Le système prisonnier de lui-même ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le système prisonnier de lui-même ?

Si le système est un système enfermé dans ses propres mécanismes, engoncé dans ses fonctionnements et si déterminé par la pesanteur de ses rouages. Et, nous, libres de tous nos mouvements ? Pouvant le détricoter ici et là ailleurs, tout à la fois. Assujettis à aucune lourdeur et « enchaînement » systémique. Ne lui accordant aucune chance, au système : ce que nous décrivons depuis si longtemps en le nommant « la décentralisation des enjeux ». Et ? Nous n’avons absolument pas à nous occuper du système juste à le démanteler…Des libertaires sans nulle imagination s’usent à dire à bas les pouvoirs, mais sans jamais préciser comment. Facile pourtant – décentraliser tous les jeux ET enjeux. Ce qui aboutit bien à ce que ce système étiré et distendu dans tous les sens ne puisse plus. Ne puisse, systématisé de son propre systématisme, qu’à s’emberlificoter lui-même, à se prendre les pieds dans les tapis qu’il aura tendu, tapis, là lui-même. A se prendre pour des lanternes alors que ce sont des ballons à la traînasse – à ne plus se reconnaitre lui-même. Et à tomber, de par ses propres affolements, de son trop de poids et casseroles, de ses trop de paranos et passéismes comme de ses propres surévaluations de ses vrais moyens dans la toile d’araignée qu’il aura seul tissé. Oui tissé tout seul. Plus moyens avec les moyens, plus ils sont grands plus ils se gênent et s’auto-annihilent. Tous ses potentiels de libérations ce sont nous qui les avons ! Libérons toutes les libérations

Le système on s’en fout – comment y mettre fin tout de suite nous importe seul ! La lutte c’est de paraître ne toucher à rien mais de changer les lignes porteuses, de paraître ne rien attaquer mais de semer des pièges désirants aux carrefours stratégiques, oui d’encercler, d’envelopper les petitesses sordides de ce qui ose se nomment pouvoir, grandeur, impérial, souveraineté privée jamais à la hauteur de leurs délires. C’est là toute notre force dont il reste étrange qu’une partie des contestataires ne prenne jamais pleine conscience : en tout nous avons l’initiative vraie. La guerre culturelle de Gramsci peut basculer en un jour : il n‘ont que la mince barrière de leurs fausses actualités ininterrompues à opposer. Fausses actualités si aisées à contourner – suffit de ne jamais entrer dans leurs illogismes pour corrompre. Rester en mouvement (la force de mouvements tels N.R.V.) ne peut que surprendre les positions figées dans leurs bêtises crasses. Oui ? A chaque fois que le système parle de lui il s’affaiblit encore. Son fond lamentable est qu’il appauvrit tout le monde surtout lorsqu’il prétend nous enrichir et s’enrichir : le bilan des vies intérieures est un déficit vertigineux. Le vide complet qui fait perdre sa vie et le sens de sa vie. L’essentiel de l’essentiel demeure insolemment gratuit. La partie matérielle de nos vies (il faut bien de l’argent pour manger, disent les sinistres) n’est que 20 % du vécu (donc tout le monde n’est pas «dans la consommation» – puisque pour les 80 % de restant, nous ne confions strictement rien à ce système de bestiale bêtise ! C’est ailleurs que sont les grandes qualités – nous vivons à plus de 80 % SANS ce système de hautes puérilités !) ! Ceci se nomme vivre HORS du système. Un peu que c’est possible, même très recommandé…

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Labyrinthe-de-Longleats     (Longleat Hedge Maze )/ Angleterre

Ces marquiquis à la minuscule sandale veulent semer la confusion entre antiSystème et Hors système (la même qu’athée et entièrement hors toute religion)…Disons que nul.le ne peut se prétendre « hors système » s’il/elle s’en montrent tout ligotés, englués, assujettis de ses mécanismes. Si dépendants et si impliqués. Que, seuls, qui se prouvent libre de toutes ses initiatives (oui de « ses mouvements » donc NRV comme mouvement libre de son mouvement !), qui se sont complètement décentralisés, prêt.e.s à tout mouvement du mouvement, à toute réalisation sans leader d’action. Qui avancent non enchaîné.e.s à des ambitions persos (le but reste massivement d’abolir le…système rance – il n’y pas de sous-but possible !) se dansent visiblement hors-système. Pas de pompe, de fausses solennités, pas de lourdeurs ridicules de faire semblant. Ce qui désocle du jeu, ce n’est pas un jeu et les enjeux apparents ne servent qu’à troubler, désorienter, emmêler, désorganiser, dérouter, éparpiller les tenants du système (surtout les ahuris qui tentent de se faire croire antiSystème !). Il n’y plus de jeux que « dans » les mécanismes de l’émancipation générale (nous n’avons plus besoin d’eux et nous le prouvons se passe d’oreille à oreille). Il n’y a plus de jeu…de mot, que des mots justes et justement dits. Plus que des expressions heureuses et bonheureusement bien déstabilisantes ! Il n’y a plus de com’ que des masques absurdes qui tombent. Que la position des dispositions, la position de la composition inconnue. Et les position des propositions, des transpositions, des dépositions, des interpositions, des juxtapositions, des prédispositions  et superpositions. Toutes ces positions, toutes et positions des oppositions ! Tant de décentralisations organisant un gigantesque ensemble qui fait tout en même temps. Et tout à la fois. Cet argus aux milles bras sans leader d’action en devient plus qu’insaisissable, plus que non identifiable, plus qu’imprévisible. C’est quoi le système ? Tout ce que nous pouvons attraper, saisir, maintenir, deviner, identifier et coincer dans toutes ses prévisibilités de lourdes bottes ! Un plouc toujours arriéré, le lourd !

Nous avons les avantages de toutes les initiatives, ils sont toujours plus limités à demeurer en postions de défenses…nous pouvons virevolter dans tout ce qui restera toujours imprévisible. Oui ? « Mais d’où vient le mot système ? A quoi correspond-il ? La pensée unique l’irrigue-t-il ? Auteur du Moment populiste chez Pierre Guillaume de Roux, Alain de Benoist (AdB) répond dans un entretien accordé dans Monde et Vie de mars 2017 (p. 8-9). Polémia :

« On parle aujourd’hui beaucoup du « Système ». Mais d’où vient ce mot et qui l’a employé le premier dans un sens politique ? AdB - Historiquement, on pourrait faire remonter l’usage politique du terme à 1719-1720, lorsque les quatre frères Pâris mirent un terme au « système de Law », c’est-à-dire au « système » imaginé par le financier d’origine écossaise John Law visant à remplacer, pour faciliter le commerce, les espèces métalliques par du papier-monnaie. L’événement fut assez marquant pour que Littré, dans son dictionnaire, définisse encore l’ «antisystème» comme un « système financier opposé au système financier de Law ». A une date plus récente, il faut signaler que, sous la République de Weimar, les nationalistes allemands dénonçaient volontiers le Systemzeit (le « temps du Système ») et qu’ils s’en prenaient aussi aux « politiciens du Système », à la « presse du Système », aux « partis du Système », etc. Cet usage polémique a probablement servi d’exemple ailleurs (…). J’ai cependant le souvenir que, dans ma jeunesse, c’est-à-dire dans les années 1960, le mot « Système » était encore rarement employé : on parlait plutôt de « Régime », et l’on qualifiait ses défenseurs de « régimistes » ! Dans les années 1970, les termes « système » et « antisystème » commencent à se répandre dans le discours public. Le parti communiste en fait déjà usage à cette époque. Mais c’est surtout au tournant de ce siècle que l’emploi du terme se généralise. Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon l’utilisent aujourd’hui constamment. Philippe Poutou, candidat du NPA à l’élection présidentielle, se présente comme le « seul vrai candidat antisystème »…Même si le slogan des Indignés espagnols : « Je ne suis pas antisystème, le système est anti-moi ! », [[rigole de ces enfantillages]].

Mais que doit-on comprendre exactement sous ce mot de « Système » ? AdB - Un système se définit, de façon assez classique, comme un ensemble d’éléments interagissant entre eux selon certains principes ou certaines règles. Cette idée d’interaction est très importante. On la retrouve à la base de la cybernétique ou encore de la théorie générale des systèmes, dont le grand théoricien fut Ludwig von Bertalanffy (1901-1972). La critique du système repose sur cette idée qu’il ne sert à rien de s’en prendre à telle ou telle composante politique ou sociale, à tel ou tel parti plutôt qu’à un autre, parce que tout est lié, que tous les éléments forment bloc et qu’il faut donc les rejeter en bloc également [[ également merci – déjà fait que le rejet en bloc. Avec nous le lamentable système des parvenus-à-rien est K.O out !]] Cette approche « systémique » est assez comparable à la façon dont, pour les ethnologues, les cultures forment des ensembles indissociables, où chaque élément ne prend sens qu’en fonction du tout, et où le tout présente des propriétés dites émergentes qui empêchent de l’analyser comme la simple addition de ses parties.

La dénonciation du Système [[ la dénonciation la plus probante étant de le quitter à 100 %, non ?]] représente, certes, un discours critique assez vague. Les choses s’éclairent si on ajoute un adjectif : les maurrassiens s’en prennent au système démocratique, les antilibéraux au système capitaliste, les écologistes au système productiviste, les tenants de la théorie du genre au système familial [[ bref, un système D, D comme débile…]]. Cependant, si le mot Système est vague, cela correspond aussi à son caractère intrinsèquement englobant  [[ Système thème ? Ou mot anamorphique ? Panthéiste, kaléidoscopique, protéiforme, palimpseste. Celui accélère tous les fantasmes et toutes les déformations ! Donc oublier le MOT enlisé dans des interprétations plus tentaculaires les unes que les outres – oui oublier le mot et se centrer sur les FAITS]].  Une critique antiSystème est toujours une critique globale. Elle peut viser le couple droite/gauche, le système des partis, la classe politique dans son ensemble, ou encore ce qu’on appelle l’Establishment, la Caste, la Nouvelle Classe, les élites, etc. Dans tous les cas, on s’en prend à un tout dont les parties font système [[cette formulation est réellement exacte…oui ce sont les médiocres qui « font » la médiocratie comme les censeurs qui « font » la si fausse littérature !]].

 

Vous êtes l’inventeur de l’expression de « pensée unique ». Est-ce cette « pensée unique » qui irrigue le Système ? Comment la décririez-vous aujourd’hui ? AdB - Les deux phénomènes sont liés dans la mesure où la diffusion de la pensée unique a fortement contribué à faire percevoir le Système dans ce qu’il peut avoir d’homogène et d’homogénéisant. Le tarissement de l’offre électorale, le recentrage des programmes, la fin des clivages traditionnels, l’abandon du socialisme par la gauche et l’abandon de la nation par la droite, la conversion de la social-démocratie à l’axiomatique du marché, le fait que les élections ne débouchent jamais sur une véritable alternative mais seulement sur une fausse alternance (avec, de surcroît, des gouvernements de droite qui font une politique de gauche et des gouvernements de gauche qui font une politique de droite), bref, tout ce qui fait que le Système apparaît désormais nettement comme un système est allé de pair avec l’avènement d’une pensée unique aujourd’hui alimentée par deux éléments essentiels, quoique très différents : d’une part, la langue de bois du politiquement correct, qu’on peut très justement comparer à la « novlangue » orwellienne ; de l’autre, le règne de l’expertocratie, qui considère que les problèmes politiques sont en dernière analyse des problèmes techniques, pour lesquels il n’existe par définition qu’une seule solution optimale rationnelle (d’où l’idée qu’ « il n’y a pas d’alternative »).

Suffit-il d’invoquer un « pouvoir culturel » de gauche pour expliquer le Système ? AdB - Je ne le pense pas [[ à tort comme nous le démontrons dans un texte futur ]]. Ce qui sert d’idéologie implicite au Système, ce ne sont pas des idées de gauche au sens traditionnel ou « gramscien » du terme. C’est un mélange assez nouveau d’individualisme, de droits-de-l’hommisme, de croyance au progrès et de fétichisme de la marchandise, ordonné à l’idée, relativement nouvelle elle aussi, qu’une société peut se réguler entièrement sur la base du contrat juridique et de l’échange marchand. Le Système désigne une société fondée sur l’amnésie programmée, l’effacement des limites, la fin des frontières et des généalogies.[[ amnésies qui créent les inerties si ennemies - et donc comprendre c’est résister à fond !]] C’est la société du self made man (l’homme qui s’engendre et se construit lui-même à partir de rien), des droits individuels censés appeler une réponse institutionnelle à n’importe quelle forme d’aspiration ou de fantasme. Une société où la révolution du désir a remplacé le désir de révolution !

Peut-on parler d’une mondialisation du Système ? AdB - On peut le faire si l’on admet que la plus grande partie de l’humanité, du moins sa partie occidentale, adhère à un modèle anthropologique où l’homme est posé comme une monade qui se suffit à elle-même [[ sauf lorsque la biodiversité disparait, que les sols fertiles diminuent, que les ressources ne sont plus durables, que les pollutions et gaspillages s’énormisent et que les faux politiciens n’ont aucune solution d’ensemble – là cette pseudo monade se prouve être devenue la pire ennemie d’elle-même. L’indivisDualisme en devient son propre auto-assassinat. Pas malin du tout donc !]]  un être fondé à toujours rechercher [[ sans trouver – la réponse est chez les autres !]] son meilleur intérêt personnel et qui fait de cette démarche la seule déraison d’être de sa non-présence au monde. Ce modèle se confond à mes yeux avec le système capitaliste, avec ce qu’il suppose de primat des valeurs marchandes et d’illimitation dans la transformation du monde en un immense marché. [[ ce qui aboutit bien à cet égaré enfantillage où ils ne peuvent répondre de rien ]] Mais il ne faut pas oublier que la mondialisation engendre aussi des fragmentations nouvelles, et que tout ce qui triomphe approche par là même de sa fin. Un peu partout dans le monde s’élèvent des voix qui réclament une politique antiSystème [[ nous ne réclamons rien, nous prouvons, à la place, qu’être Hors système c’est ne plus se faire…avoir ! Et ce sont les benêts des sommets qui réclament, eux, oui…les censures de telles démonstrations si rationnelles…où ils sont « eus »….]].

 Vous venez vous-même d’écrire un livre intitulé Le Moment populiste. Le populisme est-il toujours antiSystème ? Le mouvement anti-Système est-il forcément populiste ? AdB -  On peut être très critique vis-à-vis du Système de manière aristocratique ou cynique, sans être le moins du monde populiste. En revanche, le populisme est presque toujours antiSystème, dans la mesure où il s’oppose aux oligarchies qui en constituent l’armature. L’opposition du peuple et des élites, de « ceux d’en bas » à « ceux d’en haut », correspond à un nouveau mode d’articulation de la demande politique et sociale qui, dans une perspective contre-hégémonique [[selon Gramsci]], correspond exactement à la définition du populisme. Celui-ci n’est pas une idéologie, mais plutôt un style. L’adoption du style populiste par des mouvements politiques d’un type nouveau s’exerce aux dépens des vieux partis de gouvernement qui, peu à peu, ne parviennent plus à réunir qu’une minorité de suffrages. L’axe horizontal du vieux clivage gauche/droite se trouve ainsi remplacé par un axe vertical. La fake démocratie libérale, qui substitue la si falsifiée souveraineté parlementaire à la souveraineté populaire, ce qui entraîne une gravissime crise de la représentation, est de son côté mise en sévère accusation au nom d’une démocratie plus directe, de type participatif ou référendaire. Nous voyons cela se produire tous les jours autour de nous.

Il faut cependant noter que les partis antiSystème ne sont pas des partis révolutionnaires. Ils critiquent globalement le Système sans nécessairement proposer des modèles de société différents. [[ puisqu’ils ne sont jamais Hors système – donc sont tellement aveuglés qu’ils ne voient plus qu’ils pissent sur leurs propres chaussures…après avoir noué la paire de lacet entrelacée…]]. Peut-être est-ce par là qu’ils montrent à leur tour leurs limites [[ peu de le dire]]. Cela dit, les partis et les mouvements populistes ne résument pas à eux seuls le populisme. Il faut encore compter avec ce que Vincent Coussedière a appelé le « populisme du peuple » [[on est jamais si bien servi que par soi-même ]], c’est-à-dire la tendance spontanée des peuples à vouloir décider par eux-mêmes des conditions de leur propre reproduction sociale. En clair : leur désir de conserver leur mode de vie, leurs valeurs partagées, leur mémoire historique, leur sociabilité, que le Système cannibale cherche à démanteler. C’est probablement à ce populisme-là qu’il faut prêter le plus attention [[et ne pas la rendre - justement là où demeure la Commune de toutes les communes – la décentralisation telle que le système déjà très rabougri, ne pourra pas suivre ! Puisque nous commençons déjà à le précéder de partout…]]. »      …………………………....****************************************

Comment tout démanteler ¿ Tout détricoter ¿ Tout désincarcérer de nos têtes et cœurs ? Ringardiser, en une seconde, chacune de leur fake nouveauté archi vieillotte…

Les-artistes-actuels-se-contentent-ils-de-créer-des-produits-culturels-décevant-plus-vite-que-leurs-ombres-?

« Peu connue en France, Marthe Wéry pratiquait un art abstrait minimaliste, qui s’oppose au sensationnel. Une pratique actuellement en vigueur dans l’art contemporain [[ ah bon – pas un mot dans ces prétendus mots]]. Sous le nom bizarre [[ faux, il est seulement triplement con ]] de BPS22 se cache [[ effectivement, il leur est devenu impossible de se montrer tels qu’ils sont…le système doit se prétendre, n rampant, antiSystème…donc ils sont…foutus de foutaises !]] le musée d’Art de la province du Hainaut, à Charleroi, en Belgique. C’est un vaste bâtiment industriel rénové en 2015 où, à côté de la conservation d’une collection d’œuvres anciennes, se tiennent des expositions d’art actuel. L’hiver dernier, l’artiste français Raphaël Zarka y a installé ses formes géométriques en acier corten, faisant office [[ comme tout faux clergé officie-officine ]] et de sculptures et d’obstacles de skateboard. Les adeptes de ce sport pouvaient y montrer leurs meilleurs « tricks » (les figures, dans le jargon). Deux ans auparavant, au printemps 2016, au musée Sainte-Croix de Poitiers, les sculptures-obstacles de Zarka étaient en bois et seuls quatre skateurs professionnels eurent le droit, un seul jour, de les utiliser. La production s’améliore donc, et avec elle la dimension populaire et démocratique [[ où est le sens abracadabra de cet alignement de mots…incompatibles – ils ne savent déjà plus ce qu’ils disent !]] de l’œuvre.

Bien que ce soit interdit, les skateurs utilisent d’habitude les sculptures urbaines abstraites et géométriques pour exercer leurs talents. Zarka dit d’ailleurs s’être inspiré [[ quelle trop courte respiration…]] de cette pratique pour imaginer [[ où ça ?]] ses œuvres. Pourtant l’idée n’est pas neuve.[[ à force de remettre le dégueulis d’avant-hier, en effet]]. Bien avant l’Américain Richard Vosseller, qui, en 2010, avait réalisé une sculpture-obstacle (Physical Manipulations) détruite à la fin de l’exposition, un autre sculpteur français, Benjamin Henry, a commercialisé des «skateparks» (aires spécialement réservées au skate) faits de sculptures sous le nom de Madneom. Mais Henry est resté fidèle [[ disons parce que pas d’autre créneau !]] à la culture skate : grandes fêtes, musique pop-rock côte Ouest américaine, fun, etc. Zarka, lui, fait entrer cette culture dans le musée. Cela suffit-il à la transformer en art ? [[ la démonstration est faite que qui n’est pas HORS du système n’a rien à en dire de percutant ni de très drôle…quelle mélasse d’ennui dans ces non-créativités…c’est ainsi qu’ils sont foutus ! Le piger c’est les précipiter !]]

« Je vous dois la vérité en peinture” [[ oui mais dû effectivement – donc rembourser les milliards de milliards de milliards de volés par ces faux arts ! De quoi nourrir l’imminente Fête mondiale, la Fête sociale permanente de la fin complète du système… ]]. On se souvient de Loris Gréaud, qui, il y a dix ans, avait installé un jeu de paintball au Palais de Tokyo — c’était une idée. Beaucoup d’artistes actuels ont des idées. Ils n’ont même que ça. Ils ne contemplent plus le monde. Ils ne restituent plus ce que Cézanne appelait des sensations — et peut-être n’en ont-ils pas… Ils cherchent des idées afin de créer un spectacle. Leur ambition, axée sur la réussite professionnelle (sic) plutôt que sur l’œuvre, paraît consacrée à leur carrière.[[ carrière qui laisser, d’ailleurs, de marbre !]]. Aussi se demande-t-on s’ils croient en l’art ou s’ils se contentent d’inventer des produits culturels plus ou moins intelligents et distrayants destinés à faire évoluer cette carrière ? »…De trouver le Arrière cArrière  c-arrière arrière ; carrière cariée, suffisent à doucher ce qui nous montre plus que des zombies qui…faute d’œuvre habitée ne peuvent que ne pas vivre une carrière qui ne peut exister par elle-même (uniquement par les dopages illégaux des médias mercenaires encore plus illégaux). Qui n’est pas franchement original n’a pas d’origine donc pas de suite. Il/elle ne peut que photocopier l’originalité des autres – ce qui, à la centième photocopie, n’est plus que de la gadoue glauque et informe…et c’est «ça» antiSystème ? Aussi dérisoire que le système. Montrez-nous un seul lieu où l’antisystème système peut survivre en quittant son…monologue qui l’affaiblit toujours plus ? Au point que le seul coin d’un sourire le ridiculise sans un centime à délier !

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Ainsi – après ce parcours exigeant - il apparait définitivement qu’il est IMPOSSIBLE d’être anti-système (autre façon de rester dedans) – il n’est plus accessible que de se vivre…

 

complètement HORS du système, de ne rien avoir à voir avec lui (et avec quel gigantesque soulagement de ne pas être à l’intérieur de…

 

…………….…cette si grave déchéance nommée « le Système » !)

 

….…....……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste fierté humaine nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Le système vraiment prisonnier de lui-même ?

Le système vraiment prisonnier de lui-même ?

Dans le sens actuel apparu en 1951

Dans le sens actuel apparu en 1951

Le système prisonnier de lui-même ?
Le système prisonnier de lui-même ?
Le système prisonnier de lui-même ?
Le système prisonnier de lui-même ?
Le système prisonnier de lui-même ?
Le système prisonnier de lui-même ?
de la théorie à sa représentation...

de la théorie à sa représentation...

résistances par l'humour...

résistances par l'humour...

Produit nonculturel (la montagne au fond)

Produit nonculturel (la montagne au fond)

Le système prisonnier de lui-même ?
Luttons contre les dettes illégitimes privées et publiques, elles font partie du cœur du système capitaliste.

Luttons contre les dettes illégitimes privées et publiques, elles font partie du cœur du système capitaliste.

Le système c’est surtout s’appauvrir toujours plus en croyant s’enrichir. Le bilan avec externalités ? La vie intérieure toujours plus en graves déficits !

Le système c’est surtout s’appauvrir toujours plus en croyant s’enrichir. Le bilan avec externalités ? La vie intérieure toujours plus en graves déficits !

idem...

idem...

L’APPROCHE SYSTÉMIQUE

De Edgar Morin à Jean-Louis Le Moigne, Partie 1

Olivier Zara - Importance de l'intelligence collective pour gérer la complexité

La modélisation des systèmes complexes de Jean Louis Le Moigne

Raphaël Zarka, artiste contemporain a créé une sculpture «skatable». Il travaille comme le « curieux » qui rassemble à l’intérieur de son cabinet les bases d’un monde en miniature. Nostalgique d’un temps où créer et découvrir étaient encore synonymes, l’artiste place en exergue de sa pratique une phrase qu’il emprunte à Jorge Luis Borges : « C’est presque insulter les formes du monde de penser que nous pouvons inventer quelque chose ou que nous ayons même besoin d’inventer quoi que ce soit. »…Hé bé…

Art vécu avec les skaters

Le Tuto Anti-Système - Certaines lois physiques transgressées mènent à la catastrophe. Elles sont incontournables. Certaines lois humaines, parfois iniques, sont elles aussi incontournables. Le système se fout donc trop systématiquement dedans !

quand les conditions d’un choix existent…

C'est quoi le "système"? C’est pas nous !

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Bonjour amis, je m'appelle Andrea Maria et je suis infirmière en médecine à l'hôpital universitaire de Sahlgrenska en Suède. Je suis mariée depuis plus de 6 ans avec deux enfants. Ma relation avec Andrea, mon mari au début, était douce, romantique et plus tard, elle s'est transformée en cauchemar, parce que mon mari me trompait vraiment et cherchait un moyen d'obtenir un divorce rapide. nous avons rompu il y a trois mois et nous sommes revenus après avoir tant mendié avec de beaux cadeaux d'amour. J'ai tellement aimé mon mari. Je ne veux pas le perdre à une autre dame, je n'aurais rien pu faire pour le blesser ou le faire se sentir mal à propos de moi plus… Je voulais juste qu'il retourne à la maison pour qu'il m'aime pour toujours. J'ai expliqué ma situation à un ami au travail. Mon amie Jennifer m'a conseillée de contacter plutôt l'aide d'un lanceur de sorts d'amour appelé Dr.Oduduwa de la nation afrikana avec une partie de sortilège magique qui priait de rendre son ancien amour, qu'il avait de puissants dons le charme de ramener l'amour et la confiance dans tout mariage brisé ou relation amoureuse brisée, j'ai cru et essayé, et cela a fonctionné pour moi, j'envoie un message électronique à Dr.Oduduwa via son contact de messagerie personnel ci-dessous;<br />  {dr.oduduwaspellcaster@gmail. com}.<br /> Après que quelques municipalités eurent répondu à mon courrier, Dr.Oduduwa m'a dit qu'il pouvait m'aider à ramener mon amour ex avec une portion immédiate de mon charme, j'étais très heureux de trouver cet homme pour m'aider, j'ai suivi toutes ses instructions avec attention, étape par étape. des prières et des incantations que je fis moi-même chez moi avec des bougies allumées la nuit. Oduduwa me dit tout à faire chez moi pendant la nuit prières amour processus d'orthographe. J'ai tout fait comme indiqué. cela a commencé à fonctionner pour moi car quelques heures plus tard, j'ai reçu un appel de mon mari, j'étais tellement surpris et choqué qu'il cesse de m'appeler ou de m'envoyer des SMS depuis 3 mois, maintenant j'effectue immédiatement une prière d'orthographe d'amour mon Le mari Andrea est revenu à la maison pour s'excuser auprès de moi. Je suis tellement heureux de constater que la partie amoureuse travaille positivement sur mon mari en moins de deux jours. En ce moment, mon mari et moi vivons plus heureux que jamais auparavant. Je suis reconnaissant au Dr.Oduduwa, grand homme, pour ses talents exceptionnels. Au début, j'avais peur du doute, mais je l'essaie et cela fonctionne pour mon bien.<br /> Je recommande sincèrement Dr.Oduduwa à toutes les personnes cherchant à rétablir la relation amoureuse perdue ou le sortilège amoureux à la recherche du véritable partenaire amoureux. <br /> (dr.oduduwaspellcaster@gmail. com)
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