Le mot "quotidien" a déjà choisi le PARTAGE (2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

5184946231_913655f702.jpg

Le mot "quotidien" a déjà choisi le PARTAGE…Késacö ? Je me doutais bien que le texte aurait besoin de deux étapes:

1 -  celle sobre, de l'exposition objective des faits & des mots, du protocole scientifique "vérifiable et reproductible" entièrement respecté – appelée "difficile", uniquement, par qui ne sait pas savourer tout savoir, entrer en extase dans la tête.

2  -   celle du dé-lecté lecteur- le vrai lecteur qui ne juge jamais mais se déLecte (eur) de tout ce qui est bon…nommé "plaisirs" (multipliés évidemment par tous les parcours dits, étourdiment, "difficiles"…)

 

Voici donc cette seconde étape. Celles des liesses et allégresses.

Après le présent qui est un "présent" immense, un gigantesque cadeau à nos yeux exposé chaque jour. Le meilleur moyen de planquer la vérité c'est de la mettre en plein regard de tous, droit devant…Après donc ce présent offert comme un cadeau permanent - nous rencontrons le quotidien comme une quote-part. D'où le titre du texte premier : "Le mot "quotidien" serait une quote-part de quoi donc ?"…Afin de retenir l'attention. Quel autre moyen à votre avis ? Qu'auriez- vous donc fait vous qui surpassez tant et tant un pauv'con comme moi? Daignez nous faire l'aumône, pour une fois, de vos omnisciences  !!!

 

Le mot " quote-part " est génial, puisqu'il participe de plein pied, en direct, ici et maintenant, au PARTAGE. C'est un mot de répartition donc de partage en train de se faire, de s'effectuer sous vous yeux (ravis? ébahis? rancuniers? coochezzz svp!)… quote-part ou part de gâteau, c'est itou, c'est pareil, c'est kif kif !!! Alors que le mot "quotidien" appartienne à la même famille lexicale que quota, quote, quotité, quantité, etc – devient prodige du fait qu'il prouve qu'il en est déjà AU STADE PRATIQUE. Que plus rien ne peut arrêter la poursuite de son œuvre…

 

Qu'il a donc franchi l'étape où l'on discute "on partage ou on not partage"…on va couper des bouts de ficelles en quatre à se dire (tant de temps!) on fait on fait pas on le refait on se refait pas on se la fait tu nous la fait pas ils nous la ferons pas, etc - Le mot " quotidien" lui s'en fout de ces hypocrisies sociales, de ces preuves accumulées de refus de penser et d'aimer en vrai ; lui, il a déjà tranché, il ne discute plus là-dessus. Terminé. Pour lui tout est clair on PARTAGE et c'est tout. Y'a ka le faire, plus en disputer, discuter. Et après cela il ne serait pas en avance sur nous ?

 

En avance ou en avant ?

Comme nous sommes encerclés de quotidien, nous sommes encerclés de PARTAGE latent mais patent, qui n'attend plus  que le départ des parts !!! Ce n'est pas rien, c'est plus qu'une bonne nouvelle à répandre partout dans tous les …quotidiens, non ? Si vous aimez au moins quelqu'un n'est-ce pas le plus beau mot à lui offrir ?

 

Le langage entier souligne à foison que le lieu de tous les partages ne peut être que le plus quotidien. Là où est la vie de TOUS. Qui manque à l'appel du quotidien ? Qui est absent à ce point là de sa vie ? Donc le présent de l'éternel cadeau et le ras des pâquerettes de la vie de "tous" les jours (oùskkkkkooooonpeut te chouraver un jour dans ta vie de "tous" les jours ?) constituent les bases les plus concrètes, pratiques, terre à terre – de la REPARTITION des richesses. De partir de répartir. De répartir le chacun sa part…Du partage bien réel de chacun sa part…

 

Le langage a déjà entièrement opté pour le partage en grand. Quote de quotidien en est la preuve lexicale tout autant que juridique. Plus les autres auront leur part plus chacun possèdera beaucoup "d'amour social". Cet amour que peu éprouve, encore, et qui va survenir en immensément grand lors de l'époque du partage réel….

 

N'est ce pas plus fort, plus jouissif que tout autre scoop ? Le collectif reste supérieur à chacune de ses "parties" qui voulaient nous faire gober l'inverse mais ne le peuvent plus – voici qui ne peut manquer de remplir de délices somptueux les cœurs purs…Quote-part c'est participation, contribution ou cotisation – bref, vous revient le clair écho de votre écot.

 

N'est-ce pas magnifiquement porteur que les mots trans- portent ce qui nous dépasse  tant ? Le quotidien demeure ce que chacun d'entre nous vit le plus dans sa vie, non ? Le partage n'y pourra donc qu'y être ressenti et vécu INTENSEMENT !!!

 

( à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org,   onglet 2  " Comment devenir un(e) athée du capitalisme" et onglet 1 "Présent !",  onglet 2 "Je ne parle plus à qui a raison" et  onglet 2 "Légalité de l'égalité" entre autres,

Publié dans sciences

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article