Le corail abandonné ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le corail abandonné ?

Ni un végétal, ni un minéral - le corail est un animal, un animal essentiel à la biodiversité de la planète. Puisque, s’il occupe seulement 0,10 % de la surface des océans, il en abrite 30 % de sa vie. Le tiers. Sa place est donc primordiale. Puisque c’est le « plus grand animal vivant du monde ». Or les prises de conscience (sur le modèle sauvez les baleines et sauvons les dauphins, etc.) restent peu probantes : comme si tout ce qui est essentiel était saboté ? Seuls des humains trop médiocres semblent capter l’attention des majorités. Comme seuls des faits très secondaires occupent leurs têtes toujours plus distraites ? Face à tous les défis, nous ne pouvons pas dire que les pensées collectives soient à la hauteur. Vraiment pas. Normal, tout ce qui est porteur de réelles solutions est écarté ! Si ces majorités savaient combien elles déçoivent les grands esprits et les cœurs d’or – peut-être feraient elles enfin des efforts bien visibles ? Indifférences et immobilismes ne sont pas, en tout cas, des attitudes dignes de vrais humains !

« Animal primitif proche des méduses, ou bien, comme sa cousine l’anémone de mer, le corail fait partie du sous-embranchement des cnidaires. Les cnidaires sont des créatures marines porteuses de cellules urticantes (classe des Hydrozoaires). Le terme corail recouvre plus de 7 000 espèces aux formes et couleurs très diversifiées. Le corail est un véritable fossile vivant. Les plus anciens récifs coralliens remontent à l’Ordovicien, environ 500 millions d’années avant notre ère.

Voilà des millénaires que le corail est exploité par l’homme pour sa beauté. Aujourd’hui, on prend conscience que les récifs sont fragiles et pas inépuisables. De plus, sans le corail, il n’y aurait pas de récifs coralliens qui abritent une vie animale et végétale très importante. Il est donc indispensable de préserver les coraux qui sont les organismes bâtisseurs des récifs. »

( Source : http://www.dinosoria.com/corail.htm)

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« Des chercheurs australien de l’université James-Cook ont annoncé, le 10 avril, que les récifs de la Grande Barrière de corail en Australie avaient connu un épisode de blanchissement sans précédent, et ce pour la deuxième année de suite, et qu’ils n’ont aucune chance de s’en remettre. Leurs craintes ont été confirmées par des observations aériennes de ce site inscrit au patrimoine de l’humanité depuis 1981.

La-grande-barriére-de-corail-ne-se-remettra-pas-du-réchauffement-des-eaux

L’écosystème qui s’étend sur 2 300 km – le plus grand du monde – avait déjà subi en 2016 son plus grave épisode de blanchissement jamais enregistré, en raison du réchauffement des températures de l’océan en mars et avril. « Des coraux qui ont blanchi ne sont pas nécessairement morts. Mais dans la partie centrale [de la Grande Barrière] nous nous attendons à des pertes très élevées », a déclaré James Kerry, biologiste à l’université James-Cook, qui a coordonné les observations aériennes. « Il faut au moins une décennie pour le rétablissement total des coraux qui grandissent le plus vite, a-t-il expliqué. Alors deux épisodes graves de blanchissement à douze mois d’intervalle font que les récifs endommagés en 2016 n’ont aucune chance de se rétablir. »

Le blanchissement des coraux est un phénomène de dépérissement qui se traduit par une décoloration. Il est provoqué par la hausse de la température de l’eau, qui entraîne l’expulsion des algues symbiotiques qui donnent au corail sa couleur et ses nutriments. Les coraux perdent alors leur couleur et leur source de nutriments pouvant mener à la mort de ces organismes sur de très vastes surfaces.

Les récifs peuvent s’en remettre si l’eau refroidit, mais ils peuvent aussi mourir si le phénomène persiste. L’épisode de blanchissement en cours est le quatrième après ceux de 1998, 2002 et 2016.

Entre l’année dernière et cette année, 1 500 kilomètres de récifs ont été affectés par le blanchissement, a déclaré Terry Hughes, de l’Université James Cook. « Ce qui fait que seul le tiers sud du récif est indemne ». « Le blanchissement est lié aux températures records provoquées par le réchauffement climatique », a-t-il expliqué. »

Vidéo: -le-blanchiment-d'un-corail-en-accéléré

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« La Grande Barrière de corail est une véritable merveille du monde vivant : avec 2 600 kilomètres de long pour une superficie de 344 400 km2, elle est la plus grande structure créée par des organismes vivants du monde. [[donc à admirer sans fin – les cœurs médiocres n’admirent plus que leurs égoïsmes à très courtes vues !]]. Située dans les mers chaudes au large du Queensland, en Australie, elle abrite d’impressionnantes colonies de coraux qui forment les lieux de vie de nombreux organismes vivants. Les coraux abritent notamment des zooxanthelles, des algues unicellulaires qui, en l’échange d’un abri et d’une exposition à la lumière suffisante, fournissent les coraux en oxygène. Ce phénomène de symbiose est indispensable à la préservation des coraux dans les mers chaudes puisque celles-ci sont très pauvres en plancton ; les algues symbiotiques sont donc la source principale de nutriments pour les coraux.

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Ce monument grandiose érigé par la collaboration de milliers d’organismes vivants différents, se trouve aujourd’hui en grand péril et risque d’être amputé d’une partie importante de ses récifs… Si nous n’agissons pas, il disparaîtra même bientôt dans son intégralité. »

Pourquoi toujours abandonner les merveilles pour la médiocrité et le sans valeur ? Le business arriéré (venu d’occident) ne s’occupe que de pacotille, de colifichets dont même les primitifs ne veulent pas : est-ce ainsi que de se prétendre modernes ? Pourquoi jeter les merveilles et se précipiter sur les bimbeloteries ? Pourquoi fuir les grandes pensées et se réfugier dans les enfantillages indignes ? Cela ne sert à rien, non plus, d‘inscrire au patrimoine de l’Humanité ? Du moins tant que ne sont pas, enfin, placés – de la manière la plus adulte possible – l’ensemble des fonctions vitales en « biens communs ». Ce qui implique, symétriquement, de considérer les fous du profit comme de dangereux enfants immatures.

En effet, leurs profits coûtent si cher à tout le monde à la vie, à la survie même – que nul ne sensé ne peut admettre ces délires sous le nom de « profits ». Ils brandissent, complètement inconscients, un. Mais ce « un » coûte 10 000. Il suffit donc de décider que le profit est une forme très égoïste régressive qui aveugle qui l’endosse. Et qui ne lui permet pas de percevoir que « son » profit coûte démentiellement trop cher. Que son égoïsme insensé est bien une catastrophe collective. Qui entraîne toutes les autres…

C’est le profit fou qu’il faut abandonner – et surtout pas le corail !

…………........………….. Le « plus grand animal vivant du monde »

 

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Le profit ? Oui ce sont les incultes qui y ont la parole, qui y prennent beaucoup trop de place…or un inculte qui a , en plus, le cœur vulgaire dévaste le monde. Vu qu’il demeure insensible à tout ce qui n’est pas son…monstrueux égoïsme…Il est temps de revenir à la sensibilité, à l’intelligence, à la culture si chaleureuse et de quitter les frimas mortels des …profiteurs, ces petites frappes sans foi ni lois du profit fou !

En illustration des folies flagrantes portées par le profit trop insensible ? « Un rapport de l’Australian Institute évalue à presque 800 millions d’euros les pertes de recettes touristiques du pays liées à la dégradation des récifs coralliens. » Voici, seul qui « peut » toucher ces sensibilités si atrophiées. Sans les qualités, les quantités ne sont que masses amorphes (du grec morphê, forme) donc qui forment oui des amas informes, d’où ne sort rien qui nous informe, qui inForme. En conséquence, et une fois pour toutes, le chiffre n’est qu’une inFormation accessoire pas de celle qui peut décider pour tout le monde. Seuls les lâches se planquent derrière les chiffres, c’est tellement connu !

« Selon les sondages de l’Australian Institute, les touristes internationaux mettent la Grande Barrière à la première place des attractions touristiques du pays, à égalité avec l’opéra de Sydney. Mais si le blanchiment des coraux continuait, un tiers des touristes américains, 55 % des chinois et 27 % des britanniques interrogés choisiraient une autre destination pour leurs vacances. Les zones touristiques de la Grande Barrière à elles seules pourraient perdre 1,1 million de visiteurs – australiens et internationaux – et 931 millions de dollars australiens (soit environ 617 millions d’euros).

Pour inverser la tendance, la solution se trouve dans la politique énergétique du pays. En 2014, le Queensland a exporté 207 millions de tonnes de charbon (Queensland Government), et si cet Etat était un pays, il serait le huitième plus gros producteur mondial. En témoigne la construction, en 2012, de la gigantesque mine de Gladstone – sur la côte nord-est – à environ 80 km de la Grande Barrière de corail.

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En conclusion de son rapport, l’Australian Institute souligne que « l’industrie du charbon menace le secteur du tourisme ». C’est aussi ce que pensent 74 % des sondés internationaux de cette enquête, pour qui « l’Australie devrait sortir du charbon et le remplacer par des énergies propres afin de protéger la Grande Barrière ». Et la majorité des Australiens interrogés estiment que « la Grande Barrière est plus importante que le charbon pour l’économie de l’Etat du Queensland, et [qu’il] présente un plus fort potentiel de création d’emplois ».

Les élections fédérales, du 2 juillet 2016, qui avaient pour objet de renouveler les 150 sièges de la Chambre des représentants et les 76 sièges du Sénat, la Grande Barrière de corail avaient constitué un enjeu politique. Signe défavorable : en mai 2016, le gouvernement avait fait disparaître un rapport de l’Unesco faisant état des menaces du réchauffement climatique sur son patrimoine mondial. » (…article daté du 21 Juin 2016)…Aux dernières informations, les lobbyistes fous qui, décidémment ne comprennent rien aux « vraies » affaires, vont préférer le charbon. MALGRÉ L’AVIS DES MAJORITÉS. C’est dire ! Lobbies = groupuscules très minoritaires ; et lobbies = ennemis de la raison et de la vie. Qui n’agissent que contre les intérêts du plus grand nombre. Mondialement et localement. Cela commence à être lourd comme passif. L’interdiction de tout lobby représenterait bien une des plus gigantesques économies collectives.

La triste vue que qui s’égare dans les seuls chiffres, égare aussi sa hiérarchie des valeurs (oui qui exige d’autrui d’obéir aux ordres doit connaître à fond la « vraie » hiérarchie des valeurs et y…obéir pour son propre compte !)…ce qui nous avoue qu’ils sont vraiment paumés, leurrés, perdus. Dans ces rapports chiffrés mais qui omettent… 80 % du réel (donc le décodex omet 80 % du réel dans ce qu’il ose nommer « les faits » ?), ils sont pris la main dans le sac de l’irrationnel. Ils ont rien à foutre du corail mais pas du tourisme…or, sans corail, pas de tourisme. Qui est donc, au sens normal du terme, fou ? Pas qui veut sauver le corail en tout cas. Se dressent, enfin, toutes les preuves…rationnelles et solidement argumentés que le capitalisme représente bien un monde à l’envers. Qui n’est jamais dans la réalité. Qui la fuit même. Et qui, grave handicapé, ne peut survivre à un seul débat de fond et ne peut que laisser toujours réparer ses inexcusables dégâts par les autres. Complètement irresponsable et inconscient : se précipiter sur tout ce qui brille est une maladie grave qui répugne non un glamour qui attire et séduit…Commencer par le début c’est donc abolir tout capitalisme, cette grave régression qui ne peut que surpasser toutes les autres !

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Animal, et le plus grand du monde, indispensable pour le maintien de la biodiversité et de la survie directe de 30 % de la vie marine – le corail est abandonné devant le péril. Pour la seconde année consécutive, les récifs coralliens sont touchés par le phénomène de blanchiment (celui de l’argent devenu sale aussi). Ce qui veut dire qu’ils ne vont pas s’en sortir. Alors qu’ils sont inscrits au patrimoine de l’Humanité. Est-il possible d’être plus précis que de scander qu’ils sont « notre » patrimoine, donc « notre » responsabilité ? Que faut-il faire afin de limiter les prédations humaines ? Sinon redéfinir toutes nos priorités collectives ! Ce qui n’est tout de même pas hors de notre portée.

En tout cas, le texte aura présenté la vérité de notre grand ami le corail et situé le danger qu’il court.

………………………….Abandonné par ses amis humains.

 

……… (à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

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Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Des coraux en mer Rouge. By Utnapistim

Des coraux en mer Rouge. By Utnapistim

Le corail abandonné ?
Que tant touristique est donc le corail

Que tant touristique est donc le corail

© dinosoria.com

© dinosoria.com

© dinosoria.com

© dinosoria.com

Les larves, en très grand nombre, forment de véritables nuages. Les larves flottent pendant une à huit semaines environ en utilisant les courants. À ce stade-là, la larve est capable de se nourrir du zooplancton. By Lazlo-photo

Les larves, en très grand nombre, forment de véritables nuages. Les larves flottent pendant une à huit semaines environ en utilisant les courants. À ce stade-là, la larve est capable de se nourrir du zooplancton. By Lazlo-photo

Des tentacules imposants qui peuvent attraper des proies importantes. By Lucas Thompson

Des tentacules imposants qui peuvent attraper des proies importantes. By Lucas Thompson

Une colonie de Dendrogyra cylindricus. Les piliers peuvent s'élever à plusieurs mètres de haut. By Commander William Harrigan, NOAA Corps (Ref 2552)

Une colonie de Dendrogyra cylindricus. Les piliers peuvent s'élever à plusieurs mètres de haut. By Commander William Harrigan, NOAA Corps (Ref 2552)

Récifs de corail mort. By Delta-407

Récifs de corail mort. By Delta-407

Découvrir la grande barrière de corail à travers les yeux d'une tortue

Le plus grand récif corallien du monde est-il en sursis ? Les chercheurs tirent en tout cas la sonnette d'alarme, car le récif est touché à 93% par le phénomène de blanchissement des coraux. Un phénomène dû à la hausse de la température de l’eau

Franck le Corail a vécu tranquillement sur la Grande Barrière de Corail depuis 400 ans. Mais Franck a remarqué que depuis le siècle dernier, l'Océan a commencé à se réchauffer peu à peu… jusqu’en 2016 où la température de l’eau est devenue particulièrement élevée, mettant en danger la vie de Franck. Comment cet ancêtre peut-il résister au changement climatique ? Découvrez la nature du corail et les dangers qu’il court à cause du réchauffement climatique grâce à cette animation vidéo.

La grande barrière de Corail va disparaître dans quelques mois en Australie ! Catastrophe écologique. En cause, selon le Bureau de la météorologie, une élévation de 1 à 2,7 °C de la température de l’eau. Un phénomène directement lié au réchauffement climatique pour les scientifiques de l’université de Melbourne, sans lequel « un blanchiment aussi important aurait été pratiquement impossible ».

Alors que les fortes majorités mondiales et australiennes disent faut abandonner le charbon pour le corail – les archi minorités des lobbies disent l’inverse. Vont-ils continuer à œuvrer sans cesse contre l’intérêt du plus grand nombre ?

Bande annonce de "Palau, la république de corail", un 43' de Martin Blanchard

Afin de protéger les requins de la Grande Barrière de corail, ils rachètent toutes les licences de chasse - WWF

à la découverte d'une ferme de corail en France.

Si le corail n’occupe que 0,1 % de la surface des océans il produit 30 % de la nourriture – Comment se mettre au niveau des endormis parisiens qui croient tout comprendre mais prouvent qu’ils ne captent jamais rien ? Pédagogie très active.

Les poissons qui habitent le corail...ôôôôh ils sont zolis...ils ont qu'à crever, dit le profit qui n'aimerait donc pas les enfants. Qui alors ? Qui ?

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