L'argentment largement – Histoire véridique de l’argent !!!

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Une voyante nous aborda, en nous glissant cette phrase "l'argent est le sang de la société, il ouvre toutes les portes …" Préférant la simple prévoyance à la voyance, nous poursuivîmes. Mais l'argent s'était fiché dans notre conversation.

-  Qu'est- ce que l'argent t'a ouvert comme portes ?

-  Qu'est ce que, sans argent, t'aurais pas pu faire ?

-  Le "mur de l'argent" c'est clairement du langage d'ennemi ça ! du très inégalitaire, il s'octroie ce qu'il refuse, trop illégalement, aux autres…

-  Plaie d'argent, ne serait pas mortelle ? outre que ceci semble dit par des individus qui refusent tout partage (l'état vraiment "naturel" des sociétés), cela trace (subliminal) les certitudes que l'argent n'est pas essentiel du tout…

 

-  Aucune photo revenant de l'univers le plus lointain, aucune image issue du fonds de l'océan,  du sommet des montagnes ou des endroits les plus reculés de la Terre, aucun savoir sur les animaux, les végétaux ou les minéraux n'offre la moindre réalité à l'essentialité de l'argent. Il ne se montre nulle part sauf dans "l'artificialité" locale des conventions humaines (rappelons aux détraqués de la bourse que l'argent "n'est qu'une" convention non une réalité !). Aucune universalité donc à ce qui ouvrirait toutes les portes …

-  Scientifiquement, l'argent n'existe donc pas du tout. Ce n'est qu'un artifice très local qui semble répandre bien plus de catastrophes qu'il ne résoudrait de problèmes.

-   Bref, c'est plus un poison qu'un baume. Mais un poison dangereux puisque c'est la seule bombe systémique existante. Lui seul peut détruire la planète. Le terroriste très sournois..

-   Pendant que les esprits immatures s'entêtent (se tartinant toutes les excuses mais les refusant, pitoyablement, toutes aux vrais génies !) à faire l'autruche débile du "plus on fait mumuse plus on s'en sortirait" – plus la gravité des problèmes nous contraint à tout expliciter !!!

 

A décanter tous les souvenirs, nous n'avons pu aboutir qu'à un urticant, avec ou sans argent, notre vie passionnée et aventurière aurait peu changée. Ceci, pourtant, est défavorable à l'argent, argument en creux (il ne tient aucune de ses promesses) puisque sur tout ce qui concerne l'existentiel – il ne sert à rien du tout ! Seules, les matérialités ont un peu besoin de lui. Donc l'argent s'avère bien plus souvent un obstacle social qu'une aide évidente…C'est, plutôt, un ennemi du nous noué. Il divise tellement plus qu'il n'unit. Il aveugle tant et tant sur la "valeur" de soi- même, sur la préséance des égoïsmes (tous sans issue !) que nous piétinons les autres pour ces abstractions. Il nous prive vraiment de la complicité d'autrui !!!

 

Avec ces paradoxes, chevillés au corps, nous continuâmes à vaquer. Mais le filet était là et, aussi, ramassa-t-il toutes les perles. Un ami "l'argent à besoin de moi, je n'ai pas besoin de lui. Toutes mes forces sont tendues à le contourner : j'y parviens plus souvent qu'il ne me nique." Une amie, un autre jour: "aucune de mes décisions importantes n'a pris en charge l'argent. Je me suis toujours décidée hors de lui." Etc.

 

Armé de ces quelques joyaux très sûrs, je plongeai dans la méditation transcendantale, telle une pure technique de concentration dénuée de toute visée religieuse. Les images mentales y deviennent tellement plus lentes qu'elles obtiennent tout le temps nécessaire pour nous imprégner de tout leur savoir. Me scruta, ainsi, un intérêt temporaire que j'eus pour Bouddha, prince comblé qui, croisant des miséreux, acquit la certitude que "la vie la plus princière est celle des pauvres". Distinguer misère et pauvreté (la pauvreté n'est pas dégradante, vous avez juste le nécessaire, et aucunes blessantes gênes). Sa pensée m'emplit de délices que les individus qui haïssent (ou "on" les a manipulés pour…) l'intelligence ne peuvent même s'imaginer. L'intelligence ouaippppppppp ça rend heureux : point barre ! Aucun argent ne peut remplacer ce genre de sensuelle extase. Puis, l'image de François d'Assise m'ouvrit, paisiblement, au "être heureux avec rien" d'Epicure. Mêmes démarches même effets.

 

A ce sujet, vous rétorqueriez Saint François d'Assise …eh bien ! vous auriez tort. Le choix de ne pas mettre "saint" surgit du constat que personne ne suit leurs exemples et que les quelques qui le tentèrent furent amplement piétinés par leurs hiérarchies. Devant cette barbarie morale, pas de bonne conscience possible : refuser toute bonne conscience aux salauds, pas de rachats des indulgences. Le mot sainteté doit figurer comme un aiguillon à la mauvaise conscience. Que ce mot se fiche en eux tel un affront lucide : que l'inaccessibilité du saint aux bourgeois soit un savoir universel.  Et puis, vous rajouteriez que les "hédonistes" dominent notre société actuelle. Ces grossiers individus, se goinfrant de quantités écœurantes – ne connaîtront jamais les "qualités" inépuisables, ne vivront jamais les sensualités raffinées et tourneront toujours le dos à Epicure. Un hédoniste est un très rustique et absurde anti-épicurien. Point barre.

 

La simplicité demeure incompatible avec la régression capitaliste. Au lieu de se priver de tout, comme le capitaliste qui s'auto-punit de tout, le simple volontaire goûte à tout de l'univers.

 

S'installa en moi la sereine conviction que j'ai mené une "vie de prince hors des folies de l'argent"…Qui vous prend tellement plus qu'il ne vous donne !!! Devenu "la star des stars" pour avoir volé comme un oiseau ou avoir le soleil en moi, etc, j'ai pu vérifier de visu à quel point l'argent dégrade tous les rapports humains (hey ! je suis là, tellement facile de me demander ces savoirs – non ! ils préfèrent des contorsions ridicules et impraticables ! – vu qu'ils/elles n'ont toujours aucune info sur les items précédents!) ou sociales (tous ces individus qui vous "voient" comme si vous étiez "comme eux" c'est répugnant à la fin!)…

 

Alors, l'argentment largement ? Carrément – jamais il n'a de "largesses" mais est tellement rugueux dans ces perpétuels refus enrobés. S'il était vrai qu'il fournisse tant d'extases et de sensualités – nous apercevrions nos "gagneurs" partir, régulièrement, avec leurs gains, et VIVRE pleinement. Que non point: ils courent sans interruption après le fric comme un fou après son ombre. Preuve qu'il ne leur apporte rien sinon le leurre d'un jour ne se répéterait plus. Pourquoi faire trop, beaucoup trop, 10 000 fois trop, et plus, de pognon dans la pogne ? Ben, pour faire demain ce dont tu te prives aujourd'hui.

 

L'homme AVEC qualités supplante cette niaiserie à chaque seconde – une vie ardente vous connaissez ? – une pauvreté de "milliardaire de la vie intérieure" ça ça a de la gueule !!! A côté de l'accro au si fuyant flouze (pas si "valeureux" que ça le fric !), de nos rencontres avec de très riches ou quelques stars (et plus de quelques minutes de rencontres !), nous ont planté la certitude que "leurs vies intérieures sont ratées ".  Yes, l'argent ne leur sert à rien, existentiellement, POUR EUX- MÊMES. Mais mais (ce qui n'est jamais dit EST ce qu'il faut absolument dire !) cela leur sert "juste" afin de pourrir la vie des autres Etc…Là stop ! Vous connaissez, avec un petit effort, la suite…

 

L'argentment largement. En effet, clairement, il EMPÊCHE infiniment plus qu'il ne permet. Et, entre les mains de qui a raté sa vie intérieure (sinon pas le temps de nuire aux autres – trop passionnant ce que vous vivez), il ne sert que de multiplicateur de nuisances. Bref mocheté, minable, pitoyable et compagnie…

 

De la sorte, l'argentment très largement. Il a perdu toute possibilité d'être une "valeur".

Or nous ne défendons que "les valeurs". Comprenne qui voudra !

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

            tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

 

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L'Economie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 

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F
<br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> L'argent est une construction humaine devenue chimère, du moins, ce sont les premiers mots qui me viennent après la lecture de votre texte. Après tout, il est une invention, une création qui<br /> s'est pervertie avec l'usage qu'en font les avides de pouvoir. Laissé pour ce qu'il est, un moyen d'échange en confiance entre deux, il porte en lui un potentiel créateur, positif.  Et il<br /> est devenu objet- culte, ultime solution et réponse dans un mode matérialiste schyzophrène présenté comme seule possibilités ( normal puisqu'il sagit de pérénniser son existence et le pouvoir de<br /> ceux qui y ont gagné) ...  Serais- je à côté?<br /> <br /> <br /> Comme tout objet, ne compte pas tant ce qu'il est mais bien ce que nous en faisons.<br /> <br /> <br /> D'une convaincue de la sobriété heureuse.<br />
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