La Fête mondiale c’est pour bientôt (1/2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

La Fête mondiale c’est pour bientôt  (1/2)

Le sens de la communauté offre la communauté du sens. L’élan vers les autres devient les autres sont des élans. Tout s’amplifie et se fie…rien qui ne restera enfermé dans son placard étroit. Nous devenons grands des autres – ils sont immensé(e)s de nous. Plus rien ne va de travers : nous sommes, enfin, traversés du gigantisme d’être là toutes et tous en MÊME TEMPS. Là. Tout aura paré à ce qui nous a séparé, sépareils séParés…Que se passe-t-il donc lorsque la surveillance ne veille plus, que le contrôle devient contre lui-même, que les prétendus propriétaires de la société dérapent de partout, que tout prouve qu’ils voudraient nous faire le coup de la « banalisation » des corrompus ? Oh, les enfers fiscaux de la gigantesque évasion ce n’est pas grave, faut leur pardonner leurs fraudes, c’est ma fraude, c’est ma très grande fraude, ils savent très bien ce qu’ils font…les subventionnés ? ah mais, nous nous sommes pour l’état modeste au point qu’il « doive » nationaliser nos vastes pertes et protéger – intacts – tous nos profits tous plus illégaux les uns que les autres (ils « coûtent » si cher à la société, ces profits !). Oui, c’est tout cela qu’il faut banaliser ? Reprenons les paroles du Monde, un monde subventionné est-ce que cela paraît si « naturel » ? Les hurlements du il ne faut pas banaliser le Front National résonnent. Avec la monomaniaquerie d’affubler d’antisémitisme tout ce qui « sait » réfléchir. Là, désolé, je suis vraiment sorti avec une israélienne capitaine de l’armée. Et donc je ne me vois guère cracher sur ce que j’ai fréquenté. Tout ceci sonne faux, que les femmes fassent l’armée en Israël ? C’était ses années obligatoires d’armée, mais capitaine quand même…et strictement rien à voir avec les clichés d’antan, ce cap itou…très r’n’r !

Bref, le coup raté (et dès la première seconde, faut pas déconnex) du paradis-e papers c’est la « banalisation » de tout le bastringue : faire rentrer dans les habitudes la corruption des grands. Renforcée en douce par ces fausses (oui comme fake) dénonciations. Fausses car elles ne veulent SURTOUT PAS changer la régression capitaliste – mais bien la renforcer cette régression (toujours moins de « vraie » réPublique grâce aux médias fous). Sauf que splaaaassssh…ceci va mûrir sans eux, sans ces médias (cy)iniques et déshonorés (soit nous changeons vraiment sans plus de discours, soit ne sont pas insultées pas les immenses majorités qui sont la foule même). La foule que nul ne foule impunément ! Et donc ? Une victoire qui précède le confus confit (de fausses dénonciations supposées…et….pschiiiiiiiiiiiiitt …rien, comme disait l’autre). Oui c’est la fêêêêête dans nos cœurs…

Comment, alors, caisse de boissons, qu’est-ce donc que ce dit, çédille au c, oui, et donc ?....Divers documents en copyleft, reçus mélangés (par qui ?), ne nous décrivent que cet état post (post-capitaliste pour les nouveaux nés…). Mais vraiment post, d’un très post rieur. Nous donnerons les liens que nous avons trouvés (mélanges d’amérique latine, canada, usa, france, sud europe, afrique du nord § consorts). Mais l’essentiel demeure bien ce qui…est dit…les premiers rythmes de la Fête mondiale qui n’a toujours pas eu…lieu ? Comment pas eu lieu ? Vous êtes sourdingues et dingues, c’est bien ça ? 1969, rappelez-vous ? Que ce soit un satellite ou la lune satellisée (si le vol lunaire fut un montage !) le fait « bien réel » est que nous avons vu toute la terre Tenue, ex-promise. Comme deux mains nouées serrées. L’émotion absolue (retrouver sa famille, la terre mère-sœur-amie) qui dure…Et ? Il y aurait dû y avoir la longue marche des peuples rencontrant tous les autres peuples. Et le méli se mélo, se mêla et tout et tout. Sauf que ? Il fallait que les stars cessent d’être stars et retrouvent l’anonymat de mener la foule. Au lieu de calomnier Mother qui a fait exactement le meilleur…tout le prouve depuis. Les stars n’ont fait que sur-renforcer le monstrueux capitalisme. Et les peuples n’ont toujours pas embrassé l’Humanité. Mother si…

La-Fête-c'-est-dans-la-tête

…la fête c’est déjà dans les têtes et les cœurs, ou bien impossible de faire semblant. Rien d’artificiel, alcools ou autres ne peut « faire croire » que la fête est là si elle…ne pétillait pas auparavant en nous. La Fête c’est le sens du partage et le partage du sens, des sens…la fête c’est…

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Oui, il y a de cela…de ceci aussi…« Comme le travail s'arrête, la navette frénétique se remplace par des promenades [déambulations] sans but, et la consommation passive par la communication active. Des étrangers entrent en conversation animée dans la rue. Les débats continuent en permanence, des nouveaux venus remplaçant continuellement ceux qui partent pour d'autres activités ou pour essayer d'obtenir un peu de sommeil, bien qu'ils soient généralement trop excités pour dormir longtemps. Tandis que certaines personnes succombent aux démagogues, d'autres commencent à faire leurs propres propositions ou d'entreprendre leurs [[ initiées ]] initiatives. Des spectateurs sont attirés dans le vortex [tourbillon], et vivent des changements [en eux] d'une rapidité étonnante. (Un bel exemple de Mai machin chose : Lors de l'occupation de l'Odéon [par des foules radicales], le directeur administratif, consterné, se retira au fond de la scène; mais après avoir apprécié la situation pendant quelques minutes, il fit quelques pas en avant et s'écria : "Maintenant que vous l'avez pris, gardez-le, ne le rendez jamais, brûlez-le plutôt !") [CF. Viénet p. 136]

Certes tout le monde n'est pas gagné tout de suite. Certains se cachent [restent discrets], attendant le moment où le mouvement va décroître et où ils pourront reprendre leurs soi-disant possessions ou leurs prétendues positions, et se venger. D'autres vacillent, tiraillés entre l'envie d'un changement et la peur de changement. Une brèche de quelques jours ne suffira pas peut-être pour rompre le conditionnement hiérarchique de toute sa vie. L'interruption des habitudes et des routines peut être désorientante aussi bien que libératrice. Tout se passe si vite qu'il est facile de se paniquer. Même si vous réussissez à garder votre calme, il n'est pas facile de saisir tous les facteurs déterminants [décisifs] aussi vite pour savoir quoi faire [quelle est la meilleure chose à faire], ce qui peut paraître évident rétrospectivement [en réfléchissant après coup], ne l’est pas dans le chaud moment. Un des principaux objectifs de ce libelle, c'est de signaler certains scénarios habituels [= enchaînements de situations typiques qui reviennent souvent], pour que les gens soient prêts à reconnaître et à profiter de telles occasions avant qu'il ne soit trop tard.

     Les situations radicales sont les moments rares où le changement qualitatif devient vraiment possible. Bien loin d'être anormales, elles laissent voir à quel degré nous sommes, la plupart du temps, anormalement refoulés ; notre vie "normale" ressemblant vraiment à du somnambulisme. Pourtant, parmi le vaste nombre de livres qui ont été écrits sur les révolutions, il n'y en a que peu qui ont à dire sur de tels moments. Ceux qui traitent des révoltes modernes les plus radicales se limitent habituellement à la seule description très sèche vue de l’extérieur, donnant à peine une suggestion des sensations de telles expériences, mais ne présentant guère des aperçus [= idées pénétrantes] tactiques utiles. La plupart des études sur les révolutions bourgeoises ou bureaucratiques ont encore moins de pertes…inences. Dans ces révolutions, où les "masses" n'ont joué qu'un rôle secondaire et temporaire de partisans d'une direction [[c’est par là , non par ici, là, plutôt là, là, etc.]] ou d'une autre, l'on pouvait, dans une grande mesure, analyser leur conduite comme les mouvements de masses physiques, dans les termes des [sous l'angle des/en utilisant les] métaphores familières du flux et du reflux de la marée, de l'oscillation du pendule entre la radicalité et la réaction, etc. Mais une révolution antihiérarchique exige que les gens cessent d'être des masses homogènes et accessibles à la manipulation, qu'ils dépassent la servilité et l'inconscience qui les rendent sujets à de telle prévision mécaniste.

>>>>>> 1) *** - Organiser les situations radicales ? Dans les années 60 on pensait généralement que la meilleure façon de favoriser une telle démassification était de former des "groupes d'affinités" : c'est-à-dire des petites associations d'amis qui ont [partagent] des perspectives et des styles de vie compatibles. Certes, de tels groupes ont beaucoup d'avantages évidents. Ils peuvent se décider pour un projet et le réaliser directement ; il est difficile de les infiltrer ; et ils peuvent se lier avec d'autres dès qu'il devient nécessaire. Mais, même en laissant de côté les pièges divers dans lesquels la plupart des groupes d'affinités des années 60 sont tombés, il faut reconnaître le fait qu'il y a des matières qui exigent des organisations de grande envergure. Et des grands rassemblements vont vite retourner à l'acceptation de quelque espèce de hiérarchie à moins qu'ils ne réussissent à s'organiser d'une manière qui rende superflus les chefs.

Une des façons les plus simples pour commencer à organiser une grande assemblée, c'est de faire faire la queue [= physiquement ou en donnant leurs noms] à tous les gens qui veulent dire quelque chose, toute personne étant libre de parler de quoi que ce soit pendant une durée précise. (L'assemblée de la Sorbonne et le rassemblement autour de la voiture de police à Berkeley ont établi tous les deux une limitation de trois minutes ; de temps en temps il en a été accordé une prolongation par acclamations.) Certains des orateurs proposeront des projets précis qui précipiteront [mèneront à] des groupes plus petits et plus pratiques. ("Nous comptons, moi et quelques autres, faire telle chose. Si vous voulez y participer, vous pouvez nous joindre à tel endroit à telle heure.") D'autres soulèveront des questions qui se rapportent aux buts généraux de l'assemblée, ou à son fonctionnement continu. (Elle comprend quelles personnes ? À quel moment va-t-elle se réunir ? Comment allons-nous nous y prendre avec de nouveaux développements urgents dans l'intervalle ? Qui seront délégués à s'occuper des tâches précises ? Pour combien de temps ? Avec quel degré de responsabilité ? [contrôle par l'assemblée]) Dans ce processus les participants reconnaîtront vite ce qui marche et ce qui ne marche pas -- avec quelle rigueur il faut mandater les délégués [= rendre obligatoires et contrôler leurs mandats]; si [ou non] on a besoin d'un président pour faciliter le débat pour que tout le monde ne parlent pas à la fois; etc. Bien des modes d'organisation sont possibles; l'essentiel, c'est que toute question reste ouverte [publique], démocratique et participative, que toute tendance vers la hiérarchie ou la manipulation soit immédiatement exposée et rejetée. »

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>>>>>> 2) *** - Lancer la Fête dans sa spontanéité ? « Une société libérée fonctionnera probablement à peu près comme une fête potluck (où tout le monde apporte un plat). La plupart des gens aiment préparer un plat qui sera apprécié par les autres ; de sorte que même si quelques personnes n'apportent rien, il y a tout de même bien assez pour tous [[Potluck (à la fortune du pot et pas le pot herbue qui aurait sa lucky grève, strike…En fait, le plat ce sont les idées, les projets communs, ce qui constitue les fondations, les paroles, les groupes, le futur qui fait briller les yeux, tous les partages…oui oui…passez donc le plat….]]. Ce n'est pas, alors, nécessaire que tout le monde contribue avec une part exactement égale, parce que les tâches restent si minimales et sont partagées si généralement que personne n'est surchargé. Comme tout le monde participe ouvertement, il n'y a pas besoin, non plus, de contrôler les gens ou d'instituer des pénalités pour le refus de coopération. La seule part [aspect] de "coercition", c'est l'approbation ou la désapprobation des autres participants : l'appréciation [la reconnaissance favorable] encourage les contributions, tandis que même une personne sans aucune considération [= une personne égoïste qui manque d'égards envers d'autrui] se rend compte que si elle négligeait constamment de contribuer, on commencera à la regarder d'un bien sale œil. L'organisation n'est nécessaire que lorsqu’il y a un problème…à résoudre !

 

Maintenant, bien sûr [[ en état d’hibernation provoqué par la société dévoyée par la haut]], de telles coopérations spontanées restent l'exception, qui ne se trouve principalement que là où les liens communalistes traditionnels ont persisté, où parmi des petits groupes de semblables [= personnes qui partagent les mêmes goûts/sentiments], dans les régions où les conditions ne sont pas trop indigentes. Là-bas [Dans le monde] où les loups se mangent entre eux, il est anormal que les gens ne regardent que leur propre intérêt et se méfient à fond d'autrui – anormal, mais c’est, pourtant, ce qu’ils font…soi-disant par normalité. À moins que le spectacle ne les agite par quelque anecdote sentimentale, ils ne s'intéressent généralement que très peu à ceux en-dehors de leur cercle immédiat très restreint. Cercles gavés de frustrations et de ressentiments, ils pourraient même éprouver un plaisir méchant à gâter les plaisirs d'autres gens – aussi le font-ils/elles [[ Dans ces conditions, c’est QUAND la Fête ? oui quand quand ?]].

 

Néanmoins, malgré toutes ces choses qui découragent leur humanité, la plupart des humains, si l'on leur donne la chance, aiment sentir qu’ils font des choses dignes, et ils aiment être reconnus pour les avoir faites. Notez avec quel empressement – alors - ils sautent sur la moindre occasion de créer un moment de reconnaissance mutuelle, ne serait-ce qu'en ouvrant la porte pour quelqu'un ou en échangeant quelques remarques banales. Au point que si une inondation, un tremblement de terre ou une autre catastrophe surviennent, il arrive, souvent, que même les personnes les plus égoïstes et cyniques se jettent à l'aide d'autrui, travaillant sans relâche pour sauver les gens, livrer la nourriture et les provisions de premier secours, etc., sans aucune rémunération sauf la reconnaissance [d'autrui]. Voilà pourquoi les gens évoquent les guerres et les désastres naturels avec une nostalgie qui pourrait sembler surprenante. Tout comme la révolution, de tels événements enfoncent les séparations sociales ordinaires, fournissent à tout le monde des occasions de faire des choses qui importent vraiment, et produisent un vif sentiment de communauté (ne serait-ce qu'en unifiant des gens contre un ennemi commun). »…

 

           Ce qui prouve bien à quel point la Fête mondiale sera l’âge ADULTE de l’Humanité. Remplaçant si positivement catastrophes et guerres dans leurs impacts humains trop destructeurs. Remplaçant, enfin, ces malsaines nostalgies…Oui ? Eh bien ! la Fête c’est pour très bientôt. Très bientôt. La pâte du mouvement est en train de lever. Puis elle se soulèvera à la chaleur. Sa surection sera in’…Dans une société libérée, toutes les impulsions [tendances] socia(b)les pourront fleurir sans ne plus exiger de prétextes si extrêmes.

 

………….La Fête mondiale c’est, concrètement, la paix unitaire !  Et ????

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>>>>>>>>>>>>>>>>>> -   BONUS   - <<<<<<<<<<<<<<<

……………..«J’ai écrit un livre sur le Moyen Âge africain.»

« On était lundi, il faisait nuit, il faisait froid mais la phrase a allumé une ampoule dans ma tête. J’allais prendre le métro avec un historien que j’avais rencontré à un dîner. Je lui demandais quels livres il avait écrits et donc il m’a répondu ça. «J’ai écrit un livre sur le Moyen Âge africain.»

On-vous-a-déjà-parlé-du-moyen-âge-africain-et-de-ses-promesses-de-royaumes-merveilleux ?

Moyen Âge + Afrique. Je crois bien que jamais de ma vie je n’avais entendu ces deux termes côte à côte. Évidemment, comme à peu près tout le monde, j’avais été mortifiée quand Nicolas Sarkozy avait déclaré dans un discours officiel que l’homme africain n’était pas encore assez entré dans l’histoire. Je veux dire, on sait bien que c’est faux. Conceptuellement. Mais entre la préhistoire et la colonisation, j’étais bien incapable de vous citer des faits de l’histoire du continent africain. Sauf que sûr que ce n’étaient pas des tribus plus ou moins nomades qui auraient su préserver l’authenticité de leurs croyances primitives?

Un continent très dynamique : On a pris le métro et mon interlocuteur m’a raconté qu’il y avait des rois, des châteaux, des cours royales, des protocoles, des alliances. Qu’il y avait du commerce avec la Chine et l’Inde, que les commerçants musulmans étaient une des sources de connaissance de cette période. L’Afrique n’était pas coupée du reste du monde. Le continent était dynamique, en échange avec les autres régions. Le Moyen Âge africain, du VIIIe siècle au XVe siècle. Une immense période historique qui reste à découvrir, sur laquelle ils sont encore peu nombreux à travailler. Une période qui va sans doute modifier notre vision de l’histoire mondiale et donc également de l’histoire occidentale [[ le fait, déjà, que la colonisation n’avait aucune EXCUSE. Que c’est un tort très grave causé par des humains qui se croyaient supérieurs et n’ont agit que de façon …inférieure. L’Afrique avec ses cultures…vivrières très équilibrées, ses « conseils des anciens », son sens inné de la Fête, etc. n’avait surtout pas besoin de…civilisation. Ce « point aveugle » (l’occident s’est trompé !) explique, très bien, comment l’Histoire a pris la mauvaise route…]]. Il m’a dit un truc comme: «Il faut arrêter de former autant de spécialistes du XIXe siècle français et aller voir en Afrique[[ fait - nous « savons » que l’Afrique dynamisera la Fête mondiale plus que d’autres. En fait, c’est elle qui en sait…le plus long !]].

À LIRE AUSSI  Il y a 300 ans, un navigateur breton apportait une étrange maladie en Afrique du Sud

Ce n’est pas seulement une étendue historique qui reste à explorer mais de véritables territoires. «On a à peine commencé à fouiller, faute de moyens et de spécialistes.» Les stations éclairées au néon défilaient et il a rassemblé ses mains vers le bas avant de les écarter lentement pour m’expliquer qu’il y avait des palais, des villes entières à découvrir sous le sable, qui allaient surgir. Il était 23 heures, on était dans le métro de la ligne 9 et on aurait dit qu’il mimait l’éclosion d’une fleur. «En Ethiopie, j’ai découvert trois villes! Avec les habitations, les rues, les mosquées. Trois villes(Je suis allée vérifier et c’est vrai. Il y a dix ans, avec son équipe, il a découvert trois cités médiévales musulmanes qui pourraient être les vestiges du royaume de Shoa qu’on connaissait par des textes mais qu’on n’avait jamais situé géographiquement.) 

Les yeux qui brillent : Ça m’a rappelé de vieilles discussions avec des potes. On se demandait à quoi ressemblaient la vie et l’art quand l’humain n’avait pas encore exploré toute la Terre [[et il faut voir comme – la plupart du temps comme un malappris, un fou aveugle…]]. Quand on imaginait des ailleurs, des terres inconnues, des monstres fabuleux. Alors certes, je savais qu’il restait le fond des océans à découvrir. Mais là, j’avais face à moi un archéologue dont les yeux brillaient en évoquant des royaumes entiers qui sortiraient du sable, de la végétation et de l’oubli. Avant, je ne savais même pas que je ne savais rien. Maintenant, je sais qu’on ne sait que peu [[ la Fête mondiale manque tant – en quelques jours, elle peut faire « évoluer » de 50 ans…]]. Et c’est assez excitant. Ce chercheur s’appelle François-Xavier Fauvelle, son livre sur le Moyen Âge africain s’intitule Le Rhinocéros d’or (il est sorti en 2013 et ça a été un gros succès). Il vient de publier un essai À la recherche du sauvage idéal qui a l’air tout aussi passionnant...(Texte paru dans la newsletter hebdomadaire de Titiou Lecoq. C'est ici.)

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En (2/2) c’est déjà ….

……………>>>>>> 3) *** - En plein « cœur » réchauffant de la Fête ?

 

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

la voie est libre

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La Fête mondiale c’est pour bientôt  (1/2)
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à entendre à la fortune du pot et non la chance de la Marie Jeanne (le pot – prononcer p.o-ôte)

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La Fête mondiale c’est pour bientôt  (1/2)
…dire non c’est respecter les limites…oui, dire non à tous les libéralismes qui ont dépassé les limites (qu’ils retournent dans leur cagibi de départ) c’est retrouver la santé mentale.

…dire non c’est respecter les limites…oui, dire non à tous les libéralismes qui ont dépassé les limites (qu’ils retournent dans leur cagibi de départ) c’est retrouver la santé mentale.

L'Afrique n'avait pas "besoin" de la colonisation, encore moins de la prétendue civiliastion....

L'Afrique n'avait pas "besoin" de la colonisation, encore moins de la prétendue civiliastion....

Découvertes d'un Moyen Age glorieux en Afrique que la colonisation avait bien caché...

Découvertes d'un Moyen Age glorieux en Afrique que la colonisation avait bien caché...

En avance sur nous ? Cet africain « Lukasa » (la longue main (ou griffe) – pour dynamiser la mémoire - prouve à quel points ces Luba nous précédaient dans ce savoir incroyable qu’est l’art de la mémoire – nous en reparlerons !

En avance sur nous ? Cet africain « Lukasa » (la longue main (ou griffe) – pour dynamiser la mémoire - prouve à quel points ces Luba nous précédaient dans ce savoir incroyable qu’est l’art de la mémoire – nous en reparlerons !

Construire des situations...

16 signes que vous êtes un esclave de la matrice

Message de l' Internationale Situationniste On a assez interprété les passions : il s' agit maintenant d' en trouvez d' autres [Guy Debord, "Rapport sur la construction des situations", 1957]

un potluck d’idées ¿

Et j'ai dansé pieds nus dans ma tête…et même tête nue avec mes pieds…où allons-nous nous arrêter ?

UnderRated of Potluck - 4 minute Fire Drill…faire courir la langue à toute vitesse ça donne faim

la Vie connait mieux la hiérarchie que nous – pas la peine de prendre sa place…

La hiérarchie interspécifique n'existe pas ! Et s’il en est ainsi, rien dans la Nature ne nous excusera d’abuser de l’artificialité d’une hiérarchie qui n’avoue pas ses…buts cachés !

Les fêtes modernes (Approche sociale)…incompréhension absolue des fêtes. La Fête sort de toutes les images, elle n’y entre pas

Les clés des médias : la hiérarchie de l'information c’est surtout qu’elle ne soit pas que de… la fausse information sur/de la fausse hiérarchie

Réussir sa vie c’est partager – donc on ne partage jamais trop (…même internet le dit !)

Et donc ? La thèse exposée par Naomi Klein dans son ouvrage La stratégie du choc est celle d’un processus volontaire de « privatisation radicale des guerres et des catastrophes » depuis les années 1970.

"L'homme africain n'est pas assez rentré dans l'Histoire" - Nicolas Sarkozy... le bonus joint dit c'est Faux...voir le bonus...

Publié dans Victoires**

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