Le triomphe de l’entraide
Longtemps, aura été présentée la compétition comme un phénomène inséparable du vivant. Une indiscutable vérité naturelle. Or, c’est faux : c’est une idéologie peu reluisante qui a « inventé » cette fable de la lutte de tous contre tous. Désormais, explique le biologiste Pablo Servigne, la science démontre, bien au contraire, l'importance essentielle de l'entraide chez les plantes, les animaux et les hommes. Cette révolution conceptuelle – outre qu’elle révèle l’imposture fondatrice complète des bourgeois et de leur capitalisme (uniquement basé sur un flot de mensonges) – nous dessine fermement sur quoi refonder la nouvelle civilisation. Qui piaffe toujours plus d’impatience…
Il s’agit juste d’abolir le trucage capitaliste, source de tant de malheurs injustes, et d’instaurer un monde d’équilibres, de partages et d’apprentissage des intelligences collectives. Depuis Kropotkine et son «l'Entraide, un facteur de l’évolution », la science s’est enfin penchée sur la vérité de Darwin. Qui n’a surtout jamais fait l’éloge des inégalités brutales et cupides (cet échec de vie…) de l’argent mais bien démontré la prévalence de la solidarité et de l’entraide animales et végétales qui nous ont précédé. C’est bien l’entraide qui fait que l’évolution existe. La défiguration, particulièrement calomniatrice de son œuvre, est enfin montrée du doigt, dénoncée et Darwin est, désormais, réhabilité : jamais il n’a parlé de la loi du plus fort comme facteur d’évolution comme des droits si illégaux que cela aura entraîné. Nous retrouvons un vrai ami de l’Humanité. Dont les héritiers affinent son message…L’entraide reste le principal moteur d’évolution. Ce qui remet, si fortement, en cause des siècles de contre vérités…
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La-loi-de-la-jungle-n'existe-pas
L'OBS. Le livre que vous avez écrit avec Gauthier Chapelle a pour titre «l'Entraide. L'autre loi de la jungle». Vous y montrez comment la biologie du XXe siècle a délibérément surévalué les comportements de compétition dans la nature, en minimisant l'importance de la coopération. D'où cela vient-il?
Pablo Servigne. Comme toute représentation culturelle, l'idéologie de la compétition est le fruit d'un processus progressif. On peut dater son apparition au XVIIe siècle, lorsque, dans la foulée des guerres de Religion, les moralistes et les économistes ont cru trouver une bonne idée: en laissant s'exprimer l'égoïsme de chacun sur le plan économique, on permettrait à la société de retrouver son équilibre, grâce à la «main invisible» du marché.
Frans de Waal : “L'espèce humaine doit cesser de se surestimer”
Deux siècles plus tard, la théorie de Darwin a été interprétée dans ce sens-là, notamment par le philosophe Herbert Spencer, dont la pensée donnera naissance à l'idée d'un «darwinisme social». Enfin, dans la deuxième partie du XXe siècle, la génétique et la sociobiologie sont venues renforcer cette mythologie.
Or, depuis quarante ans, de nombreux travaux ont remis en question cette pseudo-évidence et ont montré que l'entraide est un mode d'interaction majeur au sein d'une même espèce, mais aussi entre espèces. »
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« Notre société complètement faussée nous lance très jeune dans une compétition les uns envers les autres. Certains supportent très bien cet environnement et livrent une féroce [[et si infondée]] compétition à leurs pairs. D’autres s’écroulent rapidement dès leurs premiers pas dans cet environnement et n’acquerront jamais un esprit compétitif. Je suis de ceux-là.
L'entraide-un-facteur-de-l'évolution-plus-important-que-la-compétition
En effet, je déteste la compétition depuis mon tout jeune âge. À l’école élémentaire, je me refusais systématiquement à fournir l’effort compétitif [[ puisque contre-naturel]] demandé lors des cours d’éducation physique. Frêle et petit, je n’étais pas de taille à affronter la compétition sportive, tant au sien de mon équipe que de l’équipe rivale. Il en allait de même sur le plan intellectuel. J’ai rarement eu des notes au dessus de la moyenne. Bref, je ne trouvais aucune motivation dans la compétition [[ si artificiellement construite !]].
Cette contre performance n’affectait en rien ma confiance en moi parce que je n’accordais aucune valeur positive à la compétition. Je demeurais neutre tant face aux vainqueurs qu’aux perdants, pour autant que je n’en faisais pas frais. J’ai connu des gens très compétitifs au fil des ans, des gens en compétition constante dans leur vie personnelle et professionnelle. Souvent, ils ne connaissaient que la loi du plus fort ou la prétendue loi de jungle. Pour eux, seuls survivent ceux qui sont capables de s’élever au-dessus des autres par élimination de la compétition, ou capables de marcher sur la tête des autres, généralement sans scrupule, pour se hisser au sommet de la pyramide. C’est sans doute pourquoi, dans ma vie professionnelle, j’ai toujours cherché à me spécialiser dans des domaines très pointus, souvent innovateur, où je me retrouvais seul, sans compétition directe.
J’ai grandi dans une famille politisée à l’extrême par solidarité avec un oncle élu député pendant vingt ans. Il n’y a pas un domaine où la compétition règne autant en roi et maître que la politique active. Il va sans dire que j’ai rejeté ce modèle de vie compétitif dès l’adolescence, et ce, au profit d’un autre modèle qui me semblait à l’opposé : l’entraide. Mon bonheur tenait et tient encore aujourd’hui à l’aide que je peux apporter aux autres.
Et je tiens à la naïveté dans toutes ses déclinaisons qu’implique le modèle d’entraide puisqu’il faut s’oublier soi-même pour être réellement utile à l’autre. Sympathiser ne me suffit pas; il me faut compatir avec l’autre.
C’est dans ce contexte que j’ai pris contact cette année avec une autre théorie de l’évolution liée à l’entraide et avancée par le penseur et scientifique russe Pierre Kropotkine (1842-1921). Il fera connaître sa théorie dans un ouvrage intitulé L’Entraide, un facteur de l’évolution paru en 1902 durant son exil à Londres. J’ai appris l’existence de ce livre lors de l’entrevue accordée par Francis Dupuis-Déri dans le cadre de l’émission Les publications universitaires à la suite de la parution de son livre Démocratie – Histoire d’un mot.
La théorie de Pierre Kropotkine s’oppose à celle Charles Darwin fondée sur la sélection naturelle et exposée dans livre De l’origine des espèces (1859). «En biologie, la sélection naturelle est l’un des mécanismes qui cause l’évolution des espèces. Ce mécanisme est particulièrement important du fait qu’il explique l’adaptation des espèces aux milieux au fil des générations. La théorie de la sélection naturelle permet d’expliquer et de comprendre comment l’environnement influe sur l’évolution des espèces et des populations en sélectionnant les individus les plus adaptés et elle constitue donc un aspect fondamental de la théorie de l’évolution. De façon sommaire, la sélection naturelle est le fait que les traits qui favorisent la survie et la reproduction voient leur fréquence s’accroître d’une génération à l’autre. Cela découle « logiquement » du fait que les porteurs de ces traits ont plus de descendants, et aussi que ces derniers portent ces traits (puisqu’ils sont héréditaires).» Source : Wikipédia [[ cette énonciation incomplète est, en effet, le point faible de Darwin. Il dit « sélection par les plus adaptés » pas par les plus forts. Sa pensée aura été, par-là, forcée contre sa volonté. Mais c’est une redondance qui se ferme sur elle-même : le plus adapté étant celui qui…s’adapte le mieux. Aucune explication ne peut surgir de ce concept raté. Pire, qui s’appuie sur ce vide du concept ne fait que se ridiculiser. Il y a bien une évolution humaine mais la mise en avant de ce qui la produit est loin d’être très bien formulée…]]
«Le scientifique Pierre Kropotkine oppose l’entraide aux théories du darwinisme social sur la sélection naturelle [[ non formulé par Darwin ce « darwinisme antisocial »]]. Selon Kropotkine, le darwinisme social retient principalement le critère de « la sélection naturelle par le plus fort » (Charles Darwin notait aussi l’importance de l’altruisme). Kropotkine critique cette conception restreinte de l’évolution de l’humanité, en posant en détail des exemples du facteur d’entraide dans l’évolution des espèces, dont l’espèce humaine, mais aussi entre groupes humains.» Source : Wikipédia
Dans la pratique de l’entraide, qui remonte aux plus lointains débuts de l’évolution, nous trouvons la source positive et certaine de nos conceptions éthiques : nous pouvons affirmer que, pour le progrès moral de l’homme, le grand facteur fut l’entraide et non pas la lutte. Kropotkine s’insurge contre la vision réactionnaire et dangereuse pour la vie en société où « l’homme serait perçu comme un loup pour l’homme » : qui est, selon lui, irréaliste et vient d’une vision de société particulièrement cruelle.» [[ et qui appartient aux utopies perverses pas aux démonstrations scientifiques : aucune vérité dans cette barbarie…]]. Source : Wikipédia
À la fin du XIXe siècle, des hommes de science présentaient la nature et la société comme un univers de rareté, où se déroule un « spectacle de gladiateurs », une «mêlée générale perpétuelle »; les plus forts, n’agissant qu’en fonction de leur intérêt individuel, en sortent victoriens-victorieux, assurant ainsi le progrès. Ces thèses faisaient bien l’affaire des économistes libéraux: elles donnaient au capitalisme une justification « scientifique » [[ qu’il n’a donc plus : c’est une barbarie infondée qui délire, en plus, dans la métaphysique irrecevable d’un god we trust]]. Depuis la fin des années 1970, avec la montée du néolibéralisme, ces idées sont revenues au goût du jour: invoquant la responsabilité individuelle et les bienfaits de la compétition, on voue un culte aux « battants », aux « gagnants », aux «conquérants »…[[ mais, là, est révélé à quel point sont perdues son humanité et sa raison : l’homme des concurrences cruelles n’est donc qu’un monstre antisocial. Et n’a plus aucune excuse…]].
Dans L’entraide, un facteur de l’évolution, le penseur russe Pierre Kropotkine (1842-1921) proposait plutôt, exemples à l’appui, une conception du progrès dans la nature et la société fondée sur l’entraide et la sociabilité. Homme de son temps, il faisait certes preuve du même scientisme naïf que les savants qu’il pourfendait, mais il a le mérite d’avoir mis en lumière des comportements animaux fascinants et des réalités historiques et culturelles trop souvent oubliées, comme l’espace politique autonome qu’ont constitué les cités libres du Moyen Âge. Théoricien de l’anarchisme, Kropotkine comptait ainsi enraciner les idéaux de liberté et de municipalisme. Après avoir réfléchi sur l’économie, le travail et l’industrie dans les œuvres marquantes qu’ont été La conquête du pain (1892) et Champs, usines, ateliers (1899), il partait, dans L’entraide (1902), à la recherche des fondements mêmes d’une éthique universelle.
(…) Avec L’Entraide, Kropotkine s’oppose frontalement à l’idée de Hobbes d’un état de Nature de guerre permanente de tous contre tous. Par de nombreux exemples empruntés aux scientifiques de l’époque [[ en 2017, ces exemples probants pullulent encore plus]] où à ses propres observations, il décrit un état de Nature où l’entraide prend le pas sur la compétition, et montre à quel point l’entraide est primordiale dans les sociétés humaines. Son originalité tient au fait qu’il s’oppose au darwinisme social avec des arguments naturalistes. Partant à la recherche des fondements biologiques de l’entraide, il prend à contrepied la majorité de la gauche qui adopte (et adoptera par la suite) une conception anti-déterministe de la nature humaine basée sur la « tabula rasa » [Concept selon lequel l’esprit humain naîtrait vierge et s’imprimerait par la seule expérience.]. Du point de vue scientifique, Kropotkine fait deux avancées majeures. D’abord, il est le premier à montrer que l’entraide est omniprésente dans le monde animal et dans les sociétés humaines. Sans rejeter la théorie de la sélection naturelle, il avance que l’entraide serait même un des principaux moteurs de l’évolution. Pour Kropotkine, la « loi de la jungle » ne serait plus la loi du plus fort, mais l’entraide. Ensuite, il est le premier à mettre en évidence le rôle prépondérant des conditions écologiques dans l’évolution de l’entraide. En effet, depuis un siècle, de nombreux scientifiques ont toujours minimisé voire nié cette influence, préférant se concentrer uniquement sur les causes génétiques de l’entraide ou de l’altruisme. C’est de ce courant de pensée qu’est née la très polémique sociobiologie d’Edward O. Wilson (1975). »…Ces temps sombres et qui déshonorent l’Humanité prennent fin. La pensée exigeante aura ôté tout argument à ces graves régressions collectives qui se faisaient passer pour le…progrès. Allant jusqu’à semer découragements infondés, démoralisations perverses et visions sales de l’Humanité déchue à jamais.
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Qui n’a jamais cru à ces chimères, qui ne s’est jamais découragé, qui a tenu tête aux fausses élites actuelles, qui aura été piétiné par les méfaits des médias vendus, etc. triomphe donc désormais. Sa vérité devient la vérité partagée collective. En lui, son cœur est en fête. Les ricanements, qui défigurent les visages malsains des capitalistes, ne font que souligner à quel point les libéraux ont toujours eu peur des vraies pensées…
…de celles qui mettent fin à leur pitoyable et hideux règne de mensonges partout.
………Par contraste – la nouvelle civilisation sera vraiment très belle !
….…….....(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
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Gauthier Chapelle est ingénieur agronome et docteur en biologie. Après son doctorat en Antarctique au sein de l’Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique, il a travaillé comme collaborateur scientifique à la Fondation Polaire Internationale de 2002 à 2007. Co-fondateur de l’association Biomimicry Europe et du bureau d’étude Greenloop, et auteur de l’ouvrage ‘Le Vivant pour modèle, la voie du biomimétisme’, de 2015
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https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Entraide,_un_facteur_de_l%E2%80%99%C3%A9volution/Chapitre_I
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