Le déficit commercial a débuté son escalade en 1999, au même moment où l’or connaissait son bas, à 250 $ l’once. Il est bien plus facile de comprendre le déficit commercial de 12 000 milliards $ si on le mesure en or. Parce que, jusqu’en 1971, ce déficit devait être réglé en or. Le prix moyen de l’or depuis 1999 est de 819 $ l’once : 12 000 milliards $, à 819 $ l’once, équivaut à 453 000 tonnes d’or.

LES DÉTENTEURS DE DOLLARS AMÉRICAINS OU DE BONS DU TRÉSOR VONT TOUT PERDRE : Les États-Unis détiennent prétendument 8 000 tonnes d’or, mais la quantité réelle est probablement inférieure à la moitié. On estime à 170 000 tonnes l’or produit durant toute l’histoire. Si les États-Unis devaient régler leurs folles dépenses [[et ils osent accuser les autres de dépenses nécessaires !]] dans le monde avec de l’or, ils auraient besoin de 2,7 fois tout l’or jamais produit. À la place, le gouvernement américain a concocté une méthode bien plus pratique : il n’a qu’à imprimer des morceaux de papier sans valeur, qu’il s’agisse de billets de banque ou de bons du Trésor, et à appeler cela de la monnaie. C'est un système de Ponzi, une fraude. Tous ceux qui détiennent des dollars ou des bons du Trésor auront entre les mains des morceaux de papier sans valeur, parce que c’est ainsi que toutes les systèmes de Ponzi se terminent. Cette issue est garantie à l'avance pour notre soi-disant système monétaire actuel. Les gouvernements, les banques centrales et les banquiers ont, par leurs actions, détruit l’économie mondiale des cent dernières années. [[ce sont les grands accusés qui n’ont certainement gagné nulle part !]] Les gens n’en sont pas du tout conscients, parce qu’ils ne comprennent pas que leur automobile ou leur iPhone est le fruit d’un système de Ponzi, plutôt que d’un véritable travail. [[le travail du banquier n’existe pas…il est si « sommaire » que le mot travail ne peut s’y poser nulle part]].

Donc, ce n’est pas une question de si, mais de quand cela se terminera. Les déclencheurs seront probablement le dollar et le marché des obligations, surtout celles à long terme. Les bons du Trésor à dix ans ont atteint leur bas en juillet dernier et sont maintenant dans une forte tendance à la hausse qui atteindra au moins les 13-19%, comme dans les années 1970 et début 1980. Il est encore plus probable que la dette gouvernementale américaine devienne sans valeur, et les rendements infinis.

Le dollar est dans une tendance baissière depuis le début des années 1970. Il a repris un peu de force ces dernières années, mais il semble maintenant que cette correction à la hausse soit terminée et que nous observerons une forte tendance baissière au cours de 2017. » Voici ce que les désinformations ne disent pas…tentant juste de continuer sa vile vie de parasité sur…l’argent des autres. De vous ou nous. Oui, ils vivent sur notre dos, en nous insultant sans cesse.

……………………..Grattons-nous et ces parasites tomberont tous..

 

................(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

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par une loi nous pouvons abolir l'absurdité....

un réel homme d'état..rien en lui qsui soit...privatisé, donc rendu antipublic, anti réPublique.....

Le Franc CFA et l'Euro contre la souveraineté monétaire de l'Afrique…et donc ? La France c’est toujours vil paternalisme et colonialisme. Oui l’argent de l’Afrique est la …propriété de la France – rien que cela.

pas si énigmatique que cela…la preuve !

coup d’état 2017 ?

Publié dans grandes engueulades

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