Dire jamais mais

Publié le par imagiter.over-blog.com

Dire jamais mais

Mais jamais ce n’est jamais c’est mais. Oui les formules d’incertitudes qui nous en rendent si sûrs et certains ? Pour nous la logique loge tout, absolument tout, même ce que nous ne comprenons pas encore – et comprendrons un jour ! Comme dire jamais mais… Mais on a dit maison. Le logis est dans le langage approché de manière désintéressée…ce texte va nous offrir un avant goût de cette merveille où tout veille !

 

Quand et où ? Tout de suite et oui à la suite de tout bien entendu (et lu)…Les adverbes de fréquence admettent que notre participation complète est requise : que tu fréquentes de manière fréquente, ce qui est classé dans « fréquence » et doit, ainsi changer ce classement si arbitraire. N’empêche que fréquentation dit fréquence et que fréquence dit la…bonne fréquence : celle qui « augmente » (non transhumainement mais naturellement) les fréquentations…Allways du always anglais ce : toujours. Ce qui offre vraiment toutes les possibilités, tous les chemins, tous les accès, l’universalité à laquelle le jamais claque la porte au nez. Sauf le jamais mais ?

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La-beauté-ne-se-soumettra-jamais

« Contrairement à la rumeur, la guerre de Troie, dont l’origine tient à un choix esthétique, n’en finit pas d’avoir lieu. Car la beauté, dont l’idée même serait de plus en plus contestable aussi bien intellectuellement que politiquement, demeure au centre de tous les enjeux. Mais qu’est-ce que la beauté ? Comment l’appréhender ? Sigmund Freud admet ne pas être d’un grand secours quand, en 1929, il affirme au début de Malaise dans la civilisation : « Malheureusement, la psychanalyse a (…) moins que rien à dire sur la beauté », tout en précisant : « Un seul point semble assuré : c’est que la beauté dérive du domaine de la sensibilité sexuelle ; ce serait un modèle exemplaire d’une motion inhibée quant au but. » Ce que ne vient pas contredire le point de vue de Salvador Dalí quatre ans plus tard : « La beauté n’est que la somme de conscience de nos perversions.  » Ainsi, pour Freud et pour Dalí, si la beauté a trait à nos pulsions, elle est avant tout indissociable de l’irréductible singularité de chacun, par son pouvoir d’en révéler soudain certaines parts d’ombre.

Aujourd’hui, la science le confirme quand, s’interrogeant sur la « beauté dans le cerveau », le neurobiologiste Jean-Pierre Changeux parle de « court-circuit cérébral », plus exactement d’une « sorte d’ignition singulière et puissante », qui renverrait à une « synthèse globale particulière au sein de l’espace neuronal conscient ». Réalité aussi bien que métaphore, voilà que se vérifie tout ce que nous savions sans le comprendre. Pouvoir d’éclairement, pouvoir d’ébranlement, pouvoir d’embrasement, voilà que, en dehors de toute transcendance, la beauté ouvrirait sur l’ailleurs au cœur de nous-mêmes, elle nous montrerait ce que nous ignorons de nous-mêmes, elle révélerait la forme toujours autre du feu qui nous habite. Dès lors, on comprend mieux la constance avec laquelle les différents pouvoirs se sont toujours efforcés de se l’approprier, voire d’en circonscrire les effets, et plus encore de dissuader tout le monde de la vivre. »…

En effet, l’irruption massive de la beauté démontre, en une milliseconde, que les enfantillages des pouvoirs (tromper pour faire semblant de diriger c’est tout le contraire du triomphe !) sont juste minables. Que toutes leurs manières d’aborder quoi que ce soit ne tourne qu’au dérisoire. Que la fausse vie qu’ils génèrent n’est surtout pas à vivre. Qu’ils n’apportent strictement rien aux autres que leurs présences encombrantes dont ils/elles n’ont même pas, eux-mêmes, conscience. Et ? Et que qui, au départ, a eu la chance de recevoir l’éclair d’énergie pure qu’est la beauté, et qui, ensuite, aura eu le cran de rechercher une telle vérité de soi-même a infiniment raison. Les pouvoirs infiniment tort…La vérité de ce monde est sa beauté intégrale qui se maintient derrière les paravents de mince papier des avidités qui souillent tout, des diffamations qui définissent le honteux capitalisme ou des pouvoirs qui ne sont que malsains. La beauté reste l’harmonie la plus complète qui soit où tout tinte de tout le reste à la fois. Et que nous retrouvons, aussi, avec une densité incroyable dans le langage (celui du jamais mais !). a condition de conserver présente dans sa sensibilité la totalité de la langue (dans chaque mot tous les mots), de n’avoir aucune pulsion d’avidités ce qui ternit tout. Et donc de recevoir le langage tel qu’il est : il n’est pas nous, il est plus grand, plus autre que nous. En fait, il est ce qu’il y a de plus proche de la réalité entière. Et reste le guide fidèle qui nous aide à la décrypter, à y trouver les solutions pour toutes et tous (se la jouer chef de bande comme tous les partis politiques si déchus actuels ce n’est évidemment pas faire de la politique !). Le langage pour qui demeure désintéressé ouvre tous ses trésors, tous : ainsi ce joyau « jamais mais » fait partie de ce que nous ne comprenons pas encore (pas assez d’évolution, sensibilité pas assez grande et conscience trop auto-centrée…) mais que nous sommes destinés à comprendre un jour. Ce jour où les coïncidences mystérieuses disparaitront. Et laisseront la place à ces réverbérations de toutes les beautés : les co-Incidences, soit l’infinité de l’univers en interactions enchevêtrées qui nous seront …lisibles, une par une et toutes ensembles. Oui la beauté c’est la paix infinie, celle où nous nous sentons en complète sécurité (c’est là que nous sommes chez nous !). Et que donc nous lâchons prise à 100% ce qui permet de s’envoler comme des oiseaux, d’entrer dans des visions de tout le corps : lorsque chaque muscle et tendons « voient », lorsque les sons sont des goûts qui emplissent tout le corps, lorsque les pores reçoivent à 100 % un air si caressant. Lorsque tout notre corps revit la beauté cosmique où il avait toujours nagé comme un poisson dans l’eau. Où il avait été immergé complètement pour sa plus gigantesque joie. Ceci est la réalité complète : et les pouvoirs malsains ne l’atteignent jamais puisqu’ils détruisent, en eux, tous les accès. Leurs prétendus triomphes sont donc les plus absurdes échecs ! Toute l’Histoire mondiale raconte pourtant cette vie plus grande que la vie.

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/L'économie-solidaire-ce-n'est-pas-un-oxymore

« On y voit un oxymore – bien à tort – du fait notamment de l'interprétation falsifiée [[oui c’est un faux et usage de faux !]] que l'on fait d'un célèbre passage de "la Richesse des nations" d'Adam Smith : "Ce n'est pas de la bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger que nous attendons notre dîner, mais du souci de leur intérêt propre. Nous ne nous en remettons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme." Thème fameux de la "main invisible" [[ et l’escroquerie inadmissible de la main invisible des marchés qui place le capitalisme dans la pire des métaphysiques, dans l’idéalisme le plus destructeur : pas de quoi être fier ! C’est une claire nuisance que cette non-pensée !]] : en cherchant son intérêt personnel, chacun servirait sans le savoir l'intérêt de tous.

Ce passage a fait l'objet d'un des contresens les plus dommageables à l’Humanité. Dans le chapitre où il figure, Smith constate en réalité qu'une société fondée sur le seul marché ne fonctionne pas. Et qu'il faut des services sociaux, des services publics. Par ailleurs, en moraliste écossais, il a écrit un autre livre, la "Théorie des sentiments moraux", où il déploie une anthropologie de l'empathie [[ plus ennemi que lui du capitalisme, difficile donc de trouver. Tout comme Darwin clarifiant que « la loi de la jungle c’est l’entraide ». Et que donc de justifier les inégalités qui rien ne justifient par le fait que les animaux se mangeraient est un faux et usage de faux. En effet, jamais ils ne procèdent à des massacres gratuits, jamais ils ne font la guerre, jamais ils ne s’abaissent comme la lie de l’Humanité. Et, bien mieux, ces animaux ont inventé l’altruisme, ils s’entraident et se sauvent entre espèces. Seule l’inexcusable avidité capitaliste (qui soulève toujours plus de répulsions :!) souille toute la réalité qui l’entoure. Le capitalisme, nihiliste et clair ennemi de l’Humanité, n’est qu’une immense diffamation. Qui ne respecte rien, oui des voyous complets qui auront tenté de défigurer tous les génies du passé. Et qui, pris la main dans le sac, s’en voient discrédité pour…l’éternité !]]… À le suivre [[ cet Adam Smith qui disait que le slogan des capitalistes c’est « tout pour moi et rien pour les autres » !]], le monde n'est pas composé d'Homines economici égoïstes et aveugles mais d’humains empathiques et serviables !  

C'est donc une diffamation que de présenter l'intérêt égoïste comme le moteur "naturel" de l'économie. Une autre voie est possible, si l'on favorise les "communs".etc. »…Celle que nous-mêmes avons décrite  comme «  Rien de plus solide que le solidaire ». Ce n’est pas nous qui l’inventons, ce n’est pas une fiction…mais c’est bien le langage entier qui le dit et nul ne peut créer plus « radical » et « original » que lui. La solidarité c’est le « solide », c’est la base de la civilisation même. Sa corde cordiale où les premiers de cordée ne pourront jamais être des cupides, gonflés de revenus immérités et diffusant les inégalités qui n’ont absolument pas lieu d’être. La preuve ? Nous œuvrons avec une force inattendue dans les fondations de la civilisation et faisons avancer absolument TOUS les débats. Toujours nous allons à l’essentiel avec les mots de la simple beauté. Le dernier des débats qui, sans nous sans doute, n’aurait pu émerger, c’est que l’illégal capitalisme repose tout entier sur LES CENSURES à la source, au départ, dans les prémices…et le document « Rien de plus solide que le solidaire », dans sa beauté simple, est un milliard de fois plus parlant que les bafouillages de ces textes même pas commencés sur les censures passées (oui Adam Smith est un ennemi radical de la société de marché lui qui dit que « l’argent n’est pas la richesse des pays, mais que ce sont ses talents les véritables richesses »…et que nous voyons les pouvoirs insensés gaspiller tous ces talents, les méconnaitre (comment d’ailleurs pourraient-ils les faire entrer dans l’étroitesse de leur mesquinerie ?) et donc les…censurer (soit au sens ne pas permettre que les autres humains les connaissent, y aient accès, s’en forment et inForment – c’est « cela » la censure…empêcher la circulation ‘naturelle » et « normale » des idées…et, en effet, un auteur n’est pas censuré. Ce n’est pas lui. Mais les autres qui sont tous censurés (privés de l’essentiel). N’empêche que la beauté de n’écrire que du vrai radical, de la beauté de première ligne, etc. surpasse toutes les faussetés que la société détournée peut offrir. Rien de valable en tout cas. Pas un mot de beau dans ses propagandes futiles…

Là, nous vivons carrément dans le jamais mais…sachant, paisiblement, que nous comprendrons en avance le mystère qui y est caché. Et qui dépliera, déploiera une autre des richesses de l’humain…qui n’a certainement pas besoin du transhumanisme pour s’augmenter…toutes nos vies sont la preuve que non, que nous nous sommes « augmentés » par des moyens seulement naturels. Et eux pas du tout…Et ? Les odeurs de la nature, ses touchers, ses goûts ses sons, ses regards tout en elle, effectivement, confirme la beauté qui enveloppe tout…et qu’une peinture abjecte prétendait recouvrir si superficiellement.

…….. Grattons-les murs, la beauté de la nouvelle civilisation va toute surgir !

 

………..…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la beauté humaine nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Dire jamais mais
Dire jamais mais
Dire jamais mais
Dire jamais mais
Mettre côte à côte 2 termes que tout devrait écarter

Mettre côte à côte 2 termes que tout devrait écarter

Dire jamais mais
Mais d’objection – qui ouvre une idée contraire : ce qui ne veut pas dire adverse !

Mais d’objection – qui ouvre une idée contraire : ce qui ne veut pas dire adverse !

c’est tout le langage qui n’a rien à voir avec aucun jeu infantile de pouvoir…qui ne sera jamais émancipé de sa connerie basique !

c’est tout le langage qui n’a rien à voir avec aucun jeu infantile de pouvoir…qui ne sera jamais émancipé de sa connerie basique !

Dire jamais mais

TOLÉRANCE DE GAUCHE : oxymore/20

Adverbios: Toujours - jamais, partout - nulle part, Quelque chose - rien, quelqu´un - personne .

Les adverbes de fréquence admettent que notre participation est requise : que tu fréquentes de manière fréquente ce qui est classé dans « féquence » doit changer ce classemement si arbitraire. N’empêche que fréquentation dit fréquence et que fréquence dit la…bonne fréquence : celle qui « augmente » (non transhumainement mais naturellement) les fréquentations…

Cedric Villani et Mathieu Lehanneur - Sciences et Création, oxymore ou même combat…sauf que la science doit être entièrement séparée de l’argent. Le capitalisme ne comprend rien à la réalité ce pourquoi il la détruit entièrement : nous devons donc protéger la société de ce type de bestiale bêtise !

Delphine Batho : "Dictature verte pour moi c'est un oxymore"

Vous n’aviez jamais entendu une poule éternuer ? Maintenant c’est fait !

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