Donc il serait interdit de rire ?

Ne riez pas : le texte va débusquer tant de réalités méconnues sur le phénomène !

Les contextes dissimulés : au début du 20 -ème siècle, en France, autour de 20 minutes en moyenne étaient vouées au rire chaque jour. En 2024 ce sont quelques secondes à peine chaque jour qu’il y a rire. Ce qui signifie qu’une partie des humains ne rit plus jamais. Si nous n’avons pas là un très grave problème de salubrité publique, de santé mentale - qu’est-ce donc ? La société involue et régresse lourdement !

Pourquoi ? il y a tellement de drames envahissants (fabriqués, provoqués, matraqués en boucles, etc.) qu’il paraît « indécent » de rire. Combien de rires ravalés, rengainés, étouffés ? Et qu’il y bien des volontés mauvaises derrière tout cela. Alors que le rire est surtout naturel, le « propre des humains ». Et même plus !

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1)) – Tout le monde peut « apprendre » à rire. A rire à volonté et sans motif pour rire.

Pas de motif essentiel autre pour rire que de renforcer sa propre santé. Ce qui n’est pas reconnu c’est que le rire reste une fantastique thérapie. Aussi nos corps ont prévu, au niveau du diaphragme, un point de « déblocage » qui, une fois dégagé, nous offre le rire à chaque fois que nécessaire (lorsque que ça va mal, par exemple)…

Cette expérience ressemble au vélo ou à la nage. Une fois expérimenté vous ne perdez plus le sens de l’équilibre sur le vélo - tout comme la sensation de savoir que vous flottez naturellement. Pour le rire celui-ci reste « bloqué» tant que le diaphragme ne coulisse pas, ne se déboucle pas, ne se déclenche pas (la formule que vous préférez !). On peut donc dire qu’il suffit d’apprendre comment débusquer ce point du blocage premier et ce sera libéré pour la vie entière. Ce pourquoi l’aspect thérapie du rire reste protégé de toutes les hideuses et épouvantables manipulations de masse. Rien ne peut donc interdire de rire ? Même pas ces si sales types qui se prétendent dirigeants. Voici qui transforme bien toutes les « données » actuelles !

Moi-même ait utilisé la tradition de l’Inde, vieille de 4500 ans, afin de venir en aide aux dépressifs. Technique universelle de simplicité : les voyelles servent à moduler les sons différents des rires. Chacun.e a sa voyelle préférée. AEIOU !

Avant de les aider à moduler, il s’agit de prendre conscience que leurs « blocages » représentent bien des aliénations ! Résumables en 3 déraisonnements essentiels. Puisque ces troubles de la conscience leur fait perdre leur sens des réalités

--- Si je ris on va me pendre pour une folle/ un fou – pas du tout, au contraire, si vous ne riez pas c’est là que vous êtes vraiment fous.

--- Il faut obligatoirement une raison pour rire (genre une situation – un spectacle programmé – comme s’il y avait « autorisation » de la collectivité. Comme si d’autres « mettaient en scène » vos rires, etc.). Or pas du tout :  avoir « appris » volontairement à rire montre que le rire se déclenche tout seul et sans motif extérieur. C’est le fonctionnement normal du corps ! La raison de rire est notre propre santé : sécrétions des endorphines, ces molécules du bonheur, et augmentation des globules blancs. Ce que nous offre le cerveau « traduisant » par un « tout va très bien » la joie des hilarités !

--- On ne peut pas rire tout seul. C’est pourtant ce que nous faisons au milieu des autres. Vu que ces autres ne rient pas pour vous : ils sont juste englobés dans leur propre rire. Autre point qui rend le rire si invulnérable. Oui par rapport aux ennemis du genre humain (soi-disant au pouvoir) et qui font comme si rire était « réprimé ». Carrément interdit implicitement. Sauf que pas de chance pour cette lie friquée de l’humanité : le rire reste très…contagieux. Une arme absolument puissante de toutes les émancipations !

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……2 )) -- Les sceptiques sont dans la fosse.

De s’auto-convaincre que nous "ne puissions pas rire" à volonté. Par un acte corporel reproductible. Et que nous puissions clairement rire tout seul. Par le procédé « d’appuyer légèrement » sur le plexus solaire - devenu une si bonne habitude, etc. Tout cela va contre l’expérience directe de milliards d’êtres humains. Dont une partie n’en ont même pas conscience claire : ce qui permet d’insinuer salement le si bouffon «il est interdit de rire ». Alors que les pisse-vinaigre et rabat-joie n’y peuvent plus rien. Pourquoi ?  La santé publique efface puissamment le venimeux «il est interdit de rire » pour un sain …il est très recommandé de rire. Qui se voient alors rider de ridicules les ennemis du genre humain ?

Et les sceptiques, hypocritement pessimistes, se prouvent très discrédités. Déconsidérés. Ils ne sont même pas pessimistes de leur pessimisme ! Pessimisme de « pesse » poix. Poix qui poisse vu qu’elle aboutit à calfeutrer les bateaux, en en obstruant toutes les entrées ! Tandis que l’optimisme, très calomnié, ne fuit aucun pan de la réalité. Mais va sciemment au-devant d’eux… Ne vient-il pas d’«opter» cet optimisme situé à… l’optimum de tout ? Oui l’optimisme nous porte bien le maximum, le point culminant des possibles. Voici qui nous remet tout à l’endroit, non ?

Et donc ?

….3))-- Le rire tue les dictateurs. Tous ?

C’est dans « le nom de la rose » : film et livre d’Umberto Eco qui, avec des circonvolutions, parvient à cette nette conclusion : « le rire tue les dictateurs. Tous. ».  Le seul dernier obstacle : il faut vivre soi-même les expériences complètes pour y croire. Le ressentir et le comprendre. Par chance, avec un seul petit coup de pouce au départ, rien de plus facile que de rire en abondance et selon ses besoins.

Et ?   ,       

** Mécanisme corporel – sur lequel nous pouvons agir.

** Ce que la Nature a prévu pour nous. En homéostasie !

** Acte volontaire qui se déclenche si simplement – une fois que vous en avez eu l’expérience. Disons que c’est comme une envie retenue de pisser. C’est d’autant plus agréable que de lâcher.

** La santé c’est par et avec le rire. Notre somme (mis en lien ci-dessous) « la vraie “histoire du rire” en 5 textes » nous en détaille tous les bienfaits.

** Vous retrouvez la simplicité de tout ce qui veut redevenir…spontané, fringant, agile, leste, céleste, véloce. Comme ceci : rire = sans motif sensé autre que celui de faire du bien au corps !

** Etc.

Les faux dirigeants monopolisent tous les défauts humains – vraiment ils sont ce qu’il y a, actuellement, de pire. Comme ? Comme de délirer que nul ne soit plus généreux, donc ne soit plus pour les génies qui génèrent – et qu’il serait réaliste que se puisse interdire avec répression les rires. Rires si réparateurs que ces imposteurs ne peuvent stopper ? Puisqu’il suffit de «réamorcer la pompe»  

Le grand ridicule les ride. Ils sont foutus ces trop mal foutus…

…..Puisque c’est vraiment l’heure.

Oui l’heure d’être heureux !!

Et c’est du vrai respect d’user du rire afin de conserver au mieux sa santé !

….(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

           Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Vous changez vos mots, vous changez vos vies

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Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

Si ce post a su retenir votre attention dans les 6 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

//us.123rf.com/-jeune-homme-couvrant-sa-bouche-avec-les-mains-en-essayant-de-ne-pas-rire.

Le rire qui se cache et a honte de lui-même...

désormais c'est un vil passé révolu.

La société a retrouvé ses santés mentale, morale et affective !

La vraie "histoire du rire" en 5 textes

Pour la documentation, vous prenez séparément chacun des 5 textes et le demandez à internet.

Il y en a bien assez de docs joints pour qui désirent le cher chercher….

Lorsque « se formaliser » devient le contraire de l’informel, nous commençons à nous poser les bonnes questions. Trop de formel épais, pas assez de formidables élans. Oui, se formaliser, au sens ultime de se…déformer, de changer de formes et de couleurs, en quelque sorte. Se formaliser donc avec formalisation accablante ? Se formaliser, oui se piquer à la drogue forme, s’en enduire et induire tout l’intérieur de causalités intruses. Lorsque les bonnes interrogations deviennent des interrogatoires (et que le lâche questionneur échappe à ce qu’il inflige aux autres – se mettant en trop déloyal surplomb…). Oui il nous faut nous formaliser afin que plus jamais nous nous formalisions (chutions dans les apparences et leurs mortes formalités hypocrites).

>>> - Nous découvrons – comme si tout se vivait pour la première fois – que rien de plus prolifique que D’ALLIER une écoute ardente des mots tels qu’ils sont – et une attention renouvelée aux autres, à tous les autres (ce qui permet de trouver que Nul n’est nul, soit que tout le monde a un trésor caché dedans…or tout est or – donc les négativités infertiles voient leur viralités…interrompues, leurs néfastes robinets fermés net !). Le langage prolixe prolifique en somme. Que, si très simplement, les mots si incroyables de précision par eux-mêmes, nous agrandissent et nous offrent une densité de vécus prodigieuse…si, et si seulement si, nous maintenons une sociabilité énorme. Soit un vécu intérieur tourné massivement vers les autres.