Rechaper belles ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Rechaper belles ?

Échappées belles ? Réchappées belles ? Réutiliser tout ce qui existe afin que cela roule bien. Retournements de situations par des détournements judicieux. Dans les comportements tout comme dans les écrits, les paroles et les vies. Pourquoi rechaper belles ? La « république » REM cela ne marche plus, ce sont surtout des piétinements ou pires : ils ne feront aucune révolution. Quant aux pouvoirs, clair que, actuellement, cela ne roule plus fort pour eux. Cela ne roule pas bien du tout. Aussi, afin que plus rien ne s’enroule dans les impasses. Et que tout se déroule et roule de nouveau – nous rechapons tous les concepts.

Et les femmes ont l’initiative afin de ressentir ce qu’est une tout autre vision ? Un autre ressenti ? Ce qui nous choque c’est que la plupart, dès qu’au pouvoir, ne font que reproduire les discours et conduites des fausses élites. De ces hommes paternalistes dans lesquels nous ne nous reconnaissons absolument pas, qui ne sont qu’une minorité qui se fait remarquer par ses violences verbales et institutionnelles, par ses illimitées cupidités si nuisibles à la société et par ses idéologies (les pires : celles qui prétendent lutter contre les idéologies…et avoir, ainsi, toute la place fain de faire pire qu’elles !). Enfin, tout ce pourquoi ils sont prêts à mentir et manipuler à outrance. Pourquoi tant les imiter au lieu de s’en démarquer très énergiquement ? Faire tout le contraire d’eux ? Et s’ils étaient le seul chemin afin de pouvoir …paraître, pourquoi ne pas s’unir aux véritables élites (que cette « médiocratie » tente d’occulter) afin de mettre bas ces ennemis trop toxiques de l’Évolution, évolution libre et non faussée, évolution spontanée et non forcée ?.

.....….………………………..**********************************

« Comment les femmes qui font le 21ème siècle ont-elles été façonnées par l’éducation qu’elles ont reçue, les invectives de la société, leur éducation, leur rapport à leur corps ? Comment se construit-on en tant que femme ? Dans l'émission de Lauren Bastide, des chercheuses témoignent de leur expérience dans des domaines longtemps accaparés par les hommes.

Les-savantes-sur-france-inter-:-un-micro-tendu-aux-femmes-qui-savent

Le féminisme est un thème prépondérant dans vos émissions (Les Savantes, donc, mais aussi le podcast La Poudre, sur Nouvelles Ecoutes). De quelle façon explorez-vous ce sujet ?

En tendant le micro à un maximum de femmes dont les savoirs, les vécus, les combats peuvent servir de repères à d'autres femmes. Pour moi, l'obstacle principal à l'égalité entre les sexes est celui des croyances (« les femmes ne sont pas faites pour les mathématiques ») et des représentations — il n'y a eu qu'une seule femme Prix Nobel d'économie. Pendant trop longtemps, on a tu les voix des femmes [[à égalité avec les talents singuliers ]], on a minimisé leur portée, voire effacé leur existence. Le féminisme est aujourd'hui un programme politique, une pensée qui englobe les luttes contre toutes les formes de domination [[ dont le « on ne publie pas les génies », et qui tient compte des discriminations de genre, de race, d'orientation sexuelle, de classe, de handicap... Dès l'instant où l'on comprend la dimension construite du genre, c'est comme une paire de lunettes qu'on ne peut plus ôter.

Vous amenez aussi vos interlocutrices à s'exprimer sur une sphère plus intime... est-ce indispensable pour pointer leurs engagements féministes ?

Chaque émission commence par poser les titres, l'expérience, les diplômes et le sujet de recherche de mon invitée, puis nous explorons ensemble l'historiographie de sa discipline. Ensuite, je m'autorise une petite virée dans son vécu, parfois dans son enfance, parce qu'on tire toujours des enseignements en entendant la réponse à la question toute simple : « comment en êtes-vous arrivée là ? » Au fond, on n'est jamais là par hasard. Cela aide à s'identifier, à se projeter, et j'espère que ces récits de vécus inciteront les jeunes femmes à marcher dans leurs pas pour les imiter.

Quelles féministes nourrissent votre réflexion ?

A écouter

 Les Savantes sur France Inter, le samedi à 10h.

J'ai une grande passion pour Charlotte Perkins Gilman, femme de lettres américaine, suffragette, poète, militante, auteur d'un merveilleux roman dystopique et satirique, Herland, où les femmes vivent sur une terre définitivement débarrassée des hommes. Je conseille des lectures poétiques et militantes comme celles de Bell Hooks (Gloria Jean Watkins), Maya Angelou, Leonora Miano, ou Marlene Nourbese Philip : elles permettent toutes de s'ouvrir à une forme de féminisme moins européano- et hétéro-centrée. »

Ce n’est pas se limiter aux seules sciences reconnue par les pouvoirs, mais bien d’élargir à tous les savoirs qui tentent d’émerger. Ou de nouvelles sciences dont le nom n’est pas encore formulé. Telle ? « L’harmonicisme » ou bien la compétence (à inventer) qui permet de formuler exactement ce que nous voulons dire. Regroupant nombres d’autres disciplines, ces techniques permettraient une haute communication débarrassée du marketing, des injonctions de paraitre et des intérêts cupides qui n’ont rien à y faire. Etc. Soit ? Ce n’est pas en faisant exactement ce que « des » hommes font déjà, qu’il est évolutif d’être femme. Ce n’est pas en relayant, sans tenter de comprendre, les censures injustement pratiquées par ces hommes, que le progrès progressera. Ce n’est pas en contraignant la société à l’immobilisme suicidaire, à coups de « médiocratie » que les inégalités risquent de diminuer. Etc. Alors où résident la rupture, le divorce, l’interruption et les toutes autres pratiques que ces femmes anti-discriminations, rétives au préJugés, désirant abattre les injustices et inutiles inégalités…apporteraient ? Un exemple ?  A la limite, ce seraient des femmes, dont ces femmes savantes et les autres aussi, qui devraient à fond défendre la fin de l’omerta sur les génies. Se nommant « on ne publie pas les génies ». Avec leurs vies incomparables…donc ne pouvant entrer dans aucun logiciel. Lorsque ce sont eux/elles qui structurent déjà les logiciels qui serviront dans le futur – ils échappent à toutes les pacotilles instrumentales. La brutalité inexcusable c’est de ne pas dire qu’aucun des logiciels actuels ne les RECONNAISSENT. Que, face au génie humain, la technologie émet son immense…échec. Elle ne peut que reproduire et reproduire le…passé. Et aucun  cas produire…du futur, de l’avenir, des humains viables, du complètement et radicalement nouveau – donc, par définition, non…programmable. Les programmeurs de la technologie…fermée ont tort. Seuls des humains peuvent CONDUIRE et GUIDER la pensée : ils se réactualisent d’eux-mêmes. Leur mémoire est "intégrative" grâce à leurs émotions, à leurs sentiments et à leurs…sensations. Il faut vraiment être aussi brutalement con, qu’un bourgeois pour avoir été (tout ce temps) incapables de comprendre, n’en serait-ce qu’une miette, cela. Le constat claque : depuis plus de 40 ans ces cœurs trop médiocres, et qui osent censurer tout ce qu’ils ne comprennent pas, se sont TROMPÉS DE ROUTE et…ont imposé leur très grave erreur à la société. Que font les femmes ? Savantes ou pas !

.....……………………….*****************************************

« Penseur iconoclaste aux intuitions terriblement visionnaires, Jean Baudrillard (1929-2007) avait fait l'hypothèse que le réel lui-même n'était [[ faux – il s’agit de prononcer un…« ne serait plus » d’hypothèse et non pas un…« n’était » d’affirmation qui fonde une certitude. Le crime n’aura surtout pas été parfait…]] plus qu'un artefact bien avant que le virtuel ne lui donne raison. Il n'avait pas son pareil, surtout, pour analyser à vif les derniers soubresauts d'une civilisation qui court à sa perte à mesure qu'elle tend à sa parfaite [[plutôt « à sa malsaine »]]  homogénéisation. Il a eu tellement d'avance sur son temps [[pas que lui…]] que c'est le monde aujourd'hui qui se «baudrillardise», constatait-il lui-même en 2007, à la veille de mourir. [[ nous pouvons simplement constater qu’aucune des institutions culturelles ne l’aura jamais épaulé dans ses constats que « la civilisation court à sa perte » (et que ces instances mêmes participaient et participent à fond à cette course au désastre en accélérant, illégitimement, les standardisations, les censures camouflées et les nocives homogénéisations anti « biodiversités ») – ce pourquoi la plupart des irruptions pour oser à quel point Baudrillard serait si…bon – ne nous convainquent pas du tout. Tout ce temps, nous n’avons pas croisé grand nombre de personnages sensés capables d’incarner cette pensée essentielle. Nous ne trouvons donc strictement aucune crédibilité dans les piteuses tentatives de récupérations des médias d’argent…Changez- vous vous-mêmes et à 100 % avant de pouvoir parler de certaines choses!]].

Le retour de Baudrillard

Dans ses «Cool Memories II», en 1990, Jean Baudrillard résume ainsi son itinéraire: «Pataphysicien à 20 ans, situationniste à 30, utopiste à 40, transversal à 50, viral et métaleptique à 60 - toute mon histoire.» Si la formule marque assez l'originalité [[…ce que ce système d’égarement massif empêche de plus en plus, l’originalité et le vrai nouveau : un exemple ? Aucun des moteurs de recherche ne « connaît » ni reconnait ce qui « sort du cadre »,  ce qui ne se réfère à rien puisqu’il fonde du véridique nouveau, qu’il trace le sillon de sa propre origine originale - entame une nouvelle dimension de vie, ajoute un plus au temps et une œuvre à nulle autre pareille….non – il faut COPIER et se rattacher à du…passé. Ce système complètement incompétent, ne sachant « rien » de la « pensée qui naît » barre donc la route vers le futur…en ressassant des logiciels dans lesquels il n’y a que des données…passées. Le futur inconnu ne peut absolument pas s’y faufiler sauf à se mettre à ressembler, et à 100 %, pas à 10 %, au passé – bref, le futur ne peut que se suicider et la « direction » suivie devenir….retour vers le …passé. Ce sont des COMPORTEMENTS « vitaux » que Baudrillard expliquait non des conversations de salons…Plus irrationnel que l’état hébété du système actuel, non, l’Histoire ne peut nous en trouver de modèle ]] du penseur comme la diversité de ses facettes, elle nous en dit relativement peu de l'homme. Qui était-il ? »

Jean-Baudrillard-qui-n'a-pas-annoncé-la-disparition-du-réel-mais-sa-possibilité-dans-certaines-mentalités!

Très faux Baudrillard ne prêchait pas la disparition du réel (surtout pas), mais il prouvait que certaines formes mentales et certains comportements malades (financiers internationaux « hors sol », médiatiques fous autoréférentiels « hors réel », stars coupées des conséquences de leurs attitudes, politiques ne reproduisant que de l’immobilisme « afin d’être réélus » ou banques les « plus incompétentes jamais vues », et vivant, sans cesse, sous l’abus de protection de « l’état pouponnière », etc.)…ont « besoin » de faire « disparaitre » la réalité (comme la vérité d’ailleurs) afin de continuer leurs vies malsaines et toxiques et de se maintenir dans leurs mentalités monologuées, incapables de supporter le moindre débat de fond. C’est de « cachez ce réel que je ne saurais voir » dont il s’agit et non d’une déconstruction intelligente de la réalité. Baudrillard condamnait, à l’avance, toutes les piteuses manipulations genre la « post-vérité » (et quoi, encore !) : la vérité existe, a son verbe qui est « vérifier », et c’est le capitalisme toujours plus malade qui doit être aboli, rien d’autre. Donc ces récupérateurs minables prouvent qu’ils ne comprennent pas du tout les textes qu’ils lisent (comme les textes qu’ils osent censurer). Qu’à l’évidence, ils n’ont rien compris à Baudrillard. Et qu’ils ne vivent que dans la plus complète IMPOSTURE !

 

Quant à la réalité ? Il y a tant à dire, aussi, une vidéo nous rapproche, judicieusement,  du cœur du débat. La réalité est « idiote » puisque…sans duplication, unique ! Comparable à rien, ce qui l’affilie au génie, pour les humains ! Oui la réalité est seule à être seule. Lorsque que tout va par paire et son contraire : jour et nuit, chaud et froid, haut et bas, etc. A la limite, la réalité et le langage (lui aussi seul) vivent le même processus. Et la réalité aurait investi tout le réel (d’où inversement) afin de nous faire comprendre et prendre avec soi ! Que les plus grandes chances de l’être humain sont que le langage et la réalité existent.

 

Ce qui nous font quitter ces logiciels qui ne répètent et ne ressassent que le passé – et de faire ce que les humains seuls peuvent faire : d’ensemencer le futur. Et nous avons réussi à saisir quelles personnalités sont les plus aptes à le faire. Les « nouvelles » femmes (s’il y en a de « nouvelles », sinon les anciennes n’auront fait que renforcer le désordre établi…), les grands esprits du passé (que les « médiocrates », après les avoir censurés illégalement hier veulent récupérer aujourd’hui, pour leurs buts sordides, mais que leurs maladresses vraiment énormes vont ridiculiser ), les génies actuels (arrachés au « on ne publie pas les génies »), la prise de conscience indignée que ce sont « les images qui peuvent suicider la civilisation » et que, parallèlement, le langage reste si salubre et salutaire (dans ses pratiques si innovantes). Plus, le regroupement, la forge et l’union de tous ces ingrédients, apparemment dispersés, qui peuvent réussir la percée enfin vers le futur nourrissant (et plus ce retour incessant, ce retour vers le passé).

…………………………........****************************
« L’image devient une conversation. Les réseaux sociaux, ce n’est pas des conversations à propos des photos, mais des conversations avec les photos. La photo connectée n’existe pas sans destinataire. On ne fait pas un selfie pour soi, mais pour les autres. Il y a eu d’emblée un malentendu avec le selfie, car on s’est arrêté à la surface du phénomène : à l’image elle-même.
Sous l’iceberg se niche une ramification de pratiques beaucoup plus larges. L’usage fondamental du selfie, c’est l’image connectée, partagée, depuis les smartphones, en temps réel à mes proches sur les réseaux sociaux. Le selfie ne s’apparente pas au portrait : sa vocation est très souvent de communiquer.» On reformule donc la question : peut-on s'intégrer à la conversation mondiale sur un attentat en parlant de soi ? On vous laisse juges. »

 

Un-jeune-dauphin-meurt-à-cause-des-selfies

Dérives mortelles ? Oui, elles surgissent toujours plus massives…Juste pour des images sur son portable maltraiter inhumainement un dauphin au point qu’il en meurt ? Ou bien comment un-e conformiste ne peut que tout détruire autour de lui/d’elle – puisque son conformisme (le comble du malsain) lui aura désappris complètement à vivre, aura procédé à l’ablation du respect et de l’attention,  comme à être…normal ? Les marketings sont des délinquances dont il faudrait mettre les dérives sous surveillances sanitaires. Mesurer tout les maux sociaux qu’ils auront créés et apprendre à la société à vivre sans toutes ces fake sciences et autres conduites typiques des fausses élites (les « médiocrates ») ! Voyons, des enfants manipulent un dauphin (ce qui le met dans un état de stress mortel) « juste » pour des photos ! La société marchande bondit à excuser : « oui c’est bien de prendre des photos » et « ce sont des enfants » (le bébé dauphin aussi), « ils s’amusent » (mais les profits, sans plafonds ni règles régulées, ne sont plus des jeux !) ». Et le tout sera un dommage collatéral d’un (non) style de vie qui doit être très énergiquement remis en question  L’égoïsme tue. Son irresponsabilité et son indifférence aux souffrances auront tué un dauphin…alors qu’une « autre éducation » et la perte du besoin de toute compulsion identitaire (le selfie du selfish) auraient permis de le …sauver !

…………………….**********************************************************

Eh oui ! Le fond de l’affaire de la « valeur » c’est…le faire-valoir. La valeur n’y a aucune valeur d’argent mais uniquement un jeu de miroir… « se prendre pour », se « faire prendre pour », « seules les apparences comptent alors que toutes les apparences sont trompeuses », « l’image remplace le réel » et de « l’imagiter » l’image peut leur faire « perdre tous leurs moyens », « ils restent plus attachés à l’image qu’à la…réalité », etc. et tant de mots qui avouent (à leur place) à quel point les fausses élites (qui empêchent les véritables d’agir) sont déjà en état de putréfaction !

 « Rien n’est dit. L’on vient trop tôt depuis plus de sept mille ans qu’il y a des hommes. Sur ce qui concerne les mœurs, comme sur le reste, le moins bon est relevé. Nous avons l’avantage de travailler après les anciens, les habiles d’entre les modernes (II p.363 - Poésies d’Isidore Ducasse dit Lautréamont). » Cette évidence que rien de décisif n’a encore été dit, que la parole reste jeune, que le futur potentiel nous dépasse avait été rendu amers par La Bruyère, égaré, qui disait trop bêtement et irresponsablement : « Tout est dit, et l’on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu’il y a des hommes et qui pensent…L’on ne fait que glaner après les anciens et les habiles d’entre les modernes »

Mais aussi… « Il y a plus de vérité que d’erreurs, plus de bonnes qualités que de mauvaises, plus de plaisirs que de peines. Nous aimons à contrôler le caractère. Nous nous élevons au-dessus de notre espèce. Nous nous enrichissons de la considération dont nous la comblâmes. Nous croyons ne pas pouvoir séparer notre intérêt de celui de l’humanité, ne pas médire du genre sans nous commettre nous-mêmes. Cette vanité ridicule a rempli les livres d’hymnes en faveur de la nature. L’homme est en disgrâce chez ceux qui pensent. C’est à qui le chargera de moins de vices. Quand ne fut-il pas sur le point de se relever, de se faire restituer ses vertus ? » ( Poésies du même Lautréamont).

Lorsque le futur sourit tant avec nous. Nous avons tout rechapé et…

….nous pouvons réchapper à ce monde sordide d’où tout le meilleur est banni !

 

 

........………(à suivre)

…………………........…**********************************

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Les femmes qui savent ?

Les femmes qui savent ?

Rechaper belles ?
Rechaper belles ?
Rechaper belles ?
Rechaper belles ?
Rechaper belles ?
Rechaper belles ?
rechaper...

rechaper...

n’être rien, en être réduit à rien, s’auto-supprimer

n’être rien, en être réduit à rien, s’auto-supprimer

Rechaper belles ?
rechaper la vision

rechaper la vision

La "prétendue" Disparition Du Monde Réel

Un hommage au Vieil Océan, avec la lecture de trois extraits du Chant premier de Maldoror (Lautréamont). Musique : « La Mer » de Claude Debussy.

Une civilisation peut très bien s’écrouler si elle ne reconnait pas des génies.

La Valeur (Mots de passe 5/16). La valeur marchande est tellement… peu à côté des autres valeurs. Comment une transcendance pourrait naître de la manipulation des valeurs ? « La valeur c’est le contrat ». Le fond de l’affaire de la valeur c’est juste…le faire-valoir (une simulation de valeur) !

La réalité est « idiote » puisque…sans duplication, unique ! Comparable à rien, ce qui l’affilie au génie, pour les humains !

Euronews futuris - Les femmes et la science

Pourquoi les femmes ne sont-elles pas visibles dans les sciences, aujourd’hui comme hier ? Quel rôle ont-elles joué dans la transmission des savoirs ? Elles ont eu accès aux études et travaux scientifiques bien après les hommes. En mathématiques, physique, chimie, médecine ou astronomie, elles ont d’abord collaboré aux travaux des hommes avant de conquérir progressivement leur autonomie

Vidéos extraites de la grande réunion publique organisée par Marianne en 2015 à la Maison de la Mutualité et intitulée "Peut-on encore débattre ?" Réponse : en médiocratie, non ! L’insignifiance ne voulant plus que dire moi moi moi partout…

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article