Lorsque le « moins d’Etat » est devenu le plus d’Etat…privatisé ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Lorsque le « moins d’Etat » est devenu le plus d’Etat…privatisé ?

La supercherie de « privatiser » les services publics pour sauver le…public (de qui donc ? Sinon du privé ?) a définitivement tombé le masque. Le moins d’état c’est, en fait, plus de réglementations et de bureaucraties. Vouées aux seuls intérêts d’une infime minorité de personnages non élus et absolument pas « publics ». L’état actuel de l’État c’est son envahissement par un… illégal État « privatisé » omniprésent. Qui ne représente ni la République ni la démocratie. N’a aucune base législative. Et ne repose absolument pas sur le Droit. L’état privatisé n’est pas un état de droit.

Difficile de saisir une telle glissante couleuvre afin de l’examiner de près…pourtant, aucune difficulté ne le reste longtemps lorsque nous nous sommes constitués de nombreuses « méthodes de pensée »…ici, disons que ce sera celle des « raccourcis et des angles d’attaques »…

Commençons, alors, par ce lien et extrayons-en des…extraits.

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http://next.liberation.fr/culture-next/2015/09/17/les-libertariens-sont-parmi-nous_1374248

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« On déteste les conservateurs, mais on hait vraiment les gauchistes », a lâché un jour Stone, alors que Parker a sa carte au parti libertarien… Selon Welch, le retour du politiquement correct serait en grande partie responsable de ce retour de flamme. « La gauche américaine aujourd’hui n’est pas fun ! [on voit la pertinence des arguments…] On est loin des années 70 et du sexe, drogue et rock’n’roll. Les démocrates sont prisonniers de la bien-pensance. Cette nouvelle rigueur morale de la gauche actuelle pousse de nombreux jeunes vers nous… »

Quels attraits y trouvent-ils donc ?

Le philosophe Eric Sadin acquiesce à regret: «Ils ont réussi à faire croire que leur forme de néo-ultralibéralisme avait une dimension inéluctable, car du côté du cool, de la liberté. Ceux qui ne sont pas d’accord avec eux sont des emmerdeurs crispés ou des rétrogrades […tout déjà d’apparence de sectaires…] : c’est effrayant.» En France, les libertariens restent discrets. Emmanuel Bourgerie, l’auteur du blog «Le French Libertarien»

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Sinon, en plus provocateur, Gaspard Koenig , 33 ans, qui a écrit à une époque les discours de … Christine Lagarde. Cet habitué des plateaux de télévision, est à la tête de son propre think-tank « Génération libre ». Où il préfère le terme «libéral», plus …frenchie [pour le moment, nous n’avons rencontré qu’une rhétorique de mode – pas d’une pensée rationnelle…]. Auteur en 2015 de « le Révolutionnaire, l’expert et le geek - combat pour l’autonomie ».

Dont voici l’argumentaire qui nage carrément dans l’irrationalité d’un conte de fées : « Un révolutionnaire sommeille en chaque Français, prêt hier comme aujourd'hui à briser les rentes et les privilèges. En même temps, un expert l'observe et le dirige, planifiant autoritairement la société. Et un geek lui tape sur l'épaule, l'entraînant dans le monde inconnu des nouvelles technologies, fourmillant de promesses et de menaces.

Ces trois influences parfois contradictoires [pour le moins…] nous font tourner la tête. Je vous propose donc de les interpréter à la lumière d'une nouvelle philosophie politique, fondée sur l'autonomie individuelle. Car ce dont la France a besoin, ce n'est pas d'un énième diagnostic économique, mais de principes solides dont on pourra déduire des réformes radicales.

Revenons au modèle révolutionnaire, ce « jacobinisme libéral » incarné par le député du Tiers État, Isaac Le Chapelier. […effectivement, le tropisme du commerce et de l’argent prend toute la place]. En effet, la loi Le Chapelier du 14 juin 1791, interdit les corporations, le compagnonnage, les coalitions ouvrières et le droit de grève.

Rejetons la tentation planiste, léguée par le régime de Vichy et responsable encore aujourd'hui de tant d'injustice et d'exclusion […ceci n’étant qu’une opinion hasardeuse, en aucun cas une démonstration rationnelle].

Apprenons à maîtriser l'utopie numérique, en imaginant un nouvel humanisme [ saura-t-il s’acclimater d’une telle idéologie ?] qui réponde aux défis de la Silicon Valley et un État 2.0 qui nous redonne le contrôle de notre destin numérique. [nous nous sentons dans le tout virtuel très nuagés…]

Pays des libertés, la France meurt de servitude volontaire […avec ces libertariens cela risque même d’augmenter]. Terminons, enfin, notre Révolution ! [ ah oui, où cela ?] Et chacun deviendra son propre maître [ au pays des lunatiques ?]. »

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Bien – pour le moment, pas un début de souffle de pensée rationnelle !!! Ce sont pourtant eux qui instillent les élites mondiales autoproclamées…

Et la lutte intellectuelle ? Un exemple ahurissant ? Au lieu d’admettre qu’Adam Smith est très anti financiers capitalistes, il bifurque vers sa prétendue « naïveté ». Ce qui donne…

http://www.lopinion.fr/14-septembre-2015/quelle-main-invisible-28068

Tristesse ! La main invisible apparaît à la fin de longs passages tendant à convaincre des avantages du partage…du travail. Au lieu de se charger de toutes les tâches, tout le monde a intérêt à les déléguer à des professionnels et se concentrer sur sa propre compétence…Aussi, de voir l’anachronisme de mélanger l’interventionnisme exagéré des multinationales actuelles ( tellement plus « monopolisatrices » que les tous états – notamment des terres et des biens des autres…) cela sonne oui faux…

http://www.generationlibre.eu/

Eric Sadin, auteur de la « Vie algorithmique - Critique de la raison numérique ». « Cette pensée, fondée sur la conviction que le désir individuel, présenté [ frauduleusement] comme progressiste, prévaut sur tout, dans une indifférence absolue des états et des acquis historiques [..cela se sent cet irréalisme infantile], a essaimé sur la planète entière. »

Dans la bouche des politiques, des artistes ou des entrepreneurs, l’adjectif « libertarien » n’a jamais été aussi à la mode [ et ne franchira jamais les murs de la nursery ?]. D’ailleurs, 300 000 internautes ont déjà demandé à être naturalisés par le Liberland, qui ne bénéficie pourtant d’aucune reconnaissance internationale […et comment reconnaître une volute sans consistance ?]. « Le moment libertarien que l’on vit actuellement est plus culturel que politique ou même économique. Les nouvelles technologies ont donné à la majorité la possibilité d’individualiser […quel suivisme pourtant !] sa vie, de faire ses propres choix […comme si c’était aussi…simpliste ?] », estime Nick Gillespie, co-rédacteur en chef de Reason, mensuel fondé en 1968 et principal journal d’opinion libertarien aux États-Unis. Malgré un tirage papier modeste de 60 000 exemplaires, le site de Reason attire 4 millions de visiteurs par mois, un chiffre en « augmentation constante » selon lui.

Et qui donc participe de cette augmentation du nombre des pressentis « libertariens » ?

« L’adhésion de la Silicon Valley au libertarianisme « randien » est-elle opportuniste ou s’agit-il d’une conviction profonde ? Un peu des deux, répond Sébastien Caré, spécialiste de la pensée libertarienne. « Le libertarianisme satisfait parfaitement les intérêts des patrons de la Silicon Valley, eux qui veulent détruire les structures existantes, considérées comme des entraves à la liberté d’entreprendre [FauxGalbraith décrit, pertinemment, le capitalisme comme le refus de toute concurrence avec comme but oligopolistique de fixer ses propres prix, sans passer, évidemment, devant aucune "loi d'offre et de demande" …] , et promouvoir des innovations dites disruptives, explique-t-il. Ils partagent la croyance que les nouvelles technologies sont une promesse d’émancipation de l’individu de toute autorité, couplée à l’idée que l’on s’accomplit en faisant fi du collectif. Il y a également une dimension messianique chez Rand qui séduit ces hommes qui souhaitent véritablement changer le monde. Mais je pense aussi que la Valley est profondément libertarienne, n’oublions pas que la Californie est le berceau du libertarianisme, né dans les années 60 du mariage de la nouvelle gauche, issue de la contre-culture californienne, et du libéralisme classique. »

« Le cas d’Uber est emblématique de la volonté de mettre à bas des secteurs réglementés et protégés par l’état, tout comme l’essor du BitCoin, cette devise alternative qui s’attaque au monopole des états sur l’émission de la monnaie. Courant de pensée fourre-tout […d’où aucune congruence entre les concepts – tout flotte dans l’incohérence éparpillée…], éclaté en de nombreuses chapelles, le libertarianisme s’offre aujourd’hui une nouvelle vitrine avec la Silicon Valley et, discrètement, infuse la société. Du reste, ce libertarianisme « high-tech », randien, heurte-t-il souvent la vieille garde libertarienne, parfois bien installée dans l’establishment de Washington. Trop tapageur, trop arrogant et en rupture avec une certaine orthodoxie. « A titre d’exemple, les libertariens sont généralement contre la propriété intellectuelle alors que les libertariens de la Silicon Valley souhaitent eux que l’état protège […lequel d’état vu qu’ils l’auront entièrement détruit avant la fin de ce paragraphe ?] « leurs » brevets, souligne Sébastien Caré. C’est la même chose avec l’immigration, les libertariens sont pour l’ouverture totale des frontières. A l’inverse, Mark Zuckerberg souhaite qu’elle soit réservée aux élites. » Une vision de la liberté très restrictive en fin de compte. »

Si restrictive qu’il n’en reste plus beaucoup de liberté. Au final. Pas assez, en tout cas, pour tout le monde. Les autres devront faire le sacrifice de s’en passer : un seul être « libre » pour 200 000 en servitude, non volontaire mais « forcée » (…faut pas rêver)… Enfin, nous parvenons (tellement leur aire intellectuelle est restreinte) au cœur de cette non pensée. Vaporeuse, glissante et fuyant tout débat de fond…Donc tellement difficile à saisir dans ses gesticulations trompe-l’œil et son vacarme de mots pour ne rien dire. N’empêche que nous pouvons aligner quelques uns de leurs vagissements puérils et…tirer l’échelle. Une telle élite doit être « protégée » de redescendre, non ?

1) – Leur position loufoque par rapport à l’État est enfin cernée… Les marchés sont vantés comme « plus puissants que les États» – alors comment TOUT (magiquement) devient de la faute des États ? (et absolument « rien », jamais non, de la faute des marchés). Puisque, de ce fait, si tout est toujours de la faute des États; ils sont bien omnipotents, omniprésents…et super oui super puissants. De ne pas l’être !!! Puisque seuls les marchés le sont, puissants,…et plus les États. Oups !

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2 - Dans cet article, nous découvrons d’autres exemples aussi ahurissants de cet acabit. Genre « … Laissons les gens tranquilles. Que chacun fasse ce qu’il veut. Et surtout, qu’on ne se mêle pas des affaires des autres. » L’ancien maire de Carmel (Californie) considère que « donner du pouvoir [aux politiciens] », c’est prendre le risque « qu’ils le détournent aussitôt contre vous ». Mais pas les banquiers, les actionnaires, les financiers et les spéculateurs ? Et leurs illégaux lobbies ? Donc c’est comme des postulats de base jamais démontrés qui servent, pourtant,…d’axiomes irréfutables. Mathématiques carrément nébuleuses. Un peu comme si ces personnages n’étaient plus jamais sortis de chez eux depuis la fin des années 1970. A ressasser des concepts qui n’appartiennent plus à la réalité actuelle mais stationnent toujours avec les trottinettes des années 1960. Trois phrases seulement mais qui avouent tout…déjà l’ignorance complète de l’Histoire réelle - Laissons les gens tranquilles. Fort bien. Mais qui ? Ne sont-ce pas les publicités envahissantes qui ne laissent pas les gens tranquilles ? Ne sont-ce pas les médias mercenaires qui ne laissent pas les gens tranquilles ? Et les politiciens harceleurs (et pour rien puisque tout se décide dans un ailleurs caché à la vue) qui harcèlent sans cesse les gens ? Ne sont-ce pas les spéculateurs et actionnaires qui vivent sur l’argent des autres au lieu de les… laisser tranquilles ? Et les banquiers ? Et le commerce exagéré ? Etc. Bref, seuls les « cibles » d’un tel discours (les esprits critiques et les créateurs concrets des nouvelles alternatives)…laissent les gens tranquilles. Elles/ ils proposent mais ne harcèlent jamais. Les seuls ? Et plouf : la démagogo libertarienne tombe à l’eau…

3 - Que chacun fasse ce qu’il veut. On voudrait bien – mais tant que les conditions matérielles minimum ne sont pas remplies, impossible d’être libre. D’ailleurs les libertariens restreignent très fortement la liberté – seul un nombre infime aura la porte ouverte. Tiens, un peu comme le néolibéralisme qui a le cynisme inhumain de dire pas d’aides aux pus pauvres. Mais – en même temps – soutient l’aberration complète de la « nationalisation des pertes »…soit, en fait, la fonctionnarisation des traders. La mise en position « chochotes » pour les parasites spéculateurs et les abusifs actionnaires. Décrétés « devoir » toujours gagner de l’argent, jamais en perdre. Puisque le versant INACCEPTABLE de la nationalisation des pertes (la seule nationalisation pour ces esprits capricieux !) c’est la privatisation des bénéfices – soit le non partage équitable des plus-values. Lorsque seul travail crée la valeur. Au point que 100 ans de Bourse n’aura crée que 0,50 % oui 0,50 % de plus de valeur pour la collectivité. Donc privatiser les plus values collectives est illégal, un abus de pouvoir et un empiètement inadmissible sur la vie des autres…Impossible, dans de telles circonstances, que chacun fasse ce qu’il veut. Et c’est un peu de la faute de la pensée des évaporés libertariens. Qui contredisent, si frivolement, ce qui est la réalité commune. N’empêche que leur avachissement moral allié à une paresse intellectuelle crasse conviennent à tant d’esprits superficiels pour qui penser c’est couper la parole de ceux qui ont le savoir et l’expérience..

4) - . Et surtout, qu’on ne se mêle pas des affaires des autres. Selon le modèle des U.S.A qui en sont à 161 guerres depuis leur existence ? Soit un peu plus d’une guerre par an ? Des envahisseurs intégraux. Des grands perturbateurs de la vie des autres. De frénétiques interventionnistes qui « forcent » tant au prétendu non-« libre » échange. Bref, des personnages qui se mêlent sans cesse des affaires des autres. Et sur ce modèle, nous avons les multinationales, les médias déshonorés et les trop riches plus que surreprésentés politiquement qui ne font QUE se mêler des affaires des autres. Y intervenir. Voilà ce que c’est de faire mumuse avec les idées – sans jamais une phrase d’adulte.

5) – Voici bien saisi, dans la même poignée, le vide complet de ce qui cause tant de mal au monde entier. Des nihilistes inconscients. Des cœurs desséchés qui se donnent tous les beaux rôles. Des êtres profondément régressifs inadaptés à la réalité. Et ne survivant que dans des bulles idéologiques des années…1960. Bref, les personnages qui gomment le maximum de dégâts du capitalisme…on voit leur non-pensée de prés, on est guérit d’eux. Et pour la vie…

Localisés ? Des stars, des drogués au fric, des médiatiques, des intoxiqués à la mode, des bourgeois, des personnages qui n’ont jamais vécu la vraie vie (ou l’ont complètement oublié), etc. En résumé ces 11 % de la civilisation occidentale qui « occupent » 99 % des médias, de l’information, de la culture, des infrastructures sociales (payées avec l’argent de tous)…bref, des personnes illégitimement trop diffusées. Et qui font croire que si elles « sont » présentes elles « sont ». Pas du tout elles représentent le contraire « d’être ». ne sachant pas penser mais juste « suivre » qui les flatte et ne leur demande jamais rien, aucun effort (sinon celui de leur verser de l’argent)…et donc cette non-pensée aura été vraiment difficile à saisir. Sauf à des personnes entrainées. Là c’est fait et bien. Ces enfants qui ne deviendront jamais adultes vont cesser leur insidieuse épidémie de conneries. Basta !

« A la télévision, tous les shows qui traitent du gouvernement montrent à quel point l’état est néfaste […sauf l’État privatisé au service exclusif des intérêts du trop petit nombre]. Dans House of Cards, le président est un meurtrier ! s’enthousiasme Matt Welch, l’autre tête pensante de Reason. Et que dire de la science-fiction adolescente […leur âge mental..] qui cartonne en librairie ! La saga Hunger Games est farouchement anti-autorité [..faux c’est la soumission insidieuse aux maîtres du monde..]. Ce n’est pas étonnant que les jeunes générations plébiscitent ces histoires : elles n’ont jamais vu de gouvernement fonctionner correctement. » […et cela est calculé pour, stupids cupids, oui très grands benêts…] Si les lobbies et les multinationales arrêtaient de les faire dysfonctionner et que cette machine de solidarités ne se vouaient qu’à faire fonctionner les services publics, les biens communs et les revenus d’existence, etc. En utilisant une législation qui abolirait le profit comme un coût reporté sur d’autres – donc comme ce qui n’et pas un… profit. Et entrerait – à la place - dans l’âge adulte des gestions…collectives sans buts de lucre !!! Un peu que ça fonctionnerait mon neveu !!!

Chez Ayn Rand, il s’agit de […lutte contre tous les privilèges…] privilégier à tout prix la liberté individuelle sur l’égalité, l’individu sur le collectif. Cette pensée prend source dans l’histoire personnelle de la romancière, immigrée russe qui a passé sa jeunesse en URSS. Marquée au fer rouge par cette expérience et profondément anti-communiste, elle fut témoin à charge lors des procès sous le Maccarthysme.

Dernier élément mis en place ? Nous voyons bien mieux le rôle de confusionnisme de la si interventionniste non-pensée libertarienne. Ce qui nous ouvre la bonne compréhension de l’époque : l’état (sans majuscule puisque toujours plus rétréci et vidé de ses fonctionnalités par les ennemis de …l’état !) est bien proche d’être tout « privatisé »…et, donc, les excès de réglementations actuels, la cherté de la vie et tous les désagréments, ou pires, que nous vivons ce sont les…lobbies privés, les avocats des financiers, les spéculateurs et actionnaires qui « dictent » et « régulent » nos vies, etc. Et qui se révèlent être les vraies causes de nos souffrances. Puisque, en douce, ils ont pris la place de l’état. Et personne d’autre. Une fois de plus, c’est le capitalisme qu’il faut abolir en toute priorité. Et ne pas perdre son temps à combattre une coquille devenue vide. Un État de papier !!!

Un seul exemple illustratif du mal que font ces libertariens. Ouvrons ce lien..

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http://next.liberation.fr/culture-next/2015/09/16/avec-le-numerique-les-ecrivains-americains-y-laissent-des-plumes_1383685

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La paupérisation accélérée des écrivains (ces personnages si utiles à la société – lorsqu’ils/elles sont vrai(e)s…eh oui c’est la faute des…libertariens… leur philosophie d’aveuglement paupérise toute la société (sauf ce 1 %, qu’il reste plus prudent d’étendre à 10 % de « profiteurs » du système)…leurs libertariennes relations humaines glaciales et indifférentes augmentent la cruauté sociale au-delà du supportable…avec eux, tout devient pire…nous en appelons à la « responsabilisation pénale » de cette philosophie libertariste-liberticide. L’ennemie de la liberté faute de fonder toutes les conditions matérielles (politiques, économiques, culturelles, etc.) de son existence. D’oser à bas l’État tout en permettant à l’oligopole monopolistique des multinationales de créer une gouvernance despotique.

Tellement plus insidieuse, réglementaire, régulatrice, interventionniste, prescriptive, tatillonne, etc.…bureaucratique que…

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…………………... tous les États du siècle dernier !!!

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

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Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

……………. tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L’ÉCONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Lorsque le « moins d’Etat » est devenu le plus d’Etat…privatisé ?
Lorsque le « moins d’Etat » est devenu le plus d’Etat…privatisé ?

Un monde tout numérique... Un monde ou tout est quantifié, sans imprévu... corps, relations, comportements; Un quotidien entièrement assisté grâce aux innovations numériques et électroniques...Notre invité compare la vie à un algorithme très fièrement contrôlée... La révolution numérique nous retire-t-elle tout libre arbitre?

Paul Ron : les marchés sont plus puissants que les Etats – alors comment TOUT (magiquement) devient de la faute de Etats ? (et absolument « rien », jamais de la faute des marchés). Puisque, de ce fait, si tout est toujours de la faute des Etats; ils sont omnipotents, omniprésents…et super oui super puissants. De ne pas l’être !!! Puisque seuls les marchés le sont et plus les Etats.

ce qu’on ne voit pas ( par exemple…les coûts cachés des profits) – face à l’image – n’existe pas…car l’image peut montrer un billet – mais ne peut montrer les dégâts qui se superposent, s’entrelacent et s’accumulent, mêlés, dans la durée (donc vraiment difficile à voir). Prise en flagrant délit - l’image simplifie trop, rend idiot, satisfait de toujours moins, sans exigences autres que d’imposer son égoïsme. Oui, devenus incapables de raisonnements et de réflexions approfondies…ce qu’on ne voit pas est donc bien la plus grande partie de la SOLUTION aux problèmes…et de loin. «Croire» aux images c’est donc s’empêtrer dans toujours plus de problèmes sans solutions !!!

Publié dans Victoires**

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V
Bonjour !<br /> Je viens de parcourir votre site. Que d'originalité et surtout d'idées !<br /> Je repasserai sûrement vous rendre visite.<br /> Bonne continuation
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I
Bonjour et merci pour cette appréciation appréciée